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 JULES + crash crash, and let it all burn.

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JULES + crash crash, and let it all burn. Vide
MessageSujet: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeLun 18 Nov - 21:52


jules mary-june martin
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞
Jules, c'est l'art d'être une femme en crachant sur ses ennemis et en leur mettant le poing dans la figure, éloignée des regards indiscrets, dans un coin. Elle règle ses comptes elle-même, n'a pas besoin d'aide. Tout du moins c'est ce qu'elle dit, toujours, la tête haute en provocant des émeutes parfois, en faisant n'importe quoi. Plusieurs parient sur le nombre de jours lui restant à vivre et ce depuis sa naissance, depuis dix-neuf ans, donc. Elle aussi le fait, par pur amusement. Martin, c'est le destin tragique, c'est le courage légendaire de la famille. On entend ce nom se propager dans tous le district*, chaque jour un peu plus, telle l'alarme de la fin de journée. Martin, c'est une marque de fabrique, comme un faire-valoir qui pour elle ne vaut pas grand chose puisqu'il ne possède plus aucun digne représentant. C'était l'assurance de personnages débrouillards et travailleurs, déterminés et fiers de leurs convictions, qui se taisaient le jour mais parlaient, parlaient et parlaient dans l'ombre. Mary-June a hérité d'un peu de tout ça, bien qu'elle ait perdu beaucoup, aussi. Les Martin sont polis. Elle ne l'est pas. Ils demeurent - dans la mesure du possible - pliés aux règles. Elle ne respecte que celles qui pourraient, en cas d'affront, lui valoir des sanctions et punitions. C'est une tête-brûlée qui cache bien des secrets. Blessée, tuée de l'intérieur elle traîne la patte, ayant abandonné ses sentiments depuis bien longtemps parce qu'ils étaient trop forts, trop durs. Alors elle attend sa mort. Elle provoque sa mort, jusqu'à ce qu'on vienne la chercher. Jusqu'ici, personne ne l'a jamais fait.
Jules elle a un prénom de garçon, et les garçons sont des aventuriers. Ils sont terre-à-terre, cyniques et sarcastiques. Et puis, simples aussi, quoique parfois sanguins et violents. Les garçons, elle les aime, elle les aime beaucoup, ils constituent la plupart de ses amis. Et plus parfois. Parce qu'elle n'a pas de tabou, qu'elle se fiche de la bienséance. Pour Jules les garçons sont rudes,  spontanés, indomptables. Eternels indépendants, à la force d'esprit qu'elle envie. Jules est un garçon.
Elle a ses cheveux noirs qui tombent sur ses épaules menues et osseuses, silhouette taillée au couteau fin et précis, reconnaissable parmi cent autre pour sa maigreur mais aussi sa robustesse. Elle a les mains calleuses, les paumes parsemées de cloques et la peau sèche à force de manier les outils de chasse pour son travail. Jules elle a le visage plein et rond, les lèvres rebondies et pulpeuses, gercées aussi puisque tout le jour durant elle est dehors, qui ressortent sur la blancheur de sa peau. Ses yeux, presque aussi sombres que ses cheveux s'éclaircissent pourtant à la lumière du jour, rayonnant d'un ambré provoquant et enflammé dont elle sait se jouer aisément. Au dessus d'eux se dressent de gros sourcils épais qu'elle parvient du mieux qu'elle le peut à discipliner, appuyant ainsi sur ses airs supérieurs et son regard défiant. Ses clavicules saillantes et fines contrastent avec la douceur de ses traits de poupée et annoncent une petite poitrine, précédent un ventre plat et aux muscles pourtant presque imperceptiblement dessinés. Une chute de rein impeccable et un bassin qu'elle voudrait moins visible, elle possède de longues jambes fines, échasses desquelles elle se croit intouchable et tout permis.
Jules, pour le Monde entier, elle n'a pas d'avis. Elle tait ses opinions, pour ne pas avoir d'ennuis, agit dans l'ombre pour prouver son désaccord avec le système en place. Elle hait les Pacificateurs. Elle hait les Capitoliens. Elle hait Panem. Elle hait le système politique. Elle se tait. Parce que, même si elle paraît grande Jules, elle sait qu'elle n'est rien. Qu'une fourmi qu'on écrase, qu'une poussière sur laquelle il serait aisé de souffler si elle dérangeait. Elle elle sait qu'elle doit se taire, alors le fait, revendique ses droits par toute sorte d'actes répréhensibles mais qui pourtant pour tout son entourage ne représentent rien d'autre que sa désinvolture. Ils sont pourtant tellement plus.
Jules c'est un garçon. Elle aime l'odeur de la forêt quand elle s'en va chasser. Elle adore rire, elle rigole souvent. Elle aime les choses simples. Se retrouver avec ses copains, tout du moins, le peu qu'elle a. Elle aime posséder, elle aime avoir, même si dans les districts cette notion est plutôt abstraite. Elle aime posséder les gens, précisons le. Elle adore pouvoir marcher sans faire un bruit, se faire discrète pour mieux surprendre. Elle ne mange pas beaucoup, aime pourtant cela - il faut dire que les conditions du district lui ont appris à se contenter de peu. Mary-June se délecte pourtant de l'odeur de pain chaud et frais lorsque parfois ils ont la chance d'en trouver, de n'importe quelle façon. Les effluves du doucereux met enchantent alors toute la maisonnée et ravivent le peu de couleur et de bonheur qu'il lui reste, dans un repas, éphémère. Elle aime beaucoup le pain.
Jules, elle a quand même un coeur de fille. Parce qu'elle aime toujours les nuages au crépuscules et leurs oriflammes roses et oranges, qu'elle s'amuse toujours à glisser ses doigts sur chaque surface naturelle qu'elle trouve, herbe, écorce. Elle a besoin de toucher. Toujours. Et puis, elle adore quand elle n'entend que les oiseaux lorsqu'elle part chasser, l'eau des rivières se glissant sur les rochers, les feuilles des grands arbres se mêler les unes aux autres. Elle adore son district, le trouve magnifique sans sa misère et ses plaintes éternelles. Finalement, elle n'aime pas grand chose. Tout juste assez pour qu'elle parvienne à survivre, puisque c'est cela qui les fait tous tenir. L'amour.  

about games and relative.
(choisissez au moins cinq questions qui sont les plus pertinentes pour la présentation de votre personnage, et supprimez les autres ainsi que le spoiler. répondez en un minimum de cinq lignes.)


À même le sol. Le visage dans la boue. Le corps nu et lacéré de toute part, ensanglanté, les chairs à vif et les poignets liés. Dans la honte et l'indifférence, lentement. Ce n'est pas une mort vive. C'est l'attente que quelqu'un vienne me sauver alors que je sais pertinemment que personne ne le fera. Comme d'habitude. On se tait et on regarde sans jamais savoir quel est le réel ressenti. Il n'y en a pas. C'est l'amertume, c'est tout. Celle d'une fin de proche. La douleur dans sa saturation a fini par elle-même se noyer. La peur n'est plus non plus. C'est l'acceptation. Comme un pacte déjà signé. Et puis, on le connaît tous déjà, ce goût ferreux. On s'étouffe dedans chaque instant un peu plus. Ce n'est pas grand chose de nouveau, non, si ce n'est cette connaissance et fatalité irrémédiable qu'est celle de la mort. Ce n'est pas laid. C'est juste vrai. Réel. Brut. C'est la vie telle qu'on nous la montre. La vie dans la mort. La mort dans la vie. À force, je m'y suis perdue. Ainsi vois-je ma mort. Punie pour tous ces actes répréhensibles et condamnables tant de fois plus tôt. Souillée jusqu'aux os de cette façon qu'ils auront de me jeter telle une vieille poupée usée lorsqu'ils en auront assez de moi. Comme un chiffon. Comme les jouets des fillettes du district. Comme les pantins du capitoles, déchus et aux cris muets. Tout le monde les voit. Personne ne les entend. C'est le dialogue d'un sourd avant le rien. Les muscles qui se rétractent et ce froid mordant qui, une dernière fois, s'infiltre sur une peau parcourue de frissons. Une ultime fois. Les poumons encrassés déjà de boue. Étouffés. Noyés. Je ne sens plus rien. On me regarde. Ma mère pleure son dernier enfant. Et moi je souris pour retrouver ceux qu'elle a déjà perdus.
