Zeke. ➽ they say all monsters are human.

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léo ezekiel hollister

❝ WHAT ABOUT TOMORROW'S WORLD ❞

C'est toi qui donne le premier coup. C'est toujours toi qui frappe le premier, friand de sentir la victime trembler sous la surprise de ton poing. T'as la mine sombre, mais l'air détaché. Au fond tu ne sais pas vraiment ce qu'a fait le misérable pour mériter cette torture, mais tu t'en fiches. Tu frappes, c'est tout, il t'en faut pas plus. Les ordres sont les ordres, et ils ne sont pas donnés pour rien. Tu t'acharnes ; le misérable a cessé de lutter face à ta force, Léo. Ezekiel, Zeke. T'as grandis au District Deux, t'as toujours eu cette rage, cette violence dans le sang. C'est génétique, ou ça flotte dans l'air. C'est parce que t'es devenu un orphelin du Quatre qu'on t'a transféré dans l'optique de te dresser pour le gouvernement. Et ça a marché. Pauvre gosse.
Les coups pleuvent, et ton détachement se transforme en rage. C'est sûrement parce qu'on t'a diagnostiqué borderline. Tu gardes le contrôle même si t'en as pas l'air et le misérable s’effondre de sa chaise. Le sang qui coule de ton poing s'égoutte sur le béton du sol alors que le misérable gémit à peine. Heureusement pour lui que l'autre pacificateur intervient. Il te réprimande, te cri que t'y est allé trop fort, encore. T'y vas toujours trop fort, Zeke. T'aimes te battre, et par dessus tout t'aimes battre les autres, car ça te rend fort, ça te rend fier ; traces restantes de l'entraînement des carrières.
C'est clair que ta fierté, t'y tiens comme un chien à son os. Alors quand t'en entends certains prononcer « Zeke » dans ton dos, c'est un avec un sourire hautain et la main sur l'arme que tu leur demandes s'ils ont un truc à dire. Et souvent, ils ne trouvent rien à dire.
Zeke, tu es malade. Rongé par le mal le plus courant à Panem : l'incertitude. « Je sais ce que je fais. », c'est bien ce que tu te répètes en boucle non ? Bien sûr, il y a les variantes ; « Je sais qui je suis. », « Je sais ce que je veux. », « Je sais pourquoi je fais ça. ». Sauf que le problème, c'est que t'es incapable de mentir. T'es cramé direct. T'as un tic quand tu mens; t'as le sourcil qui tressaute. Suffit que quelqu'un le remarque, et t'es foutu. Alors quand tu tentes de t'auto-persuader, tu dois te pincer pour ne pas tiquer. Pas de tic, pas de mensonge. Ça semble être une bonne stratégie. Ça semble.
Zeke tu es un soldat. Un combattant. Un guerrier. Un chien. T'as à peine vingt-six ans et t'as déjà combattu les rebelles dans quatre Districts différents, en dehors du tien, le Quatre. Même si tu taffes au Un occasionnellement. On croirait vraiment que t'es qu'un toutou qui vit que pour défendre son Captiole. Le hic, c'est que t'as un cœur, et que t'aimerais te l'arracher. Parce que tout serait plus simple si t'aimais pas Kallel. T'as peut-être pas énormément d'amis, t'as peut-être même pas besoin d'une main entière pour compter ceux avec qui tu t'entends bien, mais le fait est que Kallel, c'est ton meilleur ami, et même plus. Et c'est le « plus » qui te fait chier, parce que t'as pas le droit. « Je suis pas normal, c'est faux, c'est comme mon frère. ».
Avoue-tout, Zeke. Tu fais le dur, mais t'as autant de faiblesses que n'importe qui. Et c'est pas le sarcasme et les poings qui te cacheront toute ta vie.

about games and relative.

