✤ TOURNEE DU VAINQUEUR les jeux sont désormais terminés, place à la tournée du vainqueur qui met à l'honneur andro graham ! plus d'informations ici. ✤ INTRIGUES panem ne cesse de changer avec de nombreux événements inouïs. découvrez le volume 6. ✤ MISES À JOUR une nouvelle règle a été instaurée. merci de prendre connaissance de celle-ci ainsi que les autres nouveautés ! ✤ MISSIONS ET QUÊTES toutes les missions ont été lancées ! rendez-vous dans ce sujet pour toutes les découvrir. ✤ SCENARIOS voici quelques scénarios qui n'attendent que vous: rebelles. liam hemsworth pacificateurs. boyd holbrook district 13. cobie smulders & chris hemsworth vainqueurs. gemma arterton & elle fanning d'autres scénarios gagnants de la loterie à venir !
Sujet: Lydia ϟ Quand mille personnes prennent la route, il en faut une pour prendre la tête. Mer 1 Aoû - 12:49
Azleen Lydia Connor
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞
Mes larmes vous berce, mes larmes vous appellent, mes larmes vous aiment. Vous découvrez tout comme moi le sens de la vie. Ce sens qui t'appelle et qui te dit que tu es en vie, quoi qu'il se passe, ce sens qui sent la couleur de ton sang, qui t'appelle en te disant que tu pourrais gagner, que la victoire pourrait t'appartenir, que la victoire pourrait te chérir, que la victoire serait à tes côtés. Mais c'est en regardant le sens de la vie que l'on comprend ce langage codé, ce langage que tu prends en traître et qui te vend dans les bras de la mort. Celle-ci tu l'a connais aussi, tu l'a connais pour sa méchanceté, pour sa ruse et pour son amour, c'est le poison de la vie. Tu peux t'en débarrasser difficilement plus que de là sentir à tes côtés, arriver et te prendre pour un saut en enfer d'une durée indéterminée qui se relève être très longue. Cette durée fait partie du compte à rebours de la vie. Quand on connaît les Hunger Games, on c'est ce que c'est. Ressentir toutes sortes de sentiment, mais jamais de la joie, que du stress, de la peur et de la haine. Qui penserait qu'accabler un être humain serait si cool ?... Personne, bien sûr. À moi qu'il y ait une exception. Je fais partie de ces exceptions-là, de ces personnes qui devraient voir leurs vies défiler devant nos yeux, mais des personnes en avait décidés autrement. En fait je ne suis que le pantin d'une grande manipulation, comme tous les 23 autres. Comme tous ces 23 inconnus qui sont morts, comme moi. Je ne devrais pas faire partie de ce monde, je ne devrais pas vivre, je devrais disparaître ... Mais étais-je trop inoubliable qu'on a préféré me redonner la vie?Qu'on a préféré me sauver? Ou bien parce que je pourrais servir à quelques choses. Mais bon je ne sais quel camp choisir, et celui du capitole me paraît glorieuse et fière, même si je n'étais pas à 200% avec eux. Je ne suis qu'un messager. Mais si l'on devait enfin m'accepter alors le capitole serait mon amie, ou bien le district 13?Quand je repense à tous ces gens morts ou devenue comme moi, je m'imagine la tristesse dans la vue de certain. Alors, je préfère n'être dans aucun camps, dans chacun d'eux, la souffrance est la bienvenue, et la souffrance m'a trop fait de blessure. Des blessures qui restent sur le corps. Mais après tous, nous ne sommes que des humais faits pour digérer n'importe quel blessure qu'on nous infligera, et nous redeviendrons poussière comme au début ... Mon nom, mon ADN, mon visage, mon corps, mon caractère ... Tous ses petits éléments font de moi la fille la plus banale.
On m'a dit que mon nom était Azleen Lydia Connor, mais à l'entraînement on m'appelle toujours Lydia, peut-être parce que c'est le prénom le plus court?J'ai maintenant 15 ans, et cela fait maintenant 3 ans que je suis une gagnante et mis dans la confidence des rebelles et du district 13. Pourtant, c'est étrange non?Il ne devait pas exister?J'étais bien Azleen Lydia Connor, la tribut féminine du douzième district à la 73th édition des jeux. Ce n'était pas vraiment prévu dans mon emploi du temps ... J'étais une fille quelque conque, surtout à treize ans. Je travaillais comme tout le monde pour nourrir ma famille, mais il y a une chose qui est différente malgré tout ... Ma famille se contentait de survivre et ne me parlait jamais, en fait depuis toute petite j'étais un enfant non voulu, un accident et je l'ai vite compris. Je n'avais pas de caractère, mes parents ne voulaient pas d'enfant et surtout pas d'une petite fille, mais malheureusement je suis né au monde. Je suis né de l'union de deux êtres pauvres et faible, -un forgeron et une marchande-. C'est ce que l'on m'avait toujours dit à l'école, mais je ne faisais qu'écouter, je ne prenais rien en compte. Je m'étais toujours battue pour un but dans la vie, rendre mes parents heureux et fiers de moi. Qui croirait que ça ne pourrait marcher?Personne, bien sûr. Du moins aucun de mes amis. Enfin, faut-il dire que je n'avais aucun ami?Cela ne serait pas intéressant. Je n'étais qu'une fille, une moins que rien invisible aux yeux de tous. Tout le monde me refilait les corvées et je passais pour la « bonne camarade, avec qui tout le monde était hypocrite ». Malheureusement je ne pourrais casser cette image de petite fille sans caractère, sans âme et invisible. Il avait sûrement raison, je n'ai pas de caractère... Je suis une fille vide comme on dit ... Mais je n'ai jamais su sourire. Beaucoup de gentille personne dise de moi que je suis une gentille fille, qui aurait pu mériter mieux que d'être toujours rejeté. On dit aussi que je peux paraître étrange, moins timide, moins caché et moins peureuse, on dit que je peux devenir décontracté, amusante ou encore folle, rien qu'avec une petite dose de morphine ...
Mon physique ... Je n'ai jamais appris à me regarder dans une glace ... Je ne me respecte pas assez pour pouvoir poser les yeux sur moi-même ... Mais que peut-on dire d'encore plus pathétique que ça?Rien je pense ... La première fois que je me suis vue, c'était dans une flaque d'eau et j'ai beaucoup changé depuis. J'ai un corps de femme, des cheveux blonds comme le blé qu'on attrape au onze et un petit air enfantin que je cache par un sourire. Oh oui, je ne suis pas très avantagés. Pour me résumer, je vis maintenant au district douze, en tant que gagnante des 62th Hunger Games ... Une belle vie que j'apprécie simplement.
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé/défavorisé/..., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende/est abondante/.... DU COUP, MON NOM A nombre de CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE ton métier ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime/je n'aime pas/.... JE SUIS DANS LE numéroÈME DISTRICT. AYANT age JE peux/ne peux plus/aie déjà PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende/je me suis déjà entraîné/j'attends la prochaine moisson avec impatience. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
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reality is here.
Oui je suis faible, oui je suis une sale moule, oui je suis trop mauvaise, mais j'ai élaborer ce personnage dans ma tête depuis le mois d'avril Bon sinon c'est Morgane, douze pige et bientôt 13 le 7 septembre t'oublie pas Je veux réalisé la plus grande histoire (plus de nombre de ligne) sur MJ
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?
(en gros, êtes-vous pour une rébellion ou contre.) minimum cinq lignes. (résidents du capitole & des districts sauf 13)
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?
minimum cinq lignes. (résidents du district 13, sachez qu'ils n'ont connu que ça dans leur vie. sauf pour les rebelles qui auraient quitté pour une raison ou une autre leur district d'origine.)
