| Sujet: Re: ATELIER N.3 - connaissances Sam 14 Juin - 13:43 | |
| Je venais de terminer mon entrainement à l’agilité, il m’avait bien fatigué mais au moins j’avais appris des choses, plein de choses qui pourraient s’avérer utile dans l’arène. Mais pour aujourd’hui j’avais atteint mon quota d’activité physique, alors que je venais de redescendre du mur, je partie en direction de l’atelier connaissance, j’avais toujours voulu le faire, il était à mes yeux un des plus important car savoir ce qui est bénéfique ou dangereux autour de nous était pour moi un vrai plus lorsque l’on se retrouvait seul dans l’arène. Il n’y avait pas d’instructeur sur cet atelier, juste un immense écran avec une sorte d’énorme clavier en dessous. Lorsque je pris place devant, je pus observer que l’écran regroupait plein de catégorie, plantes médicinales, poison et danger, l’eau, danger et précaution et encore plein d’autres, il y en avait suffisamment pour tenir la journée entière à cet atelier mais je ne pouvais pas toutes les faires… Je réfléchissais donc sur mes priorités quant à l’apprentissage. J’allais nécessairement m’intéresser aux plantes, l’eau pourrait être aussi très importante à connaitre, on ne sait jamais quel coup tordu préparait les juges avec l’arène.. Après, j’hésitais devais je apprendre quels animaux étaient toxiques et lesquels pouvaient être chassé ou bien devais je apprendre différents moyens pour éviter une infection ? Je pouvais surement faire les deux… Ainsi, je me lançais dans mon premier module, celui des plantes toxiques, médicinales et comestibles. La base à mes yeux.
L’épreuve se découpait en deux temps, le premier, l’écran faisait défiler des fiches, avec les plantes, leurs caractéristiques, où les localiser, et surtout leurs utilités. Dans un second temps, il s’agissait d’un test, une sorte de quizz sur ce que l’on avait juste vue. Je commençais donc à mon rythme. Les premières fiches parlaient de plantes communes que je connaissais déjà, la menthe, une plante comestible, le clou de girofle, un anti douleur efficace, la réglisse, très riche en sucre. Après cela devenait plus difficile, les noms étaient parfois difficile à retenir rien que par leur othrographe. Ainsi, il y avait une plante nommée la Phylis sauvage rougeoyante, une fleure décrite comme se trouvant dans les clairières, elle pouvait servirai de repas ses peaux étant légèrement anisé, toute fois, il fallait en limiter la consommation car à haute consommation, il était fréquent d’avoir des vomissements. Donc une plante que je catégorisais dans mon esprit comme de secours, si je ne trouvais rien d’autre, je pourrais me tourner vers elle. Suivait un champignon, à la forme improbable, il ressemblait à un pénis et poussait sur les troncs des arbres épineux, toujours sur les faces les plus à l’ombre, il était un excellent antiseptique, il pouvait éviter une infection sur une petite plaie. Cependant, il fallait éviter de le consommer car il avait tendance à donner de légères hallucinations. Enfin, il y avait la Cirpide, une plante très vénéneuse, ses feuilles étaient coupantes, et surtout, un contact avec de petits poils se situant dessus paralysait la zone touché, ainsi, prise avec attention, elle pouvait se révéler être une arme de choix. Ses effets duraient entre une heure et trois heures. Pour la trouver, il fallait un temps sec et ensoleillé et elle bordait les clairières, ainsi, elle était une barrière naturelle de la nature contre l’homme. Si les juges étaient dures avec nous, ils pourraient nous faire commencer dans une belle clairière entourée de ces plantes, le bain de sang n’en serait que plus sanglant.. Mais maintenant je pourrais faire attention et éviter le contact, un bon point pour moi. Ainsi, les plantes s’enchainaient, alternant, les curatives, les comestibles et les dangereuses. En une demi heures, j’avais passé en revu l’ensemble des fiches proposées. Alors je décidais de passer à la deuxième partie, le