| Sujet: Dans ma maison de soie et d'écarlate. Lun 6 Jan - 11:39 | |
| Harmonie Dane❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Dans le fossé des envies, vois, les roses s’éparpiller sur la terre des naufrages, cette terre des condamnés stérile et immonde que les hommes de leur main sale tuaient, massacraient les vierges, les orphelins, les innocentes brebis dans leur pâturage. Ici les hommes marchent sur des vestiges douloureux, ici les femmes aboient, surveilles, pleurent les âmes perdues sur ce champs de bataille, sur cette arène défaite que le Haut à présent, le président décida-t-il de placer en bonne garde les enfants des océans. Et là dans ces prairies verdoyantes, naissante par ce temps de grâce née la fée rêveuse des espoirs abrogés. Et là doucement marchait-elle dans ce doux mois de mai, ses cheveux de blé nageant dans la mer parfumée des grands vents, Zéphyr rougeoyant ! Et là palpitant son cœur de pureté, rêveuse des amours disparus, rêveuse des bois sacrés, mielleuse sa voix tourbillonnante dans les vices épars des habitants du district 2 faiseur de machine, faiseur de soldat, faiseur de chair à charcuter comme les appelle-t-elle cette colombe tombée. Ecoute ces tendres murmures carillonnant dans tes oreilles un délice d’épiderme dans sa chambre elle chante les berceuses divines que la servante de la maison d’honneur lui apprenait, dans la chaleur des feux cuisant elle dégustait ce savoir rythmant ses ailes à présent. Harmonie la litanie des cygnes, la nature s’envolant par ces mains unies, les oiseaux voyageant et les meurtres sauvages cauchemars chassés par les bibelots collectés au fil des vagabondages, des ruptures amers que ces parents Dane vils des anciens lui imposaient. Elle songe au périple de sa vie âpre de solitude à vingt-deux années désenchantées elle courre de ses jambes frêles les esquisses qu’elle peint dans son antre sécurité illusoire. Voulait-elle un courroux gagné par ce père charmant de bajoues décharnées, elle épousa le stylo, l’encre, les feutres, les feuilles au touché, elle épousa les traits sur les papyrus vieillis, elle épousa les rêves posés sur les cahiers petite illustratrice et rebelle à la fois. Timide dit-on d’elle l’ange délicat des roses, de lilas, plongeant la marée abrupte des jardins des voisins, plusieurs fois regardé par les malins montrant de leur phalange encensés la folle du district ô pauvre parent meurtris ! about games and relative.
➺ COMMENT VOIS-TU TA MORT ? Dans ses rêves voltigeant elle s'imagine que le monde à ses pieds, beau une peinture affligée, les enfants dansant sans leur enclume lourde sur leur épaule brisées. Elle voit les astrales lumières dans sa ville reconstruite non plus de district mais l'utopie des anges qu'elle dessine dans son carnet à l'abri des peupliers. Elle pense à la mort douce des innocents priant, des parents aimant, des réussites éclatantes, la paix alors dans son lit de mort vieille fripée entourée de ses agneaux et les jeux barbares tel un passé fumant honte à leur guenille déguisées ces gens de rien qu'un jour avaient déclamé les offrandes à leurs lois décharnées ! Elle rit de cette image mirobolante fée des arbres clameur dans sa sphère étoilée, embrumée les vices des citadins dégrisés.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Son frère hante ses pensées carmines tout juste où le psaume s'éteint lorsque la lune dans ses bras de marraine apaise le coeur de sa fille gonflant les contes et les merveilles ses yeux se ferment. En ses veines pleines ce sentiment trahis d'un frère décédé, son frère, son protecteur, son grand, son modèle, son terrible bourreaux les jours de pluie lorsque les parents divins en leur voix de cratère disaient-ils "il est bien mieux que toi ! Comment avons-nous fait pour avoir une engeance pareille ?". Entend ces voix malsaines, ignore ces orbes embrasées de colère, pleure cette mort injuste que le capitole ô riche et clairvoyant avait, dans sa bienfaisance concédé à cet enfant de Dieu ! Les brises se lèvent, les crachins s'écarquillent, et elle fille des rivières plonge des monuments de haine envers ce paternalisme feint, ces démons ivres de pouvoir ils ont tué ton frère ! Elle mourra pour la paix, pour le sang versé sur les terrains maudis des arènes détruites. Elle mourra pour lui son être qui la faisait rougir, son frère d'acier le rejoignant à cet Eden souhaité.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Son spectre rit dans ces longs couloirs sombres lorsque ses chaussons de jute foulent le sol désemparé de la maison froide familiale. Son spectre hurle l'injustice tandis que la gamine dans son lit de coquelicot ouï la torture des jeux, la sentence de mort sur ses épaules. Offert était-il son frère, son ange, son jumeau ; offert était-il son sang rougeoyant nourrissant corbeaux et chacals de leur crocs affamés, le corps jamais retrouvé, scellé par ces meurtriers, ces barbares féroces de calomnies, de mensonges, de vice, d'amertume glorifiée. Son frère dans sa mémoire pleureuse soutient cette jonquille fanée par la perte de son âme, de son esprit, les rêves soutiennent cet ange ailée au désespoir. Elle garde sur son cou fugitif une alliance de marbre, une photo usée par les temps de verse ; elle garde son souvenir palpitant en son coeur sanglotant.
