| Sujet: alex ⚡ cet espoir n'était qu'une illusion. Dim 12 Jan - 19:22 | |
| alexandre montgomeryj'ai pas grand chose mais j'm'en contente. « Alexandre Andrew -deuxième prénom qu'il hérite de son grand père paternel- Montgomery, âgé de 22 ans, vit et travaille dans le district 12. 1m88, blond, yeux bleus. Il n'habite pas dans les quartiers aisés mais dans les basses habitations du district avec sa famille, mineur comme bien des hommes, il exerce cette profession six jours sur sept et ce, depuis ses 18 ans. Décrit comme débrouillard, colérique, bricoleur, poli et assez ponctuel. Père de deux enfants de moins de trois ans. Marié à Lily Montgomery, née Angara. Père décédé et mère incapable de travailler, soeur disparue on ne sait où, jeune frère mort aux 73th Hunger Games. » C'est ce que le Capitole sait de moi, les informations qu'il possède sont minimes, mais c'est déjà ça.
Je pourrais ajouter que je m'attache trop facilement aux personnes, que je ne suis pas très méfiant envers l'inconnu, que je sais tendre des collets et que j'accorde vite ma confiance. Je n'aime pas me juger, je ne mens pas souvent et suis indécis lorsqu'il faut faire des choix. Je sais installer des collets dans lesquels le petit gibier vient se prendre, je faisais ça pour apporter un peu de viande. De temps en temps, avec Siska. Avant tout ça... J'ai une sacrée tendance à reporter ce que je peux faire maintenant à demain. Affreuse manie ! Je ne supporte pas l'hypocrisie, surtout quand quelqu'un vient nous voir à la sortie de la mine, alors que nous essuyons nos visages devenus noirs de poussière, et qu'il nous dit "j'admire votre courage, blablabla, vous êtes honorables de descendre là-dessous, tralala...". Non ! Autant ne pas faire le déplacement si c'est pour débiter des paroles toutes faites ! Les personnes obstinées à ne rien comprendre, je me demande parfois si leur tête n'est pas creuse.
Les gens du Capitole attendent toujours avec impatience les moissons. Ils parient sur les joueurs, ils les soutiennent ou les raillent, envoient une pauvre allumette mouillée pour voir combien de temps le tribut pourra se réchauffer avant de mourir de froid, assistent à la mort de 23 personnes chaque année et en redemandent toujours plus... Encore des morts ! Encore des Vainqueurs à admirer ! De toute façon, ce sont les districts qui fournissent les tributs ! Ils n'auraient pas cet empressement et cette fascination pour les Jeux si leurs proches leurs étaient ainsi arrachés. Avec trois minutes pour leurs dire adieu. Je crains le Capitole, mais je brûle de ce désir de vengeance ; je pense qu'une deuxième révolte aboutirait exactement comme la précédente. Nous lançons un assaut, il lance une bombe. Il nous balaye sans difficulté et un flot de Pacificateurs descend de leurs hovercrafts. Et nous, on balaye les cadavres. On connait déjà l'issue du combat. about games and relative.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Jeté dans l'arène à douze ans, Josh est mort parmi les premiers, juste à la corne d'abondance. Il n'a pas du faire cent pas qu'il était à terre. Lui chuchoter qu'il reviendrait Vainqueur aurait été juste ironique. C'était très clair pour Siska, je devais me porter volontaire comme tribut : je sauve la vie de notre petit frère et je meurs quelques jours plus tard, tout seul et loin de ceux qui comptent pour moi. Mais j'ai pas bougé quand il est monté sur l'estrade. C'était tout à fait impossible, mon corps ne répondait plus à mes ordres. Et puis, se porter volontaire pour un aller sans retour au Capitole, se faire décapiter par un tueur préparé et réexpédié chez soi dans une boîte en bois, coupé en petits morceaux... Je ne sais pas qui ça réjouit, mais pas moi ! "La dévotion familiale montre ses limites le jour de la moisson" ? Je n'ai juste pas réussi à bouger. Et à crier "Je me porte volontaire !" C'est tout...
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? Cette boucherie nous rappelle qu'on appartient au Capitole. Qu'il nous maintient en vie parce qu'il en a envie mais qu'il peut la stopper dès qu'il veut. Ça ne me montre qu'une chose, qu'on "offre" des enfants pour que le divertissement. C'est un sacrifice qu'on nous force à regarder, comme si perdre un proche ne suffit pas, il faut que sa mort soit filmée et qu'on en fasse une émission. Mais le pire, c'est qu'on mise sur eux, leurs capacités à tuer et leur instinct de survie. Comme pour des chevaux de course. Et que certains en raffolent... Plus aucune personne de mon entourage est éligible, je devrais mieux le prendre ? Si seulement il n'y avait que moi.
QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ? Les districts ont essayé de se rebeller et ils se sont faits écraser par les forces de l'ordre. Ils n'étaient pas assez nombreux, pas assez forts et il faut dire que les Pacificateurs sont toujours plus nombreux, on se fait vite dépasser par le nombre. Puis engloutir par la masse d'uniformes blancs. Les rebelles se battent pour leurs idéaux et même si je suis d'accord sur quelques points, je ne me vois pas les rejoindre...
➺ QUE PENSES-TU DES VAINQUEURS DES JEUX ? Les anciens carrières dont l'objectif était de massacrer le plus de gens possible pour ensuite devenir riche et célèbre, sont-ils vraiment heureux de l'être ? Evidemment, qu'on plantera son couteau dans la gorge de l'autre si sa vie est en jeu, mais en être satisfait... Le tribut qui devient vainqueur grâce à sa ruse et son habileté, je serai content pour lui, parce qu'il n'avait peut être pas envisagé un retour chez lui. Dans tous les cas, ce sont des personnes qui ont vu la mort en face ou qui l'ont provoquée, c'est courageux. Je ne me serai pas forcément remis de la mort de mon allié... Des tributs deviennent tarés, ils ne supportent pas ce lugubre spectacle. Mais les vainqueurs ont cette force. Ou font semblant de la posséder.
➺ QUEL EST TON OPINION SUR LES PACIFICATEURS, LEUR ROLE, LEUR COMPORTEMENT ? Ils font leur métier comme je fais le mien. Il y a des Pacificateurs qui ne le sont pas vraiment, ils posent deux trois limites et se tiennent bien droit dans leurs uniformes immaculés. D'autres prennent plaisir à torturer dès qu'ils tiennent quelqu'un. On m'a raconté des histoires affreuses de rebelles qui se font tuer lentement par des Pacificateurs, mais je n'ai jamais vérifié. Ce qui est sûr, c'est qu'ils sont les toutous dociles du Capitole ; ils obéissent aux ordres, ils fouettent pour un dindon, ils n'hésitent pas à tirer sur la foule. Je le ferais peut être si j'en étais un. Mais je n'ai pas choisi cette voie si... spéciale.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est loin de tomber du ciel. DU COUP, MON NOM A zéro CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE mineur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'le fais parce qu'il faut manger. JE SUIS DANS LE 12ÈME DISTRICT. AYANT 22 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je n'apprécie pas les Jeux. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
Quand j'étais petit, je m'estimais chanceux d'avoir un père, une mère, une soeur et frère. L'école me plaisait et j'avais des amis sympathiques. Une illusion qui aurait pu durer longtemps si papa n'avait pas été englouti dans la terre lors d'une explosion à la mine. J'avais douze ans à l'époque, et j'ai bien compris la gravité de ce vide. À partir de cet événement, maman cessa de s'occuper d'elle comme il fallait. Et de nous, ces trois enfants, tant qu'à faire. Elle semblait absente, le temps aurait pu s'arrêter, elle ne l'aurait peut être pas remarqué. Nous avions grand peine à nous nourrir convenablement. Finalement, après avoir franchi le grillage et Siska et moi tentions de chasser. Elle maniait l'arc, je tendais quelques collets, dans l'espoir de pouvoir ramener du petit gibier. Nous avons subsisté comme ça, pendant plusieurs années. Mon jeune frère venait d'atteindre l'âge requis pour participer aux Hunger Games. Dans deux ans, j'en étais épargné. Pour ma soeur, c'était encore dans quatre ans. Encore six ans à trembler pour ma mère, si elle s'en rendait compte, que nous grandissions. Lors de la moisson des 73th Hunger Games, dans le district douze, la jeune fille choisie, je ne la connaissais pas. Le tribut mâle vivait sous le même toit que moi. A seulement douze ans, on lui volait son avenir, Josh était condamné à mort. Je n'arrivais plus à bouger, immobile devant cette effroyable hasard. J'aurais dû m'élancer dans l'allée en hurlant que j'étais volontaire. Que je le sauvais pour un an d'une arène sanglante. Mais je n'ai pas fait le moindre petit geste. Il est monté sur l'estrade, je le voyais et quand on demanda un volontaire, mon coeur s'arrêta. Était-il lui aussi paralysé ? Après un silence glacé, qui me paraissait accusateur, les lourdes portes se refermèrent sur mon frère. Nous faisions désormais partie d'une autre monde.