test. J’allais voir ce que j’avais retenu.. J’appuyais sur le bouton de lancement et devant moi se dressais une centaine d’image de plante, avec l’intitulé, lesquelles de ses plantes sont comestible, j’en repérais rapidement quelques unes, les plus banales, puis je devais plus me concentrer, certaines ne me disaient rien, comme si je ne les avais jamais vu, mais je prenais mon temps, je me souvenais de certaines informations et ainsi, j’avançais précautionneusement. Puis, à force de me souvenir de ce que j’avais appris, je devenais plus rapide, comme si ma mémoire s’était décrassée. Ainsi lorsque j’appuyais sur le bouton terminé, je pensais avoir un score encourageant. Un graphique apparut, j’avais reconnu quatre vingt neuf pourcents des plantes comestibles, j’avais ajouté six plante médicinales et zéro toxique, j’avais donc un score très bon et j’en étais contente.. Ensuite vint une carte, semblable à un plan avec différentes zones comme forêt, lac, montagne.. Et je devais replacer les plantes là où il était possible de les trouver. Il s’agissait sans doute de la partie dont je me souvenais le mieux, il n’y avait que vingt plantes à placer, mais, j’espérais dépasser les quinze correctes. Je réussi immédiatement à en replacer huit sans même avoir à réfléchir, puis d’autres étaient plus difficile, certaines pouvant se trouver dans plusieurs endroits, par exemple l’Arguérite blanche était une fleure de montagne mais qui pouvait aussi se trouver sur des plaines de manière plus rare, je pris le choix de la déposer aux deux endroits, on ne sait jamais, peu être allais-je perdre des points pour cela. J’avais enchainé les réponses et obtins un score de 17, pas mal du tout. Je continuais les tests et j’étais plutôt bonne, ma mémoire était un point fort, les instructeurs des ateliers précédents me l’avaient tous signifié.. J’étais à l’aise sur cet atelier plus que sur tous ceux que j’avais fais précédemment.
Je passais à l’eau, tout d’abord, il y avait des fiches sur les différents états de l’eau, ainsi, l’eau évaporée ne pouvait être considérer comme une source car trop difficile à trouver et à récupérer, cependant, la glace et l’eau liquide pouvait être d’excellent moyen de ne pas être déshydrater. Cela me rappelait les cours de physiques à l’école, comme quoi suivre les cours, pouvaient être un avantage précieux pour les jeux. J’étais une carrière cérébrale en quelque sorte.. Ensuite venait l’analyse de l’eau, une eau colorée est à éviter de manière certaines, d’un autre coté, une eau transparente n’est pas nécessairement bonne, ainsi, il y avait trois conseils pour pouvoir la rendre potable, le premier, faire chauffer l’eau, en la faisant bouillir, certes, vous perdiez un peu de volume mais au moins, vous tuiez les bactéries et les virus. Ensuite, venait la mode du charbon, un morceau de charbon purifiait l’eau, plus rapide mais pour ça il fallait disposer de charbon, et ce n’était pas chose facile. Enfin la dernière méthode était la plus complexe, pour purifier l’eau, il était possible de la mélanger à certaines plantes vues avant, les plantes agissaient comme des filtres naturels et permettaient d’enlever le plus gros danger. Cependant, il fallait presque une dizaine de plante, alors dans une arène, cela pouvait s’avérer difficile. Je gardais cela en mémoire mais savais très bien que j’allais m’orienter vers l’une des deux premières méthodes. Cette fois, il n’y avait pas de question, s’était juste des fiches, il en restait une dernière à observer, l’eau arme utile. Dans cette fiche, il était expliqué qu’utiliser de l’eau pouvait être utile. Ainsi, l’eau tout juste chauffé peu permettre de bruler quelqu’un, mettre de l’eau non pure dans une source d’eau que vous avez utilisé permet de la tarir et ainsi personne d’autre ne pourrait l’utiliser. Si j’arrivais à obtenir deux trois gourdes, j’allais pouvoir me faire une réserve et ainsi, polluer la source pour nuire à mes adversaires.
