Elizabeth Destiny Jonkler

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ?

La mort ? J’ai beau la connaitre pour l’avoir vue prendre mes proches dans le passé, elle me fait toujours peur. Elle laisse un tel vide que ce soit dans nos vies ou dans nos cœurs. Elle ne fait pas attention à ce qu’elle laisse derrière son passage.
Après qu’elle m’ais enlevé ma mère, je pensais qu’elle ne pourrait plus m’effrayer, que ça venu mettez alors sans importance, je me trompais… Je m’en suis rendu compte lorsque mon père est tombé malade et que je me trouvais impuissante à attendre que la mort vienne le chercher. Maintenant, je l’avoue, la mort m’effraie et je m’accroche à la vie pour éviter de tomber dans son néant, même si la vie me fait souffrir.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Tous les personnes pour qui j’aurais pu mourir sont partie et sans que je ne puisse rien y faire.
Je pourrais mourir, je le pense, pour la fin de ce régime, si j’étais sûr que ma mort libérerait mes semblables, mais la certitude n’est pas de ce monde. Alors pour le moment je répondrais que je ne suis prête à mourir pour rien, ni personne. Egoïste ? Peut-être, mais de mon point de vue, je me trouve plus utile vivante. A soigné ceux que je peux, a partagé le peu de ce que j’ai si ça peut permettre à un autre de survivre… Non, morte, je ne vois pas l’utilité que j’aurais.

➺ QUELS PETITS PLUS T'AIDENT DANS LA VIE ?

J’ai une connaissance des plantes assez poussé, en tout cas pour celle que l’on trouve dans mon district. J’en connais aussi d’autre que l’on peut acheter, mais l’occasion de les manipulé met très rarement donnée puisqu’elles sont trop onéreuse pour nos salaires. Je peux aussi me gratifier de connaissance en médecine, même si elles sont plutôt basiques. Je sais soignée les coupures, les brulures jusqu’à un certain degré, remettre une articulation en place, apaisé certain rhume…. Je n’ai malheureusement rien pour la malnutrition.Pour les infections je suis obligé de faire confiance aux plantes et celle-ci on leurs limites.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

J’étais sur la place auprès de mes deux parents à chercher du regard mon ainé aux milieux des autres enfants lorsque j’ai entendu son nom résonner dans les haut-parleurs. Je n’avais que neuf ans, mais je savais… Oui, je savais que mon bien aimé frère était perdu. Même s’il revenait des jeux, il ne serait jamais le même. J’avais entendu les adultes parlaient des vainqueurs en disant qu’ils ne revenaient jamais "complétement". Je n’avais que neuf ans, mais je comprenais le crie de ma mère, la crispation de la main protectrice de mon père sur mon épaule pendant que Raphael montée sur l’estrade.
Mes dernières paroles pour lui furent entre deux sanglots, elle lui déclarait toute mon affection, comme j’en étais capable à l’époque, et c’était dans cette pièce qui était plus meublé que notre propre maison au complet. Mais le luxe de cette pièce n’avait d’importance pour personne, car c’était la dernière fois que je voyais mon frère de mes yeux et que je pouvais le tenir dans mes bras.
Raphael Jonkler, 15 ans, tribut mâle du district 11 est mort quelques semaines plus tard, pour divertir le Capitole.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

Obligé de les regardé par le gouvernement, je ne les ai jamais apprécié. Les pires ont été la 62ème édition puisque mon frère y était tribut. Une contradiction s’afficher en moi, je voulais voir mon grand, beau et aimant frère une dernière fois, mais chaque minutes pouvant être sa dernière je me caché dans les bras de l’un de mes parents à chacune de ses apparitions. Je n’ai pas assisté à sa mort en directe, j’étais à l’école, mais j’ai eu le droit aux rediffusions….
A présent à chaque diffusion, le souvenir de Raphael se rappel à moi avec plus de puissance que le reste du temps. Le frère qu’il était, la vie qui s’offrait à lui, les jeux qui me l’ont enlevé, les moments qu’il n’a pas pu vivre. Mais ce que c’est les Huger Games renforce chaque année, c’est ma haine et mon dégout du Capitole.
Tout cela pour vous dire, que NON, je ne trouve aucun plaisir dans le visionnage des jeux. Que de la tristesse, de la haine et du dégout.

QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ?

Que c’est dommage… Dommage qu’elle est échouer, dommage que le capitole est repris le dessus. Dommage que toute la souffrance qu’il y a eu dans les districts lors de cette rébellion et dans son sens, n’est servi à rien.
Quoique rien n’est pas la réponse à donner. Cette rébellion n’a pas servie la cause des districts, mais elle a tout de même eu pour conséquence une purge meurtrière dans ces derniers. Quel que soit la personne à qui vous vous adressez, il y a au moins une personne de sa connaissance qui a était exécutée pendant la purge. Que ce soit un collègue de travail, un voisin, un individu que l’on avait l’habitude de croisé au marché… Tout-le-monde peut prononcer aux moins le nom d’un des exécutés.

➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS EVENEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ?

Je ne me suis pas battue si c’est là votre question. Je n’ai participé à aucun des possibles sabotages ou tous autres actes qui ont été réalisé dans mon district. Je n’étais même au courant de rien, je ne voulais pas savoir. Ce que je faisais c’était soigné ce qui en avait besoin, je le faisais sans demander pourquoi ils étaient blessé. Non, je mettais mes compétences à leur services pour pansé les blessures, calmer les brulures. Et si un jour on serait venu questionner, je ne pouvais les trahir ou les dénoncer puisque j’ignoré tout de ce qu’il se passait.
Savoir n’est pas toujours la clef, c’est ce que j’ai appris pour survire.

➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ?

Magnifique, fantastique, on ne peut rêver mieux ! J’aimerai tellement pouvoir dire ça…
La vie dans mon district est dure, des enfants ne devraient pas y grandir, ils ne peuvent pas s’y épanouir. Les Pacificateurs sont durs, il est interdit de croquer dans les fruits et si vous avez le malheur de la faire c’est la flagellation sur la place publique, que vous soyez un homme de 30 ans connaissant parfaitement la loi ou un enfant de 8 ans qui est à sa première récolte et qui a agis par gourmandise…
Si vous n’avez pas un esprit solide, vous apprendrez à vous renforcez, il n’y a pas d’autre choix. Lorsque vous êtes dans les vergers à récolter les fruits du capitole le ventre gargouillant car vous n’avez gère manger de plus que ce qui vous permet de tenir une journée. Il faut résister à l’envie de prendre un fruit, à l’envie de s’écrouler ou encore à l’envie de crié "Assez !" et de tous lâché. Car si c’est déjà dur ainsi, ça le devient encore plus une fois le dos flagellé…

➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ?

Comment peut-on choisir un métier pareil ? Il faut avoir une personnalité sadique de base ! D’accord, leur métier et de répondre aux ordres du Capitole, mais sont-ils obligées d’être aussi sévère ? De n’avoir aucune pitié pour la faim qui nous gagne ? Ou pour la fatigue qui s’installe ? Sont-ils sans conscience ?
Je ne les aime pas, même en me répétant tous les jours qu’ils ne font que le travail, je suis persuadé qu’ils pourraient agir mieux tous en continuant d’appliquer les ordres. La peur des Pacificateurs règne dans notre district. Lorsqu’on les croise dans la rue, nos yeux les évites, on ne voudrait pas qu’ils croient qu’on les défis. Le prix est trop grand pour un simple regard mal interprété.

➺ CROIS-TU AU BONHEUR ?

Bien sûr que j’y crois. Je l’ai vécu, je le vie encore. Certes différemment aujourd’hui qu’hier. Il est rare, mais il est là et heureusement, autrement pourquoi vivront nous ?
Enfant, mon plus grand bonheur était de jouer avec mon frère, il arrivait toujours à me faire rire. C’était mon grand frère, je le vénérais. Je trouvais aussi du bonheur lorsque l’on se rassemblait pour manger tous ensemble, même si ce n’était pas grand-chose. Lors de ses repas nous étions une famille et nous étions ensemble.
Après la perte de mon frère je rigolais beaucoup moins, mais je trouvais du bonheur dans les enseignements de mes parents en ce qui concernait les plantes et les soins. J’aimais apprendre de nouvelle choses, j’aimais l’idée que je pourrais les utilisées pour venir en aide aux autres, mais c’était surtout le temps passé auprès de mes parents qui me plaisait.
Aujourd’hui, je trouve le bonheur en recréent les gestes que j’ai appris, en regardent des frères et sœurs se chamaillant dans la rue. Ou simplement lorsque cet homme qui travaille près de moi dans les vergers sourit pour me redonner du courage, auquel je réponds par un sourire. Ces moments-là où l’on se soutient l’un et l’autre, parce que l’on sait que la vie est dur, mais qu’ensemble en se serrant les coudes, elle peut semblait moins dur que seul dans son coin.

➺ QUE PENSES-TU DE L'ORGANISATION DE PANEM (DISTRICTS/CAPITOLE) ?

Nous leur fournissons nourriture, technologie, vêtements et même le divertissement en leur donnant des tributs. La Capitole n’a donc pas à se plaindre, ils ne sont peut-être pas tous riche et populaire, mais ils n’ont pas à craindre pour leur vie ou celle de leur entourage lors de la Moisson. Ils n’ont pas le risque de mourir de faim ou de froid tous les ans…
Nous les districts nous leur fournissons tous. Et en échange ? Nous avons à peine de quoi manger pour nous maintenir en vie. Nos vêtement sont les même à partir du moment où l’on cesse grandit, car nous n’avons pas les moyens de nous en offrir d’autre. Et nous sommes obligé de regarder les nôtres mourir sur les grands écrans mit en place à l’occasion des jeux.
Voilà comment je vois l’organisation de Panem : nous les Districts somme le bétail qui fait vivre le Capitole.

➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ?

La Moisson ? Elle provoque de la peur, elle varie selon l’âge et celui de ton entourage, mais la crainte de la Moisson est toujours là. Enfant, je craignais de voir mon frère partir… Cette crainte c’est vérifier. Plus tard, lorsque mon nom était dans l’urne, c’était la crainte d’entendre mon propre nom dans les haut-parleurs ou alors celui d’un de mes amis/camarades de classe. Lorsque ma dernière Moisson fut passé, je me pensé libre de la peur de cette dernière. Là encore je me trompais….
Maintenant, je ne crains certes plus d’être appelé, mais plutôt de croisé la famille d’un tribut, car je sais ce que c’est d’être de l’entourage, ce que l’on ressent, ce que l’on pense… Je crains aussi de voir partir l’un des enfants que j’ai pu soigner ou alors le fils/la fille d’un de mes patients. Ou tout simplement, un enfant que je connais parce qu’il est mon voisin, parce que l’on a travaillé dans les mêmes vergers…
Je pense que quelques soit l’âge que j’aurai, la composition de mon entourage. Je craindrais toujours la Moisson, seules les raisons différeront…

Je viens d’un milieu défavorisé, ainsi, pour moi, la nourriture me permet d’avoir l’énergie de travailler. En vue des règles actuelles et de mon âge, mon nom n’a aucun risque d’être tiré au sort. J’exerce le métier de cueilleuse dans les vergers et pour tout vous dire, ce n’est pas ce que j’aurais choisi, mais j’y trouve un plaisir. Je suis aussi guérisseuse officieusement grâce à des connaissances accumulées. Je suis dans le 11ème district. Ayant 24 ans, je ne peux plus participer au Hunger Games ou j’ai perdu un frère. Enfin, j’atteste qu’en créant ce personnage, j’accepte de le livrer à la barbarie des jeux s’il est tiré au sort.

tell us your story.

