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fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
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| Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Jeu 5 Avr - 18:25 | |
| Fauve Shiring❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Je m'appelle Fauve. Mes parents ont du se tromper lorsqu'ils ont décidé de me nommer ainsi, ou le ciel leur a fait payer leur audace. Je n'ai, en effet, rien en commun avec quelconque prédateur. Je suppose que si je devais me définir, je serai plutôt la proie effrayée et nerveuse prenant ses jambes à son cou si je me faisais attaquer. Quelle ironie du sort. Mon prénom, lorsque l'on me connaît un minimum, ressemble ainsi plus à un fardeau qu'à un symbole victorieux. Les vannes dues à cette dualité paradoxale fusent de la part de mes détracteurs, ceux-là même qui éprouvent du mépris envers les lâches, alors que l'idée de rébellion prend de plus en plus d'ampleur.
C'est vrai, du haut de mes vingt-cinq ans, je suis toujours aussi couarde qu'à mes quinze ans. Je manque de confiance en moi et me surprend même parfois à éprouver une certaine répulsion envers ma propre personne, bien que ce sentiment s'envole aussi vite qu'il arrive. J'essaie pourtant d'apprendre ces vertus qui ne me correspondent nullement : le courage, le plus grand altruisme, la foi en quelque chose. Certes, j'essaie d'aider mon prochain comme je le peux et je suis plutôt fidèle, -bien qu'extrêmement prudente au quotidien- mais lorsque ma vie est en danger, je fuis aussi vite que possible. J'aimerai sincèrement qu'un jour, dans le district 11, là où j'habite, quelqu'un se dévoue pour m'inculquer ce genre de valeurs. Je n'ose pas demander d'aide aux personnes que j'admire le plus, de peur que l'on me rie au nez ou que l'on me demande de dégager. Après tout, je n'ai pas été capable de retenir soeur cadette et de décliner son offre de volontariat lors de la soixante cinquième moisson. Je comprends que l'on puisse penser que je mérité ma condition présente, et peut-être même pense-t-on que le métier que j'exerce -simple cueilleuse-, moins valorisant que celui de mon père, est une punition pour la lâcheté dont j'ai fait preuve alors.
Pourtant on ne peut pas dire que je sois si exécrable. Je pense être plutôt douce, posée et de bons conseils, et même à l'écoute des désespérés qui souhaiteraient se confier mais qui ne trouvent aucune oreille à qui raconter leurs malheurs. En réalité, je crois que j'aimerai avoir un ou une véritable amie sur qui je pourrai toujours compter, mais pour cela il faudrait que je sois prête à faire de même, ce qui n'est pas le cas, et n'attire pas les foules. Je suis certainement la plus grande trouillarde que le monde ait porté, et je me demande d'où bien peut venir ce terrible défaut. J'essaie de me rassurer -bien que cela me fasse plutôt pleurer- en me disant qu'une mauvaise fée a du se pencher sur mon berceau, à ma naissance, et qu'elle m'a fait don de ce trait de caractère abominable. En fait, je me sens maudite.
Si j'ai la chance d'être un minimum cultivée par rapport à d'autres habitants du district onze, je ne me sens pas plus intelligente. J'ai plutôt l'impression que ma peur de la mort me rend stupide aux yeux des autres. Ainsi, bien que j'approuve cette rébellion qui prend naissance, je ne crois pas être de taille à y participer. Je suis certaine que lorsqu'elle éclatera, je resterai nichée à l'abri de tous. C'est lorsque ces pensées m'atteignent que je comprends que l'on puisse me mépriser. Si j'avais été une autre, j'aurai méprisé la fille que je suis. Pourtant j'aimerai me bouger, mais lorsque je regagne un peu confiance en moi, un quelque chose, n'importe quoi, balaie ce regain en un rien de temps. J'aimerai changer, je veux changer. Donnez-moi la force, bon sang !
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Je n'aime pas parler de ça. Ça m'effraie, me met mal à l'aise. Néanmoins, j'espère ne pas mourir dans l'oubli ni le déni. Je souhaite aussi de tout mon cœur que ma mort soit rapide et indolore si je devais partir prématurément. Je suis cependant foncièrement décidée à me raccrocher à la vie autant que possible. Je préfère vivre dans des conditions misérables et vivre, plutôt que de terminer mon voyage sur terre. Je ne veux pas m'aventurer dans ce grand néant, cet inconnu qu'est la mort. C'est ce qui me fait le plus peur, après la souffrance : l'inconnu.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Pour la mémoire de ma soeur, pour ma rédemption. Si j'étais obligée de mourir bien évidemment. Je ne suis pas prête à me sacrifier. Est-ce une mauvaise chose ?
