|
fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
|
| AXEL ▲ keep it all hidden inside. | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Jeu 1 Jan - 21:53 | |
| axel thaddeus bleeker❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Axel de mon prénom, Thaddeus de mon deuxième, j'ai vu le jour dans les profondeurs des sous-terrains du District Treize. Ma mère travaillait déjà dans les cuisines du district, ayant obtenu ce poste dès sa majorité. Elle adore toujours aujourd'hui ce qu'elle fait, ce qui n'est pas donné à tout le monde d'apprécier son boulot. Mon père était un militaire de profession, chemin qu'il a emprunté de son père et de son grand-père. Les Bleeker ont une longue lignée de soldats, prêt à se battre pour leur famille et leur peuple. Une qualité qu'ils m'ont sans aucun doute transmis. D'aussi loin que je peux me souvenir, l'art du combat m'a toujours passionné, au point que j'ai décidé très jeune de poursuivre la tradition familiale et devenir un militaire à mon tour. Je ne connaissais peut-être pas les risques du métier à l'époque, mais je l'ai rapidement appris à l'adolescence lors du décès de mon père. Toutefois, la peine créée par cette perte ne me découragea pas dans mon choix de carrière et j'accomplis mon rêve de servir mon district. Avec l'âge, j'en appris davantage sur Panem, son fonctionnement et son dictateur. J'ai appris à détester le Capitole et vouloir me rebeller. Ce désir de créer justice dans notre pays m'a poussé à poursuivre mon entraînement, me permettant de développer des atouts essentiels pour mon métier. Plutôt habile, j'ai de bons réflexes et une bonne technique en combat corps-à-corps. Je peux également affirmer être un bon tireur, mais sur de courtes distances. Toutes ces années d'entraînement à forger autant mon caractère que mon physique. Naturellement grand et robuste, j'ai une carrure plutôt imposante alors que les muscles de mes épaules et de mes bras se retrouvent bien développés. Endurant sur les longues pistes, j'ai également développé mon endurance cardiovasculaire, ce qui est sans aucun doute essentiel lorsqu'on fait partie de la rébellion. En règle générale, je suis plutôt avenant et sais apprécier les moments précieux avec les gens que j'apprécient. En tant que soldat, j'exerce les ordres sans riposter avec une grande assiduité. Je baisserai les bras qu'une fois mon objectif atteint. Je persévère dans ce que j'entreprend, peu importe la tâche et sa difficulté. Je suis loyal envers les miens et serais prêt à me sacrifier pour les protéger. J'ai la tête sur les épaules, mais quand même un brin rêveur - il faut l'être pour espérer retrouver la justice en Panem. Mon plus grand défaut demeure tout de même ma colère - je me laisse facilement emporter lorsque je suis témoin d'injustices ou de violences gratuites. Je perds alors mon esprit rationnel et agis d'une manière impulsive et agressive. Ces derniers mois, j'ai de la difficulté à contenir mon irritabilité, considérant le refus de reprendre mon poste de militaire. Un collègue rebelle et moi-même avons été faits prisonniers par des Pacificateurs suite à une mission ratée dans le District Huit. Je m'en suis sorti avec plusieurs blessures et avec l'image de mon collègue abattu devant mes yeux. Depuis, on me considère comme fragile et instable. On me donna le titre d'entraîneur des nouvelles recrues, un emploi qui me déplaît et qui ne fait qu'accroître mon irritation. Je souhaite retrouver mon poste de militaire et retourner faire la mort de nos alliés rebelles. about games and relative.
➺ QUEL(S) PETIT(S) PLUS T'AIDE(NT) DANS LA VIE (OU LES JEUX) ? Tous ceux qui me connaissent diront que c'est ma force, mon agilité, le maniement des armes. Mon entraînement de soldat a certainement fait de moi un homme capable de se battre autant au corps-à-corps qu'avec une arme blanche. J'ai également appris à tirer avec la plupart des armes à ma disposition, ce qui fait de moi un tireur précis. Mais je ne considère pas qu'il s'agit de mes plus grands atouts. Je suis rusé, réfléchi. Je me vois davantage comme un fin stratège, capable d'anticiper les mouvements et les gestes de l'ennemi. Capable de planifier des missions dans les détails, sans rien laisser de côté. Je préfère me servir de ma cervelle pour surpasser l'ennemi plutôt que de mes gros bras et des armes. Mais ça, on ne le voit pas. On ne s'en sert pas. Parce que je suis fort. Parce que j'ai le "gabarit" d'un bon soldat.
➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS ÉVÉNEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ? Depuis ma tendre enfance, j'ai toujours rêvé de servir mon district et me battre pour la liberté de Panem. Avec les années, j'ai pu être entraîné au combat et mettre la main à la pâte. J'ai participé à de nombreuses missions qui visaient tous à combattre la dictature de Panem. Alors, oui, j'ai pris part aux derniers événements contre le Capitole, au nom du Treize et de tous les rebelles du pays. J'aurais voulu en faire davantage dans les derniers mois, mais les circonstances ont fait que j'ai été forcé de me retirer de mon poste de soldat. J'aspire toujours à retrouver mon titre et accomplir davantage de missions, aider le plus possible la révolution qui s'enclenche. Mais ce n'est plus de mon ressort, j'en suis conscient.
➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ? Le Treize est ma maison, là où j'ai vu le jour, où j'ai grandi. Je ne peux considérer nul part ailleurs comme tel, malgré que nous vivons sous terre et que nos sorties sont restreintes. Je n'ai pas grandi dans la nature et l'air libre, alors ce confinement de m'affecte guère. Par contre, je ne pourrais dire être satisfait de ma vie. Depuis quelques mois, on m'oblige à effectuer un job qui ne me représente pas. Qui me rend inutile. On pense que je ne suis plus apte à faire ce que j'ai été formé pour, on pense que je suis trop vulnérable. "C'est trop tôt", me dise les spécialistes. Trop tôt. Trop tôt pour qui? Je suis frustré, je me sens trahi par les miens, condamné à avoir le titre d'une pauvre victime trop fragile pour retourner sur le terrain.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ? Une rage incommensurable naît à la simple pensée de ces barbares psychopathes. Je suis conscient qu'ils ne sont pas tous aussi cruels que ceux que j'ai pu côtoyer dans le passé, mais ne répondent-ils pas tous aux mêmes ordres? Ne sont-ils pas tous des pions dans le plan maître de Snow? Ils ont perdu il y a longtemps leur humanité en acceptant ce travail, en acceptant de rabaisser la population de Panem à de l'esclavage. Je les vois comme l'ennemi à abattre, ceux au travers desquels nous devons passer/éliminer avant d'atteindre le grand penseur du Capitole. Ils sont vils et sans merci. Tous ceux qui défendent leurs droits à la vie ne comprennent pas ce qu'ils sont capables de faire pour imposer leur autorité. J'ai vu ce qu'ils peuvent faire. Et la mort est le seul moyen de les repentir de leurs crimes.
➺ SERAIS-TU CAPABLE DE TUER POUR PARVENIR A TES FINS ? Dans un temps de guerre tel que le nôtre, il faut s'attendre à des pertes et des sacrifices. Certes, il est tragique de réaliser qu'il faut tuer pour arriver à nos fins, mais la guerre l'oblige. J'ai grandi avec l'idée que nous devions abattre l'ennemi, il est donc naturel pour moi de causer la mort. Mon premier meurtre n'a pas été facile, psychologiquement je veux dire, car j'étais entraîné pour le faire. Mais, avec le temps, on apprend à s'en détacher. Ça devient presque machinal d'enlever la vie à un être humain. Par contre, je suis incapable d'infligé la moindre blessure à un être innocent... Nuance. Je serai tout de fois toujours prêt à tuer un bourreau si c'est pour faire avancer notre cause ou pour sauver une vie innocente.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A zéro CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE entraîneur tactique des nouveaux soldats rebelles ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'en suis insatisfait. JE SUIS DANS LE treiziÈME DISTRICT. AYANT trente-deux ans JE ne peux plus PARTICIPE(R) AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. hôpital, D13 - 2298Les chiffres sur mon avant-bras indique bien qu'il temps de se rendre à la salle de restauration. Comme tous les autres élèves de cette classe d'ailleurs. Tous les jeunes se lèvent de leur siège, quittant machinalement la salle pour s'engager dans les couloirs sous-terrains de notre refuge. Certains se chamaillent, d'autres discutent activement, la même routine jour après jour. On s'y fait rapidement, surtout lorsqu'on grandit dans