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 Petites pièces argentées durement récoltées. (pearl)

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Petites pièces argentées durement récoltées. (pearl) Vide
MessageSujet: Petites pièces argentées durement récoltées. (pearl)   Petites pièces argentées durement récoltées. (pearl) Icon_minitimeMer 19 Mar - 18:21


petites pièces argentées durement récoltées.  

Une odeur fumée et boisée s’échappe de son thé, embaumant toute la pièce. Le mince filet de vapeur sortant de sa théière blanche quelque peu jaunie par le temps vient rependre sa chaleur dans l'air glacé de cet hiver. Bien que n’aimant pas particulièrement le thé, je prends la tasse entre mes mains, pour la forme et le respect envers mon hôte. Sortant avec peine de la cuisine, elle dépose sur la petite table, une assiette de biscuits sablés au beurre qui me font saliver rien qu’à la vue. S’essuyant les mains sur son tablier, elle m’offre un de ces regards bienveillant qu’ont les parents envers leurs enfants, avant de s’assoir lentement en face de moi, disposant près du pied de la table sa jambe immobile. Ses mains ridées et abimées par le temps, poussent alors vers moi quelques morceaux de sucre que je plonge volontiers dans le breuvage. « Qu’as-tu ramené ?» dit-elle de sa voix chevrotante et  quelque peu rauque, m’offrant en même temps un sourire rieur. Reposant le thé sur la petite table en bois, j’approche près de moi mon carquois et dispose comme des trophées sur la table, mes prises de chasse restantes de la matinée. Les trois écureuils à la fourrure rousse la font sourire, mais c’est le jeune faisan au plumage brun qui attire presque immédiatement son attention. D’une main tremblotante, elle s’empare alors de la volaille par les pattes, et la soupèse du regard. De l’autre main, elle lisse son plumage comme on le ferait pour solliciter une brave bête et passe l’index sur son cou, autour de la blessure ayant causé sa mort. De son regard jovial, elle me fait comprendre que ça lui convient. Elle repose alors la bête et se lève, marchant en boitillant vers sa cuisine.

Seul, j’observe le petit salon que je ne connais que trop bien. Les murs en bois de pins rappellent ceux de la cabane, les moisissures en moins ; les fauteuils, en tissu fleuri bleu et jaune, sentent la poussière et l’humidité, ainsi que cette odeur particulière qu’ont les personnes âgées ; au sol, un vieux tapis en canevas représente des scènes habituelles du sept : les scieries, la forêt, les animaux que l’on peut y trouver, les ateliers, la moisson. Dans le coin droit de la pièce, la face noire et blanche d’un blaireau empaillé a été à moitié mangée par les mites, lui donnant un aspect difforme et monstrueux. Aux murs, des photos délavées par le temps présentent les membres de la famille de Madame Maillard : un fils partit aux jeux vers la 32eme édition, un époux l’ayant laissé depuis longtemps déjà et une fille décédée lors d’un rude hiver. A l’époque ou ma mère fréquentait cette bonne femme, elle n’a cessé de me rabattre les malheurs qu’elle avait endurés –bien que je n’ai jamais su ce qui était arrivé à sa jambe-. Cette pauvre femme n’a plus personne. Quand elle revient, elle m’offre à nouveau son sourire affectueux et me dépose dans les mains, quelques pièces étincelantes : « Je sais que ton père râlerait, mais tu fais tellement… » Acquiesçant en hochant la tête, je me prête au jeu, et la remercie tandis qu’elle se rassoit. J’en profite alors pour l’observer pendant qu’elle dépose mon gibier dans un grand panier plein de sel qu’elle utilise pour garder ses aliments sans qu’ils ne se gâtent, avant de les faire cuire –je me demande toujours où et comment elle se procure ce sel-. Ses traits sont durs, comme creusés, semblables à des sillons dans la terre. Dans le temps, elle devait être vraiment belle, avec ses yeux gris et ses pommettes saillantes ; le genre de femme qu’était me mère : belle, svelte, ses cheveux châtains toujours attachés en chignon, les yeux clairs… Laurel en est la copie parfaite alors que j’ai tout tiré de mon père : la mâchoire développée, les cheveux bruns et le regard dur : « le physique des Tanner » comme ils disent. Revenant alors aux photos des membres de la famille Maillard, j’observe le portrait de son fils, qui avait vraisemblablement mon âge quand on l’a envoyé dans l’arène.

