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| Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 20:08 | |
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Lino Emrys Moriarty ❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Lino Moriarty, ça vous dit quelque chose ? Non ? Si, vous avez déjà entendu ce prénom à la télé, ne me faites pas marcher. Vous savez, ce type brun avec une belle gueule, oui, lui. Et bien, c'est lui, enfin, moi. Oui, je suis ce type qui passe à la télé aussi souvent qu'il est derrière la caméra. Hmf, je vous vois venir. « Encore un de ces types du capitole, qu’il aille faire le malheur de quelqu’un d’autre ! » D'accord, d'accord, je concède que mon côté vaniteux et arrogant de "Capitoliste", ainsi que ma tendance à siffler les "s" me trahit aux premiers abords, mais vous seriez surpris, voir terrifiés, si vous saviez qui je suis réellement. Je suis des vôtres en tout cas. À vrai dire, je suis pour tout le monde, je joue double-jeu. Mais dans ce monde, qui est encore franc, dites-moi.... Bref, revenons à moi. J'ai 24 ans, et je suis un inhabitants of the capitol. Je ne suis pas "pure souche" , mais j'ai su faire ma place, et trouver la fille de mes rêves, à laquelle je suis fiancé, j'ai su me faire aimer de tous. C'est en partie grâce à mon métier de producteur. Je gère les séquences à filmer, les plus morbides à montrer au peuple, les scènes les plus larmoyantes des familles des tributs à exposer à Panem entier, toutes ces choses qui divertissent par la télévision. Ne pensez pas que je fais cela par pure satisfaction de plaisirs sadiques, je le fais pour un but précis et dont je ne démordrai pas : je vengerai le meurtre de ma soeur et libérerai mon district d'origine, mon peuple, mon sang et ma chair enracinés dans ses forêts.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Je ne vois pas ma mort, je ne vois que mon cadavre, ou mon tombeau, ou mes cendres éparpillées, que sais-je ce qu'il adviendra de feu mon corps ? Tout ce que je sais pour le moment, c'est que j'ai encore trop de choses à vivre pour penser à mourir, et que si je commence à cogiter maintenant, cette graine pourrie germera dans mon esprit et je cela pourrais avoir des conséquences irréversibles qui pourraient corrompre ma mission.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? " Pour ma soeur " pourrait être une réponse valable, mais je sais que ma mort ne la ramènera jamais en vie, et que si jamais cela était possible, je ne pourrais même pas en profiter. Les morts sont derrière nous, il faut tourner la page, et faire profiter les vivants. Alors pour cela, je pourrais mourir pour mon district, mes racines, oui... J'y réfléchis encore, car cette mort pourrait s'avérer être inutile, alors que mes actions bien vivantes pourraient faire avancer les choses plus vites qu'on ne le pense. Et puis, il y a elle, qui me rattache au monde des vivants, cette petit fleur de feu qui éclos dans ma poitrine à chaque fois que je la vois, que je l'admire sans qu'elle s'en aperçoive... Si elle savait combien elle m'est importante...
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Dans la vie, c'est mon éloquence qui m'aide je dois dire. J'arrive aisément à me faire respecter de mon entourage, bien que je ne sois pas pure souche Capitole. Psychologiquement parlant, ce qui m'aide à tenir le coup, c'est le feu ardent qui anime mon coeur, ma dulcine, ma Rose... J'ai honte, c'est niais. L'amour est niais, mais... maintenant que j'y ai goûté, je ne sais plus comment m'en défaire. Elle, son image, son odeur me hantent nuit et jour... je serais capable... des pires insanités pour prolonger nos étreintes, nos baisers, tous ces fichus moments passés ensemble...
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Non, jamais aucun de mes proches n'a participé aux jeux, ou du moins, ils me l'ont peut-être caché. Ce qui m'étonnerait, puis qu’étant producteur, j'aurais forcément su qui de mon district participerait aux Hunger Games. Mais mis à part quelques vieux amis du district où je suis né, je ne vois pas qui pourrait y participer, étant donné qu'une grande partie de ma vie et de mes amis se trouvent au Capitole maintenant.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? En bon citoyen du Capitole, et étant le "moteur" majeur de ces visionnages, je dois avouer que oui, regarder le fruit de mon labeur me procure de délicieux frissons le long de mon échine. Pour la beauté du spectacle, les émotions qui s'en dégagent. C'est inhumain, mais qu'est ce que c'est puissant, éphémère, beau, malléable, revigorant... incroyablement faux mais ô combien traître des souffrances réelles qu'endurent les acteurs.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Je me bats déjà pour ma propre raison. J'ai mes idéaux et mes plans, mais je dois avouer que la découverte d'un nouveau quand rebelle m'excite plus qu'autre chose. À voir si ces rebelles seraient du genre pacifiques et accepteraient une alliance avec les autres rebelles de Panem. Mais au fond de moi, cela me fait plus peur qu'autre chose, pour le Capitole. Si ces rebelles venaient à s'introduire dans le Capitole, sans que nous sachions de quoi ils seraient capables... Cela pourrait causer de sérieux dégâts. [/size]
reality is here.