Invité
Sujet: Re: Lydia ϟ Quand mille personnes prennent la route, il en faut une pour prendre la tête. Mer 1 Aoû - 12:51
I. La Moisson
Le bruit du charbon et de la chaleur réchauffait mes jeunes bras découverts. J'aimais cette chaleur que l'on pouvait apercevoir, j'aimais ressentir la sensation d'être en vie. J'aimais tout simplement être comme telle, une bonne vivante. Je ferme les yeux un instant. Le bruit du cailloux frappant une autre pierre me fait rappeler que je dois travailler. Oh oui, papa ne serait pas content si je ne continue pas le travail comme il faut. Je repose mes yeux sur les flammes et je me remets au travail. Je ne suis pas une fille normale, la fille qui irait à l'école, qui sourit et sautille en sortant. Je n'aime pas sautiller. Je trouve ce geste bizarre. C'est comme ci on voyait des sauterelles humaines, et je déteste les sauterelles. Je trouve ça énervant. Enfin, c'est surtout qu'on m'ait mis une sauterelle dans mon dos qui est descendu jusqu'à ma culotte qui m'a le plus déranger. C'était trop gênant, je l'avoue. Mais je reste fière d'avoir survécu à ça. Imaginer qu'on m'ait mis une fourmi, ça aurait été horrible ! Je n'aime pas les fourmis non plus, on peut dire que j'aime peu de choses, et c'est très bien comme ça, mes parents ne se cassent pas la tête pour le cadeau à mon anniversaire. Je me rappelle de mon ancien cadeau pour mes douze ans. C'était un petit couteau, mon père l'avait fabriqué, il avait peur que je parte aux jeux et donc ce couteau était comme un petit symbole victorieux. Ça représentait son amour, et j'étais heureuse d'avoir ça. Ouais j'avais eu un très beau cadeau et j'en étais contente. Une des seules fois où j'étais contente. Mon père sort du côté chaud de son atelier, il était beau mon père. Il était l'un des seuls blonds du douze, le regard remplit de bonté et d'intelligence, de sagesse et de douceur. Il n'était pas beau, il était magnifique. Je ne pense pas avoir hérité de sa beauté, tout comme celle de ma mère. Ma mère était une brune aux yeux bleus foncés, le regard éclairant, même dans la nuit. Elle avait se sourire adorable et berçant, le regard d'une mère. Mon père se racle la bouche et me montre l'heure sur sa veille et petite montre que ma mère lui avait offerte le jour de leur mariage. Mes yeux s'écarquillent. J'avais oublié la plus grande partie de notre vie, les jeux. La moisson allait commencé dans deux heures. Le capitole et sa moisson, et ses jeux. Je n'ai jamais vraiment apprécié son visionnage, enfin tant que je n'étais pas dans les enfants moissonnés. J'avais peur, j'étais terrifié par ces jeux. Mais ce n'est pas pour ça que je ne pourrais pas participer à ça. Mon père se tourne et me montre son dos que je saisis et grimpe dessus comme un enfant de six ans. J'aimais bien le dos de mon père, il était confortable et j'aimais bien dormir dessus, surtout quand j'étais un bambin. À peine arrivé à la maison ma mère me saisis mon bras et m'emmène dans ce qu'on peut appeler une " salle de lavage " à la maison. Un miroir, un robinet et un jet d'eau, simplement ça qui pouvait meubler cette salle, mais je n'allais pas pleurer sur mon sors ! Ma mère me déshabille rapidement et je me douche avant de me faire deux couettes et de mes les boucler à la main, puis me fait enfiler un petit t.shirt avec un short puis mettre une robe blanche par-dessus. Puis nous allons déjeuner avec mon père préparé lui aussi pendant qu'elle prend ma place en tant que mannequin et se prépare. Puis viens l'heure de partir, mon père attrape une chose dont j'ignore, mais depuis que j'ai mes douze ans il le fait. J'ai seulement 10 fois mon nom dans la boule avec les tesseraes et pourtant je n'ai jamais étais moissonné. Mes parents me prennent dans leurs bras en silence et me laisse aller à la piqûre avec quelques larmes de ma mère qu'elle essaie de cacher, non je ne dois pas pleurer, pas pour eux. Je me laisse guider dans mon rang des jeunes filles de treize ans et je reste là à attendre que l'hôtesse excentrique et fo-folle finissent son discours sur la joie de se faire décapité par d'autre gosse, je crois qu'elle s'amuse à utiliser l'ironie pour rendre la chose plus cool. Je m'exaspère en attendant qu'on en finisse, mais je stressun peu quand même. L'hôtesse prend un nom et regarde la foule au niveau des filles. « Azleen Lydia Connor ! » Tout le monde me fixe et le temps s'arrête. Je suis morte, triste sort, pauvre de moi, c'est une tragédie shakespearienne ! Les filles de mon rang se mette à chuchoter en me regardant comme si j'allais les tuer. « Mademoiselle Connor, venez mon enfant. » Je reste immobile et raide, comme un mort. Je vois alors des pacificateurs s'avancer près de moi. « Attendez !! » Je n'ai pas besoin de me retourner pour entendre les larmes et le son pleurant de ma mère. Elle a échappé à ce destin, mais pas toutes ces soeurs. Je vois des pacificateurs la repousser et l'hôtesse s'impatienter. Puis un pacificateur brandit son revolver vers ma mère et je percute que rien ne serait paisible dans ce district. «Laissez-la ! J'arrive... » J'avance doucement sous les larmes de ma mère, serrant les dents et voyant l'hôtesse se faire un vilain plaisir à nous regarder pleurer. Je monte sur la scène en baissant la tête et en détachant mes cheveux, non mais oh, ce n'est pas en me faisant des couettes que je vais donner envie au public de me sauver et tout!Oui je sais que dès que le nom d'une personne est choisie pour les jeux, tout est obligatoire et dure ! Je sens le bras réconfortant de mon hôtesse m'enlacer et le regard de mes nouveaux mentor. « Voilà notre tribut féminine du district douze, veuillez l'applaudir ! » je les regarde tous m'applaudir et j'ai envie de leur cracher dessus, mais j'ai des manières quand même ... Je vois alors l'hôtesse s'approcher de la deuxième boule pour les hommes et tirer le nom d'un jeune homme. « Alyac Bisbeulrie » Un garçon de la rangée des 15 ans sort et je le reconnais, c'est le garçon à la sauterelle ! Je le fixe méchamment, pas question que je sois là pour le sauver dans l'arène ! J'espère qu'il y aura des choses dont il a peur pour me venger ! Le garçon s'approche de moi et je lui écrase le pied discrètement, ce n'est que le début de ma vengeance. « Voilà nos deux tributs du district douze, Azleen et Alyac!Que leurs sorts leurs soies favorables dans l'arène ! » A peine la jeune femme à fini son discours qu'on nous embarque dans l'hôtel de ville pour avoir nos visites.