Je vous aurais dit ma mère, bien que nous n'ayons plus grand chose en commun et qu'il en est sûrement mieux ainsi. Maintenant plus personne. Personne ne mérite cela. Les vies gâchées sont déjà trop nombreuses. Deux pour le prix d'une sont de trop grandes pertes. Je ne suis pas égoïste, réaliste seulement. À quoi bon se battre alors que l'issue sera la même ? Rien ne sert le combat avec l'Etat. Un citoyen en défendant un autre équivaut à deux morts supplémentaires. Deux. Plus qu'un chiffre. Plus que ça. Des numéros, que certains citoyens du district ne sauront même pas écrire. Je ne mourrais pour personne pour le moment. Personne n'en vaut la peine. Pas encore. Le temps n'est pas venu. Mais peut-être, qu'un jour, cela m'arrivera. Dans la folie, puisque tous elle nous guette. Dans l'absurdité.
Il n'y en a pas vraiment. Un seul. L'amour que je porte à mon district, qui, pour moi, est le plus beau de Panem quand bien même je ne puisse me fier qu'aux images du Capitole. J'aime quand le soleil se lève sur les vastes champs de blé et d'orge et qu'il les habille dans sa course effrénée contre la journée de cette couleur dorée qui ondule lorsque le vent souffle. J'aime observer la forêt enneigée lorsqu'il n'y a plus ou presque d'animaux à chasser, le silence qui l'occupe alors et la sérénité qui en découle. Je me délecte de la chance que nous avons d'avoir de vastes étendues d'herbes et de forêts, riches en vies, qui nous consolent, parfois, nous rappelant que nous ne sommes pas les seuls à subir une telle pression. J'adore observer le développement des semis puis des plantes dont nous nous occupons, les voir grandir, les voir vivre, dans un désir insatiable de toucher le soleil toujours d'un peu plus près sans jamais avoir peur de brûler. J'aime mon district. Je suis conscience de la chance que j'ai. Parce que la faim se passe lorsque nous avons autre chose à penser. Et il y a tant de choses à observer et à découvrir dans un territoire aussi riche que le mien. Aussi riche que le notre.
Un grand-frère. Il avait les cheveux presque aussi noirs que les miens, quoique légèrement plus clairs au soleil. Il a survécu trois jours. Trois infimes jours. Je me rappelle encore du dernier regard que les caméras ont capturé. Il murmurait plusieurs noms à la suite, à l'agonie. Skyler. Jules. Il ne méritait pas cela. Personne ne mérite cela, encore moins les meilleurs. Il s'était présenté pour son meilleur ami. Pour quelqu'un qui ne le méritait pas, jamais. Je me souviens encore de ce nom qu'il a hurlé à la moisson, de cette foule qui soudainement s'est écartée pour laisser place à un homme qui, en dépit de son charisme, était voué à mourir. Il n'aurait pas du y aller. Skyler aurait du mourir. Parce que lui, il n'est pas bon. Il n'est pas beau. Il ne possède ni générosité ni condescendance. Il se fiche d'autrui. Et il est égoïste. Plus que personne, plus que jamais. Il ne pense qu'à lui, ne l'a jamais remercié. Je suis sûr même qu'il n'a rien ressenti face au regard suppliant d'Aedan. Qu'il n'en a pas pleuré. Qu'il n'y a plus pensé.
Il était aussi grand que mon père, imposant. Il paissait son temps à aider les enfants du district, était un très bon chasseur, m'a tout appris. Il n'aurait pas du y aller. Skyler, si.
