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| ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:37 | |
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Beallara Cynara Hammerstein❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ » Je me nomme Beallara Hammerstein mais depuis mon enfance, on me surnomme Bael (prononcé Bell’) ou Bea (prononcé Bay) – Je suis âgée de 19 ans et bien qu’originaire du Capitole, je réside à présent dans le District 13, celui qu’on pensait détruit. Avant de fuir la richesse que j’avais connu toute ma vie, j’ai brièvement travaillé auprès des stylistes du District 4 en tant qu’assistante, espérant devenir un jour titulaire du poste. Aujourd’hui, on a mis à contribution mes doigts habitués aux aiguilles et à la propreté et j’aide les infirmiers et guérisseurs.
On dit de moi que je suis calme mais il m’arrive de me montrer particulièrement bornée, une vraie teigne avec un caractère bien trempé, une grande-gueule, du sarcasme joueur à revendre. Les gens voient surtout une rêveuse parce qu’ils prennent ma petite taille pour de l’innocence… ou bien ils ne voient pas une traîtresse, un monstre du Capitole, celle qui préparait les petits agneaux pour les livrer au carnage. J’ai perdu mon sourire il y a quelques mois et à vrai dire, je me sais méconnaissable à présent. Il n’y a plus aucune fantaisie dans mon apparence, plus aucun entrain dans mon attitude, plus aucune joie dans mon regard et la douleur ne passe pas, ineffable comme une cicatrice trop profonde. Beaucoup ne comprennent pas, pensent à une pauvre petite fille gâtée arrachée à sa petite vie bien stérile, ils ne voient pas. Comment pourraient-ils ? Je ne montre pas mon malheur, pas plus que mes larmes et lorsque je sers les points, je fais en sorte que l’on croit à de la colère plutôt qu’à un tourment quelconque. Je ne suis pas comme toutes les petites demoiselles soignées du Capitole, bien qu’on m’imagine fragile. Je m’adapte vite, je déduis, j’observe et ensuite, je m’acharne. En silence ou presque, toujours.
J’aimais la futilité de ce monde que je connaissais depuis toujours, j’aimais les robes, les jeux, j’aimais les jolies choses et la musique, la nourriture en abondance. La meringue était mon péché mignon mais je ne me souviens même plus du gout, tout comme j’ai oublié que le châtain terne n’est pas la couleur habituelle de mes cheveux, comme j’ai oublié qu’avant, j’avais les yeux qui brillaient. Maintenant, je détourne la tête et je m’arrache la gorge pour retenir des larmes, avoir encore un peu de dignité est ma seule force… Les choses ont changés, reste à ajuster.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Provoquée, probablement, si un jour le courage se pointe ou le désespoir devient trop grand. Sans brutalité, sans hargne, juste un sommeil aidé et définitif. Ou bien je serais tuée pour avoir grandi au mauvais endroit, pour être née au Capitole et avoir participé à tout ça. Jetée au sol, rouée de coups, par l’un ou par l’autre, en fait. Par ceux qui abhorrent le système et par ceux que j’ai trahi en prenant mes jambes à mon cou et en quittant mon post. Un extrême ou l’autre, la douceur d’un suicide calme ou la brutalité d’une mise à mort surement méritée… qu’importe, au fond, les deux feront taire le deuil, parait-il.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Je vivais pour moi, pour mes ambitions et ma carrière, pour mes espoirs, mon envie de reconnaissance. Je vivais pour cet idéal qu’on nous sert, celui de beauté éternelle, de jeunesse sans fin, pour l’opulence de ce monde qui était le mien. Dur fut la chute. Aujourd’hui, je vis parce qu’il le faut et que je n’ai pas d’autre solution, trop lâche pour m’évader définitivement. Aujourd’hui j’attends que ça se passe en fermant les yeux lorsque le bruit de la foule devient trop assourdissant, lorsque je perds pied et que je crois m’écrouler. J’aurais aimé bien vivre plutôt que de survivre, mais les choses sont différentes ici-bas.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Je suis discrète et délicate, je sais me faire oublier, évoluer sans bruit. Je sais coudre, j’ai les doigts fins, j’imagine que cela pourrait servir… autrement, rien, rien de bien particulier je crois. Je n’aime pas la vue des blessures mais j’ai l’estomac assez solide pour encaisser, je ne suis pas rapide mais je compense en ne me montrant pas trop maladroite et en pouvant me faufiler partout, je n’ai pas d’endurance mais j’ai de la détermination. Rien de plus qu’une souris, en fait.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Je ne devrais pas être à même de répondre à cette question. A vrai dire, je ne sais même pas si j’ai le droit de la qualifier de ‘proche’. Mais… j’ai perdu quelqu’un oui. Un tribut que je devais préparer, avec les stylistes. Il venait du 4 et sans trop savoir pourquoi, je lui ai laissé l’opportunité de me briser le cœur sans même qu’il ne le sache. Je revois ses sourires, je revois sa force, sa volonté de gagner, sa fierté. Je le revois partir dans l’arène et se faire tuer. Je viens du Capitole mais il m’a fallu une semaine pour tomber brutalement et me prendre une vague de réalité dans les dents. Il est mort, je ne le connaissais surement pas assez pour avoir le droit de le pleurer et pourtant, pourtant…
