posy jackeline rowblade

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

QUE PENSES-TU DE LA RÉVOLTE ET DES REBELLES ? CROIS-TU A LEUR EXISTENCE ?

si elle existe ? Bien sûr. Elle en fait partie, ses parents sont morts pour cette révoltes. On dit qu'ils se sont noyés cela dit. Bonne blague aux yeux de Posy. Elle sait pertinemment que ses parents n'ont pas pu simplement se noyer. Pour elle, il n'y a pas l'ombre d'un doute, ils ont été tués parce qu'ils prenaient part à la rébellion. Son père dirigeait la rébellion du quatrième district, alors elle serait stupide d'avoir un jour un tant soit peu douté de l’existence des rebelles et d'une révoltes. Aujourd'hui, elle en fait activement partie, prenant peu à peu la place de ses parents aux côtés de son frère et de sa belle-sœur. Ce qu'elle en pense ? C'est qu'il faut agir contre le capitole pour qu'un jour la vie soit plus facile dans les district, pour qu'un jour le gouvernement paie pour sa dictature et pour les vies qu'il a pris, les enfants qu'il a envoyé s'entretuer dans une arène sous les yeux de leurs parents pour offrir du spectacle au capitole, un avertissement à des gens qui finalement aujourd'hui n'ont plus rien à perdre. Elle pense que cette révolte, plus elle sera suivie, mieux elle sera menée, à une chance d'enfin changer les choses.

➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ?

Satisfaisante en principe. Elle n'est pas à l'agonie, elle a suffisamment à manger pour survivre, suffisamment d'argent pour payer la nourriture dont elle a besoin, certes, elle ne peut pas faire d’excès, mais elle n'en a de toute façon pas envie. Bien sûr, elle pourrait être mieux. Elle ne s'en réjouie pas réellement. Elle s'en accommode, mais elle pense que si les choses étaient mieux organisée à Panem elle aurait une meilleure vie. Elle comme les autres habitants de son district d'ailleurs. Il n'y a peut-être que ceux des deux premiers districts qui peuvent se réjouir de leurs vies dans les districts, les autres sont obligés de penser que leur vie pourrait être bien mieux et ce même si, comme Posy ils ne s’apitoient pas sur leurs sorts.

➺ CROIS-TU AU BONHEUR ?

c'est une question difficile. À une époque, elle y croyait vraiment. Elle n'était qu'une gamine, pleine de joie, un grand sourire toujours affiché sur son visage. Mais on lui a pris ses parents, première fissure dans son petit coeur de jeune adolescente et pourtant là encore, elle pensait qu'elle aurait un futur meilleur. Mais la vie s'acharnant sur elle, on lui a pris son frère, nouvelle fissure dans son coeur de femme et forcément, quand il est revenu, son frère n'avait pas le moindre souvenir d'elle, ni même de la femme qu'il avait aimé. Finalement elle a plus ou moins perdu sa belle-sœur à cause de ça. Il ne lui restait plus grand chose dans sa pauvre vie. Alors si le bonheur représente l'accomplissement d'une vie heureuse, non, elle n'y croit plus depuis quelques temps déjà. Après, c'est idyllique de se dire que le bonheur n'est que l'accomplissement d'un but précis, quelque chose de renouvelable une fois atteins, là, elle pourrait y croire et son bonheur serait la fin de la dictature de Snow.

➺ QUE PENSES-TU DE L'ORGANISATION DE PANEM (DISTRICTS/CAPITOLE) ?

Ça pourrait fonctionner. Le fait est qu'il y a très longtemps, ça à du fonctionner sans trop de soucis. Une capitale, des districts environnant. Là n'est pas le problème de Panem selon Posy. Après tout le monde ne peut pas fonctionner sans un gouvernement et donc sans une organisation de la sorte. On ne peut pas juste donner l'indépendance à chaque district pour que tout le monde vive sa vie dans son coin. Ce n'est pas la solution. C'est le gouvernement qu'il faut changer. On ne parle pas là d'une éradication totale du capitole, ça poserait bien des soucis après pour choisir où placer le nouveau gouvernement. Ce qu'il faut c'est que quelqu'un qui soit capable de changer les choses prenne le pouvoir, quelqu'un qui comprenne qu'il est nécessaire de répartir les richesses à travers les districts plutôt que de les laisser au capitole. Il faut quelqu'un qui fasse stopper la dictature ainsi que les jeux. Il faut se soulever contre ce gouvernement corrompu, le renverser et ainsi arranger les choses, une fois que ce sera fait, là, on pourra vraiment dire que l'organisation de Panem est idéale. Maintenant, si les choses ne bougent pas, on court sûrement à la catastrophe.

➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ?

Angoissée. Depuis toujours, la moisson est le moment le plus angoissant de sa vie. Elle n'a jamais eu beaucoup de chance d'être tirée au sort, mais ça restait très angoissant. Chaque année la même chose, la peur d'entendre son nom, celui de son frère ou bien ceux de ses amis. Aujourd'hui ceux de sa génération son épargnée, mais ça ne change rien, elle voit des mères en pleurs obligée de laisser ses enfants partir à l’abattoir, elle voit es gamins terrorisé à l'idée d'être désigné comme tribut. Dans chacun de ses gamins, elle se revoit quand elle était plus jeune, là, à leur place et à chaque fois son coeur se serre, son souffle se coupe et elle est prise d'une envie de pleurer, mais malgré tout, elle garde la tête haute pour ne pas briser son image de femme fière.

JE VIENS D'UN MILIEU moayen., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE en quantité suffisante. DU COUP, MON NOM A aucun RISQUE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE boutiquière ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime, même si finalement la boutique est plus souvent fermée qu'ouverte en raison de ma position dans la rébellion. JE SUIS DANS LE 4IÈME DISTRICT. AYANT vingt-cinq ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende toujours un peu la moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

Bonjour le peuple Moi c'est Sweet Poison, c'est la troisième fois que je m'inscris, ouais les deux premières fois j'ai eu quelques soucis qui m'ont complétement bloquée mes envies de rpgiste. Du coup, si j'ai encore un problème cette fois-ci, je me ferais une raison et j'arrêterai d'insister, peut-être que ce forum me porte la poisse en fait, ce serait con parce que je l'aime beaucoup
Bref, sinon, je m’appelle Anaïs j'ai 19 ans, 20 à partir de dimanche, alors jvais essayer de faire ma fiche avant le week end parce que forcément jvais pas geeker pour mes 20 ans (enfin pas devant le pc, mais devant la wii quoi, just dance for the win) en revanche, y a de fortes chances pour que je geek à noël on s'en fiche mais je raconte beaucoup ma vie (a)
BREF. J'ai connu le forum sur bazzart, tout au début il me semble. Je crois que la première fois, je ne connaissais même pas THG, maintenant j'ai vu le film et lu le premier livre et là je m'inscris et paff j'ai trop envie d'aller me foutre dans mon lit pour bouquiner un coup.
Sinon, je vais essayer de venir en moyenne cinq fois par semaines, des fois, je serais obligée de travailler les cours quand même, parce que je suis en fac de psycho et contrairement aux idées reçues, nous ne sommes pas qu'une bande de glandeurs
J'aime beaucoup les smiley, mais je trouve que celui là : est grave flippant quand même fallait que je le dise, il me fait de l’œil ce coquin u____u
Par contre, j'aime beaucoup celui là : :ourson: alors j’essayerai de le placer aussi souvent que possible u____u
Que vous dire que vous dire maintenant ? Je ne sais pas vraiment et en plus j'ai faim, alors je vous laisse, je pense que j'ai suffisamment dit de la merde pour vos pauvres petits yeux


FEATURING gemma arterton © COPYRIGHT gemmadaily.tumblr

tell us your story.

Trop. C’en était trop pour la jeune femme. Enfermée chez elle depuis quelques minutes déjà, elle se contentait de faire les cent pas au beau milieu du salon. Soupirant à intervalles réguliers, on aurait pu facilement la croire folle. Peut-être était-ce le cas ? Après tout ce qu’elle avait vécu jusqu’à présent, personne n’aurait été surpris de la voir devenir complètement folle. Le contraire était sans doute le plus surprenant. Elle avait tant de raison de craqué que la voir tenir bon envers et contre tout devait surprendre plus d’un villageois. Ceux-là même qui l’avait vue grandir, qui avait tant apprécié ce sourire gravé sur ses lèvres enfantines, cette gamine qui semblait connaitre tout le monde dans le village, qui n’hésitait pas à faire les yeux doux pour qu’on lui donne des sucreries. Une gamine pleine de vie qui ressemblait à un véritable rayon de soleil. Ils l’avaient apprécié cette petite. Ils avaient été là pour la soutenir quand elle avait perdu ses parents dans une prétendue noyade.