Je crois qu'à force, j'y suis devenue indifférente. On m'a retiré tant que je n'arrive plus à donner. Plus jamais. Quoi que ce soit. La compassion me semble être un sentiment depuis bien longtemps oublié, abandonné au détour de quelques pertes et autres déchirements auxquels, malgré tout, j'ai du survivre. La mort n'est plus qu'un mot banal qu'on prononce sans qu'il n'ait vraiment de valeur. Plus maintenant. Il y en a eu tellement, dans une seule famille déjà. Comment pourrais-je encore compter les pertes d'un peuple alors que mes doigts fléchissent simplement pour se remémorer celles de ma famille ? Je n'ai plus la force de souffrir pour le monde entier, alors je crois qu'à force, ils ont réussi à m'embrigader dans leurs rangs de vivants, de morts, qu'importe leur but, ils l'ont réussi. Je n'ai pas le courage de ressentir de nouveau. Alors les jeux ne me font plus rien. Plus un fourmillement. Plus un battement de cils, ni quelques frissons, hormis lorsque quelqu'un que j'apprécie périt. Je n'ai plus rien. Même la douleur, ils me l'ont ôtée.
Condescendants. Imbus d'eux même. Arrogants. Fiers, aussi. D'avoir tué des gens. D'avoir ôté la vie à d'autres qui avaient tant de rêves devant eux, désiraient tellement ne serait-ce que vivre. Je ne les aime pas. Je ne chercherai pas à en savoir plus. La victoire possède ce goût acre et ferreux de perte, et c'est la seul chose qui me vient à l'esprit lorsque dans ce bas-monde il n'y a pas de victoire. On ne peut pas considérer la perte d'êtres comme une victoire en soi. C'est mentir. C'est tricher. C'est se dire qu'ils ont réussi à nous rendre tels des animaux. La victoire ne veut rien dire si elle signifie marcher sur les autres. Ainsi la victoire ici, ne signifie rien. Elle n'engendre ni reconnaissance ni fierté. Et même lorsque le vainqueur est du district neuf, je ne me sens pas fière. Je souris simplement parce qu'une mère va revoir son fils quand bien même il soit changé à tout jamais. Je souris parce qu'on nous a appris à le faire  devant l'atrocité. Devant les gueules cassées d'une guerre qui a depuis longtemps été perdue. Ils ne sont que ça. La mâchoire qui, perpétuellement sera tendue, les phalanges, toujours blanchies, le coeur, toujours brisé. Mais comme je l'ai dit, la compassion m'a elle aussi quittée. Alors je me fiche que les vainqueurs souffrent ou soient heureux. Je me fiche de leur avenir ou de ce qu'ils deviennent. Je me fiche de tout.
Elle est dure, je le sais, ai fini par m'y accommoder, comme la devise de Panem semble être marches ou crèves. J'ai la chance d'apprécier mon travail, je crois que je peux au moins me consoler dans ce simple bonheur que je tire d'une initiale obligation. J'aime passer mon temps dans la forêt, seule, la plupart du temps. C'est peut-être pour cela que j'adore ça. Personne pour me rappeler quoi que ce soit. Personne pour me ramener à la réalité. Je fais ce que j'ai à faire, ce qu'on m'a demandé sans imaginer même qu'on me l'a demandé, et je retarde le moment de rentrer à la maison. Parce que maman, comme d'habitude, pleurera dans sa chambre. Parce que papa ne sera pas là et qu'il ne rentrera que trop tard. Les vies dans le district sont toutes les mêmes. Brisées et éclatées.
Les pacificateurs sont rongés par la pourriture jusqu'à la moelle. Ils ne sont que corruption et violence. La plupart des pacificateurs tombent dans l'excès. Tous ceux que je connais le font. Ils sont ridicules, se croient supérieurs car ils possèdent des armes mais ne sont rien sous leurs combinaisons blanches d'autres que monstres de chairs et d'os tous comme les habitants des districts. Ils n'attendent simplement qu'on leur donne ce qu'ils veulent. Qu'on leur obéisse. Qu'ils se croient supérieurs aux autres, à nous, pauvre civils insignifiants, sans qu'il n'aient même la présence d'esprit pour se rendre compte qu'eux-même ne sont que simples pions du Capitole. Que de simples pions pour quiconque désire se faire plus intelligent qu'eux. Ils sont pathétiques, peut-être même plus que les Capitoliens eux-même, puisque eux rêvent d'inaccessible.
Le bonheur semble dans les districts être une chose abstraite. On ne connaît ni bonheur dans l'amour, dans l'amitié, ni même dans la haine. Tout n'est qu'artifice et le concept du bonheur, qui est supposé s'étaler sur un terme relativement long, semble s'être muté en quelques plaisirs que l'on tire de la vie, de temps en temps. Dans les rires des enfants parfois qui courent dans les rues entre deux vols. Dans le soleil se couchant au dela des maisons, que l'on peut observer parfois lorsque l'on monte sur les toits. Le vrai bonheur n'existe pas. Le durable, que l'on tire des êtres aimés ne peut être puisque tous nous sont retirés. Alors j'ai du mal à croire au bonheur, crois plutôt aux plaisirs qui sont multiples, brefs, et bien moins surfaits.
Mal-à-l'aise. Je sais que quelqu'un va perdre un enfant, son amour, son ami. Et puis, je me rappelle d'Aedan et de sa cage thoracique qui se soulevait sans cesse lorsqu'il est monté sur l'estrade, sous le regard et l'impuissance de Skyler. Il n'a jamais été fier. il ne s'est jamais senti fier. Il savait qu'il allait mourir. Alors à chaque moisson je regarde ces enfants se traîner jusqu'à l'estrade avec cette peur éternelle qui leur tenaille le ventre. Et je lis cette même expression sur leurs visages que celle qui avait habillé le sien des années auparavant. Ca me ramène à un tant soit peu de sensations, quand bien même elles soient effroyables. Mais son visage me hante, des mois durant, tellement longtemps. Et il me revient. La moisson c'est l'effroi et la nostalgie. L'amour et le désespoir, en même temps.



JE VIENS D'UN MILIEU DEFAVORISE, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE TIENT BIEN PLUS DE LA LEGENDE. DU COUP, MON NOM N'A AUCUNE CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE CHASSEUSE ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'J'AIME BEAUCOUP. JE SUIS DANS LE 9ÈME DISTRICT. AYANT DIX-NEUF ANS JE NE PEUX PLUS PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET J'APPREHENDE LA PROCHAINE MOISSON. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
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reality is here.

Hello peuple Panemien, je viens en paix JULES + crash crash, and let it all burn. 239769179 Je m'appelle Manon, sinon, rien de bien folichon, et j'ai quinze ans. (petite wiwi mais j'ai quand même encore toutes mes dents Arrow) Il paraît que sur la toile je me fais appeler blindsdreams, rêves aveugles, hééé ouais, poétique la petite ! (non en fait je l'avais mis au pif parce que ça faisait bien JULES + crash crash, and let it all burn. 1147778360) J'ai lu tous les bouquins, y'a un certain temps mais je les ai tous lu et les ai évidemment adore, sinon je serais pas là (même si je vous avoue que j'ai vu le premier film avant d'entamer mes lectures, hé non, je ne suis pas une puriste. JULES + crash crash, and let it all burn. 4101628209) J'habite en France, dans une région agricole et industrielle qui possède une moyenne d'étude inférieure à la moyenne nationale, autant vous dire que je suis pas aidée. Bref. J'espère que vous prendrez pas trop peur quand même. JULES + crash crash, and let it all burn. 2166578461 BISOUS LES ASTICOTS

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Dernière édition par Jules M-J. Martin le Mer 20 Nov - 22:39, édité 11 fois
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JULES + crash crash, and let it all burn. Vide
MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeLun 18 Nov - 21:52


'coz when i'm going under

Elle hurla. C'est le dernière souvenir qu'elle possède de ces instants. Comme une noyade soudaine à laquelle elle n'avait jamais réellement pu se faire. Elle regardait l'écran, ne pouvait détacher son regard, dans un ultime élan masochiste, un ultime élan d'amour qu'elle lui prouvait encore. Elle le regardait mourir. À des kilomètres d'elle, dans un endroit que tous deux ne connaissaient, dont tous deux étaient effrayés, et qui tous deux les sépareraient. Comme quelques funestes derniers points communs auxquels elle semblait se rattacher de façon éperdue et désespérée. Il n'était pas loin. Elle lui tenait la main. Sa vue se brouilla, irrémédiablement, voile lui compliquant le reste. Jules s'effondra au sol, soudainement atterrée par la douleur qui l'envahit telle mille et mille autres peines qu'elle avait déjà vécues, jamais seule. Jamais seule. Toujours des épaules pour la soutenir, des bras pour la rattraper. Ici, seule la boue du district vint la recueillir, éternelle mère qui elle jamais ne disparaîtrait. Jamais ne l'abandonnerait. Comme un point d'ancrage éternel que ses frères lui avaient appris à aimer. La respiration saccadée. Elle pouvait seulement sentir sa poitrine se soulever du sol pour venir le retrouver, toujours, ébranlé par de violents sanglots se mutant en spasmes qu'elle en pouvait réprimer. Elle mourait. Elle mourait avec lui, au même endroit. Ils partageaient cela, où qu'ils soient. Ils partageaient la Terre. Ainsi gisant au sol elle put remarquer quelques visage se dresser à ses côtés, quelqu'un lui prenant le visage, caressant ses douces joues poupines mordues par les larmes salées. On lui caressait les cheveux, on lui murmurait des mots doux, on tenta de la relever, plusieurs fois, elle s'effondra toujours plus lourdement. Dénuée de toute force. Dénuée de tout ce qu'un jour elle semblait avoir possédé, puisque tout lui avait été retiré. Comme un acharnement carnassier dont semblait faire preuve ce Monde pour lui ôter tout ce qu'un jour elle avait aimé. Il n'y avait plus rien. Plus de coeur qui battait, plus de sang qui coulait, plus d'amour partagé. Rien d'autre qu'une plaie béante et exposée à tous ceux qui désireraient bien la voir. Elle se débattit, une ultime fois, chassa les mains de son visage et frappa des pieds et des mains quiconque tenterait de l'approcher, jusqu'à ce qu'elle s'épuise, jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Le ciel était bleu. Elle s'en rappelle. Pas un nuage ne se profilait. Le doux soleil se mouvait sur ses bras et son visage nus. Aisément. Lumière noire qui de son regard terriblement malveillant n'avait de cesse de la mettre en avant pour le plaisir de montrer la souffrance qu'ils savaient engendrer. Elle n'en fit rien. Elle s'en fichait. Puisque le vent, lui, soufflait, ébranlait les plus petits et secouaient les imposants. Le vent soufflait. Seule la caresse mortelle qu'il appliquait sur chacun de ses obstacles retentissait jusqu'aux oreille de Mary-June, douce mélodie funèbre de laquelle elle s'enivra pourtant, un peu, encore un peu. Il n'y avait que lui. Et un coup de canon retentit dans les enceintes fournies par le Capitole. Sa cage thoracique se souleva une dernière fois. Jules ferma les yeux, se tourna sur le côté, la moitié de son visage noyé dans la boue tandis que les spectateurs, eux, ne démordaient pas de leurs places de choix. Et elle vomit. Secouée de nouveau spasmes, se fichant de ses cheveux, de n'importe quoi. Elle vomit. À même le sol, sans pouvoir s'arrêter, quand bien même son estomac ne soit pas bien rempli. C'étaient les promesses et la justice du Capitole, c'étaient ce qu'on leur faisait ingurgité, gavages d'idées et de peurs qu'ils effectuaient dans le seul but de régner, c'étaient les pertes et l'horreur, le sang et la peur, ce qui, en dépit de leur volonté et de leur acharnement perpétuel ne partirait pas, jamais. C'était la saturation de sentiments, d'émotions, l'estomac retourné et lacéré de toute part par ce désir profond qu'elle nourrissait en ces instants de sa douleur, ce désir de vengeance qui se glissait dans ses veines d'une vitesses inébranlable et impressionnante. Son rejet, c'était la peur et l'injustice.