Suivant mon regard, elle sourit et vient s’assoir à mes côtés. Elle passe alors une main bienveillante dans mes cheveux et dit en désignant la photo de son fils : « Comme tu es beau sur cette photo Hoël ! Pour une fois que tu t’es laissé faire ! Oh d’ailleurs ça me fait penser, tu pourras passer voir ton père à l’épicerie et lui dire d’aller chercher Caddie à la sortie de l’école ? Je veux l’emmener chercher des fraises des bois avec moi après, j’en ai vu des belles l’autre jour ! » Souriant à contre cœur, je me lève en lui disant : « promis, promis, je lui dirais. » Madame Maillard se lève alors à son tour et ramasse son panier qu’elle cale contre sa hanche pour aller le porter dans la cuisine. Récupérant mes affaires, je me dirige alors vers la porte d’entrée, jetant un coup d’œil à la neige tombant dehors. Si elle pense trouver des fraises avec sa fille en cette saison, je n’imagine même pas en quelle année doit-elle penser que l’on est. C’est pire que d’habitude. Je m’attarde alors quelques secondes sur le portrait de ce pauvre garçon, -avec qui je n’ai pas grand-chose à voir, sauf peut-être la tignasse- et lui adresse silencieusement un : « désolé, mec. », inaudible. Madame Maillard sort alors de la cuisine avec une expression entre la joie et la surprise sur le visage, en disant : «Oh Hoël ? Je ne t’ai pas entendu rentrer, viens, assied toi mon ange ! » Désabusé par la situation, je dis alors en soupirant : « Non non maman, je passais juste prendre quelque chose… je repars là. » Elle me sourit alors en disant : « d’accord, fait attention à toi quand même ! ». Tout en ouvrant la porte, je lui réponds par un sourire  forcé, lui disant que tout ira bien et lui jette un dernier regard avant de sortir. Mon cœur se serre alors : elle  me fait penser à ma mère, beaucoup trop d’ailleurs. Elle est la femme qu’elle aurait certainement été, le malheur et l’oublie en moins je l’espère.

Une fois dehors je pousse un soupir de soulagement et sort de ma poche les petites pièces argentées durement récoltée. Je déteste avoir à me  servir de cette pauvre femme, mais comme on dit : la fin –tout comme la faim d’ailleurs- justifie les moyens. Après ce marchandage peu conventionnel mais qui n’affecte en aucun cas ma conscience et ne me fait absolument pas culpabiliser, je me dirige vers l’endroit que j’affectionne le plus dans le district : le troquet du sept ; et peu importe ce que les gens en pensent, je dépense l’argent de cette pauvre femme comme bon me semble –d’ailleurs, que peuvent-ils penser, ils ne savent pas-. Entrant sans grande discrétion, les regards se retournent vers moi à mon arrivée, non sans indifférence à mon égard. J’ai pleinement conscience des curiosités que j’éveille sur mon passage, surtout en cet endroit, ainsi que des murmures qui m’accompagnent. Ils se demandent tous ce que je vais bien pouvoir faire comme connerie ce soir. Entrant sans grande cérémonie dans le lieu, je suis accueilli à bras ouverts par son gérant, un homme bouffi et joufflu, abordant la cinquantaine, qui ne subit visiblement pas les effets de l’hiver du sept.  On peut dire que je suis un de ses meilleurs clients, alors il est évident et presque naturel qu’il fasse au moins semblant de m’apprécier -un au minimum-, devant ses clients, et devant l’argent que je lui laisse quotidiennement. M’offrant une accolade musclée et pleine de testostérone, il appuie violemment sur ma blessure à l’épaule encore douloureuse (et ce malgré les soins précaires d’Ambre quelques jours plus tôt), et me fait réprimander une grimace violente devant l’assistance qui m’observe du coin de l’œil. Essayant de ne pas y penser, je me concentre pour lui rendre son étreinte avec virilité.

M’asseyant dans un coin reculé du petit troquet, je lui quémande sa meilleure boisson pour mon prix, un truc purement immonde, qui met sens dessus dessous qui conque en ingurgite un verre, mais qui est parfait pour mon cas. Sur ma droite, deux jeunes femmes plus que physiquement attirantes, rient et piaillent de tout cœur, tels des oiseaux moqueurs. Profitant alors de l’agréable vue qui s’étend devant moi, je ne remarque pas tout de suite les quelques hommes sur ma droite qui profitent eux aussi de la vue, bruyamment. Pour la plupart travaillant avec moi, ils se languissent à leur tour de la chaire, m’offrant de temps à autre quelques piques et autres vannes incompréhensibles –certainement à cause du taux d’alcool déjà bien important qu’ils ont dans le sang-. Ici, tous s’empiffrent de gibier rôti ; laqué au possible de miel ou de sirop d’érable et truffé de champignons, tous se soûlent à mort de jus fermenté et d’alcools peu réglementaires –même quelques  pacificateurs en profitent, c’est pour dire ! -,  tous se vomissement les uns sur les autres, tous oublient pour quelque temps, la rude vie dans le district. À l'aise en ce lieu bruyant et mal famé, je quémande une seconde boisson qu’on m’amène presque immédiatement.  En face de moi, le petit écran télévisé projette une lumière bleutée sur le comptoir du bar. Intrigué, je me retourne pour lui faire face, abandonnant du regard les deux jeunes femmes, une chose plutôt difficile, je l’avoue.