QUE PENSES-TU DE LA RÉVOLTE ÉCHOUÉE ET DES REBELLES ?
Si la révolte a échouée c'est bien pour une bonne raison ; les rebelles forment une bande de terroristes anarchistes, tyranniques pour certains, idéalistes pour d'autres, et surtout, naïfs. Et faibles. La soi-disant présidente Coin a une tête louche. Elle m'a l'air d'une dictatrice, pour quelqu'un clamant la liberté. Quoi qu'il en soit, la preuve en est qu'elle n'aurait pas su gérer Panem, puisqu'elle n'a même pas réussit à gagner la guerre. Et encore, si partait du principe qu'elle aurait réussit à renverser Snow, tout ne serait pas devenu rose. Il y aurait toujours eu des rebelles pour la renverser elle. Des protestations d'une partie de la population, de nouveaux soulèvements, des attentas. Et j'aurai sûrement fait partie de ceux-là.
➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS ÉVÉNEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ?
Vous voyez ces types en uniforme blanc qui dégagent une certaine fierté, de la fermeté, et qui inspirent le respect autant que la crainte ? Je parle des grands pacificateurs, ces hauts-gradés, un peu âgés, qui élaborent des stratégies, qui donnent les ordres depuis un quelconque Quartier Général. Ben moi, je fais pas partie de ceux-là. Ceux-là sont faibles. Moi, je suis le petit soldat qu'on envoie risquer sa vie pour frapper sur les rebelles. Moi, j'ai combattu pour mon pays. Pour que l'ordre soit maintenu. J'ai été blessé, j'ai failli mourir plus d'une fois, mais j'ai tenu bon pour que l'avenir de Panem soit assuré. On m'a envoyé sur le front dans le District 10 pour repousser les traîtres à la patrie. La semaine suivante je combattais dans le District 7 pendant 3 jours avant d'être finalement muté vers le 12. J'ai terminé au District 9. Le pire de tous. J'ai vraiment cru que j'allais y rester, et ma jambe aussi.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ?
Tout est dans le nom ; on est là pour préserver la paix. Fondamentalement. Mais perso j'en ai un peu rien à carrer, je me contente de faire ce pourquoi je suis payé. Je me fiche de savoir si c'est juste ou pas; si le Capitole le veut, le Capitole l'aura. Mes parents étaient des rebelles, ils ont été exécutés, et le Capitole m'a rendu un grand service en le faisant. On m'a recueilli au Deux, on m'a donné tout ce dont j'avais besoin. La moindre des choses que je puisse faire pour le remercier, c'est de le servir sans poser de questions. L'école de pacificateurs était un choix évident pour moi si j'étais pas sélectionné pour participer aux Jeux. On représente la loi et la force du Capitole. Je ferai ce qui est nécessaire.
➺ SERAIS-TU CAPABLE DE TUER POUR PARVENIR A TES FINS ?
C'est pas comme si je l'avais jamais fais. Quand vous êtes sur le front, c'est tuer ou être tué. Alors des rebelles, j'ai dû en buter plus d'une dizaine. Je n'ai aucun but, pas d'objectif à atteindre. Je me contente de vivre au jour le jour, et advienne que pourra. Donc, je sais pas si je serai capable de tuer pour parvenir à mes fins, mais je serai capable de tuer pour rien. Sur un coup de tête. Parce que j'en ai envie. Parce que le type m'a énervé. De toute façon, un de plus ou un de moins, c'est pas comme le Capitole allait me reprocher de tuer la population.
➺ QUEL SERAIT LE PÉCHÉ CAPITAL QUI TE REPRÉSENTERAIT LE MIEUX ?
La colère. J'en suis bien conscient. Mais c'est plus fort que moi. Je m’enrage facilement, ça me submerge. Quand je m'entrainais dans le Deux avec les carrières, ils m'ont fait faire des tests. Et il s'est avéré que je serai un genre de borderline. Je dis bien "un genre". Faudrait pas croire que j'en porte tous les symptômes, mais seulement quelques uns. La colère et l'impulsivité étant les deux traits les plus marqués chez moi.

JE VIENS D'UN MILIEU modeste, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE a toujours été rationnée mais en quantité largement suffisante. DU COUP, MON NOM N'A plus aucune CHANCE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'adore ça. JE SUIS DANS LE 4ÈME DISTRICT. AYANT 26 ans JE ne peux plus PARTICIPE(R) AUX HUNGER GAMES ET j'attends la prochaine moisson avec impatience. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

Koukou mes schtroumpfs, ici Gargamel What a Face

FEATURING colton haynes © COPYRIGHT myself

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« Pour quelques immortels beaucoup doivent mourir »
Ils étaient beaux, d'une certaine façon. A leur manière, ils avaient l'air respectables et humbles, ils émanaient de la confiance, comme s'ils n'avaient pas peur. T'étais beaucoup trop jeune pour comprendre ce qu'ils avaient fait et la gravité de leur acte, mais pas suffisamment innocent pour ignorer ce qu'était une potence et ce qui allait arriver aux personnes qui se tenaient debout derrière la corde. La pendaison. C'est le sort qui était et est toujours réservé à tous ceux accusés ou soupçonnés de trahison envers le Capitole. Mais en toute honnêteté, quand on s'appelle Hope et Libero Hollister, on ne peut que se battre aux côtés des rebelles.
Ils avaient commis l'irréparable. En proclamant vouloir sauver des milliers d'innocents d'une dictature injuste, ils ont fait sauter une bombe de fortune dans une zone soi-disant pleine de pacificateurs. Des terroristes, voilà ce qu'ils étaient. Des assassins, des meurtriers. On a compté douze victimes. Quatre pacificateurs pour huit civils. Quel genre de parents peuvent aussi paisiblement élever leurs enfants le jour tandis qu'ils construisent une bombe et élaborent des plans anarchistes la nuit ? Ta mère, de ses yeux bleus comme on en voit partout au Quatre, a posé son regard sur ton frère Declan et toi depuis l'estrade. Tu as soutenu son regard. Tu n'as même pas baissé les yeux quand la trappe s'est ouverte sous leurs pieds.

