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 Cassius ♞ no bravery in your eyes.

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Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Vide
MessageSujet: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 17:29


Cassius Link Amaury Stockterry
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

C'est con, toi qui n'a jamais su parler de ta propre personne à quiconque, après toi il n'y à pas grand chose à dire, n'est-ce pas ? Tout ce voit au travers de tes yeux trop bleus, de ta peau trop pâle, de tes idées trop noires. Tout. Tu subit, chaque jours un peu plus, parce que c'est le jeu, parce que c'est comme ça. Cassius Link Amaury Stockterry, ça ne dit pas grand chose sur ta personnalité mais c'est ce qui fait de toi un être à part. Porter comme deuxième et troisième prénom ceux de tes frères c'est une tradition dans ta famille, cette famille qui te renie, cette pauvre famille du district onze. Tu en à vu des choses au cours de ta vie, et pourtant tu n'es rien d'autre qu'un enfant du haut de tes dix-huit ans à peine tassés. Le temps te manque cruellement, tellement que, contrairement aux autres, tu ne le voit pas passer lorsque tu travailles dans les vergers de ton district. Tu voudrais pouvoir le capturer, l'enfermer dans une sphère qui n'appartiendrait qu'à toi et que personne d'autre ne pourrait avoir, mais il faut se rendre à l'évidence, tout le monde manque de temps. On dit de toi que tu es un garçon étrange et solitaire, la réalité c'est que tu ne souhaite pour rien au monde t'attacher affectivement à d'autres personnes, parce que c'est dur, parce que ça fait mal. C'est con mais ça à toujours été comme ça depuis ta plus tendre enfance, tu n'es pas quelqu'un qui parle beaucoup et les rares êtres vivants à apprécier ta compagnie sont les oiseaux que tu rencontres aux sommets des arbres. C'est con, mais c'est la vie qui est faite comme ça. Tu ne parles pas, ou très peu, et seulement quand cela est nécessaire, après tout, qui à besoin de parler pour se faire comprendre dans le monde dans lequel nous vivons ? Tu manques de temps, de temps pour entreprendre tout ce qu'il te reste à faire, parce que tu es quelqu'un de réfléchit, d'attentif et que tes projets sont déjà bien encrés dans ta tête. Tu ne deviendra jamais quelqu'un d'important, mais devenir quelqu'un sera déjà un bon début. C'est con, parce qu'au fond tu es quelqu'un de sincère, bien que socialement inadapté, et puis personne ne t'a jamais reproché d'être quelqu'un de bien trop franc, même avec les maigres paroles que tu délivres. C'est con, tu penses ce que tu dis et dis ce que tu penses, certaines personnes ne comprennent pas. Ton corps reflète l'âme de ton district, pauvre, chétif, dépendant. A part tes yeux d'un bleu profond et ton allure efféminée on ne peut pas dire que tu es particulièrement beau, mais après tout tu t'en fiches de plaire ou pas, tu ne veux pas t'attacher. C'est con, tu pourrai sans doute faire de belles choses avec de la volonté, mais le problème c'est que tu ne sais pas si tu doit rire ou pleurer cette vie. C'est con, c'est tout.


about games and relative.
(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)


Tu y penses chaque jours, parce que la mort est la seule chose qui te retiens à la vie, c'est con, mais tu n'as pas vraiment choisi. Avant tu aurait voulu qu'elle vienne le plus rapidement possible et qu'elle t'emportes sas rien dire dans un élan de brouillard, tout le monde serait enfin heureux, y compris toi. Pourtant tu n'y arrives pas, parce que tu es lâche, parce que tu restes persuadé que tout le monde est sur terre pour faire quelque chose, pour accomplir un but ultime que tu n'arrives toujours pas à trouver. Plus le sablier s'écoule et moins ça te sembles abstrait, la mort c'est quelque avec laquelle on doit apprendre à vivre, il n'y à pas de vie sans et mort et pas de mort sans vie. La tienne sera paisible, depuis le temps que tu l'attends, mais tu voudrais ne pas mourir avant d'avoir réussi à redresser la barre de ton existence, parce que tu continu de penser que quelqu'un t'attends quelque part.
C'est une bonne question, après le décès de ton frère cadet tu n'avait plus vraiment de raison de vivre et puis les temps on changé, tu as découvert qu'en s'attachant le moins on finit par se pas souffrir de la perte des autres, parce que c'est quand on est seul qu'on à le moins à souffrir. Alors tu ne voit pas trop pour quoi tu pourrais mourir, c'est con, mais ça ne change pas le fait que tu souhaites en découvrir plus sur la vie, sur ce qui fait de toi un être si différent. Tu pourrais peut-être mourir pour une cause que tu ne connais pas encore, qui sait.
On ne peut pas dire que tu soit d'une force supérieure à celle des autres, après tout ton corps porte encore les traces de ton acharnement face à la mort, tu n'es pas non plus très rapide et tu sais encore moins te servir d'une arme, mais si il y a bien une chose que tu sais faire à la perfection c'est te montrer discret en toute situation. Après tant d'années passées dans les vergers et au sommet des arbres tu à appris à ne pas te faire remarquer, à ne pas faire vague, mais l'on peut aussi remarquer chez toi ton agilité presque sans faille. Tu grimpes, saute et te faufiles sur les branches les plus hautes, les arbres les plus penchés. C'est con, si seulement l'un de ses trucs pouvait te servir dans l'arène, pourtant elle ne font de toi qu'un singe doté d'intelligence, intelligence qui à toujours fait de toi une personne réfléchit et doté d'un instinct de survie hors-norme, mais est-tu sur que cela te servira dans ta piètre existence ?
Tu revois encore son visage quelques fois, pourtant son départ et sa mort ne t'ont fait ni chaud ni froid, après tout ce qu'il t'avait fait enduré Amaury à juste pris le retour de bâton en plein dans la gueule. C'est con, dire qu'à une semaine près il échappait à l'arène, lui qui à su tenir quinze jours avant de se faire décapiter par les carrières. C'est con mais après tout c'est comme ça, c'est la vie qui choisit ceux qui partent et ceux qui restent, rien ne changera jamais et de toute façon tout le monde s'en fout. Et puis il y avait aussi cette fille qui est partie en même temps qu'Amaury, cette fille au visage si jeune, si pur, quelques fois tu rêves d'elle lui nuit, sans doute parce que tu aurait aimé la connaitre, même si cela voulait dire t'attacher à quelqu'un.
C'est bien connu, seul les prétendus rebelles ou les malades mentaux sont assez tarés pour croire à cette révolte, c'est du grand n'importe quoi. Tu voudrais pouvoir leur crier que le monde ne s'arrêtera jamais d'être mauvais, que de toute façon ça n'est pas à nous de choisir ce que le destin nous envois. Toute cette guerre stupide ne fera que détruire de plus en plus de vie, c'est con parce que c'est la vie qui prépare l'avenir, mais après tout les gens font bien ce qu'ils veulent pour s'autodétruire, si seulement ils pouvait te faire péter la gueule maintenant, tu en serais bienheureux.




JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé mais tu ne t'en ait jamais vraiment plains, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende, ce pourquoi tes frères et toi avaient été condamnés au sacrifice. DU COUP, MON NOM A 28 chances d'être tiré au sort, mais tu t'en fiches pas mal . J'EXERCE LE MÉTIER DE ramasseur de fruit ET POUR TOUT VOUS DIRE, JEn'aime pas, entre autre chose. JE SUIS DANS LE 11ÈME DISTRICT. AYANT 18 ans JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'attends la prochaine moisson avec impatience. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
reality is here.


Je viens de pays super froid, tout le monde m'adore et je suis actuellement obligé de sautiller pour me déplacer.
Cassius ♞ no bravery in your eyes.  1330356922 Karel que je n'arrivais plus à jouer et qui allait me faire tomber en dépression..

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Dernière édition par Cassius L. Stockterry le Ven 6 Avr - 13:03, édité 5 fois
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Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Vide
MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 17:30


tell us your story.



Déni.

On force les gens à vivre dans la peur parce que c'est la seule chose qui donne encore le moindre sens à notre propre vie tellement pathétique. Si les gens nous craignent alors c'est qu'on aura réussit à les tenir assez éloignés de nous pour ne pas s'y attacher, pour n'éprouver aucuns sentiments envers eux, pour ne pas avoir cette peur de les perdre pour toujours. C'est con, pourtant il n'y a que de cette manière que tu as réussit à vivre, que tu as traversé toutes ces années sans t'attacher à quiconque, parce que la seule personne qui comptait un tant soit peu pour toi n'est plus qu'un amas d'os entreposé sans grands soins au milieu d'une fosse commune. C'est con mais c'est comme ça. Tu y passes très peu souvent d'ailleurs, comme si tu avait peur que son fantôme te poursuive en criant le fait que c'est toi qui l'a tué, que tu es l'unique responsable de ce malheur. Alors tu ne t'attaches pas, parce que ça fait souffrir, parce que tu n'es pas le genre homme à t'attacher à un être qui pourrait se retourner contre toi à la moindre occasion, dans l'attente d'un pas de travers de ta part. Tu te souviens encore ce jour ou bien ton cerveau calciné l'a oublié ? Tu ne peux pas ne pas te souvenir, n'est-ce pas ? C'est encore trop présent dans ta mémoire, ça te joue des tours quelques fois quand tu penses avoir enfin trouvé le sommeil alors que ça n'est qu'une illusion persistante. Ça te force à faire des choses dont tu es à peine conscient, c'est con, toi qui avait l'habitude de comprendre les choses plus vite que tout le monde. Tu appelles ça le déni, les autres voient ça comme une expérience sordide que tu fais avec la mort parce que c'est comme ça, tu es comme ça et ça n'est pas prêt de changer. C'est con, tu traces ta vie sans te soucier des autres parce que tu n'acceptes pas encore le fait qu'il soit mort, parti, enterré, plus là. Ils appellent ça l'autodestruction, toi tu n'y voit qu'un moyen comme un autre de rattraper ton erreur. Tu te souviens, encore.

« Je pense sincèrement que l'on à pas le droit d'aller aussi loin dans le district. » Il marche derrière toi d'un pas lent et mesuré, parce qu'il les comptes, ses pas, afin de ne pas en rater un seul, afin de ne pas tomber. Il est si différent, si petit, si maigre comparé aux autres enfants de son âge qui font déjà une tête de plus que lui. Tu avances aux devants sans vraiment te soucier de ce qu'il peut bien raconter, après tout il à toujours peur de tomber sur un pacificateur que c'est déjà un miracle d'avoir réussi à le traîner dehors. « Arrête un peu de te plaindre et contente toi d'avancer tu veux. » Tu écartes une branche, puis deux et vous vous retrouvez à l’aurai du petit bois qui entourent le lac, sans un mot vous vous enfoncez dans cette partie du district qui est devenu votre terrain de jeux. « Non vraiment on ne devrait pas être là Cassius, c'est malsain. » Tu te retournes, toujours sans un mot, et lui attrape le bras de ta poigne vive et solide qui constitue le seul aspect physique de ton corps qui n'ait pas été souillé par la marque du travail que tu fournis. Il te comprends, parce que ça se voit dans tes yeux, parce que c'est un peu de ton sang qui coule dans ses veines, alors il se remets à marcher en direction du lac en marmonnant quelque chose d'inaudible pour tes oreilles. Tu n'y prêtes pas attention, comme toujours, après tout tu ne prêtes attention qu'à très peu de chose, seulement celles qui t'intéresse. Vous continuez d'avancer dans la brume, à travers les branchages qui vous barrent le chemin, c'est comme un vieux refrain, une vieille routine que tu ne connais que trop bien. Le lac n'est plus très loin à présent, si bien que tu peux sentir l'odeur de l'eau tiède qui s'infiltre dans tes narines, ça te surprend, c'est agréable, différent et ça fait parti des choses que tu aimes le plus dans ce district. « Voilà, on est arrivés au lac. Qu'est-ce qu'on fait maintenant Cassius ? » Il se retourne vers toi avec cet air de chien battu tellement semblable à tous les membres de la famille, c'est comme de se regarder dans un miroir et de réaliser que ce gamin n'aura peut-être pas autant de chance que toi, que peut-être il se fera tiré au sort à l'âge de douze ans et partira pour une mort certaine. Ça fait mal, ça t’entraînes sans que tu ne puisse faire quoi que se soit, alors tu t'accroches à chaque partie de ton cœur encore en bonne état et tu fermes les yeux un instant. « Allez, plonge maintenant. » Ta voix est froide, comme toujours, parce que tu ne connais pas d'autre moyens pour t'adresser à lui, parce que c'est comme ça que vous fonctionnez entre vous. Il se tourne vers toi avec un regard à mis chemin entre la terreur et le rire, comme si il ne te prenait pas au sérieux. Mais tu es toujours sérieux, n'est-ce pas ? Alors tu te contentes de lui désigner le lac d'un bref mouvement de tête. « Plonge, là, maintenant. » Son expression se transforme vite en une terreur absolue alors qu'il fixe son regard sur le lac noire et effrayant qui n'est pas un symbole de joie et d’allégresse. « Te moques pas de moi Cassius, tu sais bien que j'ai jamais appris à nager. » Il s'éloigne un peu du lac mais ton corps lui bloque passage pour qu'il n'est aucun moyen de s'enfuir, c'est comme ça, ça à toujours été comme ça. Il essaye, tant bien que mal, de pousser son corps maigre sur le tiens, mais rien n'y fait, tu ne bouges pas d'un centimètre, le regard toujours tourné vers le lac. « C'est Link qui m'a appris à nager ici-même, et la tradition veut que le dernière aîné apprenne au plus jeune, alors aujourd'hui c'est ton tour. » Tu le pousses d'une main nonchalante vers le lac tout en lui adressant un regard de défis, le genre de regard que toi seul arrive à afficher, celui qui fait que l'on comprend tout même sans tes mots pour nous guider. « T'en fait pas, je suis juste là. » Alors il se laisse faire, posant sur le bord d'un rocher ses lunettes rondes avant de retirer son gros pull. Il fait froid en dehors et tu voit son petit corps frissonner sous le joug du vent, mais tu ne bouges pas, parce que tout ça te semble tellement normale. Quelques minutes plus tard le voilà avec de l'eau jusqu'au torse et toi qui contemple le spectacle en te remémorant cette époque où tu était toi-même dans ce lac, la peur au ventre et une incroyable envie de frapper ton frère de pleine force. « Plus loin » Tu lui indiques un point plus éloigné dans le lac tout en le guettant du coin de l’œil et puis, plus rien. Plus rien si ce n'est les cris étouffés de ton frère qui se débat contre un torrent, qui s'enfonce dans les profondeurs du lac et qui appelle au secours. Tu t'es jeté, trop tard, pas assez vite. C'est de ta faute ce qu'il lui est arrivé. Ta faute, et tu n'arrives pas à l'accepter.


Colère.

Tu ne sais pas pourquoi tu continue de réveiller en pleine nuit avec cette sensation que l'eau empli ta gorge, que tu n'as pas de moyen de t'en sortir. C'est peut-être toujours comme ça quand on perd quelqu'un qui nous est cher, après tout tu n'en sais rien puisque tu n'en à jamais parlé à personne et personne n'ose t'en parler. Ils te regardent tous, te méprisent à voix basse et s'écartent sur ton passage, tu es le fils du diable, l'enfant pourri d'une génération raté. Tes propres frères n'osent même plus t'accorder un regard, par honte par colère. Eux qui t'ont tout appris, de la nage à la vie, eux qui ont toujours été là pour toi, tout ça n'est maintenant qu'une belle illusion. Tu penses à tout ce qu'aurait pût être ta vie si ce jour là n'était jamais arrivé, maintenant ta plus grande envie c'est de plonger tête baissée dans l'arène ou bien de te donner la mort, pour oublier, pour la rédemption. Alors tu te noies dans la seule chose qui te retiens un peu à la vie, la colère, parce que c'est elle qui fait battre ton cœur meurtri, c'est con, mais c'est comme ça.

Les travailleurs s'activent dans les champs, agitant leurs mains avec une extrême rapidité, la plupart d'entre eux ont exercés ce métier toute leur vies. Sans ombre, sans eau, juste le soleil qui vous tape sur la peau, sur le crâne et qui, quelques fois, vous joue des tours, créant l'illusion dans vos cerveaux. Tu t'affaires à cueillir les fruits placés hauts dans les arbres, parce qu'avec ton corps fin et élancé tu arrives à les décrocher sans tomber, parce que tu as fait ça presque toute ta vie. Un groupe composé de trois jeunes filles en fait de même dans l'arbre voisin et tu peux attendre leur discussion sans même tendre l'oreille, après tout elles en font aucun effort pour s'en cacher. Tu plais peu aux filles de ton district, trop grand, trop maigre, trop efféminé, mais tu t'en fiches parce que l'amour n'est pour toi qu'une simple illusion sordide d'un bonheur inaccessible. « C'est lui. Tu vois, je t'avais dit qu'il était bizarre … Regarde le, il n'a rien d'un homme. » Rien d'un homme, une simple carcasse qui se trimbale d'arbres en arbres et qui regarde chaque jours le soleil descendre sur les champs du district onze. Tu n'est qu'une carcasse, un simple cadavre. « Alors c'est lui qui à noyé son frère pour avoir plus de nourriture ? » Tu éprouves une soudaine envie de partir, loin, aussi loin qu'il peut être possible, peut-être dans une arène ou alors dans un cercueil de bois. La journée s'achève lentement sans que tu n'ait parlé à quiconque, tu n'as jamais été très sociable et ça n'est pas demain la veille que cela changera. Tu retrouves les trois jeunes femmes qui déposent leur récoltes dans un panier tout en gloussant comme des animaux, ça pourrait te faire rire si seulement tu savais comme faire. Elles sont rejointes par un homme à la carrure solide, contrairement à toi il à la peau mâte du district onze et doit bien faire deux têtes de plus que tous les autres garçons de son âgé. « Alors les filles, bonne récolte ? » Il pose volontairement sa main dans le creux de reins d'une jeune qui se remet à glousser de plus belle, comme une enfante, insouciante. Tu arrives à leur hauteur et dépose ton sac de pommes dans le chariot à récole, n'accordant aucuns mots, aucuns regards au groupe de jeune qui, dans une autre vie, aurait pût faire parti de ta vie. « Salut Stockterry, alors, on à noyé personne aujourd'hui ? » Une, deux, trois secondes, ton poing s'abat lourdement sur la mâchoire carré du jeune l'homme. Une multitude d'injures et d'insultes te passent par la tête et tu voudrais pouvoir lui les crier à plein poumons, mais rien de vient, rien si ce n'est le poing de l'homme pour réponse qui te déchire le ventre et te fait tomber à genoux, en sanglots. « Recommence encore une fois Stockterry et je t'envoie au fond du lac avec ton frère ! » Les pacificateurs se chargent de mettre un terme à cette mascarade et te renvois chez toi à grand coups de bottes et d'insultes, c'est con mais c'est comme ça. Tu n'es plus que colère, tout en toi à changé, tu évolues, cette période où tu était content de vivre est révolue.


Négociations.

Tu n'y avait jamais pensé de cette façon, certes c'était compliqué de voir plus loin que la colère qui avait pris place en toi mais après tout, il fallait tout essayer pour se sortir de là, pour leur prouver que tu n'es pas qu'une coquille sans émotions. Alors tu te bats, chaque jours, contre le monde, contre toi-même, sans savoir si cette journée sera meilleure que la veille. Et tu pourris ce monde dans lequel tu es né, parce qu'il n'a pas su se plier à tes volontés, parce qu'il ne se plie pour personne d'autre que lui. Le soleil vient te caresser la joue chaque matin, tu passes des journées entières assis aux sommets des arbres, tu joues avec la vie en attendant que celle-ci te quittes, les maigres provisions que tu arrives à récolter ne sont plus suffisantes pour les pacificateurs, alors chaque jours ils t'enfonces un peu plus dans le malheur en te frappant sur le sommet de ton crâne, mais c'est qu'elle fait du bien cette douleur, parce que tu connais pas d'autres moyens d'exister que celui d'avoir mal. C'est con, de voir que la seule chose qui te fait réagir c'est lorsque l'on t'infliges des douleurs physiques, c'est juste con.

La grande place est noire de monde, ça n'est pas étonnant mais tu n'arrives pas à réaliser que la moisson se tient aujourd'hui, c'est con parce que ça fait plusieurs jours que tu n'arrives plus à dormir à cause de cette excitation qui te tient en éveil, c'est con parce que si jamais tu montres sur l'estrade on pourra tes cernes sur le grand écran. Tu enfiles une tenue qui n'est pas celle des jours de travail, celle que tu as mise quand les pacificateurs ont enterré ton frère dans cette fausse commune qui suinte la mort à plein nez, tu l'enfiles sans vraiment te soucier des paroles de ta mère qui ne comprends pas pourquoi tu t'obstines à vouloir remonter tes manches. Les traces sur des bras, toutes ces cicatrises qui courent sur tes poignets et qui ne sont que le rappel de ton existence passablement morose. « Link ! Tu veux bien dire à ton frère que ça n'est pas le jour idéal pour monter à tout le monde à quel point il veut mourir. » Elle ne soucis plus de toi, plus depuis la mort de ton frère qui lui est toujours restée en travers de la gorge, perdre un fils ça n'est pas une chose facile, mais c'est année c'est un autre fils qu'elle à renié. Link s'approche avec cet air courageux qui le décrit si bien, si seulement tu pouvais être plus comme lui et moins comme ton lâche de père qui à abandonné sa famille pour ne plus avoir à les nourrir, si seulement tu était normal. « Cache moi ça Cassius, personne ne veut voir ça. » Tu laisse retomber tes manches sur tes bras emplis de traits sanglants tout en adressant à ton frère ce regard de chien battu qui te correspond à souhait. « Si jamais je suis tiré Link, tu viendras me dire au revoir ? » Tu l'as toujours admiré, ton frère, moins qu'Aumary qui n'en faisant toujours qu'à sa tête et qui t'as, par de nombreuses fois, tourmentés pour t’endurcir, Link est la représentation même du héros des temps modernes, c'est con que ça soit tombé sur lui et pas sur toi. Il ne te répond pas, parce qu'il n'en à rien à faire de toi, parce que tout le monde t'as oublié quand l'accident est arrivé. Les enfants sont serrés les uns contre les autres, encadrés par les uniformes blancs et les visières scintillantes des pacificateurs qui n'hésitent pas à appuyer leur armes dans les côtes des enfants pour qu'ils se serrent encore plus. Alors ils s'agrippent par la manche, tentant de trouver une personne réconforte a leur côtés, mais ils n'y trouvent rien si ce n'est la froideur des visages et le sifflement continu du micro mal branché. L'hôtesse s'approche d'un pas sautillant, on dirait une poupée de cire contenue dans des habits de couleurs, c'est con, elle serait sûrement plus jolie sans ce maquillage. Une fille que tu as déjà vu dans les vergers est tiré au sort, elle s'approche d'un air angoissé et prend place sur l'estrade, essayant de retenir les larmes qui lui montent aux yeux. C'est con, tu l'aimait bien sans ne lui avoir jamais parlé. Elle était de celles qui restent discrètes et qui ne font pas de vagues, un peu comme toi. Le tour du garçon est arrivé et tu pris pour partir, pour mettre un terme à ta torture, en fermant les yeux tu t'imagines même mourir. « Amaury Stockterry Junior » Tu relèves la tête, lentement, pour ne pas te donner le tournis, ça n'est pas toi qui avance aux côtés de la fillette mais ton frère aîné âgé de dix-huit ans, dire que dans une moins d'une semaine il aurait été épargné, c'est con. Alors tu prends son départ comme un signe du destin, la vie qui te dit qu'en fait rien n'est joué d'avance, tu n'as plus aucune chance de t'en sortir.

Dépression.

Les jours passent et se ressemblent comme deux gouttes d'eau, ça en devient navrant, mais c'est tout de même plus difficile que de faire à des jours qui ne se ressemblent pas, après tout rien ne vient bousculer ta misérable existence et tu fait de ton mieux pour te détruire un peu plus, parce que c'est comme ça que tu « vis » à présent. C'est con, de devoir survivre à chaque nouvelles journées plutôt que de passer du temps à ne rien craindre, à faire comme si la vie était un cadeau auquel il faut tout donner, tu n'es pas comme ça, tu ne crois pas aux idéologies que les changent essaye de t'apprendre, simplement parce que tu n'en à rien à faire de tout ça. La télévision fait défiler les images des jeux et tu comptes les jours qui sépare Amaury d'une mort certaine. Il à fait bonne impression au Capitol, mais sa peau trop clair et ses yeux trop noires ne lui ont pas attirés beaucoup d'aide, surtout lorsque que l'on comprend qu'il possède un caractère très loin de se plier à la volonté des autres. Il sera mort avant la fin de la semaine, et au plus profond de toi tu sait que c'est sans doute mieux pour lui. Tu aurai aimé que ça soit toi dans cette arène, parce que tu aurait trouver une façon plus simple de goûter à la douleur, à la torture, une nouvelle façon de vivre. Mais ça n'est pas toi, alors tu te contentes de faire ce que tu as toujours fait, tu survis.

Les bois sont calmes en cette nuit de printemps, on commence à sentir les odeurs suaves et entraînantes des fleurs qui s'ouvrent peu à peu, tu aimes la nature parce que c'est la seule chose sur terre qui ne se force pas pour se plier aux règles des hommes. On construit des bâtiments à l'extérieur des arbres et des forêts car on sait très bien que la nature ne pliera pas, elle est un peu comme toi. La lame du couteau que tu tient scintille sous les reflets calmes du soleil à peine levé qui caresse ton visage cerné, les nuits sans sommeils sont indomptables et elles te forcent à mordre tes bras pour ne pas avoir à hurler et à réveiller ta mère qui semble livide depuis la mort d'un autre de ses fils. Amaury à périt cette nuit, sous le joug des carrières assoiffés de gloire et de sang, la tête arrachée, les tissus découpés sans grand soin par la lame d'un couteau comme celui que tu tient entre tes mains. Lentement tu appliques la lame sur l'un de tes poignets, là où d'autre marques se sont effacées avec le temps, tu laisses le sang couler à basse allure afin de pouvoir en tirer le maximum de douleur, parce que c'est la seule chose qui te permets de tenir encore un peu. « Ma sœur aussi est morte cette nuit, à croire qu'ils n'aiment pas beaucoup le district onze. » Tu te retournes pour faire face à une jeune femme au regard presque éteins qui n'hésite pas à s'approcher de toi avec aisance. Tu voudrais pouvoir la fuir, ne pas avoir à la regarder mais elle semble si indifférente à ta présence que tu ne bouges pas, attendant ses paroles sans pour autant en avoir quelque chose à faire. « Je sais que tu ne parles pas aux autres, même si j'ignore la raison, et ça me va, on est pas obligé de parler pour s'entendre. » Et puis d'un coup son visage te reviens en mémoire, c'est la sœur aîné de la tribut féminine du onze, la petite fille flageolante que tu aurais voulu connaître. « Je m'appelle … oh puis après tout on s'en fout. » Elle attrape ton couteau d'un geste de la main et regarde le sang qui perle le long de la lame en haussant le coin de sa lèvre dans un sourire. « C'est pas avec ça que tu vas en finir avec la vie. » Pendant un moment tu ne peux détacher ton regard de sur son visage, mais ta règle d'or c'est de ne jamais t'attacher, n'est-ce pas ?


Acceptation.

Tu ne sait pas de quoi demain sera fait, personne ne le sait, c'est une des choses pour lesquelles ont se force à se lever le matin, parce que personne ne sait ce qu'il va bien pouvoir arriver. La vie reprend son cours, elle reprend ses droits, et tant pis pour ceux qui ne sont pas d'accord avec ses règles, parce que pour eux il n'y aura jamais aucun moyen de s'en sortir. Alors il ne faut en tirer qu'une seule et unique chose, si le monde tourne tu tournes avec lui. C'est con.









Dernière édition par Cassius L. Stockterry le Ven 6 Avr - 13:31, édité 3 fois
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Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Vide
MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 17:35

Un deuxième Josh Cassius ♞ no bravery in your eyes.  4209083858 On est gâté Cassius ♞ no bravery in your eyes.  1147778360

Bienvenue sur MJ et bonne chance pour ta fiche Cassius ♞ no bravery in your eyes.  239769179
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Miléna E. Andréis-Wheeler
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△ âge du personnage : vingt sept ans pour toujours


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Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Vide
MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 17:56

REBIENVENUE parmi nous chou
Il a cédé Arrow
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Thybalt M. Homens
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△ à Panem depuis le : 22/12/2011
△ humeur : désabusé
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△ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles


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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 18:15

C'est bien tu as écouté nos conseils dans la CB hier, céder c'est toujours la chose à faire Cassius ♞ no bravery in your eyes.  2166578461 Arrow
Rebienvenue anyway, bon courage pour ta fiche Cassius ♞ no bravery in your eyes.  173490454 chou
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http://www.mockingjay-rpg.net/t1349-thybalt-strawberry-fields-forever http://madebyumita.tumblr.com
Alexiane R. Hawthorne
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 18:18

REEE Cassius ♞ no bravery in your eyes.  846282082 Cassius ♞ no bravery in your eyes.  846282082 Cassius ♞ no bravery in your eyes.  846282082 Cassius ♞ no bravery in your eyes.  846282082
Bonne chance pour ta fiche Cassius ♞ no bravery in your eyes.  173490454
Comme tu le sais déjà, Josh est pris Cassius ♞ no bravery in your eyes.  1366640713 Désolée Cassius ♞ no bravery in your eyes.  4209083858
Mais je vois que tu as choisi le district onze, trèèèèès bonne chose Cassius ♞ no bravery in your eyes.  1147778360

Cassius ♞ no bravery in your eyes.  1330356922 Karel Cassius ♞ no bravery in your eyes.  1330356922 C'est son chef qui l'a tué ? Cassius ♞ no bravery in your eyes.  1559427923 Arrow
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 18:29

bienvenue parmi nous I love you Cassius ♞ no bravery in your eyes.  173490454
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 19:00

Tout ça c'est la faute de Thybalt !!! Bouh ! Bouh ! Arrow
Sinon, merci à tous pour l'accueil, de nouveau, vous êtes vraiment kûl sur ce forum Cool
Alex, on à qu'à dire ça ! Comme ça Pépita pourra le venger ! Cassius ♞ no bravery in your eyes.  173490454 Et on se trouvera un super lien, promis.

Bon par contre maintenant faut que je trouve une nouvelle tête pour Cassius, entre Cole Morh, Julian Schratter ou, complètement différent, Matt Lanter.
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 19:25

Toutes mes apologies mon brave Cassius Rolling Eyes En plus j'kiff ton prénom c'est vilain !
Sinon pour t'aider, j'vote Cole évidemment !
Sinon dans le même style t'as Callum Wilson que je trouve pas mal aussi, et Jake Bass qui est tout nouveau dans mon répertoire What a Face

J'espère que ça va t'aider Cassius ♞ no bravery in your eyes.  4101628209

Et bienvenue BTW Cassius ♞ no bravery in your eyes.  239769179
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 19:26

    SCHRATTER Cassius ♞ no bravery in your eyes.  173490454
    rebienvenue si j'ai bien compris innocent
    I love you
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 20:38

L. Satine Heathcliff a écrit:
    SCHRATTER Cassius ♞ no bravery in your eyes.  173490454
    rebienvenue si j'ai bien compris innocent
    I love you

Je suis d'accord avec la demoiselle chou
(RE) Bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMar 3 Avr - 21:01

Bienvenue Cool !
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMer 4 Avr - 6:07

Merci à tous pour l'accueil.
J'ai finalement opté pour Cole Mohr, sachant que Schratter fait bien trop "gentil garçon" pour le personnage.
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeMer 4 Avr - 13:54

Mohr + Cassius Cassius ♞ no bravery in your eyes.  4209083858

... Cassius ♞ no bravery in your eyes.  4209083858

Rebienvenue, btw ! I love you
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitimeJeu 5 Avr - 0:24

Welcome bonhomme ! Cassius ♞ no bravery in your eyes.  742856855
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MessageSujet: Re: Cassius ♞ no bravery in your eyes.    Cassius ♞ no bravery in your eyes.  Icon_minitime

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