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Ma grande souplesse. Elle m'aide à me cacher dans les recoins les plus inimaginables, à me faufiler dans des endroits impensables.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? En parler est toujours douloureux et les raisons en sont multiples. Parce que j'ai été lâche, parce que c'aurait du être moi et que je n'ai rien dit, ni n'ai bougé d'un pouce quand ma soeur s'est portée volontaire. J'avais quinze ans, elle n'en avait que treize.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? (en gros, êtes-vous pour une rébellion ou contre.) Dans mon fort intérieur, dans le meilleur des cas, j'aimerai me joindre à eux pour une raison purement égoïste : Me repentir, racheter la faute immonde et impardonnable que j'ai commise et qui fait que certains, à juste titre, doivent me me mépriser et me considérer comme une personne dans laquelle ils n'auraient aucune confiance. Mais la vérité est bien plus difficile. J'ai peur de me révolter, j'ai peur de mourir et de souffrir. J'espère toutefois pouvoir enfin arrêter de me cacher -ce que je sais faire de mieux, quelle honte!-. Je promets de changer cette attitude détestable. Pour elle.
JE VIENS D'UN MILIEU plutôt défavorisé malgré un statut quelque peu privilégié de par le métier de mon père., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE ne coule pas à flots chaque jour, mais je suis mieux nourrie que la plupart des habitants de mon district. DU COUP, MON NOM avait peu de chance d'être tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER DE cueilleuse ET POUR TOUT VOUS DIRE, je déteste cette activité. Mon rêve aurait été de travailler en tant que soigneuse de bêtes.. JE SUIS DANS LE 11ÈME DISTRICT. AYANT 25ans, JE ne peux heureusement plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende, comme à chaque fois, la prochaine moisson puisqu'elle est l'occasion de me rappeler ma lâcheté et mon égoïsme.. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. Memento MoriAtropos, celle qui coupe le fil Sa gorge s'ouvre sous le passage du poignard du garçon du district 4. La scène est insoutenable, la vue offre cette plaie béante, seconde bouche vomissant des litres de sang. L'enfant tombe à terre, bien qu'encore conscient. Son corps est agité de spasmes et comble de l'horreur, des gémissements coincés, au son presque inhumain, sortent de ses lèvres ou pis, de sa trachée trouée en un puits sanglant. Comme souhaitant rendre ce meurtre plus insupportable aux yeux des spectateurs, l'assassin de la gamine annonce d'un ton des plus détachés, une phrase qu'il veut certainement philosophique : « Comme quoi, Poppée n'aura pas toujours été d'une beauté éblouissante. » Puis, comme pour mettre fin au spectacle macabre, il termine sa tirade par un rire franc. Il rit de ce trait d'humour noir dont il est l'auteur. Puis il laisse la pauvre gosse seule, ne cherchant pas à mettre un terme à ses souffrances. Et le canon retentit. Fin de l'histoire. Heureux, le capitole passe maintenant à d'autres acteurs. En cet instant je crois que je vais tout envoyer valser autour de moi. L'annonce de sa mort me fait sortir de mes gonds. Je me transforme, en l'espace de quelques secondes, en une véritable harpie et je n'aspire qu'à une chose. Tuer le salaud qui a mis fin à la vie de ma sœur. Par la même occasion, je me vois presque me faire du mal, puisque la mort prématuré de Poppée est entièrement ma faute. Je me déteste plus que jamais. Prise de folie, je hurle à m'en arracher les cordes vocales, ma façon à moi de laisser éclater ma peine. Il est fort probable que mes cris retentissent dans le voisinage, mais je m'en moque. La douleur est terrible, pire que toutes celles que j'ai pu endurer jusqu'à aujourd'hui. Et pourtant, j'ai tenté d'anticiper ce jour, celui où ma sœur nous quitterait. En vain. Je m'en rend désormais compte. Passé mon moment de folie durant lequel je me suis griffé les bras, ai caché mon visage dans mes mains, ai maltraité ma peau, je porte à présent mon attention sur ma mère, la suppliant. Je cherche du réconfort dans ses yeux, mais son regard, bien qu'empli de larmes, reste dur. Il est clair qu'elle n'acceptera pas de me consoler ce soir, ni même avant un certain temps, et pourtant je ne peux pas lui en vouloir. En