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fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
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| P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 14:05 | |
| pryam ellana monroe❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Moi c'est Pryam Ellana Monroe, mais je préfère que l'on m'appelle Pryam ou Pram'. Je suis âgée de dix-neuf ans, ce qui fait donc de moi l'ainée de la famille. Nous habitons au district du charbon, c'est-à-dire au District Douze depuis toujours et même si j'y suis malheureuse, je ne le quitterais pour rien au monde. Notre mère est morte alors que je n'avais que cinq ans, c'est donc notre père qui nous a élevés, moi et mon frère. Je ne dirais pas que ma mère me manque puisque je n'ai que très peu de souvenirs d'elle. La seule chose dont je me souviens, c'est ses longs cheveux châtain roux dont j'ai hérité. Au district, on dit que je lui ressemble énormément, mais je n'en crois pas un mot. J'aime l'idée d'être unique et de n'avoir de dette envers personne alors dire que je ressemble à ma mère me fait du mal. Je sais que mon père souffre beaucoup depuis sa mort, alors j'essaie de faire mon maximum pour subvenir aux besoins de ma famille. Étant donné que je suis la seule femme de la maison, j'essaie de m'occuper du mieux que je peux de mon frère et de mon père. De nature déterminée et impulsive, je suis une femme têtue qui ne céde devant aucun obstacle. Je pratique la chasse en secret depuis quelques années déjà afin de nourrir ma famille. Le Capitole ? Même si je le déteste, je pense que j'ai toujours rêvé d'y aller. Malgré le fait que leurs tenues vestimentaires soient parfois des plus étranges, ils vivent dans le luxe et c'est quelque chose de non négligeable pour la pauvre fille que je suis. Malheureusement, leurs tenues ne sont pas les seules choses que je désapprouve chez eux. Les hunger Games. Voilà quelque chose que je ne peux pas apprécier. Regarder des adolescents se battre jusqu'à la mort et trouver ça divertissant, je trouve que c'est... répugnant. Pourtant, j'aimerais bien y aller, dans une arène. Est-ce que je vivrais ? Est-ce que je mourais ? Si oui, au bout de combien de temps ? Qui je tuerais ? Comment je tuerais ? Qu'est-ce que je mangerais ? Tant de questions, mais c'est trop tard pour moi. J'ai dix-neuf ans. La Moisson n'est plus une source de stress. Du moins, en partie. Maintenant, c'est mon frère qui risque sa vie. Et ça, ça me terrifie. about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ? Avant que je n'ai dix-neuf ans, je voyais ma mort dans l'Arène. Je la voyais lente. Violente. Torturée. Sanglante. Il m'arrivait parfois de prendre une quinzaine de tesserae et à chaque Moisson, j'étais persuadée que ce serait mon nom qui serait tiré au sort. Mais ça n'a jamais été le cas. Je dois bien l'avouer que je me laisse désormais espérer avoir une longue vie. Et donc une belle mort. Peut-être que je serais veille et toute ridée ? Ce serait mon rêve de vivre jusqu'à soixante-dix ans au moins. Mais avec la qualité de vie que j'ai au District 12, je m'estime déjà heureuse de vivre jusqu'à mes trente ans...
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Pour ma famille, sans aucune hésitation, mais en particulier pour mon frère. Si lui et moi avions été du même sexe, je n'aurais pas hésité une seconde si jamais son nom avait à être tiré au sort. Mais ce n'est pas le cas. J'ai dix-neuf ans et j'ai échappé aux Jeux de la Faim. Mais pas mon frère. Son nom peut encore être tiré au sort, je le sais. Mon père le sait. Je m'efforce chaque jour de chasser et de rapporter de la nourriture à la maison afin qu'il ne prenne pas de tesserae, mais en vain. Il est bien trop têtu et il n'en fait qu'à sa tête. Comme d'habitude...
➺ QUEL(S) PETIT(S) PLUS T'AIDE(NT) DANS LA VIE (OU LES JEUX) ? Si j'avais été dans les jeux, ce serait sans aucune hésitation le maniement d'une arbalète. Bien que j'habite au District Douze, j'ai la chance de posséder cette arme très coûteuse. Elle appartient à notre famille depuis des générations et malgré le fait qu'elle soit très usée, elle est particulièrement meurtrière. Pratiquant la chasse depuis quelques années déjà, je suis devenue au fil des années une pisteuse remarquable.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? Comment apprécier de voir de jeunes adolescents s'entretuer ? Les Jeux de la faim sont synonymes de barbarie et quiconque les approuve est considéré comme fou ! Bien qu'il me soit arrivé quelquefois de vouloir y participer, je n'ai jamais pu apprécier le visionnage. Le pire, c'est lorsque les familles des participants regardent les jeux. Voir l'horreur, la déception et la peur sur le visage, c'est quelque chose d'atroce que seul le Capitole peut apprécier.