La porte s'ouvre et ma mère me saute dessus en me serrant fort dans ses bras avec mon père qui apparaît avec les yeux rouges derrières elle. « Mon bébé ... » je culpabilise bien avec cette phrase, merci maman ! Celle-ci ne veut pas se décoller de moi et mon père doit la retenir pour qu'elle me lâche un peu. Puis mon père me prend dans ses bras et me lâche rapidement, il comprend un peu ma mère, qui elle ne fait que se ronger les ongles et être comme une droguée à la caféine. Je les fixe silencieusement avant de briser le silence. « Maman, je sais que tu détestes les adieux ... Mais ne t'inquiète pas, je t'interdis simplement de regarder ces jeux, dès que tu vois sur la grande place une silhouette qui me ressemble, tu regardes simplement un instant après, tu fais comme ci de rien était. Papa tu dois continuer à travailler, gagnez votre vie et vivez dans le bonheur. Je t'interdis à toi aussi de regarder ces jeux ! Et même si on te parle de moi, fait comme-ci je n'existais plus. Maintenant partez. » Mon son est glacial et je me mords la lèvre pour ne pas pleurer, ma mère me regarde avec un air étonné tendis que mon père cherche à me faire craque physiquement du regard. « Mais ... » Le son de ma mère me laisse perplexe, mais je continus. « La ferme!Je ne vous ai jamais aimés ! Maintenant dégager où c'est moi qui vous vire ! » Ma mère se lève et ce remet à pleurer, mais je reste forte, non, je ne dois pas pleurer, je n'ai pas le droit. Ma mère se laisse sortir et mon père laisse glisser la chose qui étais dans sa poche avant de partir. Je le fixe et voie un couteau avec écrit " A. L. C. " mes initiales, ceux de mon père et de ma mère. Je me mets soudainement à verser des larmes de tristesse, et à pleurer comme une dingue. Un pacificateur vient me chercher et nous emmènes vers le train, moi, Alyac et mon mentor, les jeux vont être rudes cette année, et je ne veux pas imaginer comment mes parents vont réagir à ma mort, mais je ne veux pas qu'il souffre en me voyant, pas question !
II. Le Train
Seul, nous sommes tous seuls dans cette épreuve. Cette épreuve qui vous laisse en pleurant et qui vous laisse perplexe. À peine arrivée dans le train qu'Alyac part directement se mettre dans son coin et s'énerver contre un coussin pendant que notre hôtesse va dans un autre wagon pour voir notre " cuisto ' " comme elle dit de son air de bitch. Je me sens alors regarder par mon mentor, mais je m'en fiche. S'il veut me voir, bah qu'il me regarde ! Je m'approche alors d'Alyac et pose une main sur son épaule comme pour lui dire " salut ", mais c'était pas vraiment ce que je voulais faire. À peine il se retourne que je lui fou un coup de point dans la figure, je crois que j'ai visé le nez et j'en suis fière. Mon mentor est perplexe et je frotte mes deux mains l'une contre l'autre pour faire signe que tout est normale. « Je n'aime pas les sauterelles ... » Je sens le regard du garçon me fixer jusqu'à ce qu'il me saute dessus et commence à m'arracher les cheveux comme un fou. Je ne me laisse pas faire bien sûr!Il a beau avoir 15 ans et un air mignon je m'en fiche, puis je me suis toujours dit qu'un garçon c'est crétin. Beau, mais débile remplis d'inutilité. Bon mon père c'est une exception, mais lui c'est même le modèle de la " connatittude " dû l'espèce masculine. Je me prends plusieurs bananes, autant que lui avant que mon mentor nous sépares. On est trop dangereux ensemble. Le vieux me paraît bizarre et ce met à parler. « Bordel ! Vous allez arrêter vos bêtises ! » Mon sang dégouline sur ma robe déchirée et je suis heureuse d'avoir un t.shirt en dessous. « Y a qu'un gagnant dans les jeux, et pour moi quand je suis moissonné je dois faire mes jeux directement. » Je regarde tout le monde avec un air de fille pas commode, première fois que je sors le regard de loup!Je me retourne et me dirige vers la nourriture, j'avais faim et j'allais profiter de mon petit confort au moins pendant 2/3 jours, après c'est régime ! J'admire cette nourriture et commence à me servir sous les yeux ronds de mon mentor et d'Alyac. Ces deux viennent me rejoindre quand je me jette sur la bonne viande saignante. Ça me rappelait le district 12 et le festin que s'offrait les pacificateurs en mangeant toute cette nourriture. Mais maintenant c'était moi qui mangeait, à moi la bouffe ! L'idée de brandir la patte de poulet que j'ai dans la main aurait été étrange de ma part et m'aurait rendue encore plus folle que je donne l'air. Alyac ne fait rien et notre mentor appelé Georg ne fait que nous fixer de son air silencieux. Je me mets à le fixer de la même façon que lui, c'est tellement de se faire fixer que je veux me venger. Nous restons au moins 10 minutes à nous fixer sans dériver nos regards avant qu'Alyac brise la glace. « Mais qu'est-ce que vous faites ! M'sieur, cette fille, il ne faut pas l'approcher, elle est trop bizarre ... » Je me relève en poussant violemment la table contre son ventre. « De toute façon tu seras ma première victime ! Qui croit que j'aurais besoin d'un blaireau pour m'aider à survivre et à représenter le district douze, pas toi en tout cas ! » Ma voix se fait forte quand je sursaute quand notre hôtesse pause ces délicates mains sur mon épaule pour me calmer, mais je n'ai pas le temps de capter qui est-ce que je lui en mets une. Je me sens mal, mais une lueur d'espoir apparaît dans les yeux de mon mentor, il s'est sûrement ce qu'il va faire de moi. Je repose les yeux sur Alyac qui m'approche avec un regard de vengeance. Je fais mine de ne pas m'occuper de sa bêtise avant de recevoir de l'eau de sa part, il m'a renversé un pichet d'eau sur la tête. Je suis désormais trempé et je me jette sur lui comme une dingue avant de continuer à le taper, puis je me relève l'air digne et fière, même trempé. « Je ne vais pas passer mon temps avec un crétin comme toi, tu me fais honte ! » Je sens alors le regard pensant de Georg et aussi celui de ma première victime, enfin notre hôtesse, pas Alyac. « Tu te prends pour qui sale folle ?! » Je sens la voix forte et mauvaise qui me casse les oreilles. Je ne me retourne même pas pour voir mon interlocuteur, l'amie des sauterelles et m'approche de la porte pour partir me changer. « Je me prends pour moi-même, tu devrais faire de même au lieu de copier c'est crétin à l'école, je sais que tu vaux mieux que ça ! » Puis j'avance sans aucun regret vers ma chambre le laissant seul avec Georg, lui aussi va pouvoir s'amuser à le regarder. Je soupire en me laissant tombé sur le lit et sort de ma botte le couteau que mon père m'a incorrectement donné. Je le serre fort et me met à pleurer, je ne reviendrais plus jamais ... Je soupire et tourne la tête pour faire genre que je ne pleure pas avant de prendre les habits soigneusement posé sur mon lit et les emmener avec moi, ils vont faire un tour dans la salle de bain et moi dans cette somptueuse baignoire ! Il est 21h et je sors enfin de ma chambre. J'ai toujours les yeux rouges, mais je garde cet air fort qui caresse ma tristesse. Je m'approche de mon mentor et m'assois pour regarder ce qu'il allait nous montrer. « Nous allons assister à la moisson, il faut vous reposer et commencer à élaborer une stratégie. » Je ne dis rien et prend mes genoux contre moi en regardant la moisson du district un. Aucune émotion ne me vient à l'esprit, ni pour celle du deux, du trois, et du quatre. Le cinq me paraît surprenante, puis la six et la sept reprend son ennuie habituelle. Le huit et le neuf paraisse déterminé comparé aux dix qui ont l'air bouleversés. Le onze paraît simple et nous voilà, nous le douze, avec ma mère qui pleure et le regard froid que je jette à Alyac en le voyant. Puis nous mettons des heures à discuter des tributs avant de partir dormir, le sommeil nous vend du rêve. Le réveil du matin me fait étirer une tête un peu sombre, je déteste que l'on me réveille ! À peine l'hôtesse à fini de taper à ma porte et de me voir sortir avec une mine affreuse nous nous dirigeons vers le festin du petit-déjeuner où je rencontre beaucoup de nouvelles choses que je m'empresse de goûter sous les yeux de Georg et d'Alyac. Puis je le vois se lever et s'avancer vers moi. « Désolé ... » Je lâche un soupir en le regardant, qu'elle faible et pauvre mec ! J'hôche la tête comme ci j'acceptai ces excuses avant de regarder par la fenêtre. Nous arrivons déjà au capitole ! Le trajet est passé si vite que je ne m'en suis pas rendu compte. Je m'approche de la vitre en regardant par la fenêtre. Tout est fabuleux ici, c'est grandiosement magnifique. Mais je ne dois pas m'émerveille devant cette grande beauté, le district douze crève de faim et n'a rien d'aussi jolie qu'ici. Alors, je reste collé contre cette vitre, à serrer le couteau de mon père entre mes mains pour me motiver, à gagner !