cette manière de faire. Notre horaire qui est prévue à l'avance, planifiée minute par minute afin de s'assurer de l'efficacité de notre société. Ça me convient bien, je n'ai pas à me casser la tête avec quoi faire à quelle heure de la journée. On s'y colle, voilà tout. Je m'imite mes camarades et me dirige vers la sortie, histoire d'aller rassasier mon estomac qui crie famine depuis maintenant une heure. Un ado en pleine croissance, ça demande d'être bien nourri. Une fois dans le long couloir gris, bordé de portes similaires qui laissent passer le peu d'enfants que contient notre district, je suis le troupeau comme un bon citoyen. Les familles sont moins nombreuses que ce qu'elles étaient à l'époque. Enfin, c'est ce que ma mère m'a dit. Les gens ne ressentaient moins le besoin de procréer, conscients du malheur dans lequel ils mettraient leur enfant au monde. Malgré tout, il y avait suffisamment d'enfants pour combler tous les services nécessaires pour notre survie. Chacun fait sa part. Ainsi est construit notre district. Au bout du couloir, par-dessus toutes ces têtes d'adolescents et d'enfants - ouais, je suis déjà plutôt grand pour mon âge -, j'aperçois une femme au visage familier. Je fronce automatiquement les sourcils, intrigué qu'elle se retrouve dans le coin à cette heure de la journée. Enfin, même à toutes heures, elle ne devrait pas être ici. Plus je m'approche, plus je sens que quelque chose cloche. Je distingue de mieux en mieux ses traits tirés, son air inquiet qui rend ses rides plus profondes. Elle parcourt la foule d'un regard inquiet et hâtif. « Axel! » que j'entends difficilement au travers du brouhaha du couloir. Ma mère me cherche. Et ça n'annonce rien de bien. Je me faufile entre les gens, en bousculant certains qui s’injurient de mon impolitesse. Je fais abstraction de leurs commentaires et me fraye un chemin jusqu'à je rejoigne ma mère. À sa hauteur, je remarque les cernes bleutées sous ses yeux et le voile humide qui couvre ses pâles iris. Elle me saisit les épaules et m'observe d'un regard lourd de sens. Mais qu'est-ce qui se passe? « Axel... Viens avec moi. » Elle m'entraîne plus profondément dans les couloirs du district, descendant quelques étages. Je me laisse entraîner, sans poser la moindre question. Élevé comme un vrai soldat par l'autorité de mes deux parents, j'ai appris à ne pas questionner avant que l'on me donne le signe de le faire. Elle veut me montrer quelque chose, alors je la suivais. Malgré tout, mon coeur s'emballe au fur et à mesure qu'en nous avancions, intrigué par toute cette mascarade. Nous n'étions pas supposés déroger de notre horaire - sauf en cas d'extrêmes urgences. Quelle est l'urgence? La réponse ne se fait tarder. Je me rends rapidement compte que ma mère me mène à l'hôpital du district. Les médecins, les infirmiers et les gardes-malade fourmillent de partout, débordés par des patients quelconques. Pour une raison qui m'échappe, mon coeur se serre davantage, anticipant le pire. Mais tous les scénarios que je peux m'imaginer ne peuvent être pires que la réalité elle-même. Ma mère cesse finalement sa course devant une porte ouverte, m'obligeant à faire de même. À l'intérieur de la pièce, j'aperçois des professionnels de la santé, mais les patients sont camouflés par des rideaux blancs. « Tu sais qu'ils ont envoyé une escouade dans les ruines du district pour rassembler des matériaux, » dicte ma mère, attirant mon attention. Elle parle lentement, comme si elle s'assurait que je comprenne chacun de ses mots. Oui, je sais très bien qu'une équipe a été envoyée il y a quelques jours pour parcourir les ruines du Treize. Mon père en fait partie. « Il y a eu un accident. » Ma tête n'a pas été en mesure d'assimiler l'information. Pas avant que je ne le vois sur son lit, inconscient. Apparemment, dans leur cueillette, une vieille bâtisse s'est effondrée. Et certains soldats ont été ensevelis, d'autres gravement blessés. Une erreur d'inattention, une erreur grotesque. Ma mère souhaitait que je voie mon père une dernière fois, car son état était critique. Le visage égratigné par les débris, les fils accrochés un peu partout sur sa tête et son