| Sujet: END ❀ HECATONCHIRES « Celui qui se transforme en bête se délivre de la douleur d’être un homme.» Jeu 5 Avr - 14:11 | |
| hécatonchires cora stillson❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Hécatonchires... C'est comme ça que mon père a décidé de m'appeler le jour de ma naissance, par excentricité vous direz vous, hé bien pas vraiment... Il semblait juste avoir déjà de grands projets pour moi, ou en tout cas, il s'imaginait que je deviendrais aussi forte que les monstres légendaires que sont les Hécatonchires. Oui, dans la mythologie grecque ses entités sont des créatures divines, frères des Titans et des Cyclopes, fils de Gaia (la terre) et d'Ouranos (le ciel)... Ils possèdent tous cent bras et cinquante têtes crachant du feu à leurs heures perdus... Tout un programme en somme. Ça fait 21 ans que je porte ce prénom étrange, et ce n'est pas facile, les premiers temps je prenais la peine de raconter cette fabuleuse histoire de divinités grecques, puis j'ai finis par abandonner, de toutes façons, on ne m'appelle pas souvent par ce prénom... Stillson est davantage utilisé. Cela dit, dans mon district, le district 2, on prend rarement la peine d'énoncer mon nom ou mon prénom, non, pour eux je suis "La Faucheuse" ou même "Ice Queen", des sobriquets ridicules, mais qui semblent persister avec les années et je ne fais rien pour empêcher cela... Mes actes conditionnent la façon dont les autres me voit, alors au fond, ce n'est pas si surprenant de me comparer à l'ange de la mort ou à une reine glaciale sous-entendant sans cœur. Pourquoi? Je descends de Pacificateurs de renoms, connus pour leur cruauté et leur sens de la loyauté envers le Capitole, mon père fait encore partit de ses gens, l'un des plus anciens, des plus durs mais aussi des plus respecter...
Sans surprise, j'en suis moi-même devenue un, mais de façon moins officielle.. Disons, que je fais le sale boulot pour mon père, j'élimine les indésirables, je surveille, j'espionne, je torture... Je suis son bras armé tout simplement, celui qui l'aidera à devenir un Homme encore plus influent et puissant, son rêve depuis toujours. Si j'adhère à ses idéaux? Je ne me suis jamais posé la question, je ne suis qu'un chien qu'il envoie mordre quand c'est nécessaire, plus il me fait mal, plus je l'aime, je ne réfléchis pas, j'agis, je fais ce que l'on m'ordonne de faire et c'est tout. Je ne connais pas d'autre façon d'être, d'autre façon de vivre... Je n'ai reçu que des entrainements militaire depuis mon plus jeune âge, je passais dix-huit heures par jour à me battre et à devenir ce que je suis... Je n'ai jamais apprit à lire, à écrire, je n'ai jamais joué à la poupée, ou rêvé au prince charmant, j'ai simplement été conditionné, fabriqué, comme un robot. De ce fait aujourd'hui... Hé bien, j'ai peut-être vingt-et-un ans mais je réagis souvent comme une enfant. J'observe les gens vivre, je regarde les enfants s'amuser en me demandant "Est-ce que c'est vraiment une source de plaisir de jouer avec une poupée de chiffon?" ... Je me pose des questions tellement enfantine et idiote depuis quelques années... Je ne remets pas en cause ce pourquoi j'ai été entrainé, trop loyale, trop habituée, mais malgré tout ça, je passe le plus clair de mon temps à essayer de comprendre comment fonctionne le monde, car je me rends compte, qu'il ne semble pas marcher comme moi. Je suis capable de torturer un homme et de ne rien ressentir, je suis capable de tuer n'importe qui avec n'importe quoi sans me demander si c'est bien ou mal... Et pourtant, je suis incapable de comprendre des choses simples comme le plaisir, l'amitié, l'amour... Je suis une marionnette, une marionnette qui se cache continuellement derrière un masque de fer car son père considère que sa beauté est un obstacle à son travail, une beauté qu'elle ne comprend pas d'ailleurs... Je suis un animal et j'ai l'impression, non je sais, que rien ne changera jamais.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Je doute sincèrement que ma mort soit douce, je doute aussi mourir de vieillesse, m'endormir sur un parterre de fleur, doucement, paisiblement... Non, je mourrais surement comme j'ai vécus. Ma mort sera brutal, sans surprise, lente, ou peut-être rapide, la souffrance apaisera mes derniers moments... Je partirais seul, je mourrais seul, main dans la main avec celle que j'aurais pu être, avec celle que j'aurais DÛT être, regrettant de ne pas avoir tout fait pour le devenir, pour changer... Je reverrais toutes les horreurs que j'ai commise, je comprendrais surement , enfin, leur sens... Je prendrais conscience du mal que j'ai fais. Je mourrais dans la souffrance, le regret, les remords et surement le désespoir...