Tandis que ma mère se perdait encore plus que d'habitude, ma soeur se mis à me détester plus que jamais. Pas une dispute de quelques heures, presque de la haine. Je le ressentais ainsi. Comme si c'était moi qui avait tiré le papier portant son nom. Je n'ai même pas osé aller lui dire adieu, rien que le voir... Je suis un lâche qui ne bouge même pas le petit doigt quand son frère va se faire assassiner. Qui assiste sans protester à son départ vers l'enfer. Le premier jour des Jeux. On lâchait les tributs devant une montagne d'armes. Josh n'a pas fait cent pas qu'il tomba à terre. En quelques coups, son sang se répandait au sol. En quelques minutes, il était mort. Obligée de regarder l'écran, ma mère eut un déclic. Elle me chassa de la maison, m'ordonnant de ne pas y remettre les pieds.
À la télé, on voit Josh qui tombe à genoux, blessé, mais il ne pleure pas. Il s'effondre et son assassin lui assène encore des coups avec son arme, encore et encore. Dire que sur ce vieux poste, j'essayais de regarder des documentaires quand il y avait un peu d'électricité... Et que c'est la mort de mon frère que je regarde, presque en direct. Si seulement c'était un film qu'on pourrait rembobiner, qu'il revienne et ne participe pas à ce carnage, qu'il soit là... Honteux de l'avoir laissé partir à l'abattoir sans sourciller, je deviens livide, recroquevillé sur le canapé usé de notre salon. Ma mère ouvre la bouche. Je m'attendais à des sanglots impossibles à arrêter. Mais ce qui arrive est tout à fait inattendu. Son ton est froid et horriblement neutre. « Déguerpis. Ne cherche pas à revenir, après ce que tu as fait. » Après ça, elle redevient silencieuse. Il ne me reste plus qu'à filer avant qu'elle ne reprenne une nouvelle fois ses esprits... Je me lève et marche d'un pas raide, emporte quelques petites choses qui me sont chères, que je fourre dans un sac. Deux trois habits. Je ne me permets pas d'emporter le moindre quignon de pain, elles seront deux à la maison, et il ne sera pas de trop. Je ne mérite pas de piocher dans leurs maigres ressources... Quand je suis dehors, il pleut et en un quart d'heure, je suis trempé. Je n'ai plus de chez moi ni d'endroit sec où me réfugier. Je suis fatigué d'errer et quand cette cabane en bois est à une cinquantaine de mètres devant moi, et que je me rappelle qu'elle est inhabitée. Je cours vers elle, comme si elle allait disparaître. Quand j'y pénètre, je m'écroule par terre et ferme les yeux. Dans cette cabane, il n'y a ni douche ni nourriture ni lit, absolument rien à part quatre murs qui soutiennent un pauvre toit.
C'est une amie d'école Siska qui me repère, comme je ne rentre pas vers chez moi. Je me dirige vers mon abri. Je sais comment elle s'appelle parce que ma soeur en avait parlé plus d'une fois à la maison. Lily Angara, elle habite dans le quartier riche du district. Je l'ai observée plus d'une fois quand j'étais à la cantine, à toujours cinq tables de distance ; je la trouvais jolie et très inaccessible. Je l'admirais discrètement, Je suis surpris qu'elle me remarque, elle, la fille qui ne devrait pas s'intéresser au banni que je suis. Un jour, alors que l'école ferme ses portes, je pars discrètement vers mon refuge. J'ai faim mais je n'ai que le bois des murs à manger. Mais si je le fais, le toit me tombera sur la tête. Même ça, j'peux pas l'envisager. Soudain, quelqu'un toque à la porte. Qui peut bien savoir où je me trouve ? Le coeur battant, j'ouvre et découvre Lily. Elle me tend un petit sac, il y a des fruits dedans. Un pain aussi. Je ne sais pas quoi lui dire. Elle me sauve la vie, je suis en train de mourir de faim depuis quelques jours. Quand je la remercie, je bégaie. « Mer-Merci... ». Elle fait mine de dire "chut" avec son index et me sourie. Elle se détourne et je baisse les yeux sur ce qu'elle m'a apporté. Ce soir là, je dévore plus de la moitié de mes provisions. Je tiens trois jours mais ça recommence, la faim me tenaille et je me sens mal. Un après midi, elle revient. Cette fois-ci, je veux lui parler. Alors qu'elle fait mine de partir, je la retiens en l'attrapant par la main. Elle est toute douce. « Pars pas ! S'il te plaît. ... Pourquoi tu fais ça ? J'veux dire, t'es pas obligée... » Elle me regarde, et raconte que ma soeur lui a expliqué que je ne vivais plus avec elle et notre mère, que je vivais sûrement dans un endroit miteux. J'aimerais qu'elle reste parce que sa présence me fait du bien, mais elle doit partir. Ses parents l'attendent... Si je pouvais en dire autant ! Mais elle me promet de revenir. À l'école, je ne jette plus de regards en coin pour la voir, je ne me cache plus, j'arrive même à lui parler. Elle passe régulièrement me donner à manger, à boire, une couverture et même un petit matelas, ce qu'on utilise quand on campe sous tente. On parle de plus en plus, elle me dit qu'elle n'a pas le droit de m'approvisionner ainsi mais qu'elle le fait parce qu'elle tient à moi. Je suis touché.
Ses parents finissent par apprendre qu'elle nourrit à leurs dépends un garçon de son école. C'est Lily qui leur avoua. Elle est trop gentille pour mentir. Mais je ne lui en veux pas, et quand elle me dit qu'ils voudraient que je les rencontre, je lui réponds qu'il n'y a pas de problème. Ils se montrent agréables, et veulent savoir qui je suis. Je suis bien obligé de m'excuser pour ce qu'a fait Lily, et j'appuie bien sur le fait que c'est de ma faute. Il ne faut pas lui en vouloir, elle a juste aidé un garçon, par pure gentillesse. Je reste pour le dîner (et me retient de ne pas me resservir une quatrième fois). Quand ils me demandent où j'habite, j'hésite. Autant dire la vérité. Je réfléchis. "Je vis seul dans une cabane depuis que ma mère malade m'a chassé de chez nous." Je me lance. À la fin, ils me proposent un lit. Je ne peux pas refuser, je dors sur le matelas qu'elle m'a apporté et mon oreiller est mon sac. Je pensais remballer mes affaires le lendemain, mais ils me disent de rester autant de temps qu'il faudra. Ils sont si généreux. Et vivre si près de Lily, manger à sa table... On se rapproche au fil du temps, un soir, je lui demande si elle veut devenir ma petite amie. Elle accepte et ça me rend si heureux ! Tout ça dure quatre ans. Ça fait quatre ans que Josh est tombé aux Hunger Games. Que je vis chez les Angara. J'ai vingt ans maintenant. Elle en a dix-huit. Elle a échappé aux Jeux. Si chanceuse, si chère à mes yeux, je l'aime tellement. Je me jette à l'eau un soir d'été, alors qu'il y a un soleil orange et que nous allons bientôt nous coucher. Je lui demande si elle veut m'épouser, moi, un homme qui l'aime plus que tout, moi, un simple mineur. Je n'ai pas de fabuleuse pierre à lui offrir en gage de mon amour, ni de bague au prix monstrueux, je tends juste ma main vers la sienne. Celle que j'ai attrapé un jour, celle que j'ai trouvé si douce. Elle me répond en souriant ; « Depuis le temps que je t'attends ! Bien sûr que oui ! ».
Le district nous a accordé une maison, je travaille toujours à la mine, et nous avons une petite fille. Charlie, rejointe par son petit frère, il y a peu. Maxime et Charlie Montgomery sont ma vie. Ma raison de vivre, pour eux, pour qu'ils aient un père. Lily et moi nous entendons toujours aussi bien. Les enfants sont encore jeunes, ils ne craignent pas la Moisson. Mais bientôt, nous devrons trembler, comme tous les parents qui ont peur pour leurs enfants. Mais nous sommes deux. C'est peut être ça qui a brisé ma mère autrefois. J'ai revu ma soeur Siska, elle m'a dit « Je ne te pardonnerai jamais, mais fais en sorte que tes enfants n'y aillent pas. » Je sais qu'elle rendait visite à Lily et aux enfants quand je travaillais mais elle n'est venue me voir qu'une fois, puis pouf, disparue. Je sais que je dois me battre pour que mes enfants ne meurent pas là bas comme Josh. Une fille et un garçon, aucun des deux ne pourra se porter volontaire pour l'autre. Je ne permettrai pas qu'on m'arrache une partie de moi-même. Pas encore ! Pourquoi détruire les gens et leur faire croire qu'on les protège ? Ce ne sont pas les enfants innocents qui doivent payer ! Il n'y a rien à payer. Et sinon, la dette est largement remboursée. Je sais qu'il faut que je m'inquiète pour l'avenir de mes enfants, mais ils sont si jeunes, j'ai encore le temps... Non ?
reality is here.
Bonjour, tu es qui ? Je ne sais pas... je crois que je m'appelle Elodie. Faut que je vérifie. :study: D'où tu viens ? D'Alsace. Le livre, tu l'as lu ? Les trois, chef ! Et tu l'aimes, non ? Bien sûr. Le forum, à la hauteur de tes attentes ? (: C'est exactement le forum que je cherchais ! Il est magnifique. FEATURING alexander ludwig © COPYRIGHT frostingpeetaswounds.tumblr
Dernière édition par Alexandre A. Montgomery le Dim 2 Fév - 19:30, édité 30 fois |
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