guise de réponse, elle ouvre sa bouche, prête à me sermonner, j'en suis certaine. « C'est de ta faute ce qui vient de se passer. Alors ne cherche pas de soutien auprès de moi, tu n'en auras pas. »Je reste bouche bée. Bien plus que son visage sévère et fermé, ce sont ses paroles et le ton de reproche utilisé qui m'anéantissent plus que tout. Mon père doit être mal à l'aise, ou essaie d'apaiser les tensions qui se forme entre nous puisqu'il prend ma défense. Je comprends qu'il retient ses larmes afin de rester notre pilier, celui qui ne doit pas craquer afin de veiller sur sa famille en plein désespoir. « Dina, laisse la tranquille. Elle n'y est pour rien, et tu le sais. -Tais-toi ! crache ma mère. Toi aussi, tu y es pour quelque chose. Si tu ne lui avais pas fait cette réflexion, elle ne se serait certainement pas désignée. »Je rentre ma tête dans mes épaules et j'encaisse les brimades de ma mère. Je sais que papa n'est pas d'accord avec elle, mais il ne réplique pas. Il doit penser que se disputer ne mènera à rien. Poppée est morte, et rien ne la fera revenir. Notre famille est sur le point de se déchirer à cause de ce drame monstrueux. Ne devrions-nous pas nous serrer les coudes et être là les uns pour les autres, plutôt que de nous tourner le dos et de nous rejeter la faute ? Je sais très bien à quoi ma mère faisait allusion lorsqu'elle a accusé mon père d'avoir participé à l'assassinat de ma petite sœur. Si je n'émets aucune objection lorsqu'elle m'implique dans la disparition de Poppée, je la trouve totalement injuste avec mon père. Peut-être est-ce le désespoir qui la fait parler ainsi, mais je ne peux m'empêcher d'intervenir à mon tour, même si je sais que prendre la parole ne fera qu'envenimer la situation. « Je ne dirai strictement rien pour me défendre, parce que je suis consciente de ce que mon manque de réaction a causé. Mais papa... Tu n'as pas le droit de l'accuser de quoi que ce soit. Papa n'y est strictement pour rien ! -C'est lui qui a dit à ma petite fille de treize ans de se comporter en adulte responsable! S'époumone-t-elle avant de fondre en larmes. » J'ai eu tord de la provoquer. Mon manque de tact et mon insolence n'ont fait qu'attiser sa colère et sa tristesse. Je préfère m'éclipser, laisser mes parents tous les deux. Je sais qu'il parviendra à la consoler, il a toujours réussi auparavant. Du moins je l'espère, ce qui vient d'arriver ce soir est le plus grand drame qui nous soit arrivé. Je m'assieds sur mon lit sans m'en rendre véritablement compte. La sensation est étrange, je n'ai plus l'impression d'être maîtresse de mon corps. Je me sens totalement déphasée, en désaccord complet avec ce qui m'entoure. Peut-être suis-je en train de tenter de trouver un échappatoire à la culpabilité qui pèse sur mes épaules. Je ne parviens pas à m'imaginer la conséquence de la mort de Poppée. Je ne suis pas sûre d'avoir pleinement conscience que jamais plus je ne la reverrai. Nous n'avons jamais partagé de relation fusionnelle toutes les deux, mais je l'ai toujours aimée comme je me le devais et je sais désormais, depuis la moisson, qu'il en était de même pour elle. Je ne peux pourtant m'empêcher de penser que ce volontariat de sa part est source de causes multiples. Les pleurs de ma mère se font plus perçants, et j'essaie de me concentrer sur les raison qui ont poussé ma sœur cadette à participer aux Hunger Games. Venant d'elle même à moi, la vérité m'éclate au visage. Les causes sont multiples. Oui, trop multiples, trop nombreuses. Les paroles de papa, ce soir où elle m'a dit qu'elle était sûre que j'étais la préférée de notre père et que je valais plus qu'elle, et enfin, l'instant même où je l'ai condamnée en restant stoïque lorsqu'elle a décidé de se porter volontaire à ma place. Tout un tas de questions me viennent à l'esprit. Ce soir, mes idées sont macabres. Va-t-on nous renvoyer le corps de Poppée ? Aura-t-il bénéficié des soins d'un thanatopracteur ? Si oui, devrons-nous payer ces interventions, et surtout aura-t-on les moyens nécessaires ? Est-ce que ma petite sœur bénéficiera d'une sépulture correcte ? Je me dégage de mes vêtements avec une lenteur extrême. Mes membres me paraissent lourds, mon sang tape à mes tempes, mes oreilles bourdonnent et l'impression qu'un tas d'insectes s'agitent dans ma boite