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Mon père. Une part de mon conditionnement m'oblige à le protéger, alors si ça devait arriver, je suppose que je mourrais pour lui sans réfléchir, sans y penser, je le ferais tout simplement. Je crois aussi... Que je le ferais parce qu'il est mon père, je ne suis pas certaine de savoir comment je perçois ma famille, mais je crois que c'est dans les gênes des enfants de protéger leur parent, quoi qu'il arrive... Est-ce une bonne ou une mauvaise chose? J'avoue que je l'ignore, je ne sais pas si c'est un bon choix... d'ailleurs, ce n'est pas vraiment un choix au final, je le ferais, à point c'est tout, peu importe que je le désire ou non.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Je suis particulièrement agile avec mes lames, de petites lames, fines, mais terriblement aiguisé que je cache un peu partout sur moi. Que ce soit au lancé ou au corps-à-corps, je les manies à la perfection et je pense même ressentir un certain plaisir face à ça... Je crois aussi, que ma connaissance du corps humains est précieuse. Je pense que je saurais soigner une personne blessé même si ça ne sait jamais produit, ce n'est pas ma principal activité, la mort fait davantage partie de ma vie, je sais exactement où frapper pour tuer instantanément ou au contraire, pour blesser sans risque de voir ma cible perdre la vie... L'agilité et surtout la discrétion reste mes principaux atouts, je virevolte tel une ombre à travers la foule, jusqu'à atteindre ma cible et l'éliminer sans que personne ne remarque réellement ma présence. On m'a mise au monde pour combattre, je sais donc me battre, tuer et même traquer quand il le faut. Je ne dis pas être invincible, mais je ne suis pas facile à abattre, c'est certains.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Non, jamais aucun membre de ma famille n'a été sélectionné et de toutes façons ça n'aurait pas vraiment changé grand chose pour moi... Je ne crois pas que j'aurais ressentit quoi que ce soit si un frère ou une sœur avaient été sélectionné, après tout c'est ainsi depuis longtemps , c'est le hasard, c'est comme ça, je ne vois pas comment j'aurais pu réagir hormis en acquiesçant. De plus, je n'ai jamais eut la peur de voir un membre de ma famille tiré au sort , étant fille unique, sans parler du fait qu'au fond, je n'aurais surement pas comprit les sentiments que j'aurais ressentit si ça s'était produit. D'ailleurs, durant les jeux, alors que j'avais l'âge d'être sélectionné, je n'ai jamais appréhendé, jamais eut peur... Surement parce que je ne considérais pas que mourir, c'était perdre quelque chose.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? Je ne sais pas... J'ignore ce que je ressens lorsque je regarde les jeux, je le fais car c'est un bon entrainement, c'est un bon moyen d'apprendre de nouvelle chose qui peuvent m'aider en tant que soldat, mais je ne sais vraiment si j'aime ça... Si j'aime voir des enfants s'entretuer ou si je le fais simplement parce qu'on me le demande... Peut-être que je hais ses jeux, peut-être que je déteste les Hunger Games... Mais si c'est bien le cas, je n'en ais pas encore conscience, je n'arrive pas encore à interpréter ce que je ressens simplement parce qu'on ne m'a jamais laissé le temps d'apprendre à le faire...