torse. Ce n'était pas mon père. L'homme fort et invincible qui m'a servi de modèle dès ma plus tendre enfance. J'ai toujours admiré son courage, j'étais fier de ce qu'il était, de ce qu'il accomplissait pour notre peuple. J'ai toujours voulu suivre ses traces et devenir à mon tour un soldat qui défendrait les plus faibles et ferait valoir notre cause. Et voilà que je le voyais complètement vulnérable, si près de la mort. Je suis resté à ses côtés jusqu'à la toute fin, refusant de manger, de dormir, de suivre cet horaire qui faisait tant de sens pour moi. Une perte qui ne fit qu'accroître mon envie de faire ma part pour les autres. En sa mémoire. salle d'entraînement, D13 - 2302Mes dents massacrent ce bout de crayon, sans aucune pitié. J'ai la tête qui bouillonne d'idées, incapable de faire de l'ordre dans toutes ces pensées. Les sourcils fortement froncés, je me sens complètement détaché de l'extérieur, malgré les grognements d'efforts qui emplissent la pièce, les bruits sourds des poings qui fracassent des sacs de sables, des poignards qui rebondissent sur le sol. Je suis coupé de toutes ces détonations, le dos appuyé contre le mur du grand gymnase. Mes mains sont toujours bandées pour protéger les articulations. J'ai tout simplement eu une illumination et j'ai eu besoin de m'asseoir pour y cogiter et pour y mettre sur papier. Calepin sur les genoux, je fixe les quelques idées que j'ai déjà inscrit sur les pages blanches, tentant toujours de faire du sens de ces idées. Une tactique contre le Capitole. Contre les Pacificateurs qui gardent les districts bien sévèrement. Une façon de s'immiscer entre les clôtures et faire la différence pour ces habitants esclaves de la dictature. Une ébauche d'un plan, d'un stratège à partager avec les soldats du Treize. Ça pourrait marcher... Je relâche le crayon et l'emprisonne entre mes doigts pour ensuite gribouiller des schémas sous les quelques écritures déjà présentes. « Bleeker! » qu'on crie au travers de la vaste pièce. Ma bulle éclate, m'obligeant à quitter mon calepin des yeux et à soulever le regard. Je cligne plusieurs fois des paupières, histoire de retrouver le focus. À l'autre bout du gym, j'aperçois mon entraîneur marcher d'un pas déterminé en ma direction. Je décèle facilement le mécontentement sur son visage, n'annonçant rien de bien pour moi. Je ferme aussitôt mon cahier et saute sur mes pieds, l'air pas du tout coupable. « Qu'est-ce que vous faites, Bleeker? » Une question que je ne devais bien entendu pas répondre. Je devais rester aussi droit qu'un piquet et attendre mon sermon. Car j'ai dérogé aux règles, je n'ai pas respecté mon horaire d'entraînement. Je ne pourrais pas affirmer que je n'aime pas ce que je fais. J'ai toujours aspiré à faire partie de l'escouade militaire de mon district et défendre mon peuple. Toutefois, parfois, c'est plus fort que moi. J'ai le sentiment que ma place n'est pas seulement de tenir un fusil et arpenter le terrain extérieur, de suivre des ordres. Je veux faire ma part, je veux être dans l'action, il ne faut pas s'y méprendre. Mais ce n'est pas assez. Je veux utiliser tous mes atouts. Je ne veux pas seulement mettre mes muscles à contribution, mais aussi ma tête. Les idées fourmillent dans mon esprit jour et nuit, pourquoi ne pas les exploiter? Pourquoi ne pas le mettre à profit? Mais je ne suis pas mandaté à penser. Je suis mandaté à développer mes réflexes, mes muscles, ma technique de combat. Si j'ai le malheur de me mêler aux prises de décision, c'est la réprimande assurée. J'ai déjà fait la demande, partageant mes multiples idées en tant que fin stratège, mais on me rejette à chaque fois. Mon physique me trahit. Ma grandeur et ma carrure laissent prévoir un soldat fort et habile. Pourquoi gaspiller ce talent alors que d'autres cerveaux peuvent très bien s'occuper de penser à notre place? Ce n'est pas à quoi je suis destinée, disent les dirigeants. Ma place est sur le terrain à faire fonctionner mes muscles et non ma cervelle. Le regard porté au loin, j'aperçois tout de même l'air autoritaire de mon entraîneur qui se tient devant moi. Je sers la mâchoire, frustré de me faire constamment revenir