| Sujet: Zacharias - Doesn't matter much Dim 11 Mai - 22:06 | |
| Zacharias Sirius Oakenfer❝ WHISPERS IN THE DARK❞ Tu t'appelles Zacharias. Zacharias Sirius Oakenfer. D'où ça vient, tu n'en sais rien mais, à vrai dire, tu ne t'es jamais réellement posé la question. Seulement voilà, Zacharias c'est joli. Enfin. Tu aimes bien mais ce n'est pas comme si tu avais eu ton mot à dire. Encore aujourd'hui, remarque, les gens se fichent de ton avis et ce qui compte, c'est que tu ais intégré les rangs, et fort heureusement pour toi, sans doute, tu vis au Capitole. Tu y vis et même si parfois ça craint d'être Zacharias, être Zacharias c'est une chance incroyable parce c'est qu'il a une belle gueule ce gosse de vingt-huit ans. Et, avoir une belle gueule au Capitole, ça aide et même si ça a le don de t’agacer ... parfois. T'es pas idiot au point d'ignorer que, sans ton physique, t'en serais surement pas là aujourd'hui. Tu es l'un des mannequins les plus en vue de cette cité des merveilles et, depuis 2308, tu es aussi l'hôte du district quatre. T'es plutôt fier de cette nouvelle responsabilité pour le Capitole. Ce n'est pas comme si c'était une tâche bien ardue que de veiller au bon déroulement de ce qu'incombe ce nouveau rôle mais, au moins, c'est autre chose que sourire aux stylistes, photographes ainsi qu'à ces personnes qui s'intéressent à toi juste parce que tu as eu le malheur de naître beau. Oui, tu exagères et tu le sais mais c'est un peu le malheur de toute ta vie. Tu existes en tant qu'icone alors que tu crèverais d'envie de vivre pour ce que tu es réellement. Tu as parfois l'impression que ta vie t'échappe sans que tu ne puisses la contrôler. C'est cette impression de ne même pas t'appartenir qui t'agace le plus souvent. Devenir l'hôte du District quatre, c'est une petite revanche personnelle pour l'affirmation de ce que tu es réellement et non l'image que tu renvoies. C'est important, pour toi et pourtant, tu sais bien que la plupart d'entre eux ne garderont comme souvenirs de toi que les clichés des magazines. Pourtant tu ne craches pas dessus, c'est ton gagne pain et, tu n'es pas forcément contre le Capitole. Vivre ainsi t'octroie une certaine qualité de vie que tu n'es pas prêt à perdre par des propos stupides balancés sans réfléchir. Mais c'est vrai qu'il t'arrive de te venger par des mots bien placés dans les interviews. Et, généralement, les personnes visées dans tes propos ne peuvent que s'agacer, répliquer ou jouer à l'autruche lorsqu'elles sont vexées. Malheureusement pour toi, tu sais oh combien les Capitoliens sont rapidement vexés pour en faire partie. Tu essayes alors de maîtriser tes propos même si, parfois, l'envie est plus forte. Ca serait quand même con de te priver d'un deuxième contrat parce que des personnes se sentent concernées par tes propos alors que, cette fois, tu ne les visais pas.
Hormis tes dépressions épisodiques sur la vie d'incompris que tu mènes, tu t'estimes plutôt chanceux. Tu ne crées pas de vague et ne tentes rien contre le Capitole. Tu aimes plaire mais tu souhaiterais, au plus profond de toi, être aimé en retour. Véritablement. Cette vie t'a choisi et tu as fini par l'accepter parce qu'au fond, c'était mieux celle-là que celle des autres. Tu y as fait de belles et de moins belles rencontres et si tu souhaites que ta relation avec Owain cesse pour de bon ou soit un peu plus stable, tu sais aussi que, malgré votre passion et votre haine, tu ne pourrais te passer définitivement de lui. C'est ainsi et tu l'aimes. Cela fait longtemps que tu ne te voiles plus la face même si c'est douloureux, si c'est dangereux, si tu le détestes parfois d'être ce qu'il est: ton parfait opposé.
about games and relative.
(choisissez au moins cinq questions qui sont les plus pertinentes pour la présentation de votre personnage, et supprimez les autres ainsi que le spoiler. répondez en un minimum de cinq lignes.)
- Spoiler:
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ? C’est une drôle de question. La mort tu y es détaché. Tu n’y as même jamais pensé. Bien sûr tu l’as vue à travers les jeux mais c’est une notion devenue bien lointaine, comme abstraite. A bien y réfléchir, tu t’y en es détaché au fil du temps si bien qu’au moment de mourir, tu serais le premier surpris qu’elle vienne. Mais pour le moment la mort tu ne la vois pas, tu es encore jeune. Pourquoi y penser ? Enfin, il faut répondre, pas vrai ? Tu ne te vois pas mourir de façon héroïque. Une mort bien stupide, en somme ou une mort normale aussi. C’est vrai. Avec tout ce qu’il se passe, vous avez tous tendance à oublier qu’il existe cette mort simple dont ils rêvent tous. En bref, la mort: elle ne t'obsède mais tu sais bien que certains y pensent beaucoup trop. ➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? C’est déprimant ce genre de question. Si tu n’as pas réfléchi à ta prochaine mort, tu n’as certainement pas la réponse à cette question. Tu ne sais pas. Pour tout dire, le Capitole ne vous a jamais réellement appris à voler au secours des autres ni même à vous battre pour vos idées propres. C’est chacun pour soi, à celui qui brillera le plus et tant pis pour les autres. Tu devrais peut-être être plus souvent ce genre d’homme. C’est ce qui te cause le plus d’ennuis. T’es souvent nostalgique à penser à des tas de choses sauf celles-là. T’es dans la réalité sans vraiment y être. Tu les écoutes avec un sourire pour dire que tu es présent alors que tu ne l’es pas. Tu es ailleurs et ils ne le remarquent pas. Pas tous. Et, pour être franc, t’es pas toujours persuadé que ça soit une bonne chose parce que c'est bien compliqué entre vous deux. ➺ QUEL(S) PETIT(S) PLUS T'AIDE(NT) DANS LA VIE (OU LES JEUX) ? Dans cette vie, on ne peut pas dire que tu sois le plus à plaindre. Tu es né sous la bonne étoile : la vie est belle. Tu es jeune, tu es quelqu’un de reconnu, que l’on reconnait dans la rue et tu n’es pas dans le besoin. S’il n’y avait pas eu le mannequina, tu aurais eu une vie différente. Peut-être pas. Est-ce la vie au Capitole qui te pèse ? Tu sais bien que rien ne pourrait changer ta vie. Elle est ainsi, c’est à toi de t’y adapter même si tu souhaiterais que cela change. Les fêtes en continu, les rencontres, les aventures d’un soir, les jeux, la boisson. Tu souris à cette pensée. L’alcool t’aide à oublier que ta vie ne t’appartient pas. Mais tu t’y fais parce qu’il faut et que Panem est bien telle qu’elle est. ➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? La question n'est pas de savoir si tu apprécies le visionnage des jeux mais bien de savoir si tu les regardes ou pas. En tant qu'hôte du District quatre depuis quelques années tu les regardes bien entendu. Tu les regardes et tu espères, comme chaque année depuis ton premier vainqueur, la première année ou tu as endossé ce rôle d'hôte, que la jeune fille ou le jeune homme de ton district gagne ces jeux. Alors tu regardes sans en être un passionné et tu arrives très bien à ne pas rester devant l'écran pendant des heures parce que, de toute façon, chaque soirs, à la même heure, tu sauras quels sont les morts. Tu ne t'attaches pas forcément aux tributs de ton district mais ça reste une fierté que de savoir l'un des deux vainqueur. Tu les regardes aussi parce qu'il faut te tenir au courant pour les soirées multiples organisées pendant cette période. Pour ne pas avoir de problèmes tu regardes même si tu n'es pas plus emballé par ce sang versé. Pourtant, c'est la seule solution pour garder Panem sous contrôle alors tu ne fais rien contre parce que, de toute façon, cela serait bien suicidaire que de le tenter. La rébellion échouée l'a bien prouvé. QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ? Tu penses que l'idée même était stupide. Vaincre une institution mise en place depuis des décenies ? Impensable. Il n'y a pas de logique dans cette volonté de nuire à une puissance bien suppérieure à soi. Tu ne crois pas une seconde que le Capitole puisse, un jour, être renversé. Ces rebelles sont bien trop faibles mais tu n'oublies cependant pas leur dangerosité. Malgré les répressions ils s'entêtent et s'acharnent. Tu ne veux pas voir comment tout cela va se terminer. Mal, sans aucun doute. ➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ? Les vainqueurs des jeux ont un certain mérite. Ils s’en sont sortis mais tu les évites autant que tu peux lorsqu’ils passent au Capitole. Tu t’en méfies parce que tu ne sais jamais ce qu’il va se passer lorsqu’ils sont dans les parages. Ils ne sont pas prévisibles et leur imprévisibilité te met mal à l’aise. Tu sais qu’ils n’ont rien choisi tout comme tu n’as rien choisi de ta vie mais c’est comme ça et il faut que ça le reste. Tu ne vois pas de problème dans la gestion de Panem telle qu’elle l’est. ➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS EVENEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ? Ayant toujours vécu au Capitole avec toute son idéologie que tu soutiens pour l’équilibre de Panem, tu ne comprends pas la révolte des districts. Tu n’as, par conséquent, pas participé à ces malheureux évènements qui, apparemment, n’ont servi à rien puisque tout est, à nouveau, sous contrôle du Capitole. Quant au Capitole, tu vas assumer, comme chaque année, ta récente mission. La moisson approche. Tu t’es également plié à cette idée saugrenue du Capitole qui a invité plusieurs habitants de chaque district. Tu bouges beaucoup plus que tu ne le souhaiterais, mettant momentanément tes contrats de côté. Toi qui ne voulais pas de cette publicité, te voilà mis de plus en plus souvent en avant pour le bien du Capitole. Tu existais à travers le papier des magazines, tu existes à travers les écrans du Capitole. Si ta vie est destinée à n’exister qu’à travers les yeux des autres, tu préfères encore avancer dans un milieu que tu as choisi même s’il ne t’apporte pas cette liberté que tu souhaites.