crânienne me donne la nausée. J'enfile en vitesse une chemise puis me glisse sous la grosse couverture de laine que m'a offerte mon père lors de mes seize ans. Trouée par endroits, elle commence à en avoir vu. Je me rappelle alors cette fois où, jalouse de la chaleur de ma couette, Poppée avait tenté de me la voler, puis de la mettre au feu quand elle avait compris qu'elle ne pourrait la garder pour elle-même. Si plusieurs fois dans sa vie elle avait agi avec méchanceté, je m'en veux à présent de l'avoir qualifiée de petite peste à de multiples reprises. Mes joues deviennent rapidement humides et je devine seulement maintenant que je pleure à chaudes larmes. Je commence enfin à saisir que rien ne sera jamais plus comme avant et qu'un vide incommensurable et inexorable est en train de s'installer en moi, en mes parents, en notre famille. Mes épaules se soulèvent alors que mes sanglots s'intensifient. Je ne dormirai pas cette nuit, je n'y parviendrai pas. J'en ai la quasi certitude. Ad Vitam AeternamClotho, celle qui tient le fil Alors que j'avais cru que tout se serait arrêté avec le décès de Poppée, le fil de nos vies continu. Mon père gère toujours son entrepôt, nous permettant de vivre un peu au dessus de la norme dans le district onze. A de rares occasions il nous ramène de la viande, ou du poisson, et je sais que je bénéficie d'un statut relativement privilégié comparé à un grand nombre d'habitant qui ne peut que rêver s'offrir ne serait-ce qu'une patte de lapin ou de poulet. Je n'en parle pas autour de moi, je ne veux pas faire de jaloux ou attirer la convoitise. Je ne désire pas que l'on pense que je ne mérite pas cette nourriture, et je fais tout pour ne pas penser aux plus méritants pouvant vivre dans la misère la plus totale. Tenter de lier des liens d'amitié, de faire accepter à certaines mères de famille que je suis capable de garder leur enfant le temps qu'elles aillent faire des courses m'est déjà assez difficile. On n'oublie pas que j'ai laissé ma cadette se sacrifier pour moi, et on ne m'estime certainement pas assez responsable pour m'occuper d'un enfant. Je suis bien obligée de travailler avec ces derniers pourtant, lors de la cueillette, ou du ramassage dans les champs de coton. Je me suis résolue à ne pas me tourner vers ce qui m'intéressait plus que tout, soigner les animaux. J'ai vite réalisé qu'il s'agissait d'un pur fantasme. Il m'aurait fallu trouver un éleveur, un soigneur acceptant de m'inculquer son savoir, et malheureusement les bêtes domestiquées se font rare ici. Si j'étais née dans le district dix, j'aurai pu avoir mes chances. Maman continu de faire ses confitures. Elles nous rapportent un petit plus, des connaissances viennent de temps en temps nous en acheter. J'ai l'impression que depuis ce fameux jour, elle travaille avec encore plus d'acharnement et ne se laisse pas une minute pour souffler. Certainement un moyen pour elle de s'occuper l'esprit continuellement. Mes rapports avec elle sont restés tendus, bien qu'elle ne renonce plus à me consoler lorsque j'en ai besoin. Mais j'ai brisé à tout jamais cette confiance qu'elle avait en moi, ce lien qui me permettait de dire qu'elle et moi étions en parfaite harmonie. Je souffre -juste un peu...- de cette distance qui s'est instaurée entre nous, mais elle me semble inéluctable. Je ne pense pas pouvoir un jour reprendre cette place que j'avais auprès d'elle, sauf miracle. Bien entendu je ne crois pas aux miracles. Lorsque je sens que mes nerfs vont lâcher, ce qui arrive bien plus souvent qu'avant la disparition de Poppée, mais plus rarement que les premières années qui ont suivi sa mort, je cours me réfugier sur une des petites collines du district, la même, toujours la même. Parce qu'elle me permet de m'épancher sur mes soucis sans que personne ne puisse me voir. Elle est assez reculée et masquée par les branches de grands saules. Une fois calmée, je descend reprendre mon activité. Je tente de vivre pleinement comme auparavant, malgré les divers petits changements qui ont opéré. Et pour le moment, je réussis plutôt bien. J'ignore les brimades pour ne retenir que le bon. Je me concentre sur le positif afin d'oublier le négatif. Et j'essaie d'aider les autres un peu plus chaque jour. C'est le repentir que je me suis imposée.
reality is here.