QUE PENSES-TU DE LA REVOLTE ECHOUEE ET DES REBELLES ? Plein de mort écarlate sur son chemin de dalle contemplait-elle cette vierge des condamnés les corps monstrueux placés devant elle. Cette fillette de marbre son chapeau de paille sur ses cheveux mouillés par les larmes de ses joues pétrifiées priait à Dieu les âmes resplendissantes qu'il amenait. Cette révolte, cet espoir dans ses iris parfumés anéantis par les justiciers de ce mal puissant, saoul, vengeur de causer ravage sur son passage quel tristesse. Ô pleure avec elle sage petit que les esprits corromps la terre et que la paix revienne pleine et rebondissante, pleine et miroitante le bonheur supplicié ! Les rebelles ces êtres de bravoure, pur ces cristal chatoyant les monotones marchent de ces monstres, les rebelles ces créatures d'acier que ne font, que ne montrent geste de courage pour l'égalité et le monde rêvé de cette fée naufragée.
➺ AS-TU PRIS PART AUX DERNIERS EVENEMENTS, QUE CE SOIT POUR OU CONTRE LE CAPITOLE ? Les élytres des anges laissaient des plumes couleur immaculée sur les sols inondés de cet abject carmin, les corps viscères, les cadavres de marbres que la jeune éternelle de ses mains frêles éteignait, dans leur pupille du vide à l'air des comprimés. Elle était là, partout de sa jupe en dentelle, de ses robes fleuries, partout se glisse-t-elle cette échouée acte rebelle que le capitole ce ramassis de détritus étreignait les sauvages de leur sagacité nouvelle. Elle ne fuie pas, elle affronte ses joues rosies par cette peur sans lendemain, par cette adrénaline féconde compagnonne des matins. Elle déploie l'ange ailée ses souveraines pensées, ses actes titubant contre ce danger vermeil.