➺ COMMENT QUALIFIERAIS-TU TA VIE DANS TON DISTRICT ? EN ES-TU SATISFAIT ? Même si ma vie au District Douze est difficile, je n'échangerais ma place pour rien au monde. La vieille maison dans laquelle je vis depuis toujours, c'est celle que mes grands-parents ont construite. C'est celle dans laquelle mon père a grandi. Cette boulangerie près de la place, c'est celle où ma mère aimait m'emmener quand j'étais petite. Et cette forêt derrière le grillage électrifié, c'est celle où mon père et moi chassions. Le District Douze, c'est la seule chose que je connais et même s'il est difficile d'y vivre à l'aise, je l'aime bien ce district. L'odeur du charbon, la poussière noire qui se dépose toujours sur la fenêtre de la pièce à vivre, c'est mon quotidien. Et le quitter serait en quelque sorte une injustice envers mes ancêtres. Alors même si je vois parfois des enfants mourir de faim dans les rues -bien que la faim ne soit jamais la raison officielle des décès-, je suis fière de dire que je viens du District Douze.
➺ COMMENT TE SENS-TU QUAND LE TEMPS DE LA MOISSON ARRIVE ? Mal. Et celui qui dit le contraire ne peut être qu'un futur volontaire. À l'époque où mon nom risquait encore d'être tiré, j'étais littéralement terrorisée. C'était à peine si j'arrivais à me rendre sur la grande place. Mais aujourd'hui, c'est différent. Tout est différent. Mon père reste apeuré à l'idée de voir son fils partir pour l'Arène, moi je ne suis simplement plus que l'ombre de moi-même. Il est difficile de se dire que son propre frère pourrait un jour se trouver au centre d'un carnage. Et s'il gagnait, ce serait pire que de le voir mourir. Parce que ça voudrait dire qu'il aurait tué quelqu'un, ce qui est inimaginable pour moi. Et pour lui aussi d'ailleurs. À chaque Moisson, je le vois paniquer et moi, je me sens responsable parce que je n'ai plus à avoir peur pour ma vie.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE se fait très rares. DU COUP, MON NOM N'A aucun RISQUE D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE chasseuse ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime beaucoup. JE SUIS DANS LE 12ÈME DISTRICT. AYANT dix-neuf ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'en suis heureuse. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
reality is here.
Bonjouuur ! Moi c'est Vanessa et j'ai bientôt dix-sept ans. Le forum ? J'le connais depuis longtemps, mais j'ai jamais osé m'inscrire. Pourquoi vous rejoindre aujourd'hui ? Aucune idée, c'est peut-être parce que j'ai commencé à re(re-re-re)lire Hunger Games hier soir ? M'enfin bref, je suis contente d'avoir osé faire le grand saut pour vous rejoindre aujourd'hui !
FEATURING Tracy Spiridakos © COPYRIGHT perrykelvins.tumblr |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 14:05 | |
| tell us your story. « Mesdames et Messieurs, j’ai l’honneur de vous présenter la gagnante des 70 ème Hunger Games, Pryam Monroe ! »
Tes mains tremblent. Tes lèvres aussi. Tu sens des larmes rouler sur tes joues, mais tu ne les essuies pas. Tu es comme pétrifiée de peur. Tu ne sais plus quoi faire. La voix qui résonne dans les hauts-parleurs te semble lointaine. Presque inaudible. Et pourtant, tu l'as parfaitement bien entendu, cette voix. Tu es la gagnante. Tu viens de remporter les Hunger Games. Tu viens de vaincre les vingt-trois autres tributs. Tu viens d'assurer pour toujours le confort de ta famille, mais aussi celui de ton District. Est-ce un rêve ? Tu n'en as pas l'impression. Tu restes sur ta branche encore quelques secondes avant de sauter au sol. Ton arbalète dans la main, tu t'approches lentement du corps du garçon que tu viens de tuer. Son visage t'est familier. Normal, il vient de ton district. En fait, tu viens d'assassiner ton propre frère. Tu t'écroules au sol, lourdement, juste à côté du corps. Et de ta voix la plus brisée, tu hurles toute la rage que tu t'es forcée jusqu'à maintenant de contenir.
