✤ TOURNEE DU VAINQUEUR les jeux sont désormais terminés, place à la tournée du vainqueur qui met à l'honneur andro graham ! plus d'informations ici. ✤ INTRIGUES panem ne cesse de changer avec de nombreux événements inouïs. découvrez le volume 6. ✤ MISES À JOUR une nouvelle règle a été instaurée. merci de prendre connaissance de celle-ci ainsi que les autres nouveautés ! ✤ MISSIONS ET QUÊTES toutes les missions ont été lancées ! rendez-vous dans ce sujet pour toutes les découvrir. ✤ SCENARIOS voici quelques scénarios qui n'attendent que vous: rebelles. liam hemsworth pacificateurs. boyd holbrook district 13. cobie smulders & chris hemsworth vainqueurs. gemma arterton & elle fanning d'autres scénarios gagnants de la loterie à venir !
Sujet: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Ven 26 Sep - 19:34
fauve elouan hemingway
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞
Tu te demandes si tu es une bête féroce ou bien un saint, mais tu es l’un, et l’autre. Mais en réalité t'es celui qui croit, celui qui a l'envie de se battre. Tu détestes l'injustice, dès que quelqu'un se trouve dans le besoin, tu as ce besoin irrésistible de lui tendre la main pour l'aider, on dit souvent que tu es altruiste mais en réalité tu n'aimes pas la misère humaine, t'es tout sauf généreux, tu sais que dans ce monde tu ne peux pas l'être, alors t'essaye de faire de ton mieux, c'est tout. Les gens ne savent pas non plus qu'au fond t'as cette rage qui essaye de sortir de ta cage thoracique, parfois t'as de ces crises existentielles et tu n'as qu'une seule envie, envoyer bouler tout le monde, peut-être un peu trop sauvage pour les autres, qu'en sais-tu ? Au fond t'es qu'un lion enfermé dans un corps d'être humain faible. Les gens ignorent qu'au fond t'es pas vraiment comme eux, parfois tu rêves de t'évader de pouvoir voir d'autres horizons, mais quand tu n'as plus de règles, de choses à suivre, t'es totalement paumé, t'as besoin de limite, de sentiers battus, d'anciennes routes qui t'indiquent la voie à suivre. Les gens ont peur de toi quand tu te balades dans la rue, car t'es souvent seul, t'aime pas être entouré, t'as toujours préféré la solitude, être comme un électron libre que personne ne peut contrôler parce que t'es un grand solitaire dans la vie, et cela effraie les personnes parce que tu parles seul parfois. Mais tu sais que parfois les situations nécessitent que tu t'allies avec d'autres, alors un besoin de survie se faire sentir et tu laisses de côté tout ce que tu croyais de toi.
Du haut de tes dix-sept ans tu as déjà vécu pas mal de choses que tu préférais oublier. Comme l’exécution de cet homme sur la place publique alors qu'il n'avait rien fait de mal, mais le pire ce n'est pas que tu as trouvé cela horrible, mais que cela t'as laissé indifférent et que si tu avais dû à faire un même acte, tu n'aurais pas hésité, tu l'aurais tué. Tu sais très bien que ta survie dépend du mal des autres, c'est comme cela c'est tout. Venant du district sept, t'as dû commencer à travailler tôt comme tous les autres garçons de ton âge, c'est pour cela que tu as rejoint ton père dans les forêts pour couper du bois comme bûcheron. Le travail est rude, le salaire misérable, mais c'est mieux que rien, tu sais que les conditions sont bien pires dans d'autres districts comme le onze ou le douze. Tu es plutôt sportif et tu aimes te dépenser, la plupart de ton temps libre tu l'utilises à faire de l'exercice, de la musculation, de la course à pieds, de l’escalade dans les arbres, les pacificateurs ne disent absolument rien car de toute façon tu ne fais rien de méchant, tu développes juste ta musculature.
Parlons de ce que tu aimes, c'est intéressant non ? T'as toujours eu du mal à t'attacher aux êtres humains, mais t'aimes les regarder, essayer de deviner ce qu'ils sont réellement derrières leurs apparence. T'es aussi quelqu'un d'accro à l'adrénaline, et tu n'hésites pas à te mettre en danger pour pouvoir ressentir ce frisson de délice qui te parcoure le dos entier et provoque une sueur froide. T'es pas un brise cou pourtant, t'es plutôt du genre réfléchis et tu n'agis jamais sauf si t'es sûr que ce que tu fais es sans danger. On sait aussi que t'as un goût développé pour les couleurs, tu passes ton temps à regarder les différentes teintes de vert ou quand tu étais petit, tu aimais regarder le couché du soleil car le ciel se teintait de couleurs rosâtres et orangées si douces et si chaleureuses.
Mais ce qu'il y a de plus impressionnant chez toi, ce n'est pas tout cela. C'est cette propension au massacre que tu as, tu es le genre de personne qui peut rapidement oublier ce qu'elle était pour devenir un monstre. Tu l'as déjà démontré plusieurs fois lors de bagarres où certains t'embêtaient, tu leurs a mis une rouste seulement, t'en as rendu un handicapé en lui broyant la moelle épinière. Les pacificateurs n'ont pas aimé et tu as été flagellé en public, trente cinq coups que tu as reçus, tu en portes encore les cicatrices même si elles sont atténuées depuis trois ans. Mais les gens savent que tu es un fou, que tu as cela en toi, qu'au fond, tu sais très bien que si tu avais à choisir entre toi et les autres, tu n'hésiterais pas une seule seconde, peu importe ce qu'il faudra faire pour te sauver la vie. Et pour terminer, tu as une résistance à la douleur inouïe, jamais tu ne t'évanouis à cause de la douleur, tu as beau être malade, tu vas travailler, tu as beau t'être cassé un os, tu continues à t'en servir, de toute façon tu n'as pas le choix si tu veux pouvoir t'en sortir, on te répète que le travail c'est de l'argent, et t'en as sacrément besoin toi, de cet argent, pour vivre, pour survivre tout simplement. C'est ton prénom FAUVE qui veut ça non ?
about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ?
Tu ne la vois pas, tout ce que tu sais, c'est que tu n'as pas envie de mourir, que tu feras tout pour rester en vie aussi longtemps que possible. Cependant, si tu venais à perdre la vie, tu aimerais bien que ton nom soit connu pour les actes que tu as pu faire de ton vivant, tu souhaiterais que les gens se souviennent de toi alors que toi ne seras plus qu'un tas d'os parmi tant d'autres dans le cimetière de ton district. Mais si jamais ce n'est pas possible, tu aimerais avoir une mort rapide, simple et sans douleur, que tu t'en ailles sans t'en rendre compte. Pour toi la mort, ce n'est pas la fin de la vie, c'est le commencement d'autre chose, peu importe ce qu'est cette autre chose, tu espères juste que quand tu seras mort, tu puisses vivre de nouvelles expériences, que ton monde ne soit pas noir, parce que ce serait abominables, ne plus rien voir. Tu ne crois pas au Paradis, ou à l'Enfer, tu crois en un recommencement sûr et certains.
➺ QUEL(S) PETIT(S) PLUS T'AIDE(NT) DANS LA VIE (OU LES JEUX) ?
En tant que bûcheron, t'as de bonnes bases dans le maniement de cet objet qu'est la hache et qui peut servir d'arme, tu sais la manier au corps à corps ou également à distance pour un lancer rapide et presque précis. Tu as appris à la lancer en cachette, quand tu fais ton sport quotidien chaque matin quand tout le monde dort encore. Tu sais très bien que tu ne la manies pas aussi bien qu'une personne qui s'entraîne à cet effet, mais tu te débrouilles très bien et tu sais que ça pourrait t'être utile un jour ou l'autre. Tu as aussi une bonne connaissance des plantes comestibles ou non et celles qui peuvent soigner, malheureusement tu sais très bien que ce n'est jamais nécessaire, il faut toujours plus de connaissance pour s'en sortir de toute manière.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?
Tu ne t'es jamais posé la question, en réalité cela te laisse indifférent, comme tout en réalité. Tu sais que pour t'en sortir c'est dur, cela repose sur la défaite et la mort des autres et tu trouves cela injuste, mais malgré tout, t'as cette pointe d'excitation à chaque fois, en priant tu ne sais pas trop quoi pour que ton nom ne soit jamais tiré, t'as pas envie de finir comme les autres, t'as envie de vivre toi. Mais cette adrénaline que tu ressens en te disant que si ton nom est tiré te donne envie de les regarder, juste pour t'imaginer à la place des autres. En clair, ton pont de vue par rapport aux jeux est plutôt mitigé et complexe à comprendre, même toi tu n'arrives pas à définir ce que tu ressens face aux Hunger Games.
QUE PENSES-TU DE LA RÉVOLTE ÉCHOUÉE ET DES REBELLES ?
Tu sais que les rebelles poursuivent une chimère, ils espèrent la rébellion mais ce n'est possible, pour l'instant leurs actes sont voués à l'échec, tu as beau voir clair dans cela, eux ce n'est pas le cas. Ils pensent qu'ils peuvent renverser le Capitole, mais ce n'est pas comme cela qu'ils y arriveront, mais tu détiens pas de solution miracle et t'as vraiment pas envie d'aller risquer ta peau pour des actions qui ne réussiront pas forcement. Cependant, l'oppression du Capitole n'est pas une bonne chose pour le pays, tu l'as compris aussi, t'aimerais bien avoir plus de liberté, pouvoir penser ce que tu désires, pouvoir faire ce que tu veux et quand tu veux. Malheureusement tu détestes le mode opératoire des rebelles qui tuent, qui mettent à feu et à sang, alors tu ne les soutiens pas, tu ne soutiens rien d'autre que ta propre cause.
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ?
Les vainqueurs ne sont pas réellement victorieux, quand tu regardes ceux de ton district, tu vois qu'ils sont détruits par ce qu'ils ont vécu, ils y pensent toujours, ils pensent toujours à la mort, à la détresse, à la sensation d'être relégué au rang de simple sacrifice pour le plaisir du Capitole, alors tu sais qu'ils n'ont pas de chance. Pourtant tu les admires, pour leur courage, pour leur force, tu sais que si t'es sélectionné, ce sont eux qui t'aideront à t'en sortir. Mais t'as compris aussi qu'ils étaient utilisés, que leur vie ne leur appartenaient plus, que c'est le Capitole qui les a rendu aussi... soumis même si le mot n'est pas vraiment approprié, faute de trouver un meilleur adjectif.
➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ?
Cette question, tu peux lui donner deux réponses qui sont toutes les deux aussi intéressantes l'une que l'autre parce qu'elles sont diamétralement opposées. D'un côté, t'as hâte que ça passe, simplement parce que t'as pas envie d'y aller et de pouvoir crever dans l'arène comme vingt-deux autres gosses, mais de l'autre, tu as toujours adoré regarder les jeux, parce que ça t'inspire, parce que tu dis que pour l'adrénaline tu serais servis, mais tant que tu peux l'éviter, tu l'évites. C'est comme tout, tu es à double sens, t'as envie d'y aller pour te sentir en danger, pour essayer de t'en sortir et avoir envie de jouer parce que même si c'est mortel, cela reste des jeux mais t'as pas envie d'y aller, parce que cela veut dire mourir.
➺ SERAIS-TU CAPABLE DE TUER POUR PARVENIR A TES FINS ?
Tu sais très bien que oui. Tu sais que si tu avais à le faire, tu le ferais. Tu as déjà démontré plusieurs fois que tu n'avais pas de cœur pour ce genre de choses. Torture, tuerie, si ta vie en dépend, tu serais capable d'être le monstre qui sommeille en toi, de laisser parler le lion qui est enfermé dans ton corps. Alors si tu dois tuer pour vivre, pour porter des idées haut et fort, tu tueras sans aucun état d'âme. Même si tu sais qu'avoir du sang sur les mains ce n'est jamais facile à supporter, tu sais que ça reste gravé à jamais, malgré tout ce que tu puisses penser.
JE VIENS D'UN MILIEU plutôt moyen, ni trop riche, ni trop pauvre, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est correcte niveau quantité, sauf les mois de grosses pénuries. DU COUP, MON NOM A 46 CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE bûcheron ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime mon métier même si c'est dur. JE SUIS DANS LE 7ÈME DISTRICT. AYANT 17 ans JE peux PARTICIPE(R) AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende fortement même si j'attends la prochaine moisson avec hâte. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
reality is here.
