Jonathan Thomas Belfort

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

Spoiler:

JE VIENS D'UN MILIEU favorisé..., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la normalité. DU COUP, MON NOM SERA Tiré PARCE QUE JE SUIS VOLONTAIRE. J'EXERCE LE MÉTIER DE Matelot ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime. JE SUIS DANS LE 4ÈME DISTRICT. AYANT 18 JE vais PARTICIPE(R) AUX HUNGER GAMES ET je me suis déjà entraîné. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

tell us your story.

Je suis née dans une famille comme les autres. Une famille illustre au nom commun. Une famille qui n'a de grandeur que dans mon cœur. Cette famille, c'est la mienne et c'est tout ce que j'avais. Je vivais dans le district quatre. Ce n'était peut-être pas le plus beau ou le plus grand de Panem, mais c'était chez moi. Il y avait la mer, bleue, immense, elle s'étendait à perte de vue. Mon père m'a dit qu'aucun homme n'était parti au-delà de l'horizon et en était revenu. Lorsque je le regarde, j'ai l'étrange sentiment de me rappeler qui j'étais à nouveau. Il y avait aussi les plages, blanches comme si l'on avait étendu un drap au bord de l'eau et s'y sécher loin de l'herbe et des insectes. Il y avait ensuite, les arbres, les nuages, les pierres, les rivières, les collines du district quatre. Il y avait tant de choses qui me plaisaient en lui, il y avait les gens, des amis, des connaissances, des voisins, des passants, des filles, des pères, des frères... Le district 4 ressemblait au paradis sur terre, mais à tout cela, venait s'ajouter quelque chose qui s'appelait le Capitole. Une chose que l'on ne pouvait que murmurer. Comment savoir si cette chose ne nous voyait pas dans l'obscurité, qu'elle n'entendait pas nos pensées, qu'elle ne lisait sur nos lèvres ? Comment vivre avec cette chose féroce qu'est la peur au ventre ? Celle de savoir que chaque habitant du district quatre travail et meurt pour la grandeur de cette bête qui s'est battit sur les cadavres encore chaud des habitants des douze district. Comment des hommes au cœur vaillant dominé par la peur ne se sont-ils pas levés pour combattre avec dignité, honneur et force cette vermine grouillante qui s'aventurait par-delà ses frontières pour piller, tuer et détruire ? La peur, la peur d'être tué, la peur de voir sa famille mourir sous ses yeux, la peur de perdre ses êtres chers un par un. La peur selon moi, mes amis le pire sentiments que l'homme ait pu concevoir, la peur constante, c'est l'absence d'espoir , l'absence d'amour, l'absence d'amitié, l'absence de ce que certains appelaient autrefois les sentiments humains. Ils ont été remplacés par ce que Panem nous offrait. Ils ont été remplacés par l'asservissement, la dévotion au capitole et les Hunger Games.
Vous comprenez aisément que je n'aurais jamais pu vivre une vie normale avec les trois plus grands fléaux qu'aient à supporter les habitants de Panem : le capitole, le capitole, le capitole. Tout d'abord, il est d'abord venu prendre mon père. Tout le monde dit qu'il a disparu en mer. Je n'en crois pas un mot comment un homme qui aime sa femme peut disparaître du jour au lendemain ? C'est faux, entièrement faux. Je sais qu'il vit quelque part ? Caché ? Sur le 4 ? Ailleurs ? Je n'en sais rien. Ma mère est morte quelques mois après. Elle était fatiguée de travailler, fatigué de la vie, fatiguée de servir la grandeur du capitole, fatigué de se lever chaque matin pour fournir du poisson frais au capitole. Nous sommes tout fatigué de le servir. J'ai fuis de chez moi et je suis allé devant le poste des pacificateurs et j'ai hurlé que je voulais retrouver l'homme qui m'étais cher lorsqu'une main ma saisi et qu'un homme ma tiré sur son épaule pour m’embarquer à l'Oprhelinat. C'était le capitaine du Dorothea. J'ai survécu dans l'orphelinat, jusqu'à ce que quelqu'un m'adopte... Je suis devenu le fils du capitaine. Je suis devenu l'enfant de Mac Gregor, qui se tient fierement sur le Dorothea , qui marche derrière à ses côtés. Premier matelot de l'équipage. Les pacificateurs me cherchaient souvent des ennuis ,mais Mac Gregor me protégeait . Il était grand, fort et il m'a protégé d'un pacificateur qui préconisait de me couper une main tandis que l'autre proposait de me fouetter à mort. Il m'a ramené chez lui et il s'est occupé de moi. Il m'a demandé pourquoi je voulais absolument survivre.  J'ai répondu que je voulais retrouver mon père et que je voulais me venger de lui. Il m'a répondu qu'il m'enseignerait. Et c'est là qu'il m'a appris à lancer le harpon, à lire, à écrire, à nager, à me fortifier... Il m'a même appelé ce qu'il appelle de la boxe. Il m'a formé dans son hangar ou la Dorothea était encore en réparation. La deuxième passion de Mac Gregor après les enfants perdu, ce sont les bateaux. C'est Là qu'entre les études de chaque Hunger Games que j'ai appris à chasser le dauphin, un des mets les plus raffinés du Capitole. Mac Gregor pense que l'année de mes dix-huit ans sera parfaite pour faire les jeux. Je verrais si j'ai encore le courage de me porter volontaire... C'est que je me fais à la vie de pêcheur. Et puis, il y a cette fille qui m'intrigue, que je n'ai jamais vue... Elle m'intrigue, je crois que je suis amoureux d'elle... Je ne sais pas comment décrire ce sentiment, c'est comme si mon cœur battait plus fort, mes sens étaient plus aigus. Je ne sais pas si elle a remarqué que je l'observais... On sera bientôt fixé.  

We have to be bro: