I'm Just Between Live And Death ✬ Alice

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Alice & Amanda

C'était lors d'une matinée sade. Et encore le mot était faible pour décrire la tristesse et la monotonie dont suintait l'horrible jour. Le soleil avait quitté le ciel, lui donnant une couleur et un aspect fantomatique. Le temps semblait figé dans cette atmosphère défiant toute notion de bonheur ou de convivialité. Amanda avait du mal à marcher. Plus elle avançais, plus ses pas se faisaient lourds et pesant. Elle sentait la fatigue lui tomber sur les épaules, comme un poids extraordinaire dont elle était lasse de souffrir. Elle voulait plus que tout goûter au repos, s'allonger et dormir; enfin. Sa respiration se faisait haletante, irrégulière et saccadée. Une fine bruine commença à marteler le sol, transformant la terre meuble du District Onze en une gadoue molle et qui rendait sa progression difficile. Accablée, elle continuai son chemin; dans la seule, l'unique espérance que sa souffrance s'achève rapidement. Epuisée, elle tomba à genoux, maculant copieusement ses vêtements de boue. Elle se releva; puis retomba à nouveaux, à bout de souffle. La jeune fille avait envie de hurler, elle sentait son coeur battre la chamade, et elle ne pût se retenir de gémir faiblement. La fine pluie se calma un petit peu, achevant de la trempée totalement. Affalée pitoyablement au sol, elle respira les relents nauséabonds, ne puisant pas la force nécessaire pour se relever et gagner son domicile. Elle ferma les yeux, tenta de trouver dans sa position une quelconque quiétude, ou apaisement pour reprendre son chemin. Ses longs cheveux bruns, qui avaient été magnifiques autrefois; étaient entièrement salis de boue. Se donnant une image misérable d'elle même, la demoiselle, au bout de très longues minutes; fit appelle à ses toutes dernières forces pour ramper jusqu'à l'orée de la forêt.
Ont peut dire que le chemin que parcourut Amanda jusqu'au lac, quand elle comprit qu'elle ne pourrait jamais gagner sa maison; fût laborieux. Il n'était plus question de fatigue, d'épuisement; mais d'un véritable harassement. Le corps est capable de relever de nombreuses épreuves, mais lorsque l'on le pousse à bout, qu'on le vide de la moindre parcelle d'énergie; il ne reste plus ... Que le néant. C'est ce que la jeune connue ce jour-ci, cet abandon de ses forces, cet épuisement total; soudain et si peu pratique pour son quotidien.Sa tête lui tournait, elle sentait qu'elle allait finir par s'évanouir si elle continuait à abuser de ses maigres ressources. Son sang, chauffé à vif battait ses tempes à une vitesse phénoménale, elle avait grand mal à garder les yeux ouverts.
Elle les ferma, de bonheur, de délice; quand elle sentit qu'elle arrivait sur la berge du lac. Elle y passerait le temps qu'il y serrait nécessaire pour qu'elle puisse se ressourcée, elle préférait rentrer chez elle à une heure incongrue que de ne pas rentrer du tout et de laisser traîner sa dépouille dans un fourré. Elle serra dans ses mains sales un petit bout de terre, observa fugitivement un carré de ciel gris et roula sur le ventre. Puis tout devint noir.

Amanda se réveilla avec une affreuse migraine. Un peu requinquée, elle trébucha jusqu'au lac, enleva ses vêtements, plongea dans l'eau glacée; sa peau al brûlant à vif. Respirant l'air glacial à petites bouffées, elles lava fébrilement ses vêtements. Le jour déclinait, mais la jeune fille ne se sentait pas de rentrer chez elle. Elle ne s'en sentait pas le moins du monde capable. Les larmes roulant sur ses joues malgré elle, elle n'entendit pas la silhouette à la cadence secrète qui se mouvait jusqu'à elle. Elle ne releva pas la tête quand l'inconnue s'approcha d'elle.
Elle n'en avait pas l'énergie nécessaire.