III. Le Défilé
À peine sortie du train, nous sommes guidés dans un bâtiment, notre résidence et ceux des onze autres équipes. Je sais ce qui m'attend, la préparation au défilé, et je sens la boule aux ventres venir vers moi. Je baisse la tête avant d'entrer dans ma chambre où se déroulera ma préparation. Je viens seulement d'arriver, mais mon mentor me laisse seul avec Alyac ici. Je n'ai pas peur, je suis simplement anxieuse. Je tourne la tête et me retrouve nez-à-nez avec une personne rouge comme une tomate avec un chignon sur la tête d'une couleur que je décrirais comme " de merde " Je fixe cette personne sans savoir si c'est une fille ou un garçon. Je ne sais pas vraiment ce que c'est en fait ... Je me racle légèrement la gorge et fait un signe de salut, pour faire genre la fille sympa, ouais c'est débile, mais bon qu'est-ce que vous voulez que je fasse ? Je vois la personne me regarder bizarrement avant de taper dans ses mains, elle est mongole ou quoi ?! Alors, une rangée de personne arrive avec plein de matériel. « Comment tu t'appelles jeune fille ? » Sa voix me fait froid dans le dos, elle est très aiguë et on aurait dit un merle parleur. « Az ... Azleen. » J'étais terrifié de ce qu'elle allait me faire. Chaque tribut qui défilait au douze avait tous un truc de changer depuis leur arriver. Celle-ci regarde mes bras, mes jambes, mon ventre. Je tremble un peu et elle me regarde avec un petit sourire réconfortant. « Ne t'inquiète pas Azleen, on va simplement te rendre parfaite, encore plus que tu l'es. » Elle me flattait et je commençais à prendre confiance en moi, j'avais déjà confiance en moi, mais pas autant ! Elle passa sa main dans mes cheveux blonds et regarda chaque détaille de mon corps. Un homme arriva et m'installa sur une planche en fer et commença à passer une couche verte sur mes jambes, j'avais l'impression de subir un truc de torture, pour tout dire, voir des personnes s'amuser à nous éplucher les jambes ça me faisait peur. Quand il arracha la chose verte, mes jambes me brûlaient et j'avais mal. Je regarde alors ma styliste qui tournait la tête pour voir si j'allais bien, puis je la vie s'approcher de moi. « Tu n'as pas mal Azleen ? » son air était étonné. À mon avis, les anciens tributs qui avait dû subir l'épluchage avait eu mal bien plus que moi. Mais bon, moi j'avais eu plein de bleu aux jambes à force de tomber où de me brûler avec papa au travail. « Bah disons que ça fait un peu mal, mais bon ça va, l'épluchage ne m'a pas tué ... » Ma phrase décrocha un rire moqueur à tout l'ensemble du personnel et à ma styliste. Je crois que je passais pour la fille bête, mais bon, tant pis ! « Très bien Azleen, j'ai oublié de te dire, je m'appelle Athéniésa, bien, maintenant tu vas aller vers Gipsy qui va s'occuper de ta coiffure, je reviens rapidement. » Celle-ci m'adresse un doux sourire avant de sortir. Je me retourne et voit un homme habillé tout en noir avec plusieurs clou sur le visage, mais je crois que c'est un autre mot qu'on dit ici, perting, un truc dans le genre. Je le regarde et le suit avec mon drap violet qui recouvre mon corps. Je m'assois sur une chaise devant un miroir. « Tu es bien jeune Azleen ... » Je sursaute en entendant sa voix aigu, c'est leurs trucs de nous faire peur où quoi ?! Je le regarde observé mes cheveux dans la glace et regarde mon visage, c'est vrai qu'on dirait que j'ai 11 ans et que je ne peux même pas participer aux jeux. « Euh oui ... » Mon ton est sec et je ne sais pas quoi répondre, puis je le vois me regarder dans la glace et fixé mes yeux. Je reste immobile par peur, puis il se tourne sur le côté et commence à préparer un mélange avant de me mettre la tête en arrière dans un évier pour me mouiller les cheveux, il allait sûrement changé la couleur de blé de mes cheveux. « Tu as qu'elle âge exactement ? » Je crois que son truc c'est de faire la conversation pour me détendre. Je ne réponds pas et quand il passe sa main dans mes cheveux pour me les laver, je lâche un petit cri, ça faisait trop du bien ! On m'aurait prit pour une folle. « J'en ai 13. Mais pourquoi toutes ces questions ? » Je le regarde et le voit en pleine concentration entre mes noeuds, on y est pas allé de main morte avec Alyac. Il lâche un petit sourire après 30 secondes de concentration au moins. « Je veux te connaître, on ne fait pas un travail sans connaître la personne, ça ne servirait à rien si je te coiffais une chose que tu n'aimes pas. » Je ne comprends pas, il veut connaître les morts ? C'est comme ci on demandait aux assassins s'ils voulaient connaître la vie de leurs victimes. « Mais monsieur ... Euh Gipsy, comment vous voulez me connaître alors que vous allez simplement obéir aux ordres et faire ce que vous à demandé Athéniésa ? » Cette question me mordait la lèvre, et une fois posé, j'étais heureuse. L'homme me regarde avec un air fier, comme ci je faisais ce qu'il fallait. « Baisse ta tête. » J'obéis. « Athénésia m'a fait part de son idée, je veux simplement apprendre à te connaître pour te représenter devant panem, c'est bien à ça que sert le défilé non ? » je le regarde avec un air étrange, le défile sert à présenter les jeunes tributs de chaque district, et ils doivent représenter leurs districts. Je me suis trompé sur mon point de vue ? Je le regarde et le voit me sourire avant qu'il me mette un pinceau dans les cheveux et du papier d'alu' dans les cheveux. « Le défilé sert à représenter le district, pas les tributs, ce sont les interviews qui représente et cherche à connaître les tributs ! » mon ton est sec, bah oui quoi il veut me connaître, mais si je n'ai pas envie moi ! Je le vois quand même sourire et hoché des épaules avant de retourner le fauteuil pour que je le vois à la place de mon reflet et du siens. « Azleen, je dois bien apprendre à connaître mes gagnants non ? » Je le regarde bizarrement, il me fait peur ! Je ne suis pas une gagnante, et encore moins une gagnante de ces jeux ! Il