tell us your story.
L’histoire aurait pu être différente. Tu aurais pu naître dans un district, tomber dans les jeux, ne jamais rencontrer Owain, finir ta vie en espérant que tes enfants et petits-enfants ne tombent pas entre les mains du Capitole mais il n’en est rien. Ta vie est toute différente et que cela soit dans les Districts ou au Capitole, vous ne contrôlez rien. C’est bien une chose que les habitants de Panem ont en commun même s’ils ont tendance à l’oublier. Tu es nostalgique, hors du temps et, lorsqu’on te pose une question, c’est avec un sourire que tu y réponds, que tu réponds ce qu’ils veulent entendre parce que c’est plus simple. Tu n’es pas pour ou contre la résistance ou le Capitole. Tu voudrais juste, pour une fois, vivre ta vie comme tu l’entends mais les règles étant les règles, ce n’est pas possible et il te faut vivre avec cette réalité parfois trop lourde à porter.
Ton rôle, entre autre, aujourd’hui est celui d’être le mannequin le plus en vue du Capitole, de t’afficher avec les stylistes, leurs créations et les journalistes. Ces derniers sont bien les premiers à t’écouter sans t’écouter véritablement. Tu as l’impression de parler pour du vent, de n’être que le reflet de leurs fantasmes à travers leurs yeux. C’est comme si tu n’étais pas réel. Tu n’es qu’un fantôme. Un fantôme de quelqu’un qu’on a façonné pour être ainsi, de quelqu’un qui comprend aujourd’hui qu’il n’est que trop tard pour faire marche arrière. Tu gardes cette marge d’erreur sous le pied mais tout est contrôlé, réfléchi. Tu ne peux pas faire n’importe quoi parce qu’au Capitole, aussi, tout est sous contrôle même si beaucoup semblent préférer l’ignorer. Les habitants des districts vous méprisent et, quelque part, ce n’est que justice qu’ils aient été désigné pour les jeux et mais aussi pour subvenir aux nombreux besoins du Capitole qui montre jours après jours sa puissance et sa frivolité. C’est le mélange des deux que compose ton monde et il faut admettre que le paraître n’a jamais été aussi grand dans la cité. Ce paraître qui les englobe tous dans le même sac même si personne ne songe à se révolter. Tu nais au Capitole et tu y restes jusqu’à la fin de tes jours en te pliant aux règles parce que personne de sensé ne penserait à les défier et malgré tes envies de vie différente, t’es pas vraiment différent de cette masse qui grouille en buvant les paroles de Snow. T’es coincé dans cette idéologie du paraître sans autres échappatoire que l’alcool et les aventures que tu enchaînes à une vitesse folle. Personne ne peut te dire non. C’est ce que tes parents (et surtout ta mère) t’ont appris. Mais pour comprendre ce que tu es devenu, il faut retourner dans le passé. Ce passé que tu ne détestes cependant pas. Pas la peine de te mentir, tu sais que cette vie vaut mieux que nulle autre. Il te faut juste lever la tête, sourire et tout ira pour le mieux. Après tout, tout a toujours fonctionné comme ça pour toi et tu ne vois pas pourquoi cela changerait. La vie n’est pas si mal, en fin de compte.