À que coucou ! Je suis une lycéenne de 16 ans maintenant, et je viens du Nord de la France. :o) Je n'ai malheureusement pas lu les livres de la série mais j'ai essayé de glaner le maximum d'infos que j'ai pu pour coller au mieux avec le forum. Beh oui, c'est le but! Et d'ailleurs, je le trouve magnifique.
FEATURING SHIL♥H FERNANDEZ © COPYRIGHT tumblr
Dernière édition par Lino E. Moriarty le Dim 20 Nov - 0:25, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 20:09 | |
| tell us your story. « Les apparences qu'on sauve ne font que masquer la vérité »
Ils me regardaient tous, avec leurs gros yeux globuleux. C’était facile pour eux, ils n’avaient qu’à baisser la tête et leur regard perçant tombait sur moi comme des flèches. Que va-t-on faire de lui ? Ce petit sauvage ne mérite pas notre bienveillance, nous ne savons même pas d’où il vient. Ils sifflaient les ‘s’ comme un serpent sent sa proie. Ils me jaugeaient, me scrutaient, m’analysaient, m’appréhendaient. Mais jamais, au grand dam jamais ils n’auraient pu savoir ce qui se tramait dans mon cerveau d’enfant. Je paraissais bien trop jeune et bien trop innocent pour laisser éveiller de tels soupçons. S’ils savaient… Ah… S’ils savaient, ils s’en mordraient les doigts à l’heure qu’il est. Je riais intérieurement, j’exultais muettement alors que mes genoux s’entrechoquaient l’un contre l’autre sous les frissons de la peur. Cette peur alimentée par l’adrénaline de l’interdit, du proscrit, du censuré, du prohibé. Oui, j’avais 18 ans à peine, et je signai déjà le contrat de ma condamnation. J’étais rentré dans le camp ennemi, le camp qui révulsait ma chair, et pourtant, j’y étais, je souillais leurs routes et leurs carreaux de marbre à pieds joints. J’infectais tout ce que je touchais et qui leur appartenait de la bactérie virulente qui anime les fièvres de rébellion. Je contaminai le camp adverse pour l’affaiblir, et ainsi taper aisément dans ces zones fragiles qui commençaient à ébranler cette dictature si bien ordonnée. Cela manquait de bazar, cela était trop artificiel pour paraître crédible. C’était une grotesque comédie, un mauvais scénario, mais qui pourtant avais jusque-là su nous rendre vulnérables, nous, habitants des 12 différents districts formant Panem. Nous n’étions pas dupes pour autant, la mascarade avait assez durée, les insanités également. Les crimes commis pour le pur plaisir devaient être expiés, de gré ou de force. Il n’était pas dans l’ordre des choses de commettre de telles insanités pour la pure satisfaction des yeux et des orgueils, cela devait cesser. Voilà la raison de mon infiltration en terrain ennemi. J’étais là pour les détruire de l’intérieur. J’étais là pour faire semblant et agir ailleurs. J’étais là pour tenter de changer le cours des choses, j’étais là pour enterrer ses représailles qui me bouffaient la vie, j’étais là pour bouleverser le cours de ma vie, si le destin en avait décidé ainsi.
« Studios ! Le môme sera placé dans les studios, nous manquons de techniciens, il pourra se rendre utile. » Un rictus satisfait se dessinait sur ses lèvres ridées. Le gros bonhomme se leva de sa chaise, tout rouge qu’il était de l’effort que cette action lui demandait. Je le suivais du regard, tandis qu’il allait, clopin-clopant, vers la porte. Il mit ses doigts boudinés sur la poignée, et d’un vague et bref geste de la tête, me chassa. Je ramassai le sac à dos contenant mes affaires, et le passai sur mon épaule, avant de m’engouffrer hors de la pièce, tête baissée, sans aucun regard vers l’assemblée encore assise. Devais-je me sentir honteux de ma condition ? Je n’avais rien pour moi, je n’étais ni riche ni populaire, j'avais le cerveau, le recul, l'expérience de la pauvreté et le goût amer de la vengeance dans ma bouche. Mais au milieu de tous ses hommes gras et bedonnant, exposant leur richesse par implants capillaires et autres liftings, je ne me sentais pas à ma place. Comme coupable de noircir tel un nuage d’orage leurs journées si calmes et ensoleillées. Ils avaient troublé leur emploi du temps si bien rôdé pour s’occuper d’un cas comme moi, et je puis dire qu’ils avaient été généreux. M’accepter au sein du Capitole, alors que je venais de l’extérieur, c’était bien une marque de leur extrême et rare élan de pitié. Je voulais leur cracher à la figure. « La moitié d'un ami, c'est la moitié d'un traître. »
D’ombre je suis passé à lumière. De sauvage je suis passé à populaire et envié. Une ascension fulgurante durant les 6 dernières années de ma vie passées dans le Capitole. Je triomphais enfin, moi, le fils de rebelle au plan machiavélique en tête, et je vomissais ma gloire sur toutes ces têtes auréolées du Capitole. J’étais un des leurs maintenant, j’avais dû faire avec leurs habitudes, leurs coutumes, leur façon de voir, de faire et de penser. Je m’étais totalement imprégné de cette vie luxueuse, tant et si bien qu’à présent, c’est avec un triste relent d’amertume que j’essaie de me souvenir de mon enfance passé dans le district 7. Je définissais ma vie à partie de ce que je n’avais pas, et voilà que presque toutes ces choses futiles m’étaient à portée de main. Presque, car je n’oubliais pas la raison de mon infiltration dans le Capitole. Ce but inébranlable qui m’empêchait de dormir certaines nuits, et sonnait dans ma tête comme le tic-tac régulier d’une horloge qui égrène les minutes. Cette chose qui me poussait à vivre ainsi était loin d’être chose facile à obtenir, mais j’étais prêt à tout pour l’expiation de ce crime fraternel, qui jamais n’aurait dû avoir lieu devant mes yeux. Cette fleur de lys rouge qui s’étendait autour de son crâne ne quittait jamais mon esprit, bien qu’avec le temps, les détails se faisaient moins nets, le dégout moins brut, le souvenir moins vrai.
Je fis vrombir le moteur ronronnant de ma moto. Le soleil tombait sur le Capitole, les gens commençaient à sortir, pour profiter de la vie, pour porter un toast à la moisson qui arrivait. Je prenais plaisir à sentir cette ambiance vibrante, cette excitation quant aux jeux de cette année qui arrivaient, je pensais déjà aux interviews que j’allais donner, aux court-métrages de présentations que j’allais commencer à tourner. J’enfilai mon casque, le bouclai, puis empoignai le guidon de l’engin, dont le carénage chromé reflétait les paillettes de lumière de la ville. Je m’étais éclipsé assez tard, pour que la pénombre cache mes déplacements. Personne ne devait savoir où je me rendais, et surtout pas les personnes influentes que j’aurai pu rencontrer. Telles étaient les conditions de ma mission. Voir, s’était se faire condamner à mort, bien que condamné, je l’étais déjà. La bécane s’engagea dans les avenues les moins fréquentées. J’arrivai à une intersection, tout près du palais de Snow, et espérai que le feu ne devienne pas rouge pile quand je voudrais passer. Et merde ! Pas de chance, je dus stopper l’engin, le temps que la file de voitures circule. Je jetai un coup d’œil circulaire, évaluant la circulation, quand quelque chose attira mon attention. Une étoffe bleu clair s’agitait, telle une poupée de chiffon articulée. Je plissai les yeux, mais la visière de mon casque m’empêcha de distinguer plus de détails. Un cri strident se répercuta sur les buildings alentours. Je levai la visière et aperçus clairement deux hommes peut-être, prenant en grippe une tête blonde, totalement affolée. Je ne réfléchis pas et me dégageai de la route, coupant sur le trottoir pour rejoindre le lieu de l’agression. Au fur et à mesure que j’avançai, je distinguai un homme de plus, puis un autre, et encore un autre. Décidément, ces porcs n’avaient pas lésiné côté main d’œuvre. Je poussai sur l’accélérateur avant de freiner subitement, à quelques centimètres du premier gars. Celui-ci, à moitié beurré, fut surpris et recula en arrière, tant et si bien qu’il finit par se ramasser contre le bitume. Je ne réfléchis pas, et profitai de cette étonnement de leur part pour attraper le bras de la jeune femme et la tirer vers moi. N’ayant pas le temps de réagir, elle ne se rendit pas tout de suite compte qu’elle était assise devant moi en amazone sur le siège de la moto, et que je quittai déjà le groupe d’hommes. Je croisai son regard éberlué, avant d'apercevoir une lueur féroce dans ses prunelles bleues. Elle commença à jurer et à hurler, avant de tenter de se dégager de mes bras , qui lui faisaient office de rempart. La moto zigzagua dangereusement, et je ne pus contrôler cette jeune femme, qui commençait à me taper violemment avec son sac à main. Elle hurlait, m’insultait, et menaçait de sauter si jamais je ne la libérais pas. Je me garai à la première occasion et attrapai ses bras, la forçant à me regarder. « Je ne suis pas un agresseur, bordel ! J’ai cru bien faire en vous sauvant de cette bande de criminels, mais vous avez failli nous causer un accident ! » m’emportai-je, sous la tension. Surprise, son regard s’adoucit, mais elle ne me quitta pas des yeux. Des mèches folles de son chignon s’échappaient, et lui donnaient un petit côté sauvage, accentué par son expression farouche. Sa robe bleue était visiblement foutue, et découvrait une de ses épaules. Ses lèvres rosées s’entrouvrirent et elle poussa un petit ‘Oh !’ de compréhension. « Je… Je suis désolée de vous avoir effrayé, mademoiselle… » continuai-je, en lâchant ses bras. Elle baissa la tête et glissa de la moto. Elle baissa sa robe et tenta de la réajuster, avant de relever la tête en ma direction et de m’adresser en petit sourire.
C’est cette même fille, qui aujourd’hui, est la femme de vie, mon attache à ce monde, dont elle fait totalement partie et que je chéris jalousement. Mais plus que tout, la petite chose frêle que je dois protéger des conspirations et autres secrets, susceptibles de l’anéantir.
Dernière édition par Lino E. Moriarty le Dim 20 Nov - 16:22, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 20:12 | |
| Oooooh, c'est qui ce beau gosse ? Qu'est-ce que vous dites ? C'est mon fiancé ? Ihiiiiiiii !!! Bienvenue sur MJ et bonne, bonne, superbonne chance pour ta fiche my love ! (enfin, faut pas que je dise trop ça sinon il y aura des jaloux ) |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 20:17 | |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 20:20 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 20:22 | |
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| | | Aiden S. Bregstone △ correspondances : 1696 △ points : 2 △ multicomptes : - j. baÿs-galor △ à Panem depuis le : 09/10/2011 △ humeur : - découragé, désemparé et plein d'autres rimes tarées. △ âge du personnage : - vingt-quatre ans. △ occupation : - (ancien?) chef rebelle du district neuf, pilier d'infirmerie
| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 20:53 | |
| Bienvenu et bonne chance pour ta fiche |
| | | Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 20:59 | |
| Respire, Rose, respire Bienvenue parmi nous et bonne chance pour la suite de ta fiche! |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 21:00 | |
| OOOOOOH SHILOH C'avait été un projet de DC que j'avais finalement abandonné lors de la rédaction de ma fiche. C'est donc génial qu'il soit tout de même joué sur le forum. EXCELLENT CHOIX D'AVATAR Bienvenue, et bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 21:10 | |
| Attention, ne le vénérez pas trop, il est à moi. |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 21:55 | |
| Bienvenuuue |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 22:11 | |
| Shiloh, l'amour de ma vie |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 22:25 | |
| Tout ça pour moi ? Z'êtes des amours ! (ROSE JE T'ÂÂÂÂIME! T'ES L'AMOUR DE MA VIIIIE ! ) Merciiiii ! |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 22:49 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. Sam 19 Nov - 23:42 | |
| Rose n'oublie pas à qui tu appartiens attention Lino hein, j'garde un oeil sur toi t'as de la chance de venir du nord de la france, parce que ça rocks bref, bienvenue quand même, et bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. | |
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| | | | Lino, autrement dit, le loup dans la bergerie. | |
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