est jeune pour un styliste et je devine que c'est sa première année et qu'il n'a pas dû regarder les hunger games longtemps, comment il peut savoir que je suis une gagnante. Est-ce que j'ai la tête d'une fille qui veut tuer tout le monde et qui fait flippé, bon je ne dis pas que tous les gagnants sont comme ça, mais quand même y a des limites ! Et puis moi je n'ai pas l'étoffe d'une gagnante, peut-être qu'il cherche à me motiver. Je le regarde en levant les yeux aux ciels avant qu'il reprenne ma coiffure. Je crois que le pire c'est qu'il m'a mis un drap devant la glace, rien que pour m'embêter et cacher ma coiffure. Je le vois mettre plein de maquillage d'une couleur rouge et je devine que je serais dans les tons rouges. À peine j'ai fini le maquillage qu'Athénésia revient. Avec un cintre et une robe rouge rebondissante et une espèce de coquille arrondit. Je la regarde et elle me fixe avec des yeux ronds et émerveillés. «Oh, Azleen, tu es si ... Gipsy ton travail est si ... » à croire qu'elle n'arrivait pas à finir une phrase ?! Je lâche un petit rire stressé et regarde le monde affolé autour de moi. On me donne des collants blancs que j'enfile et j'enfile la carapace autour de la taille. « C'est ma jupe ?! » Athénésia lâche un petit rire amusé en me regardant avant d'enlever le cintre et de me faire enfiler cette robe rouge qui rebondit sur sur la carapace, je comprends que ça sert simplement à tenir la jupe droite et rebondit. Je souris le temps qu'elle m'enfile un petit ruban rouge autour du coup et qu'elle personnifie ma coiffure. « Tu veux te voir ? » Je la regarde et hoche la tête gentiment, elle me fait enfiler de haute chaussure rouge et je mets du temps à avancer avant d'arriver devant la grande glace. « 1, 2 ... » Je la fixe. Oh non pas un conteur ! Je déteste ça et puis ils font toujours durer le 3 ! Je jette un regard noir et enlève le drap et ma vision de moi change. Je n'ose plus bougé. Je suis devenue brune. J'ai un visage tout blanc, comme de la percelaine ou pircelaine, enfin un truc dans le genre qui sert à faire des poupées, en fait non, je ressemble à une poupée. J'ai les cheveux bouclés en chignon, un rouge à lèvre qui fait ressortir mes lèvres et mon corps de petite fille, des yeux marqués par les traits fins qu'on m'a dessinées au crayon. On dirait un pantin, et cet habit marque ma personnalité, je ne veux pas être un pantin et pourtant j'y ressemble. Le rouge rappelle le sang que le district douze à verser et on dirait que des larmes ont été dessinées sur mes joues pâles. Je me retourne et fait un grand sourire à Gipsy et à Athénésia, ils ont fait un boulot peut être simple, mais magnifique pour moi. Je me demande alors ce qu'est devenue Alyac, je le vois bien se ramener en nounours !« Bon, petite poupée, il faut que tu nous suive si tu veux qu'on aperçoive ta magnifique tenue ! »J'avance alors dans les couloirs en suivant Athénésia et donnant sagement la main à Gipsy qui me sourit gentiment. J'arrive enfin et aperçoit les différentes tenues des tributs. Les tributs du district un sont blanches comme la neige, celle du deux sont en or comme des victorieux, le quatre est en bleu et le sept en marron. Nous sommes les seuls à représenter les jeux avec notre rouge sang ! Athénésia se met à courir et je la suis en manquant de tombé, heureusement que Gipsy m'aide. Nos cheveux sont noirs avec des cheveux rouges et comme nous, ils ont un maquillage pâle sur le visage, comme des faux chevaux. Athénésia vérifie tout sur moi et je vois quelqu'un habillé en costard cravate, mais en rouge et noirs comme moi. Je souris en découvrant que le visage est maquillé pareille que moi et découvre que c'est mon co-tribut, lui a dû rouge au visage, comme du sang, comme-ci il avait tué tout le monde, l'allure d'un conquérant. Je souris en le voyant et lui est surpris. « Mademoiselle n'aime pas les sauterelles, elle préfère les poupées. »Je baisse la tête honteuse de ce qu'il vient de dire, je n'ai jamais aimé jouer à la poupée et le fait de regarder mes chaussures me fait sourire. « Fait gaffe à tes testicules si tu ne veux pas que t'enfonce ma paire de chaussure dedans ! » Je vois alors son regard choqué se mettre à rire et je me mets à rire aussi, il faut dire, on est deux psychopathes ! Les portes s'ouvrent et l'hymne commence alors tout le monde nous précipites dans le cortège. Athénésia nous donne quand même une chose. Elle tend une épée couverte de faux sang à Alyac qui sait ce qu'il doit faire comparé à moi, elle me donne alors le poignard de mon père que j'avais laissé dans le train et me fait un sourire. Les tributs du douze allait être sanguinaire cette année. Le district dix vient de partir et on entend les acclamations du public, à mon avis, beaucoup doivent les aimer. Mon coeur bat de plus en plus vite et je sens la main d'Alyac se coller à la mienne et sa bouche s'approcher de mon oreille. « Fait la poupée ... »Je tourne la tête vers lui et notre chariot démarre. Un silence se fait palpable en nous voyant et je pose la tête sur le côté munie d'un sourire vers le public avant qu'Alyac lève son épée remplie de sang devant le public qui nous acclame encore plus que les autres. « Cette année le district douze est ravageur, tout le monde aime le côté conquérant et victorieux de ces deux jeunes enfants, entre un grand combattant et une jeune poupée remplie de tristesse et fierté vers ces prochaines victimes, y aura t-il un gagnant dans le douze ? C'est un grand mystère. » Tout le monde applaudit et la voix de Claudius T. se fait entendre avant que le défilé ne se termine. Je descends alors de mon chariot au côté d'Alyac en souriant. Athénésia me prend dans ces grands bras et me sourit en m'applaudissant. « La poupée meurtrière! » crit-elle devant tout le monde et surtout les carrières, je souris quand même, moi qui voulait me faire discrète comme le district neuf, c'est raté, mais bon, regardez-moi, j'ai la classe au moins !
