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 monsters and men. ☞ (fauve)

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MessageSujet: monsters and men. ☞ (fauve)   monsters and men. ☞ (fauve) Icon_minitimeMer 16 Avr - 9:23

☞ hidding in our heads.

L’homme enleva lentement son casque, et se défit de ses armes. Pas un sourire n’éclairait son visage, ni ne l’adoucissait. On aurait pu, alors, le croire comme tous ceux qui l’entouraient dans ce grand bâtiment : un être cruel, terrifiant pour les habitants, de ceux qu’il ne fallait pas chercher, ni provoquer, et qu’il ne valait mieux pas croiser quand on venait de voler une miche de pain. Au fond, peut-être n’était-il pas si différent de tous les autres. Formé à s’énerver, formé à frapper. Formé à punir lorsque le mal était fait, et à ramener la justice en faveur du pouvoir en place. Néanmoins, en regardant régulièrement autour de lui, il se demandait parfois ce qui l’avait poussé à faire cela. Ce qui l’avait poussé à agir de la sorte, et à rentrer dans ce corps d’arme. Nourrir Neela et sa mère, certes, peut-être, mais était-ce suffisant ? Était-ce une excuse valable, que de le faire au profit de la misère des autres — du moins pensait-on — ? Jules ne croyait pas en tout ceci. Jules était de ces âmes qui voulaient simplement faire respecter une loi en vigueur, et en l’occurrence qu’elle soit cruelle ou non, il n’y pouvait rien.

Cependant, il lui arrivait de réfléchir à la situation. Et, alors qu’il essayait de se justifier envers lui-même, intérieurement, face à son miroir, comme quoi il n’avait pas inventé le système, comme quoi il n’était pas réellement l’instigateur de toutes ces abominations que pouvaient parfois subir les habitants des districts, une phrase d’un homme du quatre qu’il avait connu durant ses petites années lui revenait alors en tête. Une phrase si bête, mais si vraie. Tu sais, gamin. C’est pas celui qui a inventé le revolver, qui compte, mais celui qui appuie sur la gâchette. Et, à cet instant précis, ôtant le haut de son uniforme blanc, il y repensait. Faisait-il bien de participer à toute cette mascarade ? N’aurait-il pas mieux valu pour lui qu’il ne se replie, et ne réintègre une vie normale d’habitant de district ? Ne valait-il pas mieux, alors, qu’il laisse les autres appuyer sur la gâchette, et ne se dédouane ainsi de toute responsabilité ? Le régime de terreur lui déplaisait, mais il agissait pour son compte. Sans le clamer, ni le prôner, aussi inconcevable que cela puisse paraître, au premier abord. Il y avait quelque chose qui clochait, dans sa vie. Un paradoxe clair et net entre sa profession et ses idées. Mais il tentait de ne pas trop réfléchir. Il se contentait de faire ce qu’on lui avait appris et, chaque jour, de remplir sa mission de Pacificateur. Appuyer sur la gâchette, tout en essayant de se dédouaner de ses responsabilités.

Mais Jules n’avait jamais supporté la violence et la véhémence dont pouvaient faire preuve bien des Pacificateurs. C’était gratuit. Et purement et simplement mauvais. Le district quatre n’était pas celui qui en souffrait le plus, car pas l’un des districts les plus pauvres. Mais il y avait certains jours où les soldats ne se privaient pas pour exécuter un ordre un peu trop en profondeur, et sans réfléchir aux conséquences de leurs actes sur la vie des pauvres gens. Aujourd’hui, particulièrement.

Depuis quelques jours, une nouvelle relève de Pacificateurs était arrivée. Ils étaient efficaces, cela ne faisait aucun doute. Efficaces, et cruels. Si les premiers jours avaient été majoritairement constitués de bizutage par les plus anciens, voilà désormais que la balance s’équilibrait, et que les nouveaux trouvaient leur place. Voilà désormais qu’ils abordaient un sourire cruel en compagnie de ces jeunes recrues, et qu’ils les avaient emmenés pour quelques descentes dans la ville. Il avait eu vent de la violence développée contre quelques malheureux, par un collègue plus âgé, et un peu plus responsable, qui terminait alors une patrouille paisible. Et, sans l’avoir vraiment voulu, tout en ayant essayé de rester calme, Jules était remonté. Et, justement, les voilà qui rentraient.

L’homme avait conservé son pantalon d’uniforme, et le débardeur blanc qu’il portait en-dessous du haut. Ses affaires étaient posées dans son casier. Mais le retour de ses collègues attira son entière attention, tandis qu’il plissait lentement les yeux, serrant les dents. L’un des Pacificateurs de sa génération remarqua l’air pincé du Raine, et ne plus s’empêcher de lâcher un rire cynique. « Bah alors, Raine, jaloux que les p’tits nouveaux aient plus de cran que toi ? » Un sourire ironique et plutôt hostile se peignit sur les traits de Jules, tandis qu’il glissait une main dans sa poche. « Là où tu vois du cran je vois de la connerie. Donc autant te dire que non, je ne suis pas particulièrement jaloux. » « C’est quoi ton problème, alors ? » Le ton était plus sec, plus dur. Jules jeta un regard à une Pacificatrice, l’une des nouvelles recrues, qui passait là. « Votre absence de respect. » L’autre eut un léger ricanement. « J’oubliais que monsieur avait de grandes valeurs. » Et il lui tourna le dos, sans plus de cérémonie, un geste désinvolte et presque insultant à son égard. Le regard du Raine retomba sur la jeune femme. Un peu trop dur, un peu trop agressif, sûrement. Juliet, qu’elle s’appelait. Il le savait, on la lui avait présentée lors de son arrivée. Il s’était efforcé de ne pas avoir de première impression sur elle. Mais celle qu’elle lui donnait à cet instant précis était purement et simplement négative.

T’as un problème ? se retint-il de lui demander. Il fit bien de se taire.
Instinct de survie, sûrement. Pour autant, il ne lâcha pas son regard. Et il finit par laisser échapper quelques mots, daignant retrouver un ton plus calme et plus modéré. « Ça va, tu t'amuses bien ? » Il n’avait pas peur d’elle. Ni d’aucun autre, d'ailleurs.
Manquerait plus que ça.
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MessageSujet: Re: monsters and men. ☞ (fauve)   monsters and men. ☞ (fauve) Icon_minitimeJeu 17 Avr - 20:45







« Quand les démons veulent produire les forfaits les plus noirs,
ils les présentent d’abord sous des dehors célestes. »
Trois... Huit... Sept. La petite porte métallique s'ouvrit comme par magie, et les mains de Juliet, lasses après une longue journée, s'agrippèrent aux vêtements soigneusement rangés à l'intérieur de la boîte.
Imaginez cette boîte. Armoire, placard, commode, n'importe quel meuble où l'on range soigneusement des vêtements, du linge de tables, des draps. C'est rassurant, banal, familier, ordonné. C'est le printemps. On sent l'odeur du thym glissé entre les draps. Il y a dans l'air une tiédeur agréable, parfumée. Et pourtant, au cœur de ces draps empilés... un bien dans un tiroir, se trouve un serpent lové, venimeux, mortellement dangereux. Imaginez le.
Elle n'avait pas la vingtaine, et son intelligence anormale était comme ce serpent lové qui attendait.
Qui attendait.

La jeune Glock défit la boucle de sa ceinture, laissant son pantalon blanc glisser jusqu'à ses pieds, et déboutonna son chemiser. Sans même prendre la peine de regarder autour d'elle si quelqu'un l'épiait. Elle s'en foutait.
Contemplez là, ce petit trésor; Jolie brune à la crinière rebelle et au regard bleu nuit, semé d'étoiles. Elle avait la beauté diaphane et la désespérance d'une beauté tragique. Ventre plat, poitrine bombée. Dessous sa peau de lys, ses vices se glissaient. Dans l'ondulation de son corps, lasse, abondaient grâce et volupté. Elle ne prêtait guère attention au regard des autres, hommes ou femmes. Ça ne l'intéressait pas. Ça ne l'intéressait plus. Trop souvent des yeux noirs s'étaient posés sur son petite corps, frêle. Et si fort pourtant. Le seul avis qui comptait désormais était le sien, le serpent du placard.
Approchez. Voyez ce sourire fin et séraphique qui dessinait ses lèvres, écarlates, et où la fatuité promenait son extase. Ce long regard sournois, langoureux et moqueur. Désespéré, désespérant, et pourtant, si fière! C'était un mensonge. Une énorme supercherie, mise en place pour vous tromper. Ce visage éclairé d'une exquise grimace... un décor suborneur. Personne ne pourrait le deviner, personne ne pourrait voir ça. Cette rage en elle. Cette bête tenue en cage. Fauve. Personne ne voyait sous le masque d'or, sous les robes de taffetas et les strass. Il n'y avait qu'un sourire, hypocrite, hystérique. Le regard des autres ne lui faisait rien.
Sa mère lui avait appris à avoir la tête froide. « Gardes le menton haut, et vois les autres bas. » lui disait-elle souvent.
En fait... Sa génitrice aurait espéré que Juliet soit idiote. Une ravissante petite idiote. Ses parents l'avait désespérément souhaité. Il n'y avait pas de plus beau destin pour une fille, ici bas. Mais ce n'était pas le cas. Elle avait l'esprit vif, encore plus que son frère. Elle ne disait mot, mais pensait trop. Elle pensait énormément, se posait des questions sur tout ce qui l'entourait, tout. Ce qu'il avait derrière la lune, les étoiles, et les bonhommes en blancs... avaient-ils vraiment un visage? Est-qu'on sait manger des macarons jusqu'à exploser? Le tableau du bureau de papa, y avait-t'il vraiment un trésor derrière? Et les armes qu'il construisait, c'était des super fusils à eau, n'est-pas? Elle ne comprenait pas des tas de choses, comme tout enfant de son âge, et n'osait demander des réponses. Personne ne savait lui en donner, personne ne prenait la peine de l'écouter. Il n'y avait que son frère avec qui jouer. Et quels jeux! Il faisait d'elle son otage, une rebelle à punir, ou encore une sorcière à brûler. —D'ailleurs, cette fois là, Magda la bonne avait jeté son tablier pour éteindre les flammes qui prenaient part de la jambe de petite Rrouliette.—

Un vent froid vint mordre l'épiderme de son dos, et caresser chacune de ses vertèbres. Sa peau de porcelaine se crispa, et les petits poils parsemant ses bras se levèrent vers le ciel. Juliet se hâta d'enfiler le vieux jean troué laissé ici ce matin, et son haut, pour par dessus passer sa veste en cuir. Grosses chaussures, cheveux détachés, sombres, mais chauffés par une lumière dorée. Un air de musique fredonné du bout de la langue, personne pour l'écouter.

A lion still has claws (Un lion a toujours des griffes)
And mine are long and sharp, my lord (Et les miennes sont aussi longues et acérées, mon lord)
As long and sharp as yours (Aussi longues et acérées que les vôtres)


Le vestiaire des femmes était vide, contrairement à celui des hommes de l'autre côté. D'ici... on entendait des échos de rire, quelques taquineries mesquines, les échos de jet d'eau provenant des douches, des échos de vie.
Et puis un fracas. Huements, qui intriguèrent la jeune Glock, et l'emmenèrent de l'autre côté du couloir. Ses pas la conduisirent à la source des bruits, du conflit, sans même le vouloir. Elle était attiré par ce bruit, il percutait son esprit.

Cet homme percutait son esprit.

Raine. Jules Raine. Pacificateur expérimenté, quelque peu incertain, mais expérimenté. La conversation entre lui et un autre 'vieux' semblait plutôt corsée. Il y avait altercation, ou il y aurait. Jules... Ce prénom, il était presque inexistant dans sa mémoire. Elle ne l'avait entendu qu'une fois, à son arrivée. Un simple regard échangé, une poignée de main, un sourire, faux. Il l'avait pourtant intriguée. Il y avait quelque chose chez lui... Il manquait quelque chose, plus exactement. La petite lueur que tous les autres avaient, ici. Une sorte de lumière qui s'éclairait dans leurs yeux, de l'espoir, de la joie, une jouissance infinie quand ils plantaient le couteau.
Jules n'avait pas cette lueur.
Et ça avait marqué Juliet. Inconsciemment, elle s'était penchée sur lui. Sur son cas. Son esprit l'avait torturée une fois de plus, pour rien peut-être, mais maintenant elle se retrouvait devant lui. Sa carapace ectoplasme dégageait quelque chose de différent, elle avait vu juste.
Il n'y avait pas de haine chez ce garçon, pas comme elle, qui voulait faire si mal au monde. Il n'avait pas cette haine totale. Absolue. Celle de la mort, et pas seulement de la sienne. Pas de haine tranchante. Définitive. Ni de culte fanatique de la destruction. De la douleur. Il ne voulait pas, comme Juliet, que le monde souffre avec lui.

Les paroles du Raine sifflaient à ses oreilles, comme le serpent. « Là où tu vois du cran je vois de la connerie. » Elle se tenait dans le creux de la porte, et sourit. Ses lèvres s'étirèrent légèrement pour adoucir son visage, et paradoxalement, montrer les dents carnassièrement. Elle sourit à l'audace de cet homme, et la grâce qu'il avait de confirmer sa théorie.

Absence de respect? Juliet en avait pour ses égaux -si on pouvait appeler ça du respect- , et non pour la vermine. Elle voyait les rebelles comme de vulgaires cafards à écraser. Une race à éradiquer. La peste, et eux, les gentils pacificateurs, l'antidote.

Jules crachait une vérité qui ne leur était pas audible. Et la brune souriait à ses mots, mais surtout à ceux qu'il n'osait pas dire. Elle arrivait à lire sur ses lèvres. Elle voyait en lui, ce qui était affreusement perturbant. Elle voyait dans ses yeux, dans ce simple regard, lent, éternel, toutes ses pensées. Tous ses désirs, ses pulsions qu'il avait du mal à retenir. Et elle souriait.
Juliet souriait, elle serait la première à le voir tomber... Ce pacificateur. Frère de la garde du Capitole. Traître de pensée.


© charney

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MessageSujet: Re: monsters and men. ☞ (fauve)   monsters and men. ☞ (fauve) Icon_minitimeMer 23 Avr - 11:07

Stupidité. C’était le mot qui lui venait alors à l’esprit ; peut-être pas justifié, mais en tout cas pensé. Tous ces hommes n’étaient pas débiles, et bien loin de là. Certains d’entre eux étaient même plutôt intelligents, futés, malins. Davantage que lui, parfois même. Il n’avait nullement la prétention de se considérer comme quelqu’un de brillant, ou de calculateur. Il n’avait pas de capacités intellectuelles plus avancées que la moyenne. Ce qui faisait la différence, chez Jules, au milieu de ses collègues, c’était sa manière de penser. Et, surtout, son grand cœur, mis à rude épreuve par les tâches ingrates qu’on lui demandait d’effectuer jour après jour. Il n’avait pas appris à être un mauvais garçon. Mais il avait tout de même réussi à devenir Pacificateur contre toute attente. Il avait la carrure pour ça, et l’envie d’ordre. Mais il n’avait pas la mentalité. Il n’avait pas ployé face aux tests psychologiques, sachant s’emmurer à la perfection quand il fallait être fier et droit, et ne pas se laisser bouffer par sa compassion. Il s’en sortait. Il s’en était toujours sorti, depuis toutes ces années qu’il travaillait en uniforme blanc. Et ce n’était pas une bande de gamins surexcités qui allait lui apprendre la manière dont exercer son métier. Après tout, il était encore en service, non ? Cela voulait bien dire quelque chose, et il n’avait pas souvenir d’avoir été repris sur ses états de service à quelque moment que ce soit.

Il voyait Juliet, ainsi debout, dans l’encadrement de la porte. Elle s’était changée, et regardait la conversation qui se jouait là sans émettre le moindre commentaire, simplement armé d’un sourire… Étrange. Censé lui faire peur ? Il lui faudrait bien davantage pour se laisser intimider par ce genre de gamine prétentieuse qui, à peine sortie de l’école, se pensait tout permis. Il avait le souvenir d’être resté un certain temps dans son coin, appliqué à ne pas faire de conneries, et ne débordant certainement pas des limites imposées par ses supérieurs. Et, surtout, ne participant pas à toutes les boucheries et violences gratuites que les Pacificateurs pouvaient parfois se faire, par pur plaisir de la souffrance des autres.

Traître de pensée. Peut-être était-ce là un terme qu’il n’aurait pas supporté. Ne pas prêter allégeance au Capitole n’était pas une traîtrise en soi. Il ne lècherait pas le cul de ceux qui massacraient les espoirs de la population d’un jour trouver un réconfort et un équilibre de vie. Le pouvoir n’était pas là pour les tacler, mais bien pour les diriger et les aider à s’épanouir ; ce que la dictature de Snow ne faisait plus depuis bien longtemps déjà — l’avait-elle seulement déjà fait ? —. Alors, oui. Jules ne cautionnait pas les petites barbaries joyeuses de ses collègues, et il savait d’échos qu’aujourd’hui en avait été une. Son collègue s’éloigna, non sans grommeler quelques paroles que le Leews-Raine ne percuta pas. Et ses yeux à lui se posèrent sur Juliet. Il sentait la langue liée de cette fille, il sentait qu’elle avait envie de lui répondre, et de s’affirmer face à tous les autres. Mais cela lui était bien égal. Il ne se montra pas agressif, pas le moins du monde. Et simplement, il la regarda. Simplement, il lui parla. « Ça va, tu t’amuses bien ? » Il se fichait bien du monde qui pouvait les entourer, et de ce que cette fille pensait de lui. Alors pourquoi poser ce genre de question ?

Parce qu’il escomptait une réaction.
Parce que la colère n’était pas retombée.
Mais que les rois et reines auto-proclamés n’étaient bons qu’à retomber de leur piédestal sans aucune cérémonie d’adieu.
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