Au premier coup d’œil, je ne distingue que des taches dansantes de couleurs flamboyantes. Les images sont rapides, colorées, acidulées, presque ordonnées comme celles d’une mise en scène.  À première vue, ça a tout bonnement l’air d’être un simple reportage du capitole, comme ceux qu’ils font par dizaines chaque année, en plus des jeux qui occupent une grande partie des programmes. D’une main, je porte la bouteille à mes lèvres pour boire au goulot, sans une once de bonnes manières, je l’avoue –mais qui diable se préoccupe encore de l’étiquette par ici ?-, et me concentre sur l’écran lumineux. Je distingue alors à travers les taches, des visages familiers : l’hôtesse attitrée du sept, ce vainqueur et… Ambre. Le sourire aux lèvres, vêtue de beaux atours, elle donne l’impression d’être heureuse. Je me mets à boire goulûment. Visiblement joyeuse, elle prend alors le bras de ce Nash, le beau vainqueur du sept, comme ils disent, et se met à danser. Tendu, je serre plus fort la bouteille dans ma main et en bois la dernière goutte. Il l’entraine au centre de la foule. Les caméras braquent alors leurs objectifs sur l’idyllique couple, savourant presque autant que moi ce spectacle. Face à cette scène digne d’une histoire de princesse pour petites pucelles écervelées, les invitées de la soirée ne se font pas prier pour afficher leurs pensées, usant tout autant de « mess basse » censés être discrets. Un zoom est alors effectué sur le couple, affichant le visage émerveillé d’ambre en gros plan. Pris d’un accès de colère, ma bouteille étant vide, je l’envoie droit valser en direction de l’écran, qui par chance est holographique. La bouteille éclate donc en plein de petits morceaux sur le mur, s’écrasant entre deux cadres représentant des scènes de joyeuse beuverie dans le sept.
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Petites pièces argentées durement récoltées. (pearl) Vide
MessageSujet: Re: Petites pièces argentées durement récoltées. (pearl)   Petites pièces argentées durement récoltées. (pearl) Icon_minitimeMar 1 Avr - 22:07

J'ai faim, j'crève la dalle, mais j'ai plus de pognon depuis deux jours. Mon dernier repas date d'hier matin. Et encore, il était triste à voir. Heureusement, je me suis habituée à ne jamais manger à ma faim. Mais là ce soir, vous seriez étonnés des bruits indiscrets et étranges qu'est capable de produire mon estomac. Lui traverse de mauvaises passes quand il n'est pas nourri durant une certaine période… Mon père est dans le même état de faim, mais il compense avec son alcool ; à un point où je commence à avoir peur qu'il vide nos réserves de bouteilles. "Pas touche le vieux ! C'était ta dernière de la journée. Pas de ma faute si tu l'as vidé en moins de deux, je t'avais prévenu !" Une autre tentative vaine de boire. Je lui arrache cette énième bouteille des mains, quitte à ce qu'il devienne exécrable. Jetant un œil à ma montre, je lui dis : "Je vais à la poste, voir si le pognon est là. Tu mangeras ce soir que si tu ne bois pas." J'enfile mon poncho et me dépêche d'aller vérifier mon courrier. Ca va bientôt faire une semaine que j'attends le paiement d'une de mes commandes. Y a pas intérêt à ce que ce se soit perdu durant l'envoie à cause de la rébellion. Déjà que les commandes ont considérablement diminué depuis que la révolte a pris de l'envergure, ils ne vont pas non plus me priver de mon cachet ! En effet, les riches ont peurs de perdre leurs précieux bien durant le transfert, même s'ils auraient bien besoin d'un bon coup de peinture. Et dans le district, peu sont prêts à dépenser de l'argent juste pour rénover leurs meubles. Alors je me rabats parfois sur la création, la fabrication d'objets divers, ou retape des maisons en bois à bas prix, puisque j'empiète sur un autre domaine. Oui, cette dernière chose est plutôt du travail au noir et de la concurrence déloyal… Qu'importe en temps de crise.

Arrivant gelée devant la poste, ils s'apprêtaient à fermer. 18h28. La femme au bureau a pris l'habitude de me voir cette semaine… Elle semble d'ailleurs m'attendre. "Votre courrier est enfin arrivé mademoiselle Kavanagh." Elle me le tend avec une phrase bien claire dans son regard : dégage qu'on puisse fermer. "Permettez que je vérifie ?" Pas besoin de répondre. Je lui souris poliment, et prends évidemment mon temps pour l'ouvrir. 100$. J'aurais préféré plus bien sûr, mais on s'habitue à être sous-payé. Je ne saurais dire combien d'heure j'ai passé à retaper cette commode… Sortant le mot du Capitole, je ne suis pas surprise du peu d'innovation et de vérité dont ils font preuve dans leurs mots : "en échange de ce que mérite votre merveilleux travail", "vous contribuez au développement de Panem", "vous êtes un maillon important au sein de notre population", blablabla. Que des mots valorisant mais détestables, quand on sait n'être qu'un numéro parmi d'autre, justement enchaîné par le Capitole… Quoi qu'il en soit, mon fric est enfin là, entre mes mains. Je lève les yeux vers l'impatiente, avec un bon "va te faire foutre" dans le sourire. Place aux courses ! Et quelles courses… Je prends le strict minimum pour manger correctement ce soir. Si je fais le plein, mon père ingurgitera le tout aussi vite que sa boisson.

De nouveau à la maison, je vérifie si le niveau d'alcool que nous abritons n'a pas baissé. Bien que la sale gueule de mon père en dit long... "Nous avons un gagnant ! Bravo monsieur Kavanagh ! Vous avez le droit de manger, toutes mes félicitations !" Je lui adresse un clin d'œil, réussissant à lui décrocher un sourire. Même si le repas n'a callé aucun de nous deux, ca fait du bien de se nourrir… "Cadeau." Pour le titre du meilleur dessert : une bonne bouteille de vodka ! "Ca c'est ma gonz' !", s'exclame-t-il. Enfilant deux trois p'tit shooter, je lui laisse l'honneur de finir la bouteille. C'est rare, mais oui, il arrive qu'entre les violentes engueulades, il y ait une bonne entente entre nous ; en plus des fois où on prend conjointement plaisir à cracher sur la gueule des autres. "Je sors, à demain !" Je compte bien profiter de cette soirée, et rentrer dormir seule à ma maison n'est pas dans mes plans.

"Eyes bright, chins up, smiles on." Submergée par une vague de chaleur, c'est ainsi que j'entre dans l'un des nombreux bar du district 7. Peu importe où je me rends j'ai toujours cette allure, donnant une impression méprisante de moi, qui se révèle tout à fait vraie. A peine ai-je fait un pas que les têtes se tournent. Les femmes crèvent de jalousie, même si jamais elles ne l'avoueraient, bien sûr. Elles pestent à mon passage, car elles savent bien que même si je suis extrêmement maigre, mal nourrie et vulgaire, les hommes m'aiment pour mon physique mais aussi pour mon caractère bien trempé. J'ai beau coucher souvent, ce n'est jamais avec n'importe qui. Ils sont toujours plaisant à l'œil, à la discussion, et en action… Et ceux qui n'ont pas eu l'occasion de m'avoir dans leur lit en rêvent certainement. J'ai beau ne pas être maire du district, on me connait plutôt bien dans les environs, et pas besoin de vous faire un dessin sur la réputation qu'on m'attribue. Je me fous de ce que les gens pensent de moi, je n'ai aucun regret sur mes actes et assume totalement ma façon d'être.

Le barman m'adresse un clin d'œil heureux. Détrompez-vous, je n'ai pas couché avec. Mon Dieu non, pas avec ce gros porc ! Pour qui me prenez-vous au juste ? J'suis un peu son appât à la consommation, à force de me faire payer des verres. Et puis c'est l'un des bars où je me rends le plus souvent, avec ses beaux bûcherons et ses pacificateurs avides de vices. La clientèle attire la clientèle comme on dit… Trois pas dans le bar, une bouteille s'éclate contre l'écran holographique. Déjà l'heure des festivités ? Non, patience. C'est juste cette salope d'Ambre qui attire la haine, pour changer. Et je vous interdits d'établir une quelconque ressemblance avec moi ! Si le Capitole ne nous assaillait pas avec ces images H24, j'en aurais presque oublié l'existence de Ambre et de son petit voyage chez la Haute. Après cette seconde de surprise, je cherchai d'où ce merveilleux lancé provenait. Tiens tiens. "Isaac. Un peu tendu peut être ?", lui demandai-je à l'oreille. M'étant approché dans son dos, je lui amorce un bref massage. "T'en fais pas, ils vont te la rendre ta p'tite chérie…" Mais s'ils pouvaient la garder, ce n'est pas moi qui irais se plaindre… Passant devant lui, j'attrape un joli billet dans mon soutif. Quoi ? Mon argent ne peux pas être plus en sécurité qu'ici… "Deux tequilas", dis-je en tendant la monnaie au barman. "Profite, pour une fois que je paie…", dis-je souriante, sans lui accorder un regard.
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