Huit ans, ils avaient attendu huit ans avant de donner vie à un second enfant. Après leur ainé Raphael, c’était au tour d’Elizabeth d’agrandir la famille Jonkler pour la plus grande joie des parents. Le bébé avait une peau claire et crier a plein poumons dans la petite maison qui abrité la famille, c’était la première fois qu’ils l’entendaient, la première fois d’une longue liste.

6 ans, c’est l’âge que j’avais alors, je riais à gorge déployer, je rigolais tellement que j’en avais les larmes qui coulé sur mes joues. La raison ? Mon frère avec qui je me chamaillais. Celui-ci avait 13 ans et il adorait me chatouiller dans le but de me faire rire.
La vie à la maison Jonkler n’était pas des plus faciles. Mes parents travaillaient énormément pour que tous nous puissions manger. Malgré cela Raphael avait déjà aidé à deux récoltes pour pouvoir ramener un peu plus d’argent au foyer. Pendant ce temps je courais dans les vergers sous l’œil attentif des miens, je ne pouvais rester seule à la maison et j’étais trop petite pour atteindre les fruits et pouvoir donner un coup de main. Heureusement le reste du temps j’étais à l’école avec mes camarades.
Notre vie n’était pas parfaite, mais nous nous en contentions, nous étions heureux et pour le moment la Moisson nous était favorable, bien que seul mon ainé y fût concerné pour le moment et que mes parents arrivaient à se débrouiller pour qu’il n’est pas à prendre de Tesserae. Alors pendant le peu de temps libre que nous avions, rire n’était pas déplacé.

J’ai 9 ans. Les haut-parleurs grésillaient légèrement pendant que l’hôtesse du Capitole pioché le bout de papier dans l’urne pour donner le nom du second tribut du district.
"Et le représentant mâle sera donc…" C’est alors qu’elle ouvrait seulement le bout de papier. Le suspense était ça marque de fabrique, mais dans la population du 11ème, se suspense était maudit. "Raphael Jonkler". Notre pire crainte venais de se réalisé, la main protectrice de mon père qui est sur mon épaule se crispa, j’entendis le crie déchiré de ma mère avant que celle-ci se ressaisisse. Moi, j’étais figeait, même si je l’aurais voulu, je suis sûr qu’aucun de mes membres n’aurait répondu à mes ordres.
Je regardais mon grand frère, celui que j’aimais tant, celui que j’admirais. Il était en train de monter sur ce fichu estrade de malheur. Je voyais ses mains qui se serrer pour essayer de stopper le tremblement qui les animées, je voyais aussi le sourire de l’hôtesse qui l’accueillais sur scène. Je maudissais ce sourire.
C’est après que ma mère m’ai prise la main pour m’emmener avec elle que je repris le contrôle de mon corps. On se dirigeait vers l’hôtel de ville, les gens s’écartaient sur notre passage, comme si nous avions une maladie qui les contamineraient au moindre contacte. Leur regard était compatissent pour certain, dans d’autre on lisait de la pitié.
A présent nous attendions devant une porte. Mon père s’accroupie alors à ma hauteur, me prit le visage entre ces mains. "On va voir ton frère avant son départ. Tu lui diras tout l’amour que tu as pour lui, n’hésite pas, on ne sait pas ce qu’il se passera après" Il passa une main dans mes cheveux et m’embrassa sur le front. Dans son regard j’avais pu lire toute la tristesse qu’il ressentait en cette instant, mais je ne trouvais pas les mots pour l’apaisé. Je devais déjà contrôler la mienne.
La porte s’ouvrit quelques minutes après et l’on nous conduisit vers mon tendre frère. Ce fut nos derniers instants ensembles. Les derniers instants de la famille Jonkler et de ces quatre membres…