« Redresses ton épaule, le menton, et détends toi. » Elle pouvait sentir quelques rayons de soleil se glisser sur sa nuque découverte, doucereuse chaleur tandis que, derrière elle, Aedan plaçait son index sous son coude pour le redresser quelque peu, tout comme il le lui avait conseillé. Son torse venait effleurer de manière régulière le dos de Jules, et un sourire naquit sur son visage, léger, tandis que, pourtant concentrée elle visait la cible choisie à la demande de son frère. Elle la fixa, concentrée, les pieds ancrés dans le sol comme il le lui avait appris, se concentrant sur rien d'autre si ce n'était sa propre respiration, tendit la corde de son arc avec assurance et patienta encore un peu, pour être sûre d'elle. Avant de lâcher prise. La flèche de fortune vint se planter dans un arbre non loin de la cible, et un rire s'éleva derrière elle, tandis que, se retournant en soupirant, déjà il lui ébouriffait les cheveux avec une bienveillance infinie. « T'es vraiment nulle Jules ! Pire qu'un animal, je t'assure ! » Elle fronça le nez, posa l'arc au sol et croisa les bras sur sa petite poitrine en faisant la moue, ce qui accentua le rire de son frère davantage encore. Il finit par cesser, la regarda, la défia aussi de ses yeux bruns. Elle se prit au jeu, commença à lui courir après, ralentie par les branches et plantes qu'elle croisait sur son chemin, tant la forêt demeurait pour elle un endroit inconnu. Ils se glissèrent tous deux, riant et chahutant comme des enfants, entre les arbres et les feuilles, courant ainsi plusieurs minutes jusqu'à ce que finalement ils parvinrent à un cours d'eau. Arquant un sourcil, fière de sa victoire puisque de cette manière son frère était coincée, Mary-June s'approcha légèrement, tandis que lui, sourire inébranlable, repris le souffle court. « Je doute pas de ta capacité à tuer un animal, y'a pas de problème à ce niveau. T'es tellement douée que ta flèche pourrait tuer quiconque ne se trouvant pas dans ta ligne de mire initiale. » Il rit de nouveau, et Jules, s'approchant de lui, le poussa dans la rivière dans laquelle il atterrit lourdement, toujours amusé par la situation. Tapant des pieds sur le sol comme pour appuyer son mécontentement, elle finit par lui répondre. « Puisque t'es si malin t'as qu'à arrêter de perdre ton temps avec la cause perdue que je suis ! » Il se tut, la regarda, la regarda comme un frère le faisait, avec une tendresse qu'il savait feindre à la perfection, un infime sourire au bout des lèvres. Il s'approcha d'elle, remonta sur la rive, déposa un baiser sur son front. « C'est pas une perte de temps avec toi. » Un large sourire se dessina sur le visage de l'adolescente, victorieux et satisfait. Puis il la prit par les épaules, la souleva de terre, et, en dépit des grands gestes violents de la jeune fille, il plongea dans l'eau avec elle tout sourire, la lâchant une fois qu'ils furent tous deux dans la rivière. « Aujourd'hui, leçon de natation ! »





it's where my demons hide