« T'as perdu l'esprit en essayant de comprendre le mien »
Sa voix est forte, tellement lourde qu'elle déraille sur la dernière syllabe en même temps qu'un postillon s'écrase sur ta joue.« HOLLISTER ! » Mais tu ne l'entends pas vraiment, parce que tu ne peux pas t'arrêter. On t'a dit de frapper, alors c'est ce que tu fais. Dans un combat, on se s'arrête pas avant que l'autre soit à terre, dans l'incapacité de se relever. C'est ce qu'on t'a apprit au centre d'entrainement des carrières, et c'est ce que tu continues d'apprendre durant ta formation de pacificateur. Vainqueur ou pacificateur. Ce que tu as toujours voulu être. Le premier étant maintenant irréalisable, et le second en cours de développement. « Bordel, lâche-le ! » continue l'entraineur. Tu maintiens pourtant la pression de ton genoux, empêchant l'autre élève de se relever, étendu sous ton poids, pendant que tu lui assènes toujours plus de coups au ventre et au visage. Du sang commence à couler lentement de son nez, et plus rapidement du coin de ses lèvres, à la même allure que la sueur sur ton visage. T'es incontrôlable, Zeke. Le vieil entraineur est à bout de souffle. C'est d'ailleurs étrange qu'il soit toujours en service au vu de son âge et de son état de santé qui laisse visiblement à désirer. Les rides sur son cou sont si nombreuses et si profondes qu'en le voyant pour la première fois, tu t'es demandé par quel miracle il arrivait encore à respirer. Et d'un coup, tu te stoppes net. « T'es en train de les tuer tous les deux ! » cri Declan qui arrive au pas de course depuis le fond de la salle. Declan qui a été terminé sa formation. Declan qui a été muté au District Un. Declan qui n'a rien à faire ici, et qui est pourtant là. Il te prend par le bras et te traîne hors de la salle avec fermeté, feignant ne pas remarquer que tu manques de tomber en te redressant.
Dans le couloir, tu croises Kallel.
Et tu lui souris.
Vous arrivez dans un petit bureau habituellement réservé à des usages professionnels, mais au vu de l'air partagé de Declan, cette conversation n'aura rien de professionnel. Baissant les yeux sur les poings, tu remarques que tes phalanges sont à vif et, honteux, caches les mains sous la table. « Faut que tu te calmes. Ça sert à rien de jouer les durs. » « C'est facile à dire pour toi. » D'un simple regard, il réussit à balayer toute colère en toi, et toute envie de répondre avec insolence. « Ca fait des mois que je t'ai pas vu et t'as pas changé. » Lui en revanche, a quelque chose de changé. Sans trop savoir quoi, tu le sens. Quitte à l'avoir déjà énervé, autant le brusquer, il n'est plus à ça près. « Tu meurs d'envie de me dire quelque chose. » Et étonnement, il commence à sourire. Il se penche en avant, comme s'il allait te révéler tous les secrets du monde, ce qui te pousse sans réfléchir à en faire de même pour tendre l'oreille. « Je me suis arrangé pour que tu puisses être muté, ne serait-ce que des temps en temps, vers le Un. Quand tu auras terminé ta formation. » Moment d'incompréhension de ta part. Tu le dévisages en haussant un sourcil et en baissant l'autre. Être haut-gradé offre des avantages, mais celui-là, tu n'en vois pas l'intérêt. « Et pourquoi ? Je peux me débrouiller sans toi tu sais. » Son seul réflexe est de sourire de plus belles avant de reculer sur sa chaise, complètement avachi. « J'ai pensé que tu aimerais connaître ta nièce. »
Tu tombes de ta chaise.