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? Avant, les jeux me fascinaient. J’ai passé mon enfance à rêver devant les tenues, les parades, à envier ceux qui pouvaient participer à tout ça. J’étais idiote, surement, ou bien simplement naïve. C’était mon rêve que de pouvoir me glisser dans les coulisses de cette immense machine, d’y prendre part. J’ai réussi, d’ailleurs, mais c’est là que j’ai déchanté. Pas immédiatement, non. L’engouement était toujours là au début, jusqu’à ce qu’il soit envoyé dans l’arène, jusqu’à ce que je me retrouve à guetter sa mort, à attendre les coups, à retenir mon souffle et à me tordre les doigts. En voyant le monde qui se trouvaient en dehors du Capitole, j’ai compris, trop tard surement, qu’il n’y avait dans ces jeux que la cruauté de ceux aveuglés par le confort, que le divertissement trivial d’un peuple prêt à tomber.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? C’est lorsque j’ai entendu le message pendant les Jeux que j’ai décidé de fuir, de tenter ma chance. Il était déjà mort, j’étais déjà brisée, je n’avais plus ma place ici, au Capitole, alors j’ai couru, sans prétention. Je n'avais plus rien à perdre, je n'avais plus qu'à essayer de trouver le 13 en espérant qu'il s'agisse là de la réalité... Je sais très bien que je n’apporterais rien à la révolte mais je comprends le mouvement, le soulèvement, j’ai appris à voir mes torts. Je soutiens les rebelles sans oser le dire, surement parce que cela me faudrait des coups, surement parce que je n’ai pas mon avis à donner, moi la traite, la fuyarde sans talent. Ils me gardent en vie parce que je sais nettoyer et manier les aiguilles, parce qu’éventuellement je deviendrais infirmière ici, mais je ne vaux rien. La rébellion arrive, cependant. Je ne suis qu’un pion mais les pièces maitresses ont cherché ce qui s’apprête à leur tomber dessus…
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ? Même si je ne me plains pas, le luxe et la facilité me manque. Je me souviens des repas immenses, je me souviens de la lumière, partout, de l’air que l’on pouvait respirer au sommet des buildings du Capitole. Je ne vais pas mordre la main qui me nourrit, ne vous tromper pas, mais la vie ici est aussi terne que le métal qui nous entoure, aussi triste que la routine militaire… Peut-être est-ce mieux, au final, parce qu’ici, au moins, les priorités ne résident pas dans des perruques ou de la nourriture hors de prix, parce qu’ici ce que vous possédez ne détermine pas qui vous êtes ou votre importance… Le Capitole me manque parfois, la lumière surtout, mais à quoi bon voir le soleil lorsqu’on souhaite la pénombre parce qu’elle s’accorde mieux aux souvenirs ?
reality is here.
Bonjour ; moi c’est Mary, je viens d’un peu partout et ça faisait un moment que vous étiez dans mon radar mais dans le cas présent, c’est Eglenver ( ) qui m’a trop parlé de MJ pour que je sache résister plus longtemps. Mon prénom, en fait, on s’en moque, sur le net je traine sous le pseudo de Whorecrux et j’ai 22 ans - bim, dans mes dents. J’ai lu la trilogie trois ou quatre fois, je n’sais plus exactement, bien entendu que j’aime, même si j’ai été déçue par la fin ; et par le fait que mon OTP se fasse tuer dans le tome 1, aussi. Le forum est juste superbe, félicitations
FEATURING Mona Johannesson © COPYRIGHT whorecrux
Dernière édition par Beallara C. Hammerstein le Jeu 10 Mai - 1:36, édité 13 fois |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:37 | |
| - Spoiler:
avant de me lancer dans ma fiche, je me suis concertée avec Hannibal pour "Jack", l'autre tribut du 4, ici renommé Slyker
tell us your story.
Elle se souvenait encore de la façon dont ses cheveux lavande et argentés avaient encadré son visage fin pendant ces longs mois de préparation. Elle se souvenait de l’acharnement dont elle avait fait preuve pour arriver à cette place et de la hargne dont elle s’armait pour y rester. Elle se souvenait de la détermination, du travail, elle se souvenait de son envie de prendre part dans les Jeux, d’être dans les coulisses, d’en voir les rouages. Elevée dans ce culte-là, comment aurait-il pu en être autrement ? Beallara n’avait été qu’une fille parmi tant d’autres au Capitole mais d’une manière inattendue, elle avait surpassé les attentes et un sourire fier avait longtemps retroussé ses lèvres.
A présent, les doigts enfoncés dans une plaie pour tenir un garrot pendant qu’une infirmière sortait des bandages, elle faisait face à toute la haine et la misère de ce monde qu’elle avait ignoré au profit du luxe et de la facilité. Jamais ne c’était-elle douté que tout cela était vrai, que les jeux montraient la vérité. Jamais n’avait-elle saisit que les districts affamés qu’on montrait chaque année n’était pas un montage, une mise en scène pour accentuer l’audience. Elle savait, à présent, avec ses mains couvertes de sang et le regard haineux qu’on lui jetait. L’homme allongé là, celui dont elle tenait le bras pour qu’il ne bouge pas alors qu’on le soignait, il savait qui elle était, d’où elle venait, ce qu’elle avait fait de sa dernière année au Capitole. Préparer les agneaux pour le massacre n’était pas une tâche glorieuse lorsqu’on sortait de cette bulle stérile et parfaite, lorsqu’on s’aventurait dans Panem. Bien au contraire. Ici, elle n’était qu’un monstre qu’on avait assigné au District 4 afin qu’elle pomponne ceux qui ne sortirait surement jamais vivant de l’arène. Des carrières, oui, mais cela ne changeait pas grand-chose au final, ils mourraient tous, tous sauf un.
Elle sentit l’homme se débattre. Il se concentrait sur son dégout envers elle plus que sur la douleur provoquée par la blessure et au fond, elle savait que c’était une bonne chose… pourtant elle aurait aimé qu’il se focalise sur la façon dont la lame de son outil avait tranché sa peau, sa chair, parce qu’elle n’en pouvait plus de supporter tout ça, parce qu’ils ne savaient pas, tous, qu’elle avait compris leur mal, leur peur. Serrant ses mains et reportant son attention sur l’infirmière qui lui donnait des ordres, elle releva ensuite la tête et croisa son reflet, grimaçant légèrement. Oui, elle se souvenait de la perfection qu’elle avait incarnée, irréelle avec ses cheveux en anglaises magnifiques et ses lèvres pourpres, avec ses yeux de poupée et son air innocent. Elle semblait terne à présent, fatiguée, brisée. Elle l’était. A courir à travers les terres désertes pour fuir, elle s’était abimée et à présent, plus fine, plus fragile, elle ressemblait à tous les autres habitants du 13. Les longues mèches qui s’étaient détachées de son catogan étaient châtain, plus lavande, plus argenté, et ses lèvres étaient rouges d’être si gercée, il n’y avait plus rien d’autre, plus de fantaisie… A quoi bon, de toute façon ?
Tout ça était loin, cela faisait des mois qu’elle avait perdu son sourire.
Inévitablement, Beallara se retrouva à penser à Slyker et son cœur se serra. Soudain absente, soudain fébrile, elle chercha à chasser les souvenirs de son crâne mais tout semblait figer. Le premier sourire, les discussions, ses joues rosies par la gêne et puis la réalisation… Ce tribut du 4 qui avait attrapé son cœur en plein vol, elle devrait le laisser partir. Elle n’avait rien dit en le voyant filer, en le regardant s’éloigner. Elle n’avait pas sursauté, pas une fois, jusqu’à ce qu’il se retrouve face à elle… Il aurait pu gagner, elle le savait. Il aurait pu gagner et elle aurait été heureuse, parce qu’aussi idiot que cela puisse paraître, elle était tombée pour ce garçon. Il aurait pu gagner si ce n’avait été pour la brutalité des jeux. Elle l’avait vu mourir, elle l’avait vu s’écrouler, se faire tuer, elle avait entendu le coup de canon et ses larmes avaient commencé à couler. Slyker était mort et dans la foulée, elle venait de comprendre la peine des gens des Districts, de ceux à qui on arrachait des enfants, des frères, des sœurs, des camarades. C’était injuste, injuste parce qu’elle n’avait rien pu faire, rien d’autre que le regarder mourir.
« Hammerstein, bougez donc, vous gênez, vous n’voyez pas ? » lança l’infirmière, la tirant de sa torpeur et aussitôt, la jeune femme lâcha son garrot et recula de quelques pas. Les doigts couverts de sang, elle se retrouvait à nouveau plongée dans des réminiscences douloureuses. C’était habituel, elle le voyait mourir toutes les nuits, celui qu’elle avait à peine connu, celui qui l’avait faite sourire… sa gorge se serra et elle détourna la tête pour qu’on ne voit pas son émoi. Quelques secondes plus tard, elle avait marché jusqu’à un évier et commença à se laver les mains, se débarrassant du liquide carmin et priant pour que les cauchemars partent avec, directement dans les égouts. Personne ne savait, personne ne pouvait comprendre à quel point elle s’accrochait à quelques pauvres moments passé avec lui, pendant la préparation. Elle n’avait rien dit lorsqu’on l’avait attrapé, la jetant ensuite sur le sol du 13 parce qu’elle venait du Capitole, parce qu’elle était peut-être dangereuse ou qu’elle méritait d’être punie. Elle avait juste fuit, sans mentionner son secret. Elle avait trop peu d’images de lui pour les partager, après tout. Seuls les autres tributs du 4 savaient, au final, pour cette escapade si brève avant les jeux… et de toute façon, ils étaient morts eux aussi, elle en était persuadée.
Se penchant en avant, elle passa de l’eau glaciale sur son visage pour chercher à se détacher de tout ça. Que restait-il d’elle, maintenant ? Elle était une paria, ici, un rejet du Capitole, une traitre, une fuyarde, elle ne valait pas grand-chose. On la nourrissait parce qu’elle avait appris à se rendre utile mais son mutisme semblait déranger. Elle était surement folle, aux yeux de beaucoup… juste cassée, en réalité. Se relevant, elle appuya ses mains sur ses yeux pour chasser cette envie de s’enfuir à nouveau. Peut-être l’auraient-ils tué cette fois, pourtant, c’eut été un progrès… Elle n’avait malheureusement pas ce genre de courage, condamnée à être hantée par la mort de quelqu’un abattu trop tôt.
Elle coupa l’eau et fit volte-face, regardant les lieux, la propreté stérile, ne pouvant pas s’empêcher de penser aux salles de préparation des jeux, cet endroit où elle avait évolué en espérant un jour devenir une styliste attitrée, avant qu’il ne lui soit arraché sans que personne ne le remarque et que par un tour de force, elle détale en embarquant son deuil injustifié. Comment pouvait-on aimer en quelques heures ? Elle n’était même pas capable de déterminer pourquoi, elle avait juste son visage en souvenir et chaque jour, cela se détériorait un peu plus sans pour autant que la douleur ne passe… Ici, elle n’était rien qu’une pauvre petite créature terne mais au moins, on la laissait tranquille et elle n’avait pas à envoyer d’autres garçons au sourire tendre malgré leur entrainement dans une arène où elle les verrait automatiquement mourir.
Au final, elle n’avait jamais eu ce qu’il fallait pour participer à tout ça, elle n’était qu’une victime silencieuse de plus, une n’ayant même pas le droit de l’être parce qu’elle était née du bon côté du pouvoir.
No light, no light in her bright blue eyes…
Dernière édition par Beallara C. Hammerstein le Mer 9 Mai - 16:11, édité 4 fois |
| | | Gemma K. Mubstin △ correspondances : 4141 △ points : 0 △ multicomptes : Ø △ à Panem depuis le : 16/04/2012 △ humeur : Floue. △ âge du personnage : Vingt-et-un △ occupation : Danseuse.
| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:41 | |
| Ton avatar Bienvenue |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:47 | |
| Merci |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:47 | |
| Belle Bienvenue |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:48 | |
| Riiiiiiii[...]iiiiick (merci d'insérer 15 minutes de fangirling ici) |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:55 | |
| Je t'aime toi Tu vas dans quel distrcit ? (6-6-6-6-6-6-6) - Spoiler:
Viendez on a des cookies
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:57 | |
| Je ne sais pas encore - Mon coeur appartient au District 2 ( parce que Cato & Clove, hein, voilà ) mais... je suis une indécise chronique - |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 12:58 | |
| Bah je peux me mettre en mode district deux aussi Mais on t'aime si tu viens dans le six |
| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 13:00 | |
| Bienvenue sur MJ Bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 13:15 | |
| WELCOOOOOOOOOOOOOME Je ne te souhaite pas bonne chance pour ta fiche, t'en as pas besoin Sache que si t'as besoin, je suis làààà |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 13:16 | |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 13:18 | |
| Une bombe de plus au district deux OwO Ma femme va avoir du souci - en plus - à se faire Bienvenue charmante demoiselle-sexy-en-diable-et-incroyablement-jolie Bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée Sam 5 Mai - 13:23 | |
| Richard ► tu sèmes le doute dans mon petit esprit, mal ! Thybalt ► merci Scorpius ► Team Cato, Team Clove, Team Clato all the way Eglenver ► Titus ► pas une carrière, non, Bea' n'a pas le potentiel Clovien requis, mais... mais... Phoenix ► mais vous me faites douteeeeez ; je n'sais plus où aller, SansDistrictFixe |
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| Sujet: Re: ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée | |
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| | | | ► Beallara ; living like Kings with broken strings ; terminée | |
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