La bonne blague. Un sourire ironique étira le coin de ses lèvres à cette pensée. Les pacificateurs s’étaient sans l’ombre d’un doute bien fichu de sa gueule quand ils étaient venus annoncer à cette pauvre gamine qui revenait tout juste de l’école avec son grand frère, que ces parents étaient morts noyée. Noyés. Noyés au district quatre ! N’était-ce pas là une belle ironie ? Les gens du quatrième district étaient connus pour leur capacité à nager. Ils étaient des pêcheurs merde ! Chaque année aux Hungers Games, on remarquait que les tributs du quatrième district avait des capacités impressionnantes en natation. Comment imaginer que des nageurs pareils puissent se noyer dans ces eaux qu’ils connaissaient si bien, chez eux, dans le quatrième district ? Hypocrisie pure et simple. Stupides qu’ils étaient. Elle n’avait jamais été complètement sotte. À la minute même où on lui avait annoncée la nouvelle, elle avait compris. Ses parents ne s’étaient pas noyés par accident. On les avaient exécutés. C’était chose courante, dans le quatrième district, comme partout ailleurs. Dès que quelqu’un dérangeait un peu, on l’éliminait. Aucun doute, les pacificateurs avaient eu vent des actions illégales de ses parents et avaient décidé de les éliminer, ainsi, ils supprimaient l’ombre d’un potentiel soulèvement au sein du district. Malin, mais pas définitif.

Ils ont été stupide de croire que personne ne prendrait la suite des parents Rowblade. Ils avaient deux enfants. Deux orphelins décidés à venger la mort de leurs parents de la meilleure façon possible. La meilleure solution possible, ils l’avaient trouvée. Ils avaient marchés dans leurs pas, reprenant la révolte avec l’aide d’Atala, la fiancée de son frère. Pas question de laisser les pacificateurs avoir le dernier mot, pas question de toujours laissé le capitole l’emportant. Ils ne le méritaient pas. Des gens juste bon à se réjouir du malheur des autres. Leurs maudits jeux c’était l’abattoir de luxe pour deux jeunes gens, garçon et fille, de chaque district. C’était folie que de les laisser gagner, les laisser continuer à massacrer des innocents pour offrir un véritable spectacle au capitole, soit disant avertir les rebelles que les Hunger Games sont leur punition pour avoir oser se soulever contre eux. Un avertissement ? Encore une bonne blague. Aux yeux de Posy, les jeux n’étaient pas un avertissement mais une provocation. Comment rester de marbre quand on voit, année après année, des gamins se faire arracher à leurs parents pour aller s’entretuer dans une arène elle-même totalement hostile ? Soit ils étaient fous de penser que leur stratagème dureraient éternellement, soit complètement stupides. Sans doute un peu de deux au fond. Une chose était sûre, elle, elle les détestait. Pas seulement les organisateurs des jeux, ou le président Snow. Non, tous les habitants du Capitole.

Elle laissa échapper un soupire agacé tout en se laissant enfin tomber dans un fauteuil, stoppant finalement sa marche folle. Elle ne savait plus quoi faire. Elle se sentait effroyablement seule en cet instant. Il y avait bien du monde derrière elle, tant de rebelles prêt à la suivre dans la mission qu’elle s’était confiée. Mais elle se sentait quand même seule. Sans Melisandre, sans Atala. On lui avait pris son frère et sans doute qu’il avait vécu les pires souffrances possibles entre les mains des pacificateurs puisque, quand il a enfin refait surface dans les souterrains du treizième, il n’était plus l’ombre de lui-même. Pas de la même façon qu’elle, elle était devenue une ombre, un fantôme de la joyeuse et agréable Posy. Non, lui il n’avait pas juste perdu de ses couleurs, son éclat et son sourire. Lui, il avait tout perdu. Sa mémoire. Ses instants qu’ils avaient passés ensemble. Ce passé qu’ils avaient en commun, cet enfance heureuse qu’ils avaient partagés, leurs parents, elle. Tout avait disparu. Atala y compris. Sa sœur, sa fiancée, paf, envolées de sa mémoire. Sans doute qu’elle était trop rongée depuis trop longtemps. Elle s’était pris trop de coup pour se laisser succomber dès qu’on déciderait de la frapper à nouveau. Elle ne savait pas réellement qu’elle force elle avait eue, mais elle avait réussi. Elle était rester plus ou moins droite et fière. Ce n’était pas le cas d’Atala qui s’était effondrée. Elle était au treizième district à présent. Posy elle, elle était restée au quatrième et elle y resterait encore longtemps. Jusqu’à ce qu’elle en meurt. Son district serait sa tombe. Elle donnerait sa vie pour lui. Elle sera sans doute amenée à le faire. C’était une rébellion aucun doute que si son sacrifice pouvait aider le soulèvement, si sa mort pouvait permettre à Panem de connaitre un nouveau départ, elle n’hésiterai pas. Après tout, que lui restait-il à présent, si ce n’est cette envie de vengeance bouillonnant en elle, ce soulèvement, dont elle rêvait nuit après nuit ?