« NON ! » Je me redresse en sursaut, trempée de sueur. À la limite de l'halètement, je cherche à taton mon frère. Lorsque mes doigts se replient sur son bras, je me sens étrangement rassurée. Mais mon apaisement ne dure pas longtemps et très vite, je me remets à trembler. Comme je ne veux pas le réveiller, je glisse rapidement mes jambes hors du lit deux places que nous devons partager, faute de moyens. Je referme la porte de notre chambre. Comme la maison n'est pas grande, j'essaie d'être la plus silencieuse possible lorsque je mets de l'eau à bouillir dans une veille casserole. Je tire une chaise qui est dans un état lamentable et m'écroule littéralement dessus. Je prends ma tête entre mes mains et retiens mes larmes autant que je le peux. « Pram' ? Qu'est-ce que tu fais ? » Je sèche mes joues du revers de la main et me tourne vers mon frère. J'ai dû être trop bruyant, moi qui ne voulais justement pas le réveiller... « Kenny, tu dors pas ? » Il esquisse un rapide sourire alors qu'il retire l'eau du feu. Je le regarde sortir du placard deux tasses pour y verser l'eau. Je prends celle qu'il me tend, la bois lentement. Pendant quelques secondes, nous restons silencieux et savourons le moment. Deux frères et soeurs réunis dans un moment de paix. Sans angoisse ni soucis. « Il est parti où, papa ? » Je redresse rapidement la tête, serre les lèvres et fronce les sourcils. Comment lui dire que papa est parti se saouler quelque part ? Qu'il ne rentrera pas avant le levé du jour et qu'encore une fois, il ne le verra pas avant dix-sept heures ? J'ai envie de lui dire la vérité. J'ai envie de lui dire que notre père nous abandonne chaque jour et qu'il laisse le sort de notre famille entre mes mains. Mais à la place de ça, je souris et sors un mensonge. « Il est parti chasser, comme ça on aura du lapin pour ce soir. » Je crois qu'il sait que je mens. Après tout, il ne faut pas être stupide pour savoir que papa a arrêté la chasse il y a des années. Mais comme il ne veut pas me blesser, il se contente d'hocher la tête et de sourire. Le pauvre, il me fait de la peine. Kenny est un garçon gentil, peut-être trop même. Il est un peu naïf et maladroit, mais il n'en reste pas moins un homme fort. Il n'a jamais connu notre mère puisqu'elle est morte de froid quelques mois après sa naissance. Il ne sait pas ce que ça fait d'avoir deux parents. D'avoir une mère. Et d'avoir un père. Depuis que maman est partie, on ne peut pas dire que notre père a toujours été là pour nous. Si au début il nous a pris en charge, il a rapidement perdu toute envie de s'occuper de nous. Mais je ne dis rien car je ne veux pas que l'on pense que notre famille est mauvaise. Alors je nous ai pris en main, Kenny, notre père et moi. J'ai profité des heures où papa était sobre pour qu'il m'apprenne la chasse. J'ai trouvé des livres qui appartenaient à notre mère et j'ai appri à différencier les plantes. Mais ça, Kenny ne le sait pas. Il croit qu'avant d'aller à la mine, notre père part chasser alors je le laisse croire ça. Au moins, il n'a pas à se soucier de ce type de problème. « Kenny, tu ne veux pas aller te coucher ? Papa va bientôt rentrer et tu ne pourras plus dormir après. Tu devrais te reposer tant que tu le peux encore. » Il se frotte les yeux et sourit de nouveau. « D'accord, mais tu me réveilles quand il rentre ? » Je souris à mon tour et acquise, même si je sais que je ne le réveillerais pas. À la place de le rejoindre, je me dirige vers l'unique commode de la maison et j'enfile un pantalon, un T-Shirt noir et des bottes marron. J'ouvre doucement la porte d'entrée et sors dans l'obscurité. Il fait froid dehors, mais ma veste est restée dans la chambre que je partage avec Kenny. Tant pis, je vais courir un peu pour me réchauffer. Et puis de toute façon, je n'ai que quelques heures pour trouver mon père, probablement saoul dans une ruelle.
* **
Une flèche siffle dans les aires et se plante à quelques mètres d'un lapin blanc. Paniqué, l'animal fuit dans la direction opposée au danger. Justement là où je veux qu'il aille. Je sors une seconde flèche de mon carquois et l'installe sur mon arbalète. Je ne cherche pas à viser la bête, au contraire. La flèche se plante à quelques centimètres du lapin qui se hâte de changer de direction. Sa patte se coince dans un collet que j'avais placé la veille et le voilà piégé. Il cherche à se débattre, mais c'est est trop tard pour lui. Je m'approche doucement de son corps et une fois à bonne distance, lui tire une flèche dans la tête. J'aurais aimé savoir viser l'oeil, mais je manque encore de précision lorsqu'il s'agit d'un corps en mouvement. Le lapin mort, je le détache et l'accroche à ma ceinture, aux côtés de deux autres rongeurs. Le vent souffle et le soleil ne va pas tarder à se lever, je me dépêche donc d'aller vérifier mes deux autres collets avant de rentrer. Comme aucun animal ne s'y ait piégé, je décide de les laisser là jusqu'à demain, en espérant que les autres chasseurs ne viendront pas me les prendre. Je vais en général trois à quatre fois par jour derrière le grillage, mais il m'arrive parfois de m'y rendre qu'une seule fois. En général, je vais chasser très tôt le matin lorsqu'il fait encore suffisamment nuit pour que personne ne me dérange. Mais comme aujourd'hui il fait plutôt froid, je n'ai pas envie de m'attarder. Et puis, Kenny va bientôt se réveiller et je ne veux pas qu'il s'inquiète s'il jamais il ne me voit pas. Je quitte donc la forêt d'un pas rapide sans prendre la peine de cueillir des baies. Il fait trop sombre pour que je puisse distinguer les fruits comestibles des fruits toxiques. Je traverse la place en courant sans pour autant éveiller les soupçons des quelques mineurs qui se rendent déjà au travail. Par chance, j'arrive à la Veine sans que personne ne me voie. Je ralentis le pas seulement maintenant, mais je reste quand même sur mes gardes. Je ne veux pas que l'on sache que je pratique le braconnage autant de fois par jour au risque de m'attirer des ennuis. « Pryam ! » Je me retourne et croise le regard de mon père. Un soupir s'échappe de mes lèvres alors qu'il vient me rejoindre. Comme à son habitude, il empeste l'alcool, mais je sais très bien qu'il est sobre en ce moment même puisqu'il doit se rendre à la mine. « Tu ne dois pas aller travailler ? » Comme ma phrase se veut plus être une affirmation qu'une question, je n'attends pas de réponse et reprend ma route. La maison n'étant qu'à quelques mètres, je me mets à courir sans même prendre la peine de me retourner. J'espère qu'en l'évitant, mon père se sentira véxé. Après tout, c'est lui qui a décidé de ne plus s'occuper de ses enfants et il mérite qu'au moins l'un d'eux ne le respecte plus. Je rentre à la maison, les joues rosies par le froid. Comme je m'y attendais, mon frère m'attend juste derrière la porte. Il me lance un faible sourire qui ne tarde pas à s'effacer dès qu'il voit les lapins accrochés à ma ceinture. Bien qu'il soit âgé de seize ans, Kenny déteste tuer. Mais comme il sait que notre seul moyen de ne pas succomber à la famine est de chasser, il fait un effort. Cependant, je sais qu'il ne m'accompagnera jamais derrière le grillage. Son talent à lui, c'est plutôt la comédie. Je ne sais pas comment il fait, mais il arrive toujours à dégager de la pitié. Du coup, dès qu'il va à la Plaque, il revient les mains pleines... Je l'ai même soupçonné une ou deux fois de voler les commerçants, mais dès que je l'ai vu à l'oeuvre, j'ai su qu'il n'en était rien. Je lui rends son sourire et dépose mon maigre butin sur la table de la cuisine. « Je vais vider les lapins, tu devrais peut-être aller te promener un peu ? » Il lève les yeux au ciel ce qui a le mérite de me faire rire. Étrangement, Kenny est la seule personne capable de me rendre heureuse. Il est le seul qui arrive à m'arracher un sourire et parfois, comme aujourd'hui, un rire. Je le regarde sortir dehors avant de reporter mon attention sur les lapins. Combien de fois encore devrais-je vider des animaux afin de pouvoir manger à notre faim ? ...
Dernière édition par Pryam E. Monroe le Mer 6 Fév - 19:47, édité 9 fois |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 14:06 | |
| Je t'aime Je t'aime c'est tout, bienvenue |
| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 14:09 | |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 14:09 | |
| Bienvenue sur MJ Omg, ce choix de vava. Et ce pseudo... Bon courage pour ta fiche J'espère que tu te plairas parmi nous. |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 14:13 | |
| Haaaaan, vous êtes beaux Merci pour votre accueil, j'sens que je vais me plaire ici |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 14:49 | |
| La bienvenue ! |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 15:52 | |
| ton avatar déboîte bienvenue ici et bon courage ta fiche |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 16:09 | |
| bienvenue par ici ! même district, même patronyme, des points en commun, je pense qu'un lien s'impose ! |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 16:32 | |
| Merci Han oui, j'avais même pas vu En plus avec Hayden |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 16:49 | |
| Bienvenue sur le forum |
| | | Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 17:16 | |
| bienvenue parmi nous et bonne chance pour la fin de ta fiche je file te réserver Tracy pour la semaine |
| | | Gemma K. Mubstin △ correspondances : 4141 △ points : 0 △ multicomptes : Ø △ à Panem depuis le : 16/04/2012 △ humeur : Floue. △ âge du personnage : Vingt-et-un △ occupation : Danseuse.
| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Dim 3 Fév - 18:05 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. | |
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| | | | P R Y A M ☞ L’espoir est la seule chose plus forte que la peur. | |
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