Tu n’as pas eu une enfance désastreuse. La vie au Capitole n’était pas un calvaire à supporter mais pourtant, si l’on te demande si tu es heureux, tu ne saurais pas tellement comment répondre à cette question. Tu répondrais par la positive avec un sourire parce qu’après tout, si l’on se retrouve au Capitole, c’est que la vie est belle. Et la vie est belle, l’a été. L’environnement dans lequel tu as grandi n’était pas forcément saint mais il te prodiguait tout ce dont tu avais besoin : des parents aimants, l’apprentissage de la vie au Capitole ainsi qu’une certaine reconnaissance modérée de ta personne. C’est surement ta mère, qui, en supposant bien faire pour ton futur en ce lieu, fait que tu es ainsi aujourd’hui. Quelqu’un de reconnu par sa profession et sa célébrité mais quelqu’un qui la déteste tout autant, qui n’en peut plus de faire semblant tout en n’ayant pas d’autre choix que de le faire. Tu devais te battre pour savoir si l’on restait près de toi parce que tu pouvais pratiquement tout obtenir sans vraiment devoir forcer le destin ou pour … toi. Tu l’as déjà ressenti plusieurs fois notamment lorsque tu as commencé ta carrière de mannequin si jeune. Grâce à ta mère qui te répétait combien tu étais beau et qu’il était impossible que l’on ose te dire non. Tu n’étais pas assez naïf au point de croire que toutes les personnes que tu rencontrais étaient là pour le plaisir de passer du temps en ta compagnie. Cette présence te manquait, tu voulais être autre chose que des aventures éphémères ne voulant de toi que ton physique, ta carrière ou ton nom. C’est surement pour cette raison que tu as posé ta candidature afin d’endosser le rôle d’hôte en 2308. Tu restais une image mais, quelque part, tu y trouvais ton compte. Les gens te regardaient autrement, peut t’importais la haine que tu percevais dans le regard de certains tributs. C’est peut-être cette première année, l’année de la victoire d’un des tiens, que tu t’es senti vivre pour la première fois. Pour la première fois, tu n’as pas pensé à enchaîner les conquêtes, a boire pour oublier. Pour la première fois tu as tenté de vivre normalement même si la réalité est revenue bien vite. Il ne faut pas espérer car c’est l’espoir qui t’épuise. Tu espères de façon égoïste qu’un des tributs du district quatre l’emporte tout en sachant très bien que c’est impossible.
Aujourd’hui, tu n’espères pas grand-chose de ces jeux. Ils trompent ton ennui pour te promettre un instant d’être autre chose qu’un de ses reflets dans les magazines. C’est peut-être pour cela que tu ne sais plus que penser d’Owain. Tu aurais dû te méfier dès le départ mais l’attraction était trop forte. Si tu avais l’habitude qu’on ne puisse rien te refuser, c’était l’inverse qui se produisait même si vous étiez différents, même s’il était probablement la personne que tu aurais dû être si tu n’avais pas choisi d’être en total déni avec cette société du paraître qu’est le Capitole. A travers lui tu as l’impression d’exister même s’il peut s’avérer parfois être un parfait connard d’égoïste. Tu as besoin de lui autant qu’il a besoin de toi et, cela, tu ne peux que l’espérer parce que malgré vos séparations (nombreuses depuis deux ans), vous retrouvez. Votre relation est tordue, pas saine mais vivre au Capitole c’est quelque part, accepter de ne jamais être capable de lâcher prise pour vivre une vie 'normale'. Et pourtant, c'est ta vie même si tu te détestes de revenir vers lui aussi facilement. L’arrivée des jeux va peut-être te permettre de ne pas y penser pendant un moment car après tout, tu lui en veux encore.
reality is here.
Alors ici, c'est Emma de 28 piges comme le monsieur que je joue qui se trouve avoir (tout comme moi), le syndrome de Peter Pan. Voilà qui devrait bien arranger les affaires d'un certain quarantenaire *sbaff* Sinon j'ai lu les livres, vu les films. J'en ai d'ailleurs parlé avec mon beau-frère qui est entrain de lire la trilogie en anglais (wai j'ai fais ma grande flemmarde pour le lire en français) et c'était tout fun d'en parler xD J'aime beaucoup le forum et je vais tenter de ne pas me mélanger avec toutes ces informations mais, au pire, j'ai déjà quelqu'un à embêter si je me noie ... chose qui ne devrait pas arriver, tout de même ! Oh et From Belgium ! Vous avez le drapeau j'ai vu *embrasse tout le monde parce que ça fait du biien !*
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Dernière édition par Zacharias S. Oakenfer le Lun 19 Mai - 11:28, édité 41 fois |
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