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Une journée tout au temps épuisante pour Alice . Un samedi remplis de travaille dans les champs, seules dans le froid glacial avec le gros paréo de son père qui puée a n'en plus finir et les grosses bottes qui était difficile pour marcher .Elle continua de travailler dure depuis au moins 6 heure du matin et il était déjà 22 heure, elle était toujours la dernière au champs et travailler dure pour gagner au moins un grain de riz .Oui quand les gens du Capitole se plaigne ils n'ont cas allez travailler dans les champs pendant plus de 12 heure sans aucune heure de pose . Alice rentra doucement fatiguée de sa journée la pluie tomba d'un coup elle vit vite c'est cheveux trempée et ses habits aussi, sa lui rappela des souvenirs, des très bon même avec sa petite soeur .En repensant à sa soeur une larme coula sur la joue .Elle passa sa main gelée sur sa joue et prix un air dure en reniflant . "Les larmes c'est que pour les faibles!"Pensa t'elle .
En continuant son petit chemin, épuiser elle pensa prendre un raccourci mais non éclairée le soir, elle ne voyait rien qu'une belle lune à moitié remplie . Le froid balaya son visage et ses cheveux blonds ondulant . Elle marcha jusqu'à entendre des larmes . Ce fus un réflexe et elle s'approcha du bruit . Elle voyait une petite ombre, des longs cheveux trempée . Alice ne pus s'empêcher d'enlever son gros manteaux et le mis sur les épaules de l'enfant . Elle reconnue la jeune fille, elle avait aussi perdue un être chère dans sa vie . Alice s'installa par terre près du lac et prix l'enfant en l'allongeant au sol et posant délicatement sa tête sur genoux comme une soeur qui s'occuper d'elle . Elle la regarda toute trempée et vit qu'elle était faible. La seule ressource qu'elle avait gagnée aujourd'hui n'était qu'une pomme rouge. Elle la sortis et lui coupa plusieurs morceaux avec le couteau de son père et lui les donnas .

"-Mange !"

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Cafard, blues, tristesse; appelez ce sentiment comme vous voulez il n'en changera pas de signification. Amanda avait toujours eut la capacité de s'accommoder de ce qu'elle avait, de faire un tout avec rien; peut être par ce qu'elle n'avait pas vraiment le choix. Il était dans sa nature de voir les choses d'un côté optimiste, mais ce qu'il s'était passé aujourd'hui relevait de plus qu'elle ne pouvait supporter. Elle ne voulait pas qu'on la voit dans cet état, la jeune fille souhaitait juste retrouver un peu de force et reprendre sa vie là où elle l'avait laissée.
Un manteau se posa sur ses épaules. Un peu honteuse, la gamine regarda Alice Johnson droit dans les yeux:

"- Qu'est ce que tu fait là à une heure pareille ? Tu devrais rentrer chez toi. "

Sans attendre son consentement, elle l'installa sur ses genoux. Seulement la demoiselle était bien trop fatiguée pour être vexée ou reconnaissante. Elle voulait juste dormir, s'abandonner au néant et retrouver l'étincelle de vie. L'univers entier devenait flou, recouverte d'un voile de brume impénétrable.

"- Mange ! "

N'ayant pas l'energie de protester, Amanda se laissa faire.
Un morceau de pomme frais se glissa péniblement dans la bouche d'Amanda, le visage barbouillé d'un délicieux jus de fruit; elle gémit de plus belle. Une migraine affreuse prenait racine au plus profond de son crâne meurtri.

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la brume du soir était froide mais magnifique, c'était le moment de la journée préférée pour Alice . Elle qui n'avait pas le temps d'admirer la journée elle admirait le soir, la nuit . Elle entendit une petite voix lui parler .

"- Qu'est ce que tu fait là à une heure pareille ? Tu devrais rentrer chez toi. "

Pourquoi elle utilise ces forces pour me parler, pensa Alice . L'enfant devrait ce reposer, mais Alice lui répondit .

" Je te retourne la question . Mais tu me répondra surement demain matin ..."