J’ai 11 ans. Nous avions eu 1 an de répit après que la Moisson et les jeux nous ont enlevé Raphael. Mais à présent j’avais l’âge pour être parmi les autres enfants à attendre de savoir à quelle sauce nous seront mangé. Ce n’était plus la même hôtesse, mais celle-ci commençait aussi par les filles. Tant mieux, le supplice serait donc moins long pour moi et pour mes parents.
Oui, mes parents… Ceux-là même qui m’avais aidée à être la plus présentable possible ce matin, ceux-là qui m’avaient serré dans leurs bras de longues minutes avant de partir. Ils ne voulaient pas me perdre, je l’avais vue dans leurs yeux. Je ne voulais pas les abandonnés, le départ de Raphael les avait déjà assez détruit et si je devais aller aux jeux à mon tour, je ne serais dire si ils y survivraient.
Ca y est, le nom du tribut femelle venait de raisonner dans les haut-parleurs, ce n’était pas le mien. Je regardais alors une fille se détaché du groupe pour rejoindre la maudite estrade. Je compatissais, je ne pouvais faire gère plus.
Les premiers étais finit, j’en avais encore 7 à vivre.

J’ai 18 ans, je suis auprès de ma mère qui est malade depuis des mois et malgré nos connaissances dans le domaine nous ignorons de quoi elle souffrait. En ce mois de Mars, il me reste une Moisson a passé, mais tout indiquer que ma mère n’aurait pas le plaisir de voir son enfant vivre si je réussissais une nouvelle fois l’épreuve.
De ces derniers mois, elle n’avait jamais été aussi mal. Nous n’avions pas de quoi permettre à un véritable médecin de l’ausculté. Avec mon père nous avions fait de notre mieux pour la soulagé de son mal, nous nous étions relier auprès d’elle lorsque l’on pouvait se le permettre, mais on arrivait à la fin. Nous le savions et ma mère aussi. Je me trouve assis près d’elle sur son lit, main dans la main avec elle. Mon père est de l’autre côté. Après quelques heures de veille les yeux de ma mère se fermèrent à tout jamais.
Nous ne serons jamais de quoi elle est décédé, mais une pensé c’est alors installé dans ma tête. Si un habitant du Capitole aurait eu la même chose il aurait su à quoi s’attendre. Il aurait peut-être même pu être soigné, dans tous les cas, il aurait moins souffert. Mais nous, habitant du district, nous regardons les nôtres s’affaiblir et mourir dans la souffrance, dans l’ignorance…

Aujourd’hui j’ai 24 ans. Mon père est décédé il y a quelques mois, je n’ai rien pu faire, son état s’est dégradé tellement vide. Je suis resté dans l’impuissance, je ne pouvais même pas calmer la douleur. Tout ce que je pouvais faire, c’était de vidé les bassines de ses crachats sanglent et être là pour l’accompagné, lui tenir la main.
Il était le dernier des miens, il était le seul à m’avoir vue passé l’âge des 19 ans sans être une seule fois appeler lors de la Moisson. Après le décès de ma mère nous étions restées ensemble, nous nous battions ensemble face à la faim et le froid. Nous travaillons ensemble dans les vergers, nous étions plus que nous deux, nous avions pour devoir de prendre soins l’un de l’autre.
"Prend soins de toi ma fille… . Ne nous oublie jamais et nous vivrons tous les trois à travers toi." Un mince sourire s’afficha alors sur les lèvres de mon père. Cela faisait cinq jours qu’il avait eu ces premiers crachats ensanglantait. A présent il vomissait du sang et il n’y avait pas besoins de nos connaissances à tout deux pour savoir que c’était mauvais signes. Je déposais alors un baisé sur le front de mon père comme il avait l’habitude de le faire depuis mon enfance.
"Je te le promets" Je suis resté front contre front avec lui quelques minutes avant de devoir aller à mes obligation. Je n’avais pas le choix de le laissé seul même si cela m’arracher le corps. C’était les récoltes, toutes personnes valides devaient aller aux vergers sous peine de punition.
Lors de mon retour, mon père était parti, seul, sans soutient pour l’aidée a affronté l’obscurité et cela parce qu’il fallait nourrir le Capitole.

Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay