Cause You and I. We are friends.

Année 2205, après la victoire de Olympe Harrigton aux 69th des jeux.

Une fine musique retentissait en l’air. Tout le monde ne parlait plus que Olympe Harrigton dans Panem, la malheureuse qui a gagné les jeux. Cassie avait été bouche bée par la finale de cette année-là. Un labyrinthe de rose était très fin. Comme elle connaissait la passion du président Snow pour ces roses, elle pouvait imaginer qu’il avait poussé le jeu dans ce sens. Le compagnon de jeu était, pour mon père, le plus susceptible de gagner. Pour moi, j’étais sceptique. Dans ma famille, on ne parlait pas de tribut préféré, on parlait sur celui qu’on criait qui avait le plus de chance de s’en sortir. La technique, qu’il avait adoptée, était vraiment une des meilleures. Cassie restait admirative envers la gagnante de cette année. Elle avait un peu prêt le même âge qu’elle. Elle se demandait à quoi elle pouvait bien ressembler. Cela n’était en rien comparé aux autres gens qu’il y aurait à la fête ce soir. Cassie n’avait jamais vu un tribut comme un simple jeu. Elle étudiait les techniques et les savoirs faire. Elle avait même le droit de savoir comment cela s’était passé avec les tributs ? Son père était un des juges et amis du Président Snow. Il l’avait éduqué de manière à ce qu’elle puisse être intelligente et pas emprisonner de la stupidité des riches qui se tournent les pouces. Un regard dans le miroir, elle regardait si sa longue robe dorée avec son dos nu était bien pour la soirée. Elle mit un rouge à lèvres rouges, s’attachant les cheveux. Un dernier sourire, Cassie se décida de se rendre à la soirée. Satisfaite, on pouvait presque croire qu’elle avait un peu plus que son âge.


C’était parti pour rentrer dans un monde où les personnes pouvaient avoir qu’un simple petit pois dans le cerveau. Il suffisait de sourire et se montrer légèrement fourbe. Cassie n’aimait pas particulièrement les feux des projecteurs. Elle s’avançait avec son père pour rentrer dans la fête, son père la tenant par son épaule, de peur qu’on lui vole sa fille. Un de ses amis s’approcha pour venir le saluer ! Il commencèrent à avoir une conversation sur les prochaines vacances. La fille à papa décida de s’éloigner pour aller boire quelques choses. Elle rejoignit une connaissance pour parler avec. Ses yeux partirent à la recherche de la gagnante. Beaucoup de questions se bousculèrent dans sa tête, est-ce qu’elle était là ? Comment elle était ? Son cœur s’affolait légèrement. Toutes questions ont une réponse. Ses yeux finirent pas tomber sur Olympe. Elle ne résista pas à la contempler. Elle était vraiment belle. Ses cheveux blancs étaient vraiment remarquables. Il lui fallut un instant pour comprendre la situation. Elle reconnut la personne avec qui elle se trouvait… C’était une vraie junkie des jeux. Elle n’avait jamais vu un gagnant comme il l’était. Cassie s’excusa au prêt de sa connaissance et se dirigea vers Olympe, une personne qu’elle admirait pour ce qu’elle avait fait. Son vrai visage était celui d’une personne qui était prête à se battre et prête à vivre. Voilà, comment Cassie Thrace la voyait. La jeune femme avait perdu sa mère, il y a an de cela environ. Elle avait l’impression qu’elle était faîte pour s’entendre. Même si elle ne la connaissait pas, elle l’aimait bien. Elle s’approcha et prit le bras pour la tenir. Un large sourire, Cassie chassa la riche du capitole.

«  Bonsoir Madame Carraway, je me permets de vous empreinter Olympe Harrigton. Je vais lui montrer légèrement les lieux et lui montrer la grandeur du capitole. »

Cassie ne la lâchait toujours pas. Mme Carraway détourna les talons après lui avoir donné raison.  Un sourire de satisfaction s’afficha sur son visage, en la regardant partir. Son visage se tourna pour regarder Olympe. Son sourire devint plus chaleureux, un sourire qui venait du cœur. Elle reprit la conversation.

«  Désolée pour Madame Carraway, elle voit le gagnant, mais pas ce qu’il a traversé dans les jeux. Des fois, je me demande ce qu’ils ont dans le cerveau… Ah désolée, je ne me suis pas présentée. Cassie Thrace. »

Elle lui lâcha son bras pour lui tendre une poignée de main. La jeune fille du capitole espérait qu’elle pourrait être amie. Vous savez comment sont les enfants ! Cassie ne pensait pas à toutes ces histoires de politique, même si son père lui avait déjà fait des leçons. Elle faisait attention à ce qu’elle disait et évitait d’en dire trop dans des lieux peuplés.