Elle remplissa Alice d'une telle tristesse, elle lui rappeler tant sa petite soeur . Alice lui donna les bouts de pommes et s'occupa d'elle comme un bébé . Elle essaya de montrer aucune émotion mais son coeur battée la chamade .Non seulement parce que la neige tombée sur ses épaules découvertes mais aussi parce qu'elle s'avait ce que ressentait l'enfant, cette inpuissace, cette douleur qu'on a quand un être chère meurt . Elle l'entendit gémir mais elle sourit car elle compris que c'était pour la pomme, elle toucha sa tête qui était totalement chaude .La jeune fille devait couvrir une bonne fièvre et Alice ne pouvait pas se retenir d'enlever son bonnet et de lui mettre sur la tête . Alice était donc en débardeur et gros pantalon sous une neige gelée .

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La fièvre montait en Amanda en flèche. Elle ne pourrait jamais oubliée ce qui s'était passées aujourd'hui. Comme elle était plongée dans l'herbe humide, l'eau sale traversant allègrement ses vêtements; ses blessures au dos se furent plus lancinantes. De secondes en secondes, la douleur laissée par les coups de fouet reçus devenait de plus en plus intolérables. La jeune fille serra les dents, avala sa salive et tenta de maîtriser un peu les sueurs froides qui coulaient vivement le long de son corps. La gamine considérait l'organisme humain comme une machine capable de multiples prouesses, mais néanmoins dotée de limite qu'il se révèle très dangereux de dépasser. C'est ce qu'il s'était passée aujourd'hui, quand elle avait été l'objet d'un châtiment corporel difficilement supportable pour ses quatorze ans. Supporter. C'était tout ce qu'elle savait faire, tout ce qu'elle fesait depuis l'enfance. Souffrir, souffrir; et souffrir encore en espérant que le calvaire s'achève. Il fallait que ça cesse. Amanda lui demanda ce qu'elle faisait ici. Elle avait suffisamment d'ennuis, et peu d'amis. Elle ne pouvait décemment pas se permettre d'apparaître dans cet état pitoyable. Aussi se montrait-elle froide et peu avenante au possible; même si son coeur brûlait d'affection.

"- Je te retourne la question . Mais tu me répondra surement demain matin ..."

Oui, remettre à demain. Remettre les problèmes à plus tard et vivre. Enfin. Un bonnet chaud se posa sur sa tête, mais rien ne parvenait à apaiser ses tremblements.

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Alice toucha le front de la jeune fille, déplorée par la fièvre elle la regarda avec tristesse, la tristesse de ne pouvoir rien faire . Elle passa sa main sur son bras pour la réchauffer mais celle -ci gémit un peu . Elle enleva la manche et vue plein de trace, surement les coups de fouet des pacificateurs . Elle ne pus me retenir et la déposa par terre partant à la cueillete de plante médical, son père en connaissais pleine et ma passer son savoir, elle était près d'un buisson et en même temps ce trouver un lapin bien dodus . Alice regarda autour d'elle mais ne vis personne, elle était assez loin de la ville . Alice sortis le couteaux et tua le lapin . Elle cueillis plusieurs plantes . Puis elle fouilla dans son sac et trouva le briquer qui lui servé de guide le matin pour partir travailler dans le froid . Elle se pris au jeux et ramassa quelque bout de bois et fis un feu .Sa lui faisait vraiment penser au Hunger Games mais d'une façon moins meurtrière .

Elle dépouilla l'animal, le passa dans le lac gelée pour le laver puis le fit cuire .Elle retourna vers l'enfant allonger dans le neige .Alice pris les plantes et les frotta sur ses blessure pendant que l'enfant commencer à s'endormir . Elle la caressa ensuite et pris soins d'elle comme ci elle l'a connaissais depuis très longtemps, elle avais cette instin de grande soeur en elle depuis toujours . Alice la recouvra avec ces gros vêtements . Elle regarda le feux crépitait et surveiller l'enfant en même temps .

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Les brûlures d'Amanda se faisaient de plus en plus lancinantes, la douleur de plus en plus forte. Elle déglutit avec peine. Une odeur nauséabonde se dégageait du paréo de la jeune fille, où alors peut-être étais-ce son imagination. Elle n'avait pas la force de le faire remarquer alors elle se tût en priant pour que l'on éloigne cette puanteur infecte. Remarque, elle ne devait pas sentir bien bon non-plus après s'être roulée dans la boue. Elle voulue protester quand Alice examina son bras, alors que ses blessures se trouvaient au niveau de son dos comme elle essayait de lui faire comprendre. La demoiselle vît son aînée partir à la recherche d'une plante, et son regard s'éclaira quand elle partit ramasser l'heureuse élue à laquelle Amanda ne voyait aucune particularité. Se redressant péniblement, elle regarda son amie dresser un feu standard, quoique assez efficace. Un peu requinquée, elle se réchauffa les mains en regardant Alice faire sa fête à un pauvre lapin, puis la recouvrir de plantes et d'imposants vêtements. Sauf que maintenant qu'elle avait retrouvée une toute petite parcelle d'énergie, elle n'avait aucune envie de dormir, du coup elle prit la parole:

"- Alors, toi aussi tu te promène à la nuit tombée ? "commença t'elle à plaisanter.

Enfin plaisanterie ... Amanda était quand même rudement curieuse d'apprendre comment Alice, après qu'elle soit censée avoir finit sa journée depuis environ cinq heures la retrouve au lac. Comment avait-elle put savoir où elle se trouvait ? Ce devait être un hasard, car les habitations se situaient tellement loin des bois, et par conséquent du lac, qu'il était complètement impossible qu'elle l'ai entendue pleurer depuis le village.

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Alice aimer les feux, les feux de camps ou encore les feux qu'elle faisait avec sa petite soeur . Oui, des flammes si sublime qui crépitait, c'était magique pour elle . Elle passa sa main dans les cheveux en soufflant avec un air fatiguée . Mais elle entendit vite la jeune fille parler derrière elle, et leva la tête qu'elle avait poser sur ses genoux, ces yeux près à ce fermer et se reposer d'une de ces plus grosse journée . Elle se retourna vers Amanda et la regarda, c'est cheveux mi long chatain et ces yeux d'un marron merveilleux . Alice admirait sa beauté et c'est yeux bleus brillait comme un ciel bleu d'été .

"- Alors, toi aussi tu te promène à la nuit tombée ? "

Cette gamine lui donna un petit sourire qu'elle cacha, elle la regarda puis lui répondis d'une voix un peu plus douce que celle avec qui elle lui avait parler avant .

"-Non moi je rentre de mon travail mais tout les samedis je viens admirée cette forêt . Et toi, que fait tu dans cette état ?Tu n'est plus fatiguée ?!"

Alice avais eu beaucoup peur pour la jeune Amanda qu'elle venait à peine de connaître . Elle se rendis compte vite qu'elle aller l'étouffée avec ces questions, elle baissa sa tête .Ces mèches blondes ondulantes cachée sa tête en penchant vers le sol .

"-Excuse moi de mes questions ... Tu dois être fatiguée et moi comme une idiote je n'arrête pas de t'en poser ..."

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Une douce chaleur se frayait un chemin dans l'air glacial pour réchauffer Amanda, dont les vêtements dégoulinaient encore d'eau. La journée avait été terrible. Elle ne pensait pas être capable d'en parler. Rien que d'y penser, sa gorge se nouait par l'émotion. Oui, elle avait déjà assistée à de nombreux terrifiants spectacles; mais celui-ci se distinguait de par son atrocité. Aujourd'hui, une gamine haute comme trois pomme, avec deux parents était morte sous les coups de fouet devant la jeune fille qui avait survécue. Le motif ? Un simple vol. Une toute petite pomme, grande comme le poing que les deux enfants avaient chapardés. Quelle ne fût pas la terreur d'Amanda quand un Pacificateur l'avait violement empoignée pour découvrir le minable fruit simplement caché dans sa poche; destiné à être mangé ce soir ? Aucune peur, aucune terreur n'avait jamais égalé celle qui s'était emprise de la demoiselle en cette pauvre matinée. Elle avait reçue un nombre prodigieux de coups de fouet au dos, au poing qu'il vînt un moment ou la seule et unique chose qui obscurcissais son regard fût ... Le sang. Son sang.

"- Non moi je rentre de mon travail mais tout les samedis je viens admirer cette forêt . Et toi, que fait tu dans cette état ? Tu n'est plus fatiguée ?!

- Hum ..."commença t'elle,"Disons que la journée n'a pas été facile. Excuse moi de mes questions ... Tu dois être fatiguée et moi comme une idiote je n'arrête pas de t'en poser ..."

Amanda fût gênée. Elle n'avait pas vraiment l'habitude qu'on se soucie autant d'elle. Secouant la tête, elle murmura faiblement:

"- Ne t'en fait pas pour moi; ça va aller."

En avait-elle le choix de toutes façon ?

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Alice prenait plaisir à s'occuper d'Amanda, elle lui rappelait sa pauvre soeur. Elle aurait aimée que cette instant dure pour toujours, pourquoi ressentait t'elle de la joie, du bonheur de s'occuper d'elle alors qu'elle ne la connaissait à moitié. Elle caressa ces doux cheveux plein de noeux et commença a lui les défaire doucement avec ces longs doigts. La jeune fille lui répondis aussitôt.

"- Ne t'en fait pas pour moi; ça va aller."

Sa voix, c'est parole, tous ces petits détailles... Alice avait l'impression d'avoir son reflet en plus petit, en plus mignon. La jeune fille avait eu le don de calmer l'inquietude d'Alice. La blondinette avait déjà assez de mort sur la conscience et ajouter une nouvelle victime ne pouvais que lui déchirée le coeur. Alice regarda la douce enfant puis se remit à parler, elle ne pouvait pas se retenir .

"- Je me présente, Alice Jonhson"Alice baissa la voix et son visage pris un air triste ."-Tu dois surement me connaître avec l'histoire de ma famille ..."

Alice avait les larmes au yeux et essaya de cacher ses larmes, depuis toutes petites elle c'était dis de ne pleurer devant personne. Elle regarda la jeune fille qui avait le visage illuminer et reprit sa voix normal, elle avait reconnue son visage enfantin .

"-Je t'ai reconnue, tu es Amanda Mayers !"

Elle lui sourit gentiment .

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Il y avait des gestes apaisants dans la vie. De petites attentions simples qui rendaient la vie plus simple, qui faisaient taire les tensions, échapper les tourments ... Comme la main d'Alice qui lui caressait ses cheveux malmenés par la rude journée. Les brûlures d'Amanda la harcelaient avec vigueur, lui coupant le souffle par petits moments; ce qui rendait sa respiration saccadée et lui faisait monter le rouge aux joues. La blonde rompit le silence calme et détendu qui s'était installé entre elles:

"- Je me présente, Alice Jonhson; Tu dois surement me connaître avec l'histoire de ma famille ... "

Amanda, touchée par la tristesse qu'elle lisait dans les yeux de la jeune fille lui répondit:

"- Oui, je sais. Je suis vraiment désolée ... Nous ne sommes pas vraiment gâtée par la famille toutes les deux, dirait-on. "

Devant la mine infiniment triste d'Alice, la jeune fille aurait voulue trouver les mots, les gestes qui lui auraient arrachés sa peine. Mais comment pouvait-elle consoler quelqu'un d'un mal dont elle souffrait, et dont elle n'avait jamais guérie ?

"- Je t'ai reconnue, tu es Amanda Mayers ! ", s'excalam Alice, qui semblait retrouver un brin de joie.

"- Ouais, mais tu peux m'appeler Mandy si tu veux ! ",dit elle d'un ton léger.

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Alice penser; "Cette fille me donner le sourire je ne sais même pas pourquoi ... Amanda avait le don de me faire sourire, de donner le bonheur. Oui, dans cette forêt glaciale remplie de neige, qu'une jeune fille te parle, avec le sourire mais elle est blaissait, intérrieurement et extérieurement. Elle me remplissait de joie tout simplement."

"Oui, je sais. Je suis vraiment désolée ... Nous ne sommes pas vraiment gâtée par la famille toutes les deux, dirait-on. "

Alice était elle aussi touchée par ces paroles et lui répondit doucement ;

"-Oh je suis désolée pour ta famille ... Il faut croire que la mort aime nous jouez des tours ..."

Alice aimer bien la façon de penser d'Amanda, elle regarder le lapin cuire au bon feu en le surveiller et faisant tournée le bâton. Le silence ce faisait sentir mais Amanda répondit .

"-Ouais, mais tu peux m'appeler Mandy si tu veux !"

Alice lâcha un rire légée, c'était mignon Mandy comme surnom, et lui sourit et lui parla.

"- C'est cool Mandy, mais je vais t'appeler Maindy"Dit elle en prenant l'accent du capitole."-Moi je n'ai pas trop de surnom mais tu peut m'appeler Lilly ou quelque chose du genre .

Spoiler:

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Il y avait des jours avec et des jours sans. Des jours heureux, légers, qui laissaient oublier qu'au fond l'on souffrait. En effet, nous n'avons que deux choix qui pourraient nous permettre de nous orienter dans le cour de notre pitoyable existence: survivre ou se laisser crever. "Crever" était l'exact terme désignant la vie à Panem, par ce que là-bas; la simple idée du bonheur paraissait complètement déplacée. Cette journée ci avait été, bien plus que mauvaise ou éreintante. Avec du recul, peut-être pourrait-elle la considérée comme une épreuve. Mais là, tout de suite, sur le moment; la seule chose qui importait à la jeune fille était al douleur lancinante qui la parcourait, mettant à vif chaque parcelle de sa peau exposée aux coups de fouet.

"- Oh je suis désolée pour ta famille ... Il faut croire que la mort aime nous jouer des tours ...", conclua Alice, d'apparence songeuse.

La gamine ne trouva rien à répondre. Que pouvait-elle dire ? Même si elles ne se connaissaient que de vue, elles partageaient, de par leur passé tumultueux le même point commun. La souffrance. C'est peut être cela qui faisait que Mandy se sentait si proche d'elle, si intimement liée avec cette fille qui semblait partager le poids de cette douleur qui ne cesse jamais. Désireuse de détendre l'atmosphère, la demoiselle se présenta et reçue en retour:

" C'est cool Mandy, mais je vais t'appeler Maindy ", dit elle en prenant l'accent du capitole. " Moi je n'ai pas trop de surnom mais tu peut m'appeler Lily ou quelque chose du genre . "

Amanda gloussa, s'empara d'une part du lapin qui avait l'air à point; et en proposa à "Lily".

" - Ok, je crois que je vais t'appeler Ali'; ça te va mieux je trouve. ". Elle reprit un peu plus sérieusement : " Hum ... Je voulais te demander ... Euh .... Tu le voit comment ton futur ? "

La question, maladroite et un peu indiscrète était néanmoins importante pour Amanda. Elle avait besoin d'un autre regard, d'une autre vision des choses pour pouvoir réfléchir à ce qui allait l'attendre et qui ne promettait pas d'être très joyeux. Et puis, elle avait envie de discuter, et parfois parler avec des "si" pouvait faire naître un peu d'espoir; un peu de force; celle dont elle manquait tant.

Hors-jeux:

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La vie et la mort sont les deux grands passages de l'homme, de l'être immortelle à l'être mortelle. En même temps dans une vie il y a beaucoup de passage, l'enfance ou nous sommes tous innocents mignons et choux, puis l'adolescence ou les querelles commence, les amours et les emmerdes arrivent aussi. Puis à l'âge adulte nous devenons matures, sages et compréhensif. Puis c'est la veillesse, la période que j'admire le plus. Les personnes âgées reste assise, à ne rien dire et à écouter la mort leur parler. Leurs dires de venir. Mais il ne vienne pas et reste sage. C'est ce que j'aime chez eux. Mais toutes les périodes sont belles, remplis de haut et de bas, si nous vivons au jour le jour nous avanceront.

Mayndi laissa un gros silence et se servie en lapin en me tendant une cuisse, je le souria aussitôt. Je ne la connaissais pas mais cette fille était trop gentille avec moi, comme si on ce connaissez pendant des années, nous étions bien proche et cela me donner un sourire radieux. Elle ne disait rien, mais à chaque minute qu'elle parler sa remonter vraiment le sourire c'était encourageant et j'aimais sa.
" - Ok, je crois que je vais t'appeler Ali'; ça te va mieux je trouve. "

Ce surnom me faisait toujours rire, je n'en sais même pas pourquoi. Peut-être à cause du très très très vieux contes que notre père nous avais raconté ma soeur et moi.Le voleur Ali Baba. Elle reprit un air sérieux ce qui fut assez mignon et marquer les trais fins de son visage.

"-Hum ... Je voulais te demander ... Euh .... Tu le voit comment ton futur ? "

L'avenir, je n'en savais rien. J'ai eu tellement de surprise dans ma vie. Mais c'était une bonne question, je pensais que cette question était bien interessante et méthodique. Après une grand moment de réflection je luis répondis.

" - C'est une très bonne question... Pour tout te dire je ne sais pas trop, peut-être infirmière pour soigner des blaisser pour le professionelle ou toujours travailleuse dans les champs de cotons. Amoureusement je n'ai aucun avenir et je m'en doute un peu ... Mais sinon je ne sais pas trop, et toi ?

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Amanda était une jeune fille qui préférait agir et se poser des questions ensuite. A vrai dire, elle n'avait pas le temps de trop s'interroger sur les mystères de la vie. Elle avait très peu de moments libres, totalement calmes où elle se trouve en mesure de pouvoir réfléchir tranquillement. Et puis ... A quoi bon imaginer, inventer, se chercher alors que le futur au district Onze est déjà quasiment tracé d'avance ? La question venait de lui sauter au nez, de la prendre par surprise. Depuis quelques minutes, une entêtante, une obsédante idée: " Et pour plus tard ? ". Aujourd'hui elle avait un foyer, un travail ... Mais dans vingts-ans, serais t'elle toujours aux champs à se casser le dos pour nourrir les enfants gâtés du Capitole ? Cette idée était tout simplement insupportable. La seule, l'unique chose qui la motivait dans la vie de tout les jours était une perspective. Une conviction muette, cachée au plus profond recoin de son esprit; que les choses changeraient. Que demain serait différent et qu'il fallait tenir jusqu'à là. Mais finalement, ce projet sans nom avait-il raison d'avoir lieu ? Ou ce faisait t'elle de faux espoirs ? Mandy était connue pour crée des rêves avec la poussière, avec rien. Mais parfois; les rêves, ceux qui vous arrachent le coeur avec tant d'espoir ... Font plus de mal que de bien.

" - C'est une très bonne question... Pour tout te dire je ne sais pas trop, peut-être infirmière pour soigner des blessés pour le professionnel ou toujours travailleuse dans les champs de cotons. Amoureusement je n'ai aucun avenir et je m'en doute un peu ... Mais sinon je ne sais pas trop, et toi ?

- A vrai dire, c'est le flou total de mon côté. J'ai toujours vécût dans l'intime conviction que du jour au lendemain tout changerait. Que le calvaire actuel n'est que passager, que d'un coup de baguette magique, le Capitole tombera en poussière et cessera de nous abaisser plus bas que terre avec les Jeux de la Faim. Je crois que j'attendais beaucoup de choses de la vie. Je plaçais beaucoup d'espoir dans le destin. Un lendemain beau, totalement différent ... Un retournement de situation inopiné. Mais plus le temps passe, plus j'en doute. Plus il me semble réaliste que je finisse mes jours à remplir un panier de fruit pour combler l'estomac de ces chiens. "

La gorge nouée, la demoiselle ne regrettait pas d'avoir confié ses doutes sur le mystérieux futur qui les attendait toute les deux.

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