Tout autour de moi, le noir néantiel régnait. Aucun bruit, seulement le cri du silence. Mes yeux étaient clos, impossible à ouvrir. Je ne respirais pas , si je le faisais, mes poumons exploseraient surement , peut-être ... je n'en sais rien en fait . Je n'est jamais fais l'expérience de respirer sous l'eau ... en fait à bien y penser , oui je l'est fait, une seule fois. J'étais jeune. J'avais à peine 7 ans et j'avais la responsabilité de plongée sous l'eau pour chercher l'emplacement des poisson. J'étais très difficilement perceptible et je savais faire en sorte que le silence de l'océan ne soit par déranger par le battement de mes pieds ou la brasse de mes bras. Sans vraiment réfléchir j'avais prise une respiration sous l'eau . Évidement en sentant le mélange D'eau et de sel entrer dans mon organisme , j'avais paniquée. J'avais l'impression que ma gorge brûlait entièrement J'étais vite remontée à la surface et avait goûlument respirer l'air frais qui entrais dans mon corps par respiration rauque et toussotements saccadés . Pourquoi est-je déraillée sur ce souvenir inutiles de mon enfance ? Ah oui .. car je me trouvais présentement au fond de la baignoire dans la maison du village des vaincqueurs que j'habitais . J'avais comme la plupart des habitant du D4 la capacité de retenir ma respiration très longtemps. Je devais être au fond de l'eau chaude depuis environ 8 minutes quand je décidai de remonter à la surface, non car je manquais d'air, mais bien car j'avais une journée chargée et qu'elle ne faisait que commencée.

Je me redressai donc en position assise dans la baignoire et attrapai la bouteille contenant mon produit miracle pour laver mes cheveux. Cette concoction faîtes par moi même contenait des ingrédients entièrement naturels, des herbes pour la plupart cueillies dans la forêt, j'avais rajouté des pétale de fleurs sauvages pour donner la couleurs à cette solution miracles qui rendaient mes boucles soyeuses. J'en versai au cruex de ma main et redéposai la bouteille sur le rebord de la baignoire. Je me mise à lavées mes cheveux en malaxant doucement mon cuir chevelu et en prenant soin de couvrir chaque centimètres carré de ma tignasse. Après ce long processus, je plonge à nouveau sous l'eau pour rinçer mes cheveux et arômatiser l'eau de mon bain avec le parfum de la concoction. quelques minutes plus tard j'émerge à nouveau de sous l'eau et prends le savon avant de me le passer sur le corps et de me débarasser de la crasse. Une fois bien lavée et rinçée, je me dépêchai de sortir de la baignoire avant de rapidement me réfugier dans la châleur de la serviette en coton. Je plongeai mon bras dans le bain pour retirer le bouchon et laisser l'eau s'écouler. Avec la serviette je me séchai et essorai biens mes cheveux avant d'enfiler les sous-vêtement gris pâle assortis. Une fois vêtues de ces quelques vêtements, je me glissai devant le miroir et plongeai mon regard dans celui que le reflet du miroir me renvoyait. Tiens mes yeux étaient gris ce matin je devais encore avoir fait un cauchemar sans m'en rendre compte. Aux fils des années, les cauchemars avaient continuer, mais éventuellement, mon corps avait repris son habitude de ne pas bouger et de ne pas émettre de bruit. C'était chiant quelques fois car durant ces moment -là j'étais incapable de me réveiller. J'avais provoquée une bonne dizaine d'arrêt cardiaque à Jayson lorsqu'il étaient incapables de me réveiller le matin ... Je soupirai aussitôt imitée par mon reflet dans le miroir et mes mains montèrent machinalement se plaçer dans mes cheveux pour les coiffer. Ce matin, c'était le tour de la natte . Je démarai la tresse sur le côté droit de ma tête et graduellement fit allonger la natte en la guidant habillement jusqu'à ce que mes cheveux ne forme qu'un plaçé par dessus mon épaule gauche. J'attrapai la pince qui m'avait suivit partout depuis les Hunger Games et fixait la natte à l'aide de cette dernière.

Je passai ensuite dans la chambre là où m'attendais mes vêtements de la journée : un pantalon cargo kaki, un chandail avec un col en V gris et mes fidèles bottes de chasse brune claires. En enfilant ma panoplie, je jettai un regard sur le coffre en bois de noisettier contenant mes armes. Je n'en aurai pas besoin aujourd'hui mais une fois habillée, je l'ouvris quand même pour en tirer quatre couteaux que je glissai dans mes bottes et sous ma ceinture. J'étais trop méfiante , mais sa faisais partie de moi et je vivais avec ce sentiment depuis près de 10 ans maintenant ... Ma main se porta au pendentif de Malika , la fille du district 7 que j'avais tuée par erreur. J'avais toujours tentée de perçer les mystères du petit oiseau , un geai moqueur , qui servait de pendentif. Malika n'avait pas eue le temps de me l'expliquer , la blessure mortelle l'ayant emportée avant. J'avais aussi la hache et le sac de ceinture de la jeune fille. Ce sac ne me quittait pratiquement jamais et j'apprenais encore à maitrîsé le lançer de la hache même si elle m'avait permise de gagner .. en quelques sortes.

Ce jour-là, je devais m'occuper des chevaux de Jayson. En ce moment nous en avions une douzaine, plus les quelques poulains qui augmentais le nombre à seize. Notre élevage était homogène , 6 juments et 6 étalons ainsi que 2 pouliches et deux poulains chez les petits. Je devais mettre le troupeau au pré et monter la garde , c'était tout. Je comptait bien m'occuper de mes deux juments un peu , mais je devais aussi garder un oeil sur les autres. Cloud et Calissy me colleraient sans doute aux basques. J'aimais mieux cela .. Cloud était pleine et sur le point de mettre bas , ce n'était qu'une question de jours, voir même d'heures avant qu'un cinquième petits vienne joindre le troupeau. Je me rendis donc dans l'écurie et une à une ouvris les portes de stalles guidant chaque bêtes dans le champ qui nous servait de pré . Bientôt tout le petit monde fut dans l'espace vert, ne me restais qu'à faire sortir Calissy et Cloud avant d'y aller moi aussi. Je me dirigeai vers les deux stalles qui étaient l'une en face de l'autre. me plaçant de façon à pouvoir libérer les deux jument en même temps, j'ouvris les porte et les deux juments sortirent lentement de leurs box. D'un petit coup sur la croupe je lançai Calissy au petit trot vers le pré. Cloud resta en arrière avec moi et je marchai avec elle pour m'assurer qu'elle ne s'écroule pas. Bientôt nous fûmes dans le champ, moi assise sur la barrière de bois et Cloud broutant l'herbe non loin de moi. Calissy se tenait non loin d'un groupe de petits se chamaillant. Les adultes galopaient, broûtaient ou dormaient à l'ombre d'un arbre ... Un coup de museau me fit reporter mon attention sur ma jument blanche au museau noir. Mon regard gris rencontra le bleu de ses yeux. Je passai ma mian dans sa crinière démêlant les noeuds dans cette dernière alors que le vent sifflait doucement sur le pré semblant emporté avec lui une mélodie que je conaissais si bien ...




I wanted you to know I love the way you laugh
I wanna hold you high and steal your pain away
I keep your photograph, I know it serves me well
I wanna hold you high and steal your pain

'Cause I'm broken when I'm lonesome
And I don't feel right when you're gone away

You're gone away
You don't feel me here anymore

The worst is over now and we can breathe again
I wanna hold you high, you steal my pain away
There's so much left to learn, and no one left to fight
I wanna hold you high and steal your pain

[X2]
'Cause I'm broken when I'm open
And I don't feel like I am strong enough
'Cause I'm broken when I'm lonesome
And I don't feel right when you're gone away