J’en connaissais maintenant suffisament sur l’eau, je passais aux plaies et blessures, ainsi, il y avait plusieurs fiches là encore, une relative à l’évaluation d’une blessure, une autre relative aux traitements possible et une dernière sur comment stopper un saignement important.. Trois fiches qui allaient sans doute être les plus utiles durant ces jeux. Je commençais la première, elle était claire, il n’y avait pas vraiment de chose difficile à retenir, ainsi, l’évaluation de la gravité d’une brulure, à travers la coloration et l’aspect de la peau. Ou encore, les plaies et leurs tailles et profondeur, une plaie superficielle mais longue n’est pas dangereuse car les risques d’infections son minime mais une plaie même petite et profonde elle peut se révéler létale. Il fallait donc faire attention à chaque instant. Il y avait aussi la localisation des plaies et leurs dangerosités. Les plus gênantes étaient celles sur les pieds, car très sollicité, elles avaient tendance à mal se refermer et à gêner pour un long moment. Les plaies sur le torse étaient les moins importante car souvent, la tenue même abimée permettait de limiter leurs expositions. Il y avait beaucoup d’information que je retenais bien. Je passais ensuite à comment arrêter un saignement, je ne pouvais pas laisser passer un saignement, car perdre du sang s’était s’affaiblir, s’était risquer sa vie. La première fiche parlait des garrots, ils étaient recommandés en cas de blessure très profonde sur un membre. Ils stoppaient l’hémorragie mais si ils étaient conservés trop longtemps, il y avait un risque d’amputation du membre. Ainsi, il s’agissait ici d’évaluer la balance gain versus risque.. Je n’étais pas très à l’aise à l’idée d’avoir une jambe coupée mais une jambe en moins vaut la peine de vivre. La seconde fiche parlait de la cautérisation, je n’aimais pas le mot, mais je savais déjà que s’était un moyen efficace. Ainsi, si une plaie saigne beaucoup, chauffer à blanc un objet métallique et le posé sur la plaie allait faire fondre les chaires et ainsi, la plaie allait se refermer par elle-même. La cicatrice n’allait pas être belle mais au moins, cela m’éviterait de me vider de mon sang. Je savais ce procéder douloureux mais il était nécessaire. Enfin, la dernière fiche parlait de la cautérisation sur de grande zone, en gros, en cas de jambe, main, bras ou membre sectionné durant les jeux. Là encore, il fallait agir, il fallait au plus vite poser un garrot puis cautériser la plaie, pour éviter de se vider de son sang et surtout éviter une infection. Car plus la zone exposée est grande, plus les risques sont important avec une blessure de ce genre. La dernière partie consistait à une énumération de technique pour soigner des blessures, un os déplacer suite à une chute, un ose cassé suite à un affrontement, comment soigner une plaie, comment soigner une brulure, comment utiliser efficacement certains produits. Elle était très complète elle aussi, lorsque vint le moment du test, je le réussi encore mieux que ceux des plantes, visiblement esprit avait été plus imprégner de ces conseils là, une chance car ils me seraient surement d’une très grande utilité.
Je n’étais pas certaine de vouloir faire les animaux dangereux, de toute façon je me méfierais de toutes les choses rampante, piquante, tout ce qui avait la capacité de se déplacer. Ainsi, je stoppais mon atelier connaissance et décidais de m’arrêter là pour ma deuxième journée, j’avais bien travaillé et j’étais contente de moi. Après tout, j’avais été plutôt bonne dans mes deux ateliers du jour.. J’avais hâte d’en parler avec mes deux mentors, peu être verraient ils en moi une possible gagnante après cette journée. |
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