IV. L'entraînement
Premier jour. « Réveil toi ma poupée ! » La voix d'Alyac me réveille dans mon lit douillet, comment il ose venir squatter ma chambre et me réveiller ! Déjà que je n'aime pas qu'on me réveille, et encore moins comme il l'a fait, alors qu'il me foute un peu la paix quoi ! Mais non, il est bien décidé à me réveiller. Je le vois s'approcher de mon visage en rampant sur le lit et je le scrute. Il a de si beaux yeux bleus, ses cheveux châtains sont si doux aux contacte de ma peau, et son regard est attendrissant. Oh punaise, faut que je calme mes hormones là ! C'est sûrement le fait d'avoir Georg comme mentor, je ne dis pas qu'il est moche, mais bon j'aurais préféré avoir un mentor sexy pour me conseiller, cela aurait été cool ... Alyac me regarde et rigole en voyant ma tête se fourrait sous la couette blanche quand la lumière du jour apparaît dans ma " chambre ". Je me dis un instant que tout ça c'est un rêve, mais non c'est bien réel. « Banzaïïïïïïï !!! » j'avais souvent entendu ce mot, c'était dans les films du capitole avec des monsieurs aux yeux trop bizarres qui se tapait dessus avec de la force et de l'agilité, bravo à eu ! Mais je venais de comprendre la vraie signification de ce mot, Alyac venait juste de me bondir dessus, cool la vie ! Je retourne la couette laissant ma gueule de bois apparaître. « Putain Alyac, t'es vraiment qu'un pauvre con ! Va emmerder le monde ailleurs ! » Alyac se met à rire en me regardant et je soupire. « Et bien dis donc, qu'elle grande vulgarité dans la bouche d'une jeune fille ! » Je sursaute et me retourne en voyant ma styliste me souriait. « Athé', tu devrais passer une journée avec lui, c'est une envie de suicide ! » Je sens le regard noir d'Alyac et le rire de ma styliste. « Et bien on peut dire qu'il aura tué tous les tributs aujourd'hui ! » Je sens que sa voix cache quelque chose et je comprends alors qu'elle veut que je me prépare, parce qu'aujourd'hui c'est la journée, entraînement. Le premier jour ... Je lâche un soupir de fainéantise et je sens son regard posé sur moi. Je me relève en regardant Alyac. « Dégage de là toi ! » Je me retourne vers Athéniésa. « Où est mon survêtement ? » Je vois un signe de tête et voit un habit d'une couleur noire avec un " 12 " sur les manches. Je vois Alyac partir et Athéniésa fermer la porte à sa sortie avant de m'aider à enfiler ma combinaison. « Tu as une stratégie ? » je me retourne vers elle et hoche des épaules. Je m'approche de ma glace et m'assoie sur le fauteuil comme elle me fait signe. « Pas vraiment, je ne sais pas à qui je dois faire confiance, à qui je dois parler et avec qui je peux faire alliance... »Elle me regarde et sourit avant de prendre une brosse et commencé à me démêler les cheveux comme une mère. « Et bien tu n'as qu'à t'allier avec les personnes de force moyenne. Ne va pas vers les carrières et évite les, ne va pas vers les plus faibles non plus, si tu ne veux pas mourir. Entraîne toi discrètement, reste caché derrière Alyac, il est plus grand que toi et sera te guider. » Je suis vexé de ce qu'elle vient de me dire. Selon elle, Alyac est plus fort que moi il sera me protéger, merci dans ce cas je vais me chercher superman ou encore un homo dans un costume moulant se la jouant hétéro' et prenant du plaisir à lire des magasines avec des hommes nus ! « Oh c'est sûr, Alyac va me sauver la vie, avec lui je serais en sécurité ! » Je prends la voix d'une cruche. Athéniésa lâche un petit rire moqueur et me redonne le sourire grâce aux siens, je ne sais pas, mais cette fille elle est différente de tous les capitoliens, elle est adorable. « Ne dis pas de bêtise. Georg à déjà donner tout ce qu'il fallait faire à Alyac donc tu n'as qu'à suivre. » Mes yeux sont écarquilles. Georg a un tribut préféré entre moi et Alyac, et il ne me dit pas en face qu'il préfère me voir crever et voir Alyac revenir, il se prend pour qui ?! Athéniésa voit que je suis encore plus contrarié et elle approche son visage de mon épaule. « Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer. » Je me retourne et la regarde avant qu'elle est finie de me faire de petites couettes bouclés. « Athéniésa ... Je ... Je ne sais pas quoi faire, ni comment réagir à la situation, me dire que je vais devoir mourir bientôt me perturbe pourtant j'essaie de ne montrer aucun signe de faiblesse, pour ne pas pourrir l'ambiance et le sourire de tout le monde ... » Athéniésa prend un air triste et se met devant moi en me prenant dans ses bras encore une fois. « Ne t'inquiète pas Azleen, nous serons toujours là pour toi, tu es notre petit trésor, notre petite poupée. » Je comprends alors que je suis ça plus jeune tribut depuis le début de sa carrière, et que je resterais la petite fille adorable. Elle me sourit avant de me faire signe d'aller vers notre résidence où se trouve un bon déjeuner avec Alyac dessus. Je ris en le voyant se goinfrer et je prends une petite pomme et un verre de jus jaune appelé jus d'orange. Le déjeuner se passe dans un grand silence et je me lève dès que je finis en voyant Alyac faire de même. Georg ne nous regarde même pas et je soupire. « Allez tout en en bas dans les sous-sols ! » Heureusement qu'Athéniésa était là ! Je souris et lui fait un signe de tête qui veut dire " merci " avant de me diriger dans les couloirs de notre étage.
« Tu as peur ? » Je regarde Alyac les yeux grands ouverts, avoir peur ? N'importe quoi, enfin, juste un tout petit peu alors ! Je suis le garçon qui me parle et sans qu'il cherche à savoir la vérité. « Pff, n'importe quoi, je n'ai pas peur ! » Je réponds avec un air totalement relaxe, même si intérieurement j'ai hâte à m'entraîner, je veux savoir ce qu'on va faire. « J't'explique, on doit jouer la carte de la discrétion, on se fait discret, on se disperse et on observe, à la pause, on se fait un bilan et on va vers ce qu'on a décidé ok ? » Je trouve son plan astucieux et simple, ce qui me va. Je souris et lui tape dans la main comme ci on se connaissait depuis longtemps, ce qui est le cas sauf que notre relation est devenue plus positif, ouais je l'apprécie en fait et c'est ça le plus chiant!Je souris et j'avance vers l'ascenseur et me dirige vers la salle d'entraînement avec Alyac. Nous sommes que quelques tributs, il y a le district un, le deux, le quatre, le sept, et le onze. Les autres sont encore en train de se reposer et je regarde quelques-uns des tributs. La petite blonde du district deux ne me fait pas confiance, mais la rousse du sept m'a l'air d'être déterminé. Il y a aussi cette brune du quatre et son co-tribut qui me paraisse bon. Le dix arrive et je découvre une grande fille et un adolescent un plus grand que moi. Le moniteur commence à nous parler des stands, mais mes yeux restent braqués sur le district quatre et le district dix. Je regarde chaque atelier et cherche celui qui pourrait m'aider. Je décide de suivre le district quatre pour l'instant. La jeune fille se dirige vers le camouflage et je me pose dans le stand d'à côté, la survie. C'est totalement idiot, mais bon je ne sais pas quoi faire. Alyac se dirige lui vers le district sept, il a compris ma stratégie et va vers la connaissance. Je souris et commence à les écouter, j'écoute le camouflage et apprend à faire un feu, étrange, mais pratique. Je sens le regard de la fille du quatre se poser sur moi et je fais mine d'être concentré. Je sens alors un rire moqueur et remarque que je n'ai rien suivie au cours du moniteur et que je me suis juste passer la pierre sur la peau comme ci j'imite le cours de camouflage version survit. « District douze, vous comptez allumer un feu sur votre bras ?! » Je sursaute et regarde la femme en baissant la tête. La fille du district quatre avec la main peinte s'approche de moi. « T'es pas très douée niveau espionnage. »Je sens son rire moqueur et le regard de son tribut. Je me relève et jette la pierre de la fille par terre avant de m'avancer dans un autre coin pas très loin du district quatre qui passe à la survie. Je regarde les poignards et repense à ce que mon m'a appris. Je vois le tribut de district deux se déchaîné comme un fou sur le pantin et je me prends soudain le bras du mannequin dans la figure ce qui me fait tomber d'un coup. Alyac accourt pour voir ce qui m'arrive et je sens le rire de certain tribut et le regard exaspéré de la fille du district quatre. Le garçon du district dix me regarde en haut, il s'est accroché au barreau et je ne sais pas comment réagir. Je vois le garçon du district deux se rapprocher de moi et je cherche une cachette, il va sûrement m'engueuler d'avoir arrêté son entraînement. Le garçon du dix remarque la même chose que moi et me tends sa main, mais je suis malheureusement trop petite pour l'attraper. Alyac me prend alors par la taille et me tends au garçon du district dix qui m'attrape et me fait grimper rapidement dans sa cachette. Alyac me fait un clin d'oeil, heureusement qu'il est là. Il va alors retourner discrètement au stand de camouflage et je vois la tribut du quatre me fixer avec un petit rire. « Merci. » Je regarde le frisé du dix qui me sourit, si quelqu'un voulait s'entraîner ici, c'est raté. Quelques autres district comme le trois, le cinq et le neuf arrive et commence à aller dans les stands où se trouve les carrières, les alliances vont sûrement se faire. « J'suis Jarod, et toi poupée ? » Je soupire en le voyant rire de moi, il fait sûrement référence à la remarque de Claudius. « Moi c'est Azleen. » Je le vois hoché de la tête et cherché un stand, à mon avis il n'a pas envie de rester avec sa co-tribut qui traîne aux alentours des carrières. Je lis sur son visage qu'il est dégoûté de la voir rire avec eux et surtout avec ce malade mental du deux, je me demande s'ils auront une carrière normal dans le district deux. Bon j'ai beau rire, il me fait un peu flippé. Je ne dirais pas un peu, mais beaucoup même.