Salut les moules et les frites, moi c'est Nicolas, alias caius sur le net. Je suis encore un pauvre petit lycéen de dix-sept ans dans un cursus économique en spécialité langue des signes françaises et en sport athlétisme. Sinon mis à part cela je suis grapheur et codeur sur bazzart, j'ai d'ailleurs vu que des gens avaient mes créations sur le forum et merci à eux de les avoir prises ! J'étais déjà venu ici pendant un temps avec la ravissante Georgie qui était du district trois, mais malheureusement, j'avais dû partir à cause de problèmes de santé et de temps à administrer à ce forum, mais me voilà de retour avec un tout nouveau petit loustic qui j'espère vous plaira !
Bref, je m'étais inscris à la base avec Wolff, mais j'ai décidé de faire un autre personnage car je m'étais inscris en pensant venir avec une amie, chose qui ne s'est finalement pas fait, donc me voilà avec Fauve
Dernière édition par Fauve E. Hemingway le Dim 28 Sep - 10:49, édité 11 fois
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Ven 26 Sep - 19:34
Accroché, là comme un pantin désarticulé, tu te demandes si t'as réellement fait quelque chose ou si cela n'est qu'une mascarade pour montrer à tous qu'au fond tu n'es pas dangereux. Ou alors c'est simplement un moyen de te remettre à ta place, un moyen qu'on a trouvé pour te rediriger dans la file des gens normaux. Mais t'es pas normal toi. Tu ne l'as jamais été, tes parents te le disaient, ils n'arrêtaient pas de te dire de te fondre dans la masse, de ne pas être trop différent des autres même si cette différence était une force et non une faiblesse. Il faut juste pouvoir la dissimuler. Faire en sorte que ceux qui rentrent dans le moule ne la remarquent pas. Pourquoi t'es là ? Attaché à un poteau, le dos nus face à tous les gens de ton district. On t'as cherché, on t'as embêté, les gens t'insultent, te disent des choses qu'ils ne devraient pas dire. Alors tu as répliqué, tu as cherché à te venger, tu as frappé en premier. Mais dans un sens tu n'aurais pas dû, tu aurais dû partir, tourner le dos et rentrer chez toi. Mais tu es impulsif, sauvage et surtout tu es sanguin. Alors ton poing est parti d'un coup, tu as entendu une mâchoire craquer sinistrement, un garçon hurler. Et un autre t'as donné un coup dans le plexus solaire. T'as eu la respiration coupée, comme si tout l'air de tes poumons avait été chassé à cause d'un camion qui t'aurais roulé dessus. Tu as reculé lentement en reprenant ton souffle et tu as décidé de ne pas te laisser faire, alors le genou qui vole dans les testicules d'un des garçons, le tranchant de ta main qui rencontre une gorge à toute vitesse. Il y en a déjà trois qui sont hors jeu, mais il en reste encore deux, et là tu vois dans leurs regards que tu vas morfler. Tu serres les dents et tu accueilles le premier coup de poing qui t'atteins en plein dans le visage, sonné, tu vois des étoiles qui dansent autour de toi, mais tu continues à avancer, comme un lion. Le lion est sorti de sa cage. Tu as mordu l'un des garçons à sang et tu lui a craqué un liquide rouge dans les yeux. Le temps qu'il s'enlève ça, tu t'en es pris au deuxième en lui sautant dessus, et là tu l'as plaqué contre une poubelle qui traînait dans le coin et lui a plié le dos dans l'autre sens avant de te barrer, ils étaient tous incapables de continuer. Le seul problème, c'est que celui que tu as rendu handicapé, c'était le fils d'un riche couple du district qui a insisté pour que tu reçoives une punition.
Voilà pourquoi tu t'apprêtes à te faire fouetter en public. Le verdict est tombé, tu dois endurer la douleur de trente cinq coups. En réalité tu n'as rien dit, dans un sens tu le mérites, c'est ça d'avoir rendu un enfant handicapé. Mais tu sais que les coups de fouets ne seront pas pire que la honte que tu éprouveras d'être là, à la merci d'un pacificateur, le dos nu et bientôt zébré de trente cinq coups de fouets. Tu entends le cuir claquer en l'air et finir par te mordre la chair. Tu lâches un hurlement qui fait hoqueter les gens obligés d'assister à ce sinistre spectacle. Qui est donc cet homme pour pouvoir agir en toute âme et conscience ? Lorsque le fouet foule de nouveau ta peau, tu ne cris plus. Tu laisses faire, tu ne veux pas paraître faible. La douleur est telle que tu es prêt à t'évanouir, mais tu ne feras pas ce plaisir-là. Combien de coup t'as-t-on déjà dispensé ? Tu n'as plus aucun repère. Ta chair à vif est de nouveau bafouée, tu aurais hurlé si tu ne te l'étais pas interdit. Ne jamais satisfaire l'ennemi. Mais en pareille situation, si tu hurles il continuera en prenant un malin plaisir à me faire souffrir, et si tu ne sourcilles pas il continuera toujours plus fort jusqu'à ce que tu pousses un hurlement de douleur. Quelle que ce soit la situation, elle serait toujours la même. Et de toute façon, cela empirera. Tu ne sais même pas combien de temps ce sacrilège dure. Tu n'as pas suivis le compte des coups de fouets. Peut-être dix ? Peut-être plus ? Qu'en sais-tu ? La douleur est insoutenable. Je suis aveuglé par la honte qui me ronge et par mon dos qui me tiraille. Puis d'un coup tout s'arrête. Et là tu sens les liens glisser et une présence à tes côtés, c'est ta mère, tu sais que c'est terminé, tout va rentrer dans l'ordre. Le pire c'est que la suite tu ne t'en souviens plus, tu as juste gardé les cicatrices sur ton dos, celles qui rappellent ce qu'on t'as fait endurer.
Le vent dans les cheveux, l'odeur de la nature dans les narines, tu coures comme tu le fais tous les jours. Cette sensation de liberté, tu la chéris, tu fais en sorte qu'elle reste tienne, parce que le lion enfermé en toi a besoin de se dépenser. T'as choisi la voie du sport, du travail et de l'exercice physique. Alors depuis déjà une demi-heure, tu es dans la forêt, tu coures, tu fais des pompes, tu travailles tes abdominaux, tu fais des tractions sur des branches hautes alors que l'écorce t'arrache la peau des mains, même si ton corps hurle de douleur, tu continues, tu continues toujours plus, interdiction d'abandonner. Tu résistes à cette envie de faire une pause, ton souffle est rauque, tes poumons crient d'arrêter, mais tu ne le fais pas, tu t'entêtes à vouloir toujours repousser plus tes limites. En prime d'ici une heure, tu vas devoir prendre le travail au côté de ton père. Mais pour l'instant tu ne t'en fais pas, tu as encore du temps avant de devoir empoigner la hache symbolique des bûcherons de ton district. Mais pour l'instant tu te dépenses, tu fais tout ce que tu peux pour pouvoir continuer à user tes muscles, à faire couler la sueur sur tes tempes. Tu cours, tu t'es déjà blessé au front, c'est courant, usuel, ta mère est exaspérée à chaque fois qu'elle te voit rentrer avec du sang sur le corps, mais toi tu lui dis que c'est l'usage, c'est ça quand on veut forger son corps et son esprit à la dureté du monde dans lequel on vit. Elle te répond à chaque fois qu'il faut que tu arrêtes de penser ainsi, parce que ça finira pas t'attirer des ennuis, mais les ennuis tu les as déjà eu, on t'as déjà flagellé en public il y a un an. Les cicatrices sont toujours-là, elles sont visibles, elles te font mal parfois, ça te tire, ça te brûle, mais tu ignores la douleur, tu l'ignores toujours, sauf quand elle devient si harassante que tu n'as plus le choix que de lui prêter attention un tant soit peu.