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Mon père m'ordonne de me battre contre cette révolte, alors je suppose que ça fait de moi une personne qu'on peut qualifier de contre ce district et ses envies de révolutions. Si on me dit de tuer un pseudo-révolutionnaire, je le ferais, pas parce que c'est un révolutionnaire, ni parce que c'est un Homme, simplement parce qu'on me l'a demandé, qu'il est ma cible et c'est tout. Encore une fois, je fais ce que l'ont me dit, et si on me demande de combattre cette révolte, ou au contraire de la soutenir, je le ferais, à point c'est tout. Je n'ai pas d'avis à ce sujet, j'observe, en silencieusement, effacé, sans comprendre ce que je ressens, sans comprendre pourquoi j'ai ce petit pincement au cœur lorsque je vois des révolutionnaire mourir ou au contraire, quand on m'annonce que l'une de leurs actions à réussit...
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante mais extrêmement limité par mon père, la nourriture est une récompense, une arme qu'il tient contre ma tempe et qu'il utilise pour être certains de ma soumission total. DU COUP, MON NOM A peu de chance d'être tiré au sort, je n'ai plus l'âge de toute façon. J'EXERCE LE MÉTIER DE Pacificateur non-officiel ET POUR TOUT VOUS DIRE, JE ne comprends pas la question... Je n'ai aucun ressentiment envers mon métier, je le fais, c'est tout. JE SUIS DANS LE 2ÈME DISTRICT. AYANT 21 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. Assise sur son lit, le dos nus, recouvert de blessures, tenant fermement un draps devant sa poitrine, Hécatonchires subissait les soins de sa mère, silencieuse, observant au dehors, fixant un point invisible devant elle, surement un peu perdu dans ses pensées ou juste déconnecté de cette réalité. C’est sa génitrice qui l’obligea à revenir parmi les vivants lorsqu’elle s’arrêta spontanément de passer ce désinfectant sur les plaies de sa fille, alors que de tout évidence, elle n’avait pas finis… Interloqué, la belle tourna légèrement la tête, le visage neutre, toujours silencieuse, comprenant que sa mère c’était apparemment elle aussi perdu dans les tréfonds de son esprit et ce qu’elle y voyait ne semblait pas réellement lui plaire… Ses paroles en furent la preuve évidente. « S’il te plait… Cris, pleure, gémis de douleur… Mais fait quelque chose… C’est insupportable de ne rien voir en toi… Tu saigne, ta chair est a vif et moi, je suis en train de nettoyer tes plaies à l’alcool… Et tu ne dis rien… Tu devrais avoir mal… Tu as mal Cora! » Cora, son second prénom, et pourtant, Aliessa Stillson, sa mère, ne cessait de l’appeler comme ça, hormis lorsque son époux était présent, surement parce que ce prénom là était moins représentatif de la monstruosité qu'elle voyait en sa fille que le premier qu'elle portait… Tournant de nouveau la tête pour recommencer à fixer ce point invisible devant elle, Hécatonchires garda tout d’abord le silence, durant quelques secondes, interminable pour certains, trop courtes pour d’autre. « J’ai mal… Ou peut-être pas… Est-ce que je peux vraiment savoir c’est quoi la douleur si je n’ai jamais connus le plaisir?… C’est une histoire de perception… Je ne crois pas que je perçois la douleur comme toi… comme les autres… Il faudrait... Que je puisse comparer le plaisir et la douleur, pour voir... pour... comprendre... » Il y avait une espèce d’innocence, une espèce de naïveté dans ses dires, mais pourtant une véracité réelle, elle croyait à ses mots, ou en tout cas, elle ne pouvait qu’y croire si elle ne désirait pas devenir folle en se posant un tas de question philosophique sur le bien et le mal, la douleur et le plaisir et la façon dont chacun perçoit chaque chose. Sa mère comprit ça, comme toujours, elle reprit donc de la soigner, finissant par l’entourer de bandage, l’aidant à se rhabiller, c’était contre les règles des Stillson, mais tant pis, le patriarche n’était pas là, autant en profiter.
Une fois vêtue de noir la jeune femme attrapa ce masque qu’elle n’avait en aucun cas le droit de retirer en dehors de sa chambre…. Son père voyait sa beauté comme un défaut, il considérait que ça ne pouvait que la nuire et donc LE nuire, c’est pour cette raison qu’il lui avait offert très jeune ce masque en fer forgé, digne d'un bal vénitien de l'ancien temps, trop théâtrale à mon gout, mais c’était une fois encore son choix, pas celui d’Hécatonchires. Sans attendre, elle le positionna sur son visageavant de quitter leur modeste demeure, une course l’attendant à l’autre bout du district. Ce masque, elle ne le sentait même plus, comme si il était devenue une seconde peau, une partie de son visage, pour être honnête, elle se sentait presque nus sans lui... En chemin, alors qu’elle tentait de se cacher sous sa large capuche, son regard fut attiré par des enfants non loin, ses derniers étaient plutôt jeune et ils semblaient s’amuser avec une sorte de poupée, surement fait maison. Bloquer sur ce genre de chose, totalement futile et sans intérêt à son âge, était une manie tout à fait normal pour elle, surtout depuis quelques années. Pourquoi? Aucune idée, ça lui arrivait tout simplement , attiré par leur façon de sourire en jouant avec cet objet ou par l’objet lui-même… La belle n'avait jamais eut le droit au moindre jouet, ni même au moindre moment de plaisir, elle avait voué sa vie à l'entrainement et ce, sans vraiment avoir le choix, alors forcément, elle ne connaissait que ça... Nourrissait un enfant exclusivement avec du réglisse, et il s'imaginera que c'est la seule nourriture valable sur terre, peu importe si il doit en mourir. Hécat’ ne put s’empêcher de se demander si cet objet pourrait la faire sourire autant que ses enfants, après tout, sa simple présence semblait les rendre réellement heureux, alors peut-être que… C’est se qui lui traversa l’esprit et ce, pendant presque une heure, échafaudant tout un plan pour « kidnapper » ce jouet enfantin sans que personne ne le remarque. C'était fou, mais malgré le fait qu'elle commette des atrocités au quatre coins des districts, il lui arrivait très souvent de mettre en place des plans idiots et puérile pour récupérer des objets sans réel valeur. Une poupée, un ballon voir même une sucette, peu importe, tant que l'objet lui tapait dans l’œil , c'était suffisant. D'ailleurs, peut-être pouvait-on considérer ça comme de l'amusement, même si Cora ne le voyait pas de cette façon. Mais peu importe, malgré ses efforts, son plan machiavélique fut sans utilité, étant donné que par inadvertance, le groupe d’enfant laissa tomber l’objet au sol en s’en allant, surement trop préoccupé par l'appel de leurs parents. Doucement , la belle se rapprocha du jouet, l’attrapant dans ses mains en le regardant fixement, comme si elle cherchait à en percer le secret... Objet non identifié, d'une trentaine de centimètre, pesant plusieurs centaines de gramme, fait de tissus multicolore, une libre représentation d'un enfant en bas âge de tout évidence. Était-il jolie? Était-il laid? Comment pouvait-on jouer avec ça? Fallait-il appuyer quelque part? Attendre quelque chose? Être plusieurs pour le manipuler? Toutes ses questions traversèrent l'esprit sinueux de notre demoiselle, qui était sincèrement et naïvement concentré sur ce colifichet du quotidien. Pour une personne normal, toutes ses questions seraient absurdes, mais comment cette jeune femme pouvait ne pas se les poser? Jamais elle n'avait eut l'occasion d'avoir ce genre de jouet, jamais elle n'avait put avoir quoi que ce soit à elle... Hécatonchires n'avait jamais été une enfant normal, alors devait-on nous attendre à ce qu'elle soit une adulte saine d'esprit? D'ailleurs, avait-elle vraiment grandit? Peut-on devenir adulte quand on a pas eut d'enfance? ... Elle ne s'était jamais posé cette question avant, mais depuis quelques mois, quelques courtes années, la jeune femme semblait souvent soucieuse à ce sujet, même si elle avait encore du mal à comprendre les choses, à comprendre ses ressentiments aussi bouleversant soient-ils.