You're gone away
You don't feel me here anymore

Ont ne recevait pas souvent de visite dans le village des vainqueurs. Apart pour nous acheter une bête , où nous livrer de la nourriture et des vivres, les gens nous laissaient tranquilles et nous allions à eux quand nous avions besoin. Normalement c'était plus Jayson qui s'occupait des relation d'affaire en ville, il était plus doué que moi pour le côté social et j'étais déjà bien occupée avec toutes les commande de matériel de pêches que j'avais sur les bras, et mes excursions contre la loi dans la forêt. Le matériel de pêche, je passai les journées comme celle-ci à le mettre en état de marche tout en surveillant les chevaux, et quand j'allais avec quelques bêtes dans la forêt, je me retrouvais souvent à tisser un filet et à en tester à la solidité en l'utilisant comme piège à Lapin , ou même à Daim, si le filet était assé gros. J'adorais mon métier car non seulement j'avais un accès illimité aux poissons de la mer avec mes marchandises , mais en plus, je n'avais pas besoin de parler pour exercer ce métier. Il n'y avait que le mouvement de mes mains et le fronçement de mon front sous la concentration. Parfois, j'amenais avec moi le chien de berger de Jayson. Il adorait cette bête, presque autant que ses chevaux.

J'étais assise sur le clotûre entourant le vaste pré quand soudain une jument commença à s'énerver de l'autre côté du pré. En fronçant les yeux, je la reconnue rapidement : c'était une des deux jumelles caramel : Ginger . Elle était identique à sa soeur à la seule différente de leurs crinières et de leurs crins . Ginger les avait bruns fonçés et Sunset, les avait blanc. J'aperçus d'ailleurs Sunset qui venait de relever la tête en entendant le henissement de sa soeur. Je secouai la tête en soupirant et me laissai glisser à l'intérieur du pré avant de me mettre en marche dans la direction de Ginger. La connaissant elle devais encore s'énerver pour rien , sans doute un Lapin qui avait passer au pas de courses ... Cloud m'emboîta le pas et je lui aggripai le licol pour pouvoir la soutenir en cas de chute. Une jument pleine était beaucoup plus fragile qu'on le croyait, Particulièrement Cloud. J'avais maintes fois répéter à Jayson de ne plus la faire accoupler après la mise bas de ses deux premiers poulains. Mais il ne m'avait pas écouter et c'étais moi qui devais m'assurer qu'elle ne tombe pas maintenant ... Soudain le redressement de Cloud m'appris que Calissy venait de se mettre de l'autre côté d'elle et sans doute à soutenait un peu . Nous arrivâmes bientôt à quelques mètres de Ginger et je me plaçai entres Calissy et Cloud de façon à pouvoir observer devant la jument caramel et découvrir la source de son énervement.

Je fronçai les sourcils , en signe d'étonnement en voyant l'homme qui se tenait devant la jument. Nous n'avions aucune ventes de prévues aujourd'hui, et encore moins de livraison ... En fait je ne me rapellais pas avoir vus cet homme dans le district ... D'où pouvais-t'il bien sortir ?? Étant méfiante de nature , je fit sortir le manche d'un des deux couteau de ma botte gauche, ont ne savais jamais. Ginger renâcla , ce qui fit éclater de rire l'homme et attira un petit sourire sur mon visage. Il ne semblait pas hostile ... Je décidai de sortir d'entre les deux juments et de finalement parcourir les dernier mètre me séparant de Ginger. J'étais encore cachée par sa croupe et c'est-là que j'entendis l'homme s'exclamer

« Et bien, c'est très affectueux, les chevaux! »

Je levais les yeux aux ciel et soupirais avant de sortir de derrière la jument. L'homme se tourna en direction de la maison en entendant mes bruit de pas et cela me donna le temps d'aller m'appuyer contre la barrière, directement à l'emplaçement de Ginger qui c'était un peu déplaçée en me voyant près d'elle. J'attendais seulement que l'homme se retourne ...

« Sa m'étonne que vous ne le saviez pas déjà ... vous n'êtes donc jamais venut ici ? sa ne m'étonnerait pas puisque je ne vous reconnais pas ... À qui est-je l'honneur ? »