Quelques heures après avoir discuté et nous êtres entraînés au corps à corps rapidement en cachette, j'ai appris que Jarod était un fils de pharmacien et qu'il s'y connaissait bien en plante, je pense qu'une alliance serait envisageable et même obligatoire ! À ce que j'ai pu observer Jarod est très observateur comme moi et ce méfie de district quatre girl, ça m'avance bien car je ne suis pas la seule à penser ça !Je vais alors rejoindre Alyac pour le déjeuner et le regarde avec un sourire. « Merci encore pour tout à l'heure. » Je m'assois à ces côtés et sourit sans entendre un petit " de rien " non c'est toujours un sale caractère ce mec ! Je lâche un soupire et attrape une feuille de salade que je commence à grignoter. « Alors ? » Je le regarde espérant que son bilan soit impressionnant et remplie. « Bah disons que la fille du quatre et très maline et observatrice, elle porte les bijoux de famille de son co-tribut. Les district un sont assez spéciaux, tu leurs fais une remarque ça dépend si tu viens d'un bon district ils le prennent bien et sinon bah voilà ... District deux n'en parlons pas, district trois sont souvent devant des miroirs, pauvres narcissiques ... District cinq aime les stands de survie, à mon avis, le bain de sang leur sera peut-être favorable s'ils choppent un petit sac chacun. District six ce base plus sur la force, ils sont solides niveaux forces et ils sont pratiques niveau corps à corps, mais les muscles ça ce nourrit et je pense que c'est ce qui va leur coûter leurs places. District sept est discret, presque effacé, comparé à district huit qui se jette sur la course, ils vont sûrement partir en courant, ce sont les meilleurs proies. J'ai parlé avec les deux districts neufs, ils m'ont l'air sympathique et une alliance avec eux ne serait pas mauvais. Enfin la fille du dix m'est pour moi pas une alliance et district onze je ne les aie pas vus. On a l'impression qu'ils ne se montrent pas, presque qui reste caché. » Je tourne la tête et applaudit discrètement mon co-tribut. Je suis si fière de son bilan et de son travail. « Je ne vais pas vraiment t'apprendre beaucoup de chance, comparé à toi, district dix s'appelle Jarod, il est fils de pharmacien et pour les plantes et n'importe quelle nourriture, herbe de survie et n'importe quoi nous serait favorable. » Quand je prononce le mot " fils " Alyac se transforme en robot, j'ai l'impression qu'il est comme persuader d'une chose sur moi. « Ton père, c'est bien un forgeron ? » Je le regarde et hoche la tête. Un sourire se forme sur son visage et je ne comprends pas. « Si j'ai bien vu,tu travailles souvent avec lui ... Pas besoin de se jeter dans la gueule du loup pour la corne d'abondance, tu pourras nous faire des couteaux ! » Je lève les yeux aux ciels. J'ai plus qu'à claquer des doigts pour qu'un cerveau lui vienne à la tête. « Je ne peux pas faire des choses aussi difficiles, et je te le fais comment le couteau ? J'le sors par mon trou de balle ?! » Je sens la main de Alyac se mettre sur ma main, je tourne la tête et voit le regard des juges diriger vers moi avec leurs nourritures à la bouches l'air choqué. Je regarde Alyac et retire sa main.« Fin' bref vous avez compris, alors maintenant régaler vous avec votre nourriture avant de vous occuper de nous ! » Tout le monde repart manger avec certain regard amusé du coin de l'oeil. Je me retourne vers Alyac et sourit bêtement. « Merci grâce à toi, on a plus d'allié et un bilan sur l'endroit où tu rejette tes gros déchets ... » Je soupire en finissant de grignoter toute la salade et en ronchonnant.
La fin de la journée se passe rapidement, à peine j'arrive à la résidence que Gipsy me regarde avec un air amusé. « Quoi ? » Je soupire avant de m'allonger sur le fauteuil confortable. « Et bien ton bilan du déjeuner à du bien intéresser les juges ... » Je me relève aussitôt avec un visage choqué et décomposé. « Quoi ?! » Gipsy rit encore un peu avant que Georg arrive en me passant sa main dans les cheveux en riant. « Tout le monde ne parle que de toi poupée, et de ce qui s'est passé à la cafétéria ... » Alyac rit pendant que je baisse la tête. « J'vais me coucher ... » Je me lève automatiquement et va directement dans ma chambre en m'y enfermant. Je commence à verser quelques larmes avant de regarder la grande vitre, j'avance doucement et appuie sur un bouton avant de voir le défilé reproduit sur ma vitre. J'entends Claudis et Ceaser crier et moi en poupée meurtrière. J'éteins alors l'écran et me concentre. Je vais gagner cette édition, je vais la gagner et c'est une parole !
Dernier et troisième jour d'entraînement. Nous y voilà. Oh oui enfin nous y voilà. Troisième jour, et dernier. Demain j'aurais le droit de passer à la télé, mais pour l'instant, c'est le moment le plus dur je pense. Je regarde Alyac, tout tremblotant sur le banc pendant que district sept avance devant nous. La fille me fixe et je continue de la regarder sans la lâcher mon regard. Je ferme les yeux un moment. Je les ouvres. Alyac bouge encore ses jambes, et on dirait une sauterelle. J'ai peur. Je m'écarte un peu de lui et il remarque alors ma peur sur mon visage. Je le vois se calmer tout doucement et je calme moi-même mon coeur. Je n'aime pas les sauterelles. Je le vois qui me sourit et je comprends qu'il a compris ma faille, donc je sais qu'il comprend que j'aurais peur dans l'arène. Pas des autres tributs, mais des sauterelles. Je serai capable de tuer seulement les sauterelles. « Il faut que tu caches ta peur ... » Je le regarde et comprend alors que si je montre que j'ai peur des sauterelles, les juges en mettront dans l'arène pour me faire peur. Je bouge rapidement la tête pour lui montrer que j'ai compris et je reprends mon regard sur mes cheveux. Les voir noirs, ça fait bizarre. Mais j'aime beaucoup. Le temps passe rapidement et je vois Alyac partir et faire son passage. Je me rappelle de la conversation qu'on a eu sur mon lit. Il doit montrer sa force et son courage, le fait qu'il court et qu'il sait sauté. Je ne sais pas ce que je vais faire moi. « Azleen Connor, tribut féminine du district 12. » je me lève et respire doucement. Je suis calme, très calme. Je n'ai pas peur... J'ai peur!J'entre dans la salle et voit pleins d'objet disposé devant moi. Les juges me regardent. « Je suis A... Az... Azleen .... » Je n'arrive pas à parler, mais seulement trois mots me viennent à l'esprit. « La poupée meurtrière ! » Les juges se regardent et sourit en hochant la tête pour me laisser le passage. Je dois prouver que je peux survivre ! Je dois survivre ! Je regarde tous et m'approche du stand de survie en commençant par faire un feu. Les juges dérivent rapidement la tête, je pense que je ne suis pas la seule à avoir fait ça. Je m'approche du stand et prend un silex et une pierre. Je commence à faire chauffer la pierre et à la tailler avec le silex comme papa. Les juges regardent du coin de l'oeil pendant que je me confectionne ma petite arme. Je leurs montre l'arme et voit le regard ennuyé des juges, comme ci j'avais fait un truc de gamin. Je m'avance alors vers un mannequin et commence à le taillader de coup avec mon petit couteau fabriqué et arrive à enlever la tête d'un mannequin. Les juges me regardent la tête un peu perplexe. Je pose le couteau et salut mon " public " avant de partir. Je monte alors dans la résidence et rejoint tout le monde, dont Athénésia qui me sourit. « Alors ? » Je souris et commence à raconter mon petit récit, fière de ce que j'ai fait.
Après avoir pris un bon bain et une bonne discution avec ma styliste, j'ai appris qu'elle avait seulement 19 ans, qu'elle n'était qu'une petite couturière de rien du tout avant de commencer à faire des choses fabuleuses avec une aiguille. Je sens l'excitation monter en moi. Normal pour les résultats de mon passage, j'ai le droit à ma petite et dernière minute de gloire non ? Je souris en frottant doucement mes mains, mon excitation est le plus marqué et je m'avance dans la résidence près de notre écran plat. Athénésia vient alors se placer derrière moi en me souriant, elle me laisse un murmure à l'oreille et je souris en la regardant. Je suis impatiente, non ! Plus qu'impatiente. Tout le monde arrive et Alyac se place alors par terre près de moi. Lui aussi il sent le savon et il fait la sauterelle. J'ai un petit peu peur. Athénésia sent alors mon malaise et commence à me serrer la main comme une mère. Je souris alors comme une idiote, Athénésia c'est la meilleure ! Je regarde alors l'écran qui retentit le saut de panem.« Mesdames et messieurs, jeunes filles et jeunes garçons de tout âge, bonsoir! Vous le saviez tous, vous l'attendiez tous même, les scores ont enfin été attribués aux tributs pour cette nouvelle édition des Hunger Games! Pour ceux qui n'auraient pas suivi le fonctionnement prodigieux des jeux, je vous rappelle que tous les tributs ont suivis un entraînement de plusieurs jours, et qu'ils ont cet après-midi-même été notés suite à un passage individuel devant les Juges. C'est maintenant le moment de découvrir ces scores, croisons les doigts pour avoir des surprises, mais surtout croisez les doigts pour vos favoris! Commençons donc pas le district Un, comme toujours ! » Claudius et Ceaser sont très motivés et je frotte mes mains stressant comme une folle. La tête d'un garçon durs et fort apparaît un beau neuf pose à côté de son visage foncé et je devine que les juges sont impressionnes. Puis vient la chevelure rousse d'une jeune fille montrant un regard venimeux et piégeur. Un huit trône à côté de son nom. « Et bien on peut dire que cela commence dure. Rory le tribut du district un obtient un magnifique neuf bien mérité et représente la fierté de son district. Comparé à la très belle Candice, qui obtient un généreux huit, nous nous doutons que ces deux premiers tributs seront de grands adversaires qui marqueront nos esprits ! » La voix de Claudius s'achève et je me retrouve à applaudir le discours sous le regard des autres personnes. Je n'ai pas à me justifier, j'applaudis juste par respect envers ces deux jeunes gens qui me tueront certainement avec un plaisir fou. Viens ensuite la tête du fou du district deux. Je serre alors très fort la main d'Athénésia par peur, il bouge comme une sauterelle... Et puis il a voulu me faire du mal, c'est un méchant ... Athénésia pose alors sa main sur mon épaule pour me calmer. « Tout va bien .... » sa voix est calme comme je l'aime et je souris en reprenant mon calme. Un dix vient se poser sur l'écran et je ne bouge plus. Je reste traumatisé. La fille apparaît et un sept se fige sur l'écran, mais le dix marquent le plus mon esprit. Je soupire un peu. « Et bien dis donc ! Nous sommes gâtés cette année, nous avons du haut niveaux ! Il faut applaudir le merveilleux exploit du district deux, un beau dix et un sept, de quoi nous régaler ! » Il parle de ça comme de la nourriture ?! Je reste encore figé et zappe le district trois, ils se feront tuer au bain de sang ! Je serre les dents en voyant le regard verdoyant de la tribut du district quatre. Un huit apparaît et je souris mine de rien, fière d'elle. Les district passes. Le 5 et le 6 ont de très mauvaise note, le district sept remonte la pente, mais le district huit coule. Le district neuf et les amis d'Alyac montrent de jolie six et Jarod apparaît. Je le regarde avec son air mignon et un joli sept apparaît. Je suis heureuse pour lui ! Le onze passe rapidement et le visage reflétant les cheveux châtains d'Alyac arrivent. Tout le monde stress et celui-ci se fige en voyant un six apparaître. Je me retourne et sourit en voyant ça très bonne note. Six, c'est bien ! Soudain mon visage bleuté aux cheveux noirs apparaît et je me regarde fixant le nombre qui va apparaître. Soudain une note apparaît, mais je reste bouge bée. Un dix. Un dix. Pour moi?Une fille de forgeronne totalement idiote sans sentiment ? Je n'y crois pas. « Et bien c'est un retournement de situation ! Le jeune mâle du district six obtient un six, mais se laisse dépasser par sa co tribut qui obtient un merveilleux dix, on peut totalement applaudir cette jeune fille qui est la plus jeune de cette édition des Hunger Games ! » Je ne dis rien et reste perplexe. J'ai mal au ventre et tout le monde saute. Soudain, je vomis.
UC
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- Interview - Bain de sang - Jour dans l'arène - Tournée du vainqueur - Histoire de gnutgnut - Vie d'aujourd'hui
Dernière édition par A. Lydia Connor le Mer 5 Sep - 23:52, édité 28 fois
Invité
Sujet: Re: Lydia ϟ Quand mille personnes prennent la route, il en faut une pour prendre la tête. Mer 1 Aoû - 14:07
Rebienvenue copine de District (avec nos autre compte )
Invité
Sujet: Re: Lydia ϟ Quand mille personnes prennent la route, il en faut une pour prendre la tête. Mer 1 Aoû - 14:09
Merci copain du district de Nono
Alexiane R. Hawthorne
△ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011△ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
can you save me? statut: célibataire, coeur occupé par un revenant relationships:
Sujet: Re: Lydia ϟ Quand mille personnes prennent la route, il en faut une pour prendre la tête. Mer 1 Aoû - 15:07
Rebienvenue parmi nous ! Je file te réserver Scarlett Malheureusement, j'ai cru comprendre que ton personnage était mort et a été sauvé par le treize ? Si c'est bien le cas, je suis sincèrement désolée, mais on accepte plus les personnages sauvés lors des jeux Si seulement tu nous avais demandé avant, tu n'aurais pas eu à faire un début de fiche pour rien Je suis vraiment désolée
Invité
Sujet: Re: Lydia ϟ Quand mille personnes prennent la route, il en faut une pour prendre la tête. Mer 1 Aoû - 15:09
C'est vrai ?Oh mince Bon bah je vais chercher une édition où mon personnage pourrait être une gagnante
Invité
Sujet: Re: Lydia ϟ Quand mille personnes prennent la route, il en faut une pour prendre la tête. Mer 1 Aoû - 20:07
rebienvenue (:
Invité
Sujet: Re: Lydia ϟ Quand mille personnes prennent la route, il en faut une pour prendre la tête. Mer 1 Aoû - 21:40
Merci
Thybalt M. Homens
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