Sans crier gare, une voix s’éleva à côté d’elle, une voix aigu qui l'a fit légèrement sursauter. « Hey! C’est à moi! » Réflexe oblige, la jeune femme serra la poupée plus fort dans sa main, la cachant presque, comme si elle craignait qu’on la lui prenne, un comportement normal… quand on a dix ans pas vingt-et-un. La petite fille semblait déterminé à récupérer sa poupée, alors que la plus grande (en taille en tout cas) semblait tout aussi déterminé à la garder…. Malheureusement, des deux, ce n’était pas notre Cora qui avait un père de deux mètres à ses côtés et même si le combat ne l’effrayait pas, elle doutait fortement que son père apprécie qu’elle ait tué un homme pour un bout de chiffon qu'elle n'aurait même pas pu garder si il l'avait apprit…. Elle posa donc la poupée au sol, sans un mot, mais étrangement, même derrière ce masque, une espèce de tristesse pouvait se lire sur son visage, une déception qu'elle-même avait dut mal à expliquer et cet enfant le ressentit surement, étant donné qu’elle attrapa la poupée avant de la rendre à la blondinette, l'air de rien… Un sourire innocent s’afficha alors sur ses lèvres… Une situation plutôt coquasse, même carrément étrange quand on connait les activités de la Stillson et pourtant, c’est ainsi qu’elle vit sa vie depuis quelques temps… Tantôt en train de se battre jusqu’au sang, d’autre fois jouant à la poupée ou lisant des revus « interdite au mineur » en se demandant si tous ce qu’elle y voit est réellement faisable et surtout ce que l’ont ressent quand on le fait… Des questionnements d’enfant, d’adolescent, à la fois amusant et pathétique , contre lesquelles Hécatonchires ne peut rien. Elle cherche à apprendre et finalement, affirme son caractère si particulier de jour en jour , sans s'en rendre vraiment compte... Un caractère très singuliers, et pas toujours bien accueillit, surtout quand elle se surprend à discuter avec d'autres personnes, quand maladroitement elle ne dit que ce qu'elle pense, sans tact , ou si , parfois, elle espionne des hommes sans même s'en rendre compte... Je crois qu'au final, notre petite guerrière découvre le monde, chaque jour davantage, elle ne le comprends pas toujours et fait souvent preuve d'une naïveté sans nom face à certaines choses, comme l'amour, ou les relations hommes-femmes, cependant, ça ne l'empêche pas de laisser la part belle à ce côté humains, enfantin, qu'elle avait si longtemps caché, enfouis au plus profonds d'elle-même....
reality is here.
Bon je suis Zelda Ducani-Hayne et apparemment j'ai l'autorisation de refaire ma Hécatonchires! Promis promis je m'occuperais des deux et aucune ne sera délaissé!!! Je le jure sur la tête de ... Sergei ' ' #bus# Bref, est-ce qu'il faut que je redise tous ce que j'ai déjà sur la fiche de Zelda? x)
FEATURING Pixie Lott © COPYRIGHT tumblr
Dernière édition par Hécatonchires C. Stillson le Jeu 5 Avr - 16:54, édité 2 fois |
|