à l'ordre sur un sujet qui me tient tant à coeur. J'ai longtemps abandonné de les contredire, mais je ne peux m'empêcher de parfois aller à l'encontre de leur bon vouloir. Il reste là, sans rien dire - parce qu'il n'a rien à dire, il a déjà tout dit. Son simple silence est suffisamment lourd pour me rendre coupable. Je ne devrais pas me rebeller ainsi contre eux, je devrais plutôt le faire contre le Capitole. Après un moment, il se dégage, me laissant le champ libre. Et je comprends. Le menton toujours haut, j'avance et m'approche de mon sac de sable qui n'attend qu'à être fracassé par mes poings serrés. lieu inconnu, D08 - 2313Le visage tendu, je tente de soulager la pression imposée sur mes poignets et mon épaule droite qui me semble disloquée. Seule la pointe de mes pieds me permet de diminuer cette tension. Mes poignets sont maintenus prisonniers dans un étau de chaînes, bras surélevés vers le plafond. Suspendu, j'ai peine à toucher le sol bétonné de mes orteils dénudés, malgré ma grandeur caractéristique. Je sens mes bras devenir engourdis par cette position non-naturelle alors que mon coeur peine à pomper le sang jusqu'à l'extrémité de mes doigts. Mais, aussi surprenant que ça puisse paraître, mon inconfort physique n'est rien comparativement à la torture psychologique que l'on m'impose. Combien temps a passé? Depuis combien d'heures s'acharnent-ils sur lui? J'entends ses hurlements de douleur, ses blasphèmes d'une voix enrouée et de plus en plus faible. J'ignore si ses protestations me proviennent au travers des murs ou par le biais des bouches d'aérations, mais c'est comme si je pouvais sentir sa détresse et sa douleur. C'est à en devenir fou. Je ne sais pas ce qu'il lui inflige, mais je peux très bien faire fonctionner mon imagination et le déduire. Probablement les mêmes tortures qu'ils m'infligent lorsque mon tour est arrivé. Au moins, lorsqu'ils sortent, ça me laisse l'opportunité d'observer la pièce dans laquelle je suis maintenu prisonnier et de tenter de trouver une solution pour nous sortir de là. Ce n'est pas gagné. Cloîtré dans une pièce sombre, rien ne tapisse les murs, si ce n'est ce béton et cette porte d'acier. Aucune fenêtre. Seule l'ampoule suspendue au plafond est source de lumière. Un abri anti-nucléaire? Dans le Huit? À moins qu'ils nous aient déplacés, transporté au Capitole ou dans un autre district lorsque nous étions inconscients. Je sais que derrière moi se tient une table rectangulaire, sur laquelle repose divers outils. Ils ne sont pas des mécaniciens, mais lorsqu'il s'agit de torturer des gens pour obtenir des réponses, les Pacificateurs se montrent plutôt créatifs. J'ai pris le temps d'observer les chaînes qui entourent mes poignets, constatant qu'elles sont fermement ancrées au plafond. Pour m'y libérer, il faudrait que la pression contre celles-ci soit relâchée, ce qui me semble impossible. Mes orteils frôlent à peine le sol et il n'y a aucun moyen de me surélever davantage. Même en me balançant sur moi-même, il me serait impossible d'atteindre la table derrière moi. Je jure entre mes dents, incapable de trouver une solution potable pour nous sortir de ce mauvais pas. Les cris ont cessé depuis un moment, mais, trop concentré sur ma tâche, je ne m'en suis rendu compte que trop tard. La lourde porte grince sur ses gonds alors qu'elle s'ouvre et laisse passer un homme vêtu de son uniforme de gardien de Panem. L'oeil mauvais, je le défis du regard. Certes, j'appréhende la suite des choses, car je sais que ça ne peut aller en s'améliorant. Il m'observe de son air complaisant, le menton bien haut. Son attitude en dit long sur ses pensées: il se croit supérieur à moi parce qu'il sert le Capitole. Parce qu'il a l'insigne du Pacificateur. Il me voit comme une pauvre vermine à éliminer, un rat qui crée des trous dans ses murs. Entre ses mains, j'aperçois un mouchoir autrefois blanc, maintenant teinté d'un rouge criard. Il s'essuie les mains alors que sa peau en est couverte. Je sens ma respiration s'accélérer alors que la colère monte rapidement en moi. Je sais ce que ça signifie. Et même si le Pacificateur observe ma réaction avec délice, je ne peux m'empêcher d'exploser ma colère. « J'vous jure que vous allez le payer! J'vais me charger personnellement de peinturer ces murs de votre propre sang, » que je menace avant de cracher à ses pieds. La mâchoire tendue, je respire comme un taureau et le fusille de mes prunelles colériques. Il ne dit rien, se contentant de me sourire et de s'essuyer les mains. Il obtient sans aucun doute ce qu'il désire: m'atteindre de la pire manière. On peut me torturer autant qu'ils le veulent, je ne dirai jamais rien. Mais si on blesse mes frères d'arme ou ma famille... Le Pacificateur brise enfin sa contemplation et me contourne afin de rejoindre la table installée à mes arrières. Je sais pertinemment ce qui va s'en suivre et je suis prêt à l'endurer une nouvelle fois. Je profite de son absence à mes avants pour grimacer alors que je sens les chaînes taillées des plaies de plus en plus profondes sur ma peau. « Vous savez, tout pourrait rapidement se terminer. Je ne vous demande qu'une chose: répondre à mes questions, » me dicte-t-il de sa voix de serpent. Il commence toujours sa petite séance par ces quelques phrases. L'impression de déjà-vu m'arrache un bref rictus qui racle ma gorge asséchée. Ouais, c'est ça. Comme si j'allais lui dire la moindre information concernant mon district et nos plans de rébellion. Et même si je craquais sous la pression, tout ça ne serait pas terminé. Ils ne nous laisseront jamais partir en un seul morceau. J'entends des bruits métalliques à mes arrières alors que mon bourreau choisit son outil de prédilection. Le couteau ou les pinces? Ou peut-être optera-t-il pour quelque chose de plus créatif cette fois? « C'est pourtant simple. Mais vous, les rebelles, vous vous acharnez à garder vos petits secrets. Tout ça pourrait se régler tellement vite! Sans aucune autre perte supplémentaire. N'est-ce pas ce que vous désirez? Réduire les pertes? » Il apparaît de nouveau dans mon champ de vision, par ma droite. Je le vois trimbaler un bout de bois d'un diamètre plutôt impressionnant alors qu'il me contourne de sa démarche lente et assurée. « Ne désirez-vous pas épargner votre ami? » Mes muscles se tendent aussitôt, comprenant que trop bien où il vent en venir. Non, je ne veux pas sacrifier les miens pour des informations. Mais je ne peux pas trahir mon peuple, non plus. Je refuse d'être la taupe et mettre le reste de mon district en danger. Mais la simple idée qu'ils mettent les mains sur un collègue rebelle... J'en bouille de rage. Il constate certainement ma colère dans mes iris, puisqu'il sourit de nouveau de son air satisfait. « Vous savez, il a perdu beaucoup de sang... » Il s'approche de moi et plante son regard malsain dans mes prunelles alarmées. « Il a perdu conscience et je crains qu'il ne se rév-- » « SALAUDS! J'VAIS VOUS CREV-- » Une douleur sourde me fracasse les côtes, me coupant instantanément le souffle. Alors que je m'agitais contre mes chaînes et que je lui crachais mon poison, le Pacificateur avait élevé son arme et m'avait frappé directement dans les côtes. Il ne sourit plus et n'a apparemment plus envie de jouer. « Dites-moi ce que vous êtes venus faire dans le district huit! » Un autre coup au même endroit, m'empêchant de reprendre mon souffle. « Dites-moi combien vous étiez! D'où vous venez! » salle d'entraînement, D13 - 2314« La position de l'arme contre votre épaule est importante pour éviter les blessures suite au recul de celle-ci. Assurez-vous que le derrière est bien accotée au devant de votre épaule, tout juste à côté de votre clavicule. Ce type de fusil est créé spécialement pour mouler la forme de l'épaule, donc il sera facile de le positionner rapidement. Que vous soyez droitier ou gaucher, une main maintient l'arme en place tandis que l'autre se place sur la gâchette. » Au fur et à mesure que j'offre ces informations, je démontre mes paroles avec le fusil que j'ai pris comme modèle. Bien entendu, aucune arme n'est chargée pour le moment, diminuant considérablement les risques d'accident. Ces jeunes apprentis ne sont pas suffisamment expérimentés pour manoeuvrer des armes qui ont le potentiel de blesser ou, encore pire, tuer un innocent qui se trouverait au mauvais endroit au mauvais moment. Leurs oreilles sont grandes ouvertes et leurs yeux captent les images, les enregistrant précieusement dans leur mémoire. Ils ne font que commencer leur entraînement, mais je peux déjà voir du potentiel chez certains d'autres eux. D'autres semblent plus timides, même plus mal à l'aise à l'approche d'une arme. Mais ils devront s'y faire. « Dans cette position, il est ensuite facile de coller votre joue et regarder au travers du viseur. N'essayez pas de viser avec la tête droite, vous manquerez votre cible à tout coup. » Je retire l'arme de mon épaule et le dépose parmi les autres à mes côtés. « Prenez chacun une arme, placez-la comme je viens de vous le montrez et tentez de viser votre cible. » Je tourne le dos à l'assemblée et ce n'est qu'alors que les jeunes se mettent en mouvement, exécutant ma demande. Ils s'éparpillent un peu partout dans la salle de tir, trouvant chacun une cible vide devant laquelle se pratiquer. Si j'avais cru qu'un jour je reviendrais dans ces locaux... Une fois mon entraînement terminé, j'avais été bien heureux de ne plus être obligé d'y revenir. Certes, nous n'avions pas le choix, en tant que soldat, il fallait garder notre forme et continuer notre entraînement. Mais nous n'avions pas toujours quelqu'un sur le dos à dire quoi faire et comment le faire. Nous étions suffisamment expérimentés pour déduire ce qui était bien ou pas. Jamais j'aurais cru être celui qui donne les ordres. Je lève la tête et au travers de la vitre de la porte qui mène au couloir, j'aperçois un soldat haut placé du Treize qui observe la scène. Son regard traverse le mien et, sans aucune cérémonie, il s'en va. Ils me surveillent toujours, comme un pauvre agneau blessé qui a besoin d'un chaperon. Certes, je peux comprendre une certaine inquiétude, surtout dans les premiers temps. Lorsqu'ils m'ont retrouvé, j'étais dans un état lamentable, incapable de me tenir sur mes jambes. Je n'étais qu'une enveloppe humaine dépourvue de toute énergie. Je ne ressentais plus rien: pas même la douleur ou la fatigue. J'étais un simple zombie qui désirait se laisser succomber à ses blessures beaucoup trop profondes. Oh et elles n'étaient pas simplement physiques. Une journée avant que les rebelles ne viennent nous secourir, les Pacificateurs se sont amusés à me torturer jusqu'au point de non-retour. Pour la première fois depuis des jours, j'ai pu observer les dommages qu'ils ont infligés à Davon, le rebelle avec qui j'ai été kidnappé. Son visage était méconnaissable, sa peau recouverte d'ecchymoses et d'entailles infectées. Je voyais rouge, blasphémais nos bourreaux, comme si mes paroles allaient régler quoi que ce soit. Au contraire, ça les nourrissait. Ils l'ont abattu devant mes yeux. À mon retour, on m'a longuement questionné, à savoir ce qui avait été dit et ce qui est arrivé à Davon. J'ai été muet pendant de longues semaines, refusant de divulguer quoi que ce soit. La blessure était encore trop fraîche pour que je m'ouvre à des soldats insensibles qui ne pensaient qu'à leur tactique et non à la perte d'un des siens. La convalescence fut interminable, considérant mes nombreuses blessures. Le plus long fut sans aucun doute cette fracture à l'humérus, m'obligeant à me trimbaler avec un plâtre et une attelle pendant presque trois mois. Et mon bras n'a jamais vraiment récupéré complètement. Lorsque mon os s'est fracturé, il a sûrement touché des nerfs, les endommageant. Depuis, j'ai perdu en partie le sens du touché de mon bras gauche. Malgré tout, je suis tout de même fonctionnel. Trois mois après cette mésaventure, j'étais déjà prêt à retourner sur le terrain et accomplir mon devoir. Mais on refuse de me renvoyer en mission. Trop instable, me disent-ils. Et je sais qu'ils ne font pas référence à ma forme physique. Alors ils m'ont nommé entraîneur. Comme si ça pouvait remplacer ce que j'étais avant... Je ne vis que pour défendre les habitants de Panem et montrer à des louveteaux à tenir une arme n'est pas une contribution suffisante à mes yeux! Je souhaite retourner à mon poste de soldat et je me battrai jusqu'à ce que j'obtienne ce que je demande.
reality is here.
Bonjour, bonjour J'avoue que le forum m'est plutôt familier, ayant passé de très bons moments ici (il y a fort longtemps). Certains "anciens" me reconnaîtront (enfin, je l'espère xD). Je portais le chapeau du grand Julian, le chef rebelle provenant du sept! J'ai bien vu que le rôle a été repris et je suis ravie de voir qu'il vit toujours Je ne souhaitais pas reprendre le rôle, j'ai passé à autre chose depuis (même si ce personnage restera dans mon coeur pour toujours! j'ai adoré le jouer!). Voilà, je ne pensais vraiment pas revenir par ici, mais faut croire que la tentation est trop grande xD Je tente alors ma chance avec une nouvelle tête, un nouveau perso, complètement inventé En espérant qu'il plaise Suffit le blabla, je devrais me présenter avant tout Je me nomme Maude, surnommée blackrose sur la toile. J'ai vingt-quatre ans et proviens du Québec! Je suis présentement en maîtrise (études supérieures), alors je risque d'avoir des périodes plus chargées dans les prochains mois Je suis une fan des livres HG ainsi que des films! Ayant déjà joué sur le fo', je sais que je vais me plaire /lafillequifaituneprésentationpersopluslonguequesafiche/ FEATURING chris hemsworth © COPYRIGHT hembear.tumblr
Dernière édition par Axel T. Bleeker le Dim 4 Jan - 22:52, édité 8 fois |
| | |
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Jeu 1 Jan - 23:03 | |
| OMO REBIENVENUE PARMI NOUS ALORS Bon courage pour ta fiche, have fun ! |
| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Jeu 1 Jan - 23:04 | |
| Oh, une revenante (re) bienvenue Et bon courage pour ta fiche Je doute pas que le perso sera à nouveau cool, et puis déjà Chris |
| | | Jaime F. Walker △ correspondances : 856 △ points : 0 △ multicomptes : alaska t. rhodes : pearl i. whything △ à Panem depuis le : 05/03/2014 △ humeur : contrôlé par la folie de la mort △ âge du personnage : 39 ans
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Jeu 1 Jan - 23:06 | |
| Hey rebienvenue o/ Même si je n'ai pas eu l'honneur de te connaître |
| | |
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Ven 2 Jan - 12:37 | |
| Eh bien reee vu la gueule du perso, je dirais qu'il va être badass ? |
| | | Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Ven 2 Jan - 17:54 | |
| REBIENVENUE Ce retour me fait plaisir Bonne chance pour ta fiche, je file te réserver Chris pour la semaine |
| | | Julian K.Kennedy-Fawkes △ correspondances : 268 △ points : 0 △ multicomptes : Reed, Charlie & Gold △ à Panem depuis le : 30/03/2014 △ humeur : Anéanti. △ âge du personnage : 31 ans. △ occupation : Chef rebelle du District 7, incarnation de la Rébellion dans tout Panem.
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Ven 2 Jan - 19:13 | |
| Rebienvenue parmi nous Je suis ton (digne, je l'espère) successeur (j'avoue que je sais pas comment on le dit au féminin ) J'ai lu beaucoup, si ce n'est tous, de tes anciens rp avec Julian pour m'imprégner du personnage, et j'espère ne pas avoir failli et avoir respecté son caractère. De toute évidence, il nous faudra absolument un lien |
| | |
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Ven 2 Jan - 19:27 | |
| Rebienvenue chez toi alors ! Haha, comme quoi, on finit toujours par revenir sur MJ ! Bonne chance avec ce nouveau personnage ! |
| | |
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Ven 2 Jan - 21:02 | |
| MERCI À TOUS POUR L'ACCUEIL!! Ça fait plaisir d'être de retour! Juju, je suis pas inquiète, je suis certaine que tu joues le rôle à merveille De toute façon, ce n'est plus mon perso maintenant, c'est le tien Merci pour la réservation, Alex |
| | | Silver I. Flickerman △ correspondances : 929 △ points : 0 △ multicomptes : ◭ kathleen & asha △ à Panem depuis le : 27/02/2012 △ humeur : ◭ grumpy △ âge du personnage : ◭ trente trois ans △ occupation : ◭ haute-juge
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Lun 5 Jan - 21:55 | |
| j'ai beaucoup aimé ta fiche ! en voilà un qui devrait bien s'entendre avec grumpy-kath Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
have fun |
| | |
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Lun 5 Jan - 22:41 | |
| Grumpy-Kath Merci pour la validation, sexy capitolienne! J'ai hâte de me remettre au rp |
| | | L. Ridley Coradane △ correspondances : 1084 △ points : 0 △ multicomptes : ava, dely, dahlia △ à Panem depuis le : 30/12/2012 △ humeur : massacrante, comme toujours △ âge du personnage : vingt-neuf ans △ occupation : préparatrice en pharmacie et occupée par quelques affaires rebelles quand on veut bien d'elle (c'est-à-dire pas souvent)
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. Lun 2 Fév - 1:56 | |
| reBienvenue (Non je ne suis pas en retard ) |
| | |
| Sujet: Re: AXEL ▲ keep it all hidden inside. | |
| |
| | | | AXEL ▲ keep it all hidden inside. | |
|
Sujets similaires | |
|
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|