Il est déjà l'heure d'aller travailler, tu rentres chez toi prendre une faible collation et empoigne ta hache, tu suis ton père en direction de la forêt, de là où vous, les bûcherons, vous coupez du bois à longueur de journée pour la fabrication de charpentes, de papier, de meubles en bois. T'as jamais aimé ce mouvement, toujours le même, tu abats ton outil sur des énormes troncs pour les faire tomber après tu les débites pour en faire des plus petits morceaux. Ce qu'il y a de positif dans ce travail, c'est qu'il forge le caractère, le corps, la tête. La plupart du temps, tu évites les discussions avec les autres malgré les efforts de ton père pour te sociabiliser un petit peu plus. Toi tu ne veux pas que les gens te parlent, tu veux qu'on te laisse tranquille, tu ne veux pas t'attacher aux membres de ton district, pas avant que la moisson ne soit plus dans ton esprit. Toi tu veux qu'on te laisse tranquille. C'est pas compliqué à comprendre. Ton père a honte de toi, de ton esprit compliqué, de ce que tu es, même s'il ne te le dit pas vraiment, tu le vois dans son regard. Tu as essayé de te mettre sur la bonne voie, mais t'as jamais réussis, alors tu suis ta route, celle qu'on t'a destiné. Tu n'essayes même plus de t’échapper. Ton quotidien c'est ça : t'épuiser en faisant du sport, t'épuiser en travaillant, t'épuiser à force de réfléchir au sens de ta vie, t'épuiser en essayant de devenir quelqu'un d'autre. Tu es fatigué de toujours devoir faire la même chose, mais de toute manière c'est comme ça que tu dois faire. Dans Panem tu n'as pas le choix. C'est comme ça et c'est tout. De toute manière, tu ne vois pas le Capitole se faire renverser, les rebelles ont certes des idées, mais la façon dont ils tentent de les instaurer ne te plaît pas du tout, quoi qu'il arrivera il y aura des morts, dans les deux camps, et des morts, il y en a déjà assez comme ça.
Dernière édition par Fauve E. Hemingway le Dim 28 Sep - 17:17, édité 4 fois
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Ven 26 Sep - 19:43
bienvenue !
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Ven 26 Sep - 20:11
Merci (:
Yorell T. Moon
△ correspondances : 757 △ points : 0 △ multicomptes : / △ à Panem depuis le : 10/01/2014△ humeur : un mort n'a pas d'humeur △ âge du personnage : dix-sept ans pour l'éternité △ occupation : héritier de l'empire stylistique de ma mère
can you save me? statut: mort, éternel célibataire relationships:
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Ven 26 Sep - 20:27
Et bien rebienvenue Bon courage pour cette nouvelle fiche !
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Ven 26 Sep - 20:32
Alors re, rebienvenue Et au passage, l'avatar est
Swain Hawkins
△ correspondances : 5710 △ points : 0 △ à Panem depuis le : 18/06/2012△ humeur : I'm a fucking monster. △ âge du personnage : 38 y.o.
can you save me? statut: It doesn't hurt me anymore. relationships:
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Ven 26 Sep - 21:04
Rebienvenue sur MJ
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Sam 27 Sep - 13:56
Merci à vous REEEEDUS CE MEC JE L'ADULE
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Sam 27 Sep - 16:23
Rebienvenue mon petit
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Sam 27 Sep - 17:07
Bienvenue et bon courage pour ta fiche
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Sam 27 Sep - 17:49
Merci à vous deux
Gargaria-Khloé P. Miller
△ correspondances : 999 △ points : 0 △ multicomptes : léo. (04) △ à Panem depuis le : 10/11/2012△ âge du personnage : 31 ans. △ occupation : mentor.
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Sam 27 Sep - 21:06
Connor Jessup (Gemstoooooooone ) District 7 C'est tipa notre futur tribut que v'la T'as bien choisis ton district, P'tit Basque
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Dim 28 Sep - 10:01
Je vois que Connor est apprécié En tout cas Sara est pas mal non plus hein Merci à toi et j'suis picard si tu veux savoir
Invité
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Dim 28 Sep - 14:43
MANH. TA FICHE. TON AVATAR. TON PSEUDO. TOUT... tu m'épouses ? Rebienvenue parmi nous en tous cas. Je n'ai pas le plaisir de te connaître sur bazzart mais tu m'as l'air d'être une personne très intéressante. Faudra qu'on se trouve un lien.
Silver I. Flickerman
△ correspondances : 929 △ points : 0 △ multicomptes : ◭ kathleen & asha △ à Panem depuis le : 27/02/2012△ humeur : ◭ grumpy △ âge du personnage : ◭ trente trois ans △ occupation : ◭ haute-juge
Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve) Dim 28 Sep - 16:20
voilà un p'tit gars sympa
Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.
Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
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Sujet: Re: si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve)
si tu m'insultes encore une fois, je te frapperai si fort que ta mère le sentira. (fauve)