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. DU COUP, MON NOM A n'a aucune CHANCES D ETRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE d'illustratrice ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'je n'aime pas le capitol et ses règles barbares. JE SUIS DANS LE 2ÈME DISTRICT. AYANT 22 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. Dans son antre de marbre la jolie gracieuse chantait les mélopées ivres d’histoire sur ses lèvres éclos des mots doux, ravage des temps révolus, espace des victimes de ces jeux qu’elle voyait sur l’écran familiale, dans le salon des grands. Tourbillonnant dans ces pièces impersonnelles, sa longue robe de soie carmine épousait ses formes de jeune fille sauvage, ses longs cheveux de blés voilés par ces échos tentateurs du présentateur sublime image des précipices. Elle restait figée sur cette brume d’opaque, opalescent cet homme brillant parlant, parlant, montrant gaiement les visages charognes offrandes des lendemains ces pauvres déchus tirés par ce sort amer ! « L’année prochaine ça sera à moi d’avoir la gloire sœurette ! » Elle l’entendait cette peur affreuse dans son ventre timide bouger ce serpent décombre, elle le sentait en son cœur oppressé soudain les cris des déments, les hurlements des enfants dans cette arène affriolante pour les femmes mal fagotée de cette capitale injurieuse pour les expatriés. Elle n’aimait pas sensible ange qu’elle était, elle n’aimait pas ce chemin de détritus que le Capitole imposait aux gens des communs. « T’iras pas. C’est une blague. Tu ne veux pas mourir. » « Je ne vais pas mourir, je vais avoir la gloire, je vais avoir les gens à mes pieds. Ce n’est pas une blague, c’est vrai. Je vais me présenter. N’oublie pas chérie. Le district deux est le meilleur. Pas pour rien qu’on forme les meilleurs pacificateurs du pays dans le deux. » Et ces paroles coulantes dans son cœur ensanglanté d’un visqueux tremplin de pétrole elle prit la main de son frère ainé, son géant protecteur dans la sienne fragile et frêle, froide et pétrifiée par cet effroi caramel posant cette barbare main sur sa joue trempée, mouillée de larme. Elle scruta son frère barbe à son menton, jeune homme capricieux à ses envies de meurtres, elle scruta ses yeux, ses iris de pierre reflétant l’ivre de contemplation ces terribles envies de gloire à son nom. Elle pria alors les anges vêtus de nacres, elle pria pour son âme, elle pria pour sa vie. Tombant dans ce précipice ses jambes flasques ne purent tenir le reste de sa silhouette pourtant blessée, ses genoux touchèrent la terre des vivants. Ecorchée à vif cette enfant timide ! « Hey sœur ! Faut pas t’en faire, tout va bien. » Tendrement ses bras vinrent entourée sa petite cadette, tendrement posant sa tête sur la sienne chaude et candide il lui déclama les restes des étrangers, cette littérature fabuleuse de cap et d’épée qu’elle se plaisait à écouter les nuits d’obscurité elle se faufilait dans sa chambre petit rat agonisant par ces fous d’éclairs rugissant. Il la berça de son cœur palpitant encore somnolant mais là rassurant et ses menottes, ses phalanges blanchies par l’Inquiétude, amie des solitaires s’accolant aux sœurs viriles de son frère beauté des neiges récalcitrant. Elle récita les vers des poètes, elle raconta et ce son sortis d’entre les tombeaux égarés elle l’appréciait ces couleurs chatoyantes qu’elle amenait à cette pièce impersonnelle. Des rêves valsant devant ses orbes éblouis. Moyen de survie. « Pourquoi t’y vas ? Pourquoi tu tiens tant à mourir d’une mort atroce ? Tu tiens pas à moi ?! » Elle criait ces mots porteurs de calamités, elle mugissait ces lances de pierres aiguisées à ce fier destiné, à cet étalon d’acier. Elle sortit de ce cocon strié de lames faisant face courageuse fée à ce démon sans cœur. Lui silencieux ses bras maintenant croisés et sa tête papillonnant des refus de comprendre cette fillette sanglotant entre ce canapé rapiécé. Il ne lui cracha rien à cette face défaite par cette faiblesse longtemps contemplée, il ne lui cracha rien. Il se leva simplement face à cette adversaire hérétique. Ses talons claquèrent, martelèrent ce sol torturé. Derrière son dos de forgeron elle pleurait alors, meurtrissait des joues de larmes de sang sur sa frimousse détruite.
Dans ces bois mélodiques les branches de sureaux et de pins écrasant ses mains, elle marchait de ses jambes fuselées sur l’argile aigri de l’humanité, elle promenait son esprit à l’agonie belle des fragiles par cette mort vue précipitamment à cette télévision brûlante, cet écran corrupteur montrant ses dents du bonheur tout sourire le meurtre encensé de ce jeune garçon… Trop jeune un rien pédant mais tout de même son frère. Mort. Eteint. Figée son cadavre de chair rapiécé par ce jeune gagnant éclatant. Elle avait prié, elle avait supplié à ce Dieu bienveillant la protection de soi à son confrère. Trop fier. Trop confiant montrant ses muscles sculptés d’arabesques à ces catins de bourbes. La pluie astrale vint quérir l’humeur embrasée de cette fée brisée par ce sort lointain, cette destinée vicieuse riant les vengeances de ses enfants dormant pleinement. Les oiseaux sages dans leur tanière de fagot l’observait-elle cette supplique tombant, se relevant, marchant, tombant entre ce gouffre obscène tendant ses bras puant souhaitant accueillir cette délicieuse sirène. Les brises matinales ne daignèrent se lever de leur monument, de leur stèle poétique, les rosées précieuses de la matinée froidie congelèrent par la fainéantise de leur sœur ouvragée. La petite marchait toujours dans son giron de glace sur le sentier des braises ardentes elle pensait à cette perte, son cœur fragmenté par la bêtise de son frère trop confiant, trop jeune un rien pédant. Elle ne sentait ni vierge de goutte sur ses joues rosies ni les frétillements de l’herbes caressante dans les près qu’elle traversait à présent. Elle ne sentait ni peine ni haine l’enchantement des aciers de verges sur sa carrure de fille à marier. Elle ne pensait, ni ne songeait ni ne rêvait ce qu’elle faisait d’habitude, elle ne releva ni sa tête ni ses bras. Elle resta. Stoïque au vent des mers rugissant, stoïque à cette blessure mystifiée par le spectacle cruel de son âme égarée, meurtrie, saccadée, anéantie. Statue de cire sur les collines des montagnes peignées elle se permit alors de sa voix un chant obscur plaintif des fugitifs. Elle n’aurait plus à se présenter l’âge passant les victimes, elle n’aurait plus à voir côtoyant sans cesse ses parents abjects. Elle n’aurait plus à subir les sentences odorantes du capitole échoué des litanies funèbres des capitalistes véreux. Elle s’assit sa capuche de coton sur sa tête fin abri d’illusion sur ses pensées mouvantes, elle observa, goûta ce silence divin. Le temps des anges pétrifiée, cette bulle de maison à cette fillette rêveuse plein d’histoire de jeunesse chatoyant dans ses iris brunies de misère, elle s’allongea la pluie recouvrant, mouillant ses vêtements trempés de ses larmes de cristal honneur à son stupide frère trop confiant, trop jeune, un rien pédant.
reality is here.
Je suis une ombre qui traverse les mille forums sur la toile. Je suis passionnée d'écriture et de lecture et, bien évidemment j'ai dévoré il fut un temps la trilogie des Hungers Games avant la sortie en salle du premier opus. Maintenant je dois que j'aime de plus en plus regarder des séries (en ce moment c'est Under The Dome qui me passionne) et toujours voguant au grès des publicités sur bazzart. Mocking Jay est la référence de forum HG c'est pour ça que j'ose y mettre les pieds à présent après plusieurs tentatives j'espère bien y rester et planter ma tente ici bas ! On m'appelle Perle-De-Lune mais mon vrai prénom sonne plus fort, plus direct : Rebecca. Enfin je suis très heureuse d'être parmi vous et j'espère partager de bons moments de partage !! FEATURING Cara Delevingne © COPYRIGHT tumblr
Dernière édition par Harmonie Dane le Jeu 9 Jan - 10:14, édité 17 fois |
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| Sujet: Re: Dans ma maison de soie et d'écarlate. Mer 8 Jan - 14:15 | |
| J'ai direct reconnu ton style, parce que je te connais maintenant, et lui je le connais comme ma poche alors ça a pas été difficile. Au cas où tu me reconnaîtrais pas, il arrive qu'on me voie comme une petite fille, qui aime le feu, comme une souris adorable et comme un faon perdu.. vois-tu de qui je veux parler ? En tous cas je suis trop contente que tu viennes aussi sur MJ (y'a aussi Madichou et Pocachoute qui sont venues ). Choupinette va me tuer, tous mes amis viennent sur MJ en fait. Je t'envoie pleiiiin de bisous et il nous faudra un lien bien sûr. |
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Kathleen S. Harper △ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011 △ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
| Sujet: Re: Dans ma maison de soie et d'écarlate. Jeu 9 Jan - 12:50 | |
| bienvenue en retard ta fiche est j'adore le personnage Tu viens d'être validé(e), mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. Il est tout à fait possible que ton bonhomme soit un rebelle. Nous avons mis en place un registre avec leur hiérarchie. Tu le trouvera ici. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
have fun |
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