« Le soulèvement des étoiles »
On est bien loin du District Quatre, Zeke. Cette guerre, tu l'avais imaginée, mais tu n'aurais jamais pensé qu'elle ferait couler autant de sang. Ces gens que tu tues, ces personnes sur qui tu tires, elles pourraient avoir une belle vie si tu les laissais t'abattre et abattre le Capitole. Elles ont des visages, ces personnes, que tu ne devrais jamais oublier. Et pourquoi tu n'en vois aucun. Chacune d'elle a une identité, une famille, des idéaux. Un passé qui forme leur histoire, et tu te contentes de clore cette dernière d'une simple pression de doigt sur un morceau de métal froid. Tu es l'antagoniste du dernier chapitre de leur vie, et elles ne savent même pas qui tu es. Elles n'en ont absolument aucune idée. La plupart ne doivent même pas voir le coup venir, et elles, pas plus que toi, ne sauraient affirmer que la balle qui les a achevées provenait de ton arme. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la bataille du District Neuf est la pire à laquelle tu ais pu participer. Non pas que cela te déplaise car tu n'éprouves aucune pitié, pas un remord, ni même un soupçon d'empathie pour ces gens-là. « On les aura, ces enfoirés ! » hurle Declan à quelques mètres, derrière une tranchée, à l'intention de qui voudra bien l'entendre. Tu le regardes en souriant, oubliant un instant la bataille sous tes yeux. Et soudain, c'est le blackout.
Quand tu rouvres les yeux, vaguement éveillé et complètement abasourdi, tu entends encore les grésillements lourds des obus qui éclatent au loin. Au loin. Pas si loin que ça. Tu dois êtres à moins d'un kilomètre du champ de bataille (littéralement, la bataille a lieu dans un champ. Bienvenue au District Neuf). La luminosité laissé à désirer puisque la minuscule pièce n'est éclairée que part une torche posée sur une étagère, elle-même remplie de bocaux de nourritures datant du siècle dernier. Les murs sont humides, et l'odeur de moisi t'imbibe rapidement le nez. La vision légèrement floue, tu distingues du sang le long de ta jambe. Beaucoup de sang. « Eh toi ! » dit une femme en se levant brutalement de sa chaise pour venir vers toi. Elle est brune, grande et ne dois pas avoir plus de la trentaine. Ses vêtements son terriblement usés, ses bottes couvertes de terre humide, et des éclaboussures de sang la recouvrent entièrement de la tête aux chevilles. Ton premier réflexe est de chercher une arme à portée de main, mais tu te doutes que même si les rebelles sont idiots, ils ne sont pas suffisamment débiles pour faire cette erreur. « Eh moi. » tu réponds d'une manière on ne peut plus sarcastique. « Je peux savoir qui vous êtes et ce que je fais là ou on règle ça par une mort rapide ? » Elle s'accroupie en face, en gardant une distance raisonnable. C'est à ce moment là que tu reconnais ton arme accrochée à sa ceinture. Elle a l'air à bout de nerfs, et ne doit probablement pas avoir vu de douche depuis plusieurs semaines. « Eclesia, je m'appelle Eclesia Carlton. Ca te va ? Dis-moi vite, est-ce qu'il y a des taupes pacificateurs chez les rebelles ? Réponds vite ! » tu ignores délibérément la question et te forces à sourire. « "Ecclesia", ça veut pas dire "la voix du peuple", ou une connerie dans le genre ? » Sa bouche s'ouvre pour répondre quand des coups de feu retentissent et résonnent à proximité. Au vu de l'écho, vous devez être dans une sorte de galerie souterraine. Quand elle tourne la tête, tu remarques ses yeux bleus, comme ceux qu'avait ta mère, et tu commences à te souvenir de tout. Toutes les photos des corps, ou plutôt des puzzles de corps, des victimes de l'attentat de tes parents. Ces photos, ces dossiers qui ont étés mit sous tes yeux dès ton plus jeune âge, pour te montrer le danger que représentent les rebelles dans son genre. « J'en ai foutrement aucune idée, et même si je le savais, y'a aucune chance pour que je révèle ce genre de trucs à une terroriste. » Elle ne peut pas décrocher son regard de la porte, sachant pertinemment que les coups de feu étaient le signe de l'arrivée des pacificateurs dans le souterrain, et la mort de ses camarades. « T'as perduuu. » tu nargues en accentuant la dernière voyelle, le sourire au coin de la bouche. Elle te regarde furieusement, et s'apprête à t’assener une gifle quand les pacificateurs ouvrent la porte. L'un d'eux se jette sur elle, lui ôte son arme et l'attache contre le mur, tandis qu'un autre t'aide à te relever. « C'est quoi ton nom ? » lui demande celui qui l'a attachée. « Aller vous faire foutre » qu'elle crache. Tu réponds à se place, et le pacificateur déclare en essayant de garder son sérieux. « Eclesia Carlton, vous allez être conduite en cellule de détention, puis exécutée publiquement afin de servir d'exemple. » Mais elle ne daigne même pas protester, préférant vanter les mérites du District Treize et sa magnifique Présidente Coin. Ton bras se tend difficilement, attrape l'arme posé sur la table, et vise la femme à terre. Froidement, tu l'abats d'une balle dans la tête. « Eclesia Carlton n'a jamais existé, pas plus que la vérité dans ses idéaux. » Les deux pacificateurs semblent de même avis, et vous vous accordez à ne pas vous souvenir de cet écart de conduite.