Bonjour le petit monde. Moi c'est Nyl, (non je ne donne pas mon prénom;) ) et je viens du Nord-est de la France et j'ai 23 ans. (Suis-je la doyenne ? ) Je n'ai lu que le premier tome de HG pour le moment puisque je n'ai découvert le livre qu'avec la sortie du film. Je peux donc dire que j'ai adoré le premier tome, et pour cause, cela ne m'a pas dérangé d'en commencer la lecture quelques heures après avoir vu le film. Le forum a l'air vraiment génial, les membres ont l'air plutôt actifs et sympathiques, et si cela fait dix mois qu'il tient, alors oui, ce n'est au final pas une simple impression de ma part ! J'aime beaucoup le design aussi, et je trouve que le travail a été superbement fait et bien développé (cf les annexes etc). Le seul petit bémol que j'émettrais est que, ma connexion internet n'étant pas extra, et le forum étant lourd, les pages mettent du teeeeeemps à charger chez moi. Mais ça, ce n'est la faute à personne.:p
FEATURING Taii Gordon © COPYRIGHT britsterzstupidtumblr
Dernière édition par Fauve Shiring le Sam 7 Avr - 19:24, édité 13 fois |
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| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Jeu 5 Avr - 18:27 | |
| Tu n'es pas la doyenne t'en fais pas !! Bienvenue ! Bon courage pour ta fiche ! Fauve a l'air sympa, j'aime son petit nom ! |
| | | Miléna E. Andréis-Wheeler △ correspondances : 5888 △ points : 1 △ multicomptes : (l. c. meery) △ à Panem depuis le : 04/09/2011 △ humeur : cruellement arrachée à sa famille △ âge du personnage : vingt sept ans pour toujours
| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Jeu 5 Avr - 18:58 | |
| Fauve, j'aime trop le prénom Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Jeu 5 Avr - 19:59 | |
| Ah, bon ben si je en suis pas la plus croulante, c'est une bonne chose. Merci à vous deux pour vos bienvenues et pour votre petit message sur le prénom. J'ai bien fait de choisir celui-ci alors au final, moi qui hésitais avec un autre. xD Bon, allez, encore l'histoire à faire. C'est que je suis super pressée de pouvoir jouer :biggrin: |
| | | Adonis Nightsprings △ correspondances : 2406 △ points : 12 △ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy △ à Panem depuis le : 01/04/2012 △ humeur : Blasé. △ âge du personnage : 35 ans △ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08
| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Jeu 5 Avr - 21:36 | |
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| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Ven 6 Avr - 7:59 | |
| Haaan le prénom Bon choix Bienvenue sur MJ en tout cas Bon courage pour ta fiche |
| | | Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Ven 6 Avr - 13:41 | |
| Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ton histoire ! J'adore aussi le prénom, et je t'ai réservé Taii pour la semaine |
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| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Sam 7 Avr - 1:08 | |
| Bienvenue madame ! |
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| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Sam 7 Avr - 13:37 | |
| Merci encore à vous pour les bienvenues, ainsi que pour baver ou de complimenter le prénom, c'est trop d'honneur! Merci Alexiane pour la réservation. =) Au plaisir de vous rencontrer un jour (ah ah, j'allais dire au coin d'un détour, mais ça fait trop... bizarre). |
| | | Kathleen S. Harper △ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011 △ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Dim 8 Avr - 9:31 | |
| hello bienvenue ta fiche est parfaite et j'aime beaucoup ta manière d'écrire c'est donc sans surprise que tu es validée Tu viens d'être validé, mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. S'il est membre d'une équipe de préparation (mentor, styliste, hôte(sse), c'est par ici que ça se passe. A vérifier que le rôle convoité est bien libre. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
tu auras ta couleur et ton rang bientôt, mais tu peux déjà poster have fun |
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| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Dim 8 Avr - 9:49 | |
| Bienvenue (très belle présentation j'adore!) |
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| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Dim 8 Avr - 13:14 | |
| Kathleen: Merci beaucoup pour la validation et tes compliments! Je suis contente que ma fiche t'ai plu. Alix: Han, merci beaucoup à toi également pour le compliment. Et bien sûr merci beaucoup à vous deux pour vos bienvenues. |
| | | Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Dim 8 Avr - 13:38 | |
| Bienvenue sur MJ |
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| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» Lun 9 Avr - 11:36 | |
| Merci beaucoup pour m'avoir mis mes couleurs et souhaité la bienvenue Avalon! (J'aiiiiime le prénom par ailleurs, ça me fait tellement penser au cycle arthurien ) |
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| Sujet: Re: Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» | |
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| | | | Fauve Shiring | «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse» | |
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