« J'y arrive pas. » Il l'observa, ne dit rien. Elle soutint son regard, insolente, un sourire infantile se glissant sur ses lèvres pulpeuses et rosées tandis que lui tentait de demeurer impassible, avec bien du mal. Il y parvint pourtant. Alors elle ré-essaya, s'appliqua à nouer les fils les uns aux autres, vainement. Fronçant les sourcils elle se gratta le menton, tenta de nouveau, échoua encore. Son frère aîné finit par se lever, venir derrière elle, le visage se glissant au dessus de son épaule et joignit ses mains aux siennes dans la longue et difficile entreprise qu'il tachait de lui apprendre. Ils ne dirent rien. Jules, concentrée. Carter absorbé par ce rôle de grand frère qu'il prenait tant à coeur. Lorsqu'ils eurent fini, la jeune fille lui adressa un sourire triomphant, fière d'elle, munie de cette expression qu'elle possédait toujours lorsqu'elle était heureuse. Il embrassa sa tempe, posa ses mains sur ses épaules et reprit. « Tu vois c'est pas difficile. » Il lui sourit, encore, elle observa son début d'oeuvre, qui, dans le futur était supposé devenir un petit panier. Alors elle sauta de sa chaise, se dirigea vers la chambre des enfants et s'allongea sur son lit de fortune, tandis que son frère s'asseyait à ses côtés, glissant la mince couverture jusque sur ses épaules. « Tu veux que je te raconte une histoire ? » Recroquevillant ses petites jambes contre son torse Jules acquiesça avec un certain entrain tandis que son frère lui offrit un sourire avant de commencer son récit.

« Il est arrivé quelque chose à Carter. Ne t'en fais pas ma puce. Tout ira bien. » Elle l'observa de ses petits yeux enfantins, vint s'accrocher à la jambe de sa mère tout en sentant Aedan venir la rejoindre et la serrer à son tour dans ses bras. Il y avait leurs deux coeurs qui battaient à l'unisson, comme une mélodie lente et douce, ultime ode à la vie, ultime ode à sa vie. Quelques larmes s'échappèrent des yeux noirs de Jules tandis que sa mère, lasse, caressait ses cheveux noirs sans jamais rien dire de plus, effacée. Comme un point d'ancrage qu'on aurait dit invisible et désirait le demeurer. Qu'une ombre de plus, que l'obscurité qui sans cesse semblait poursuivre les habitants du District. Toujours, dans l'ombre. Dans la nuit et dans les peurs, dans les monstres qui jamais n'avaient été aussi réels. « Restez à la maison jusqu'à ce que je revienne. Ne bougez pas. »Elle s'engouffra dans la pénombre du district, innocemment, espérant sûrement que ses enfants ne bougeraient pas. Ils n'en firent rien. Ainsi se faufilant discrètement derrière leur mère ils la suivirent tous deux dans l'ombre sans que jamais elle ne se doute de rien - ou peut-être faisait elle semblant de ne pas les avoir vus, peu importe. Ils se faufilaient tous trois dans les rues - si tant est que l'on puisse appeler cela rues - boueuses, traversant plusieurs regroupements de maisons et ce jusqu'à la place principale. Cachés tous deux derrière un mur, un bras fort soudainement retint Jules. Aedan mit un doigt sur sa bouche pour lui signifier de se taire, ce qu'elle fit. Il s'avança quelque peu, observant la scène, revint. Il lui demanda de rester ici. Jules désobéit. Et, sortant de sa cachette, elle put deviner dans l'ombre le corps gisant de son frère au sol, lacéré, les chairs à vif, inerte. Elle ne comprit pas. Pas tout de suite. Alors elle se faufila entre les ultimes personnes spectatrices, grimpa sur l'estrade, s'agenouilla auprès de son frère. « Carter. » murmura-t-elle doucement. Il ne répondit pas. La main tremblante, ronde et laiteuse, elle vint glisser son index entre les plaies de son frère, parcourant sa peau nue avec une tendresse infinie, évitant soigneusement ses blessures sans même savoir qu'il ne pourrait plus rien ressentir. « Carter ! » reprit-elle, dans un élan d'espoir. Rien ne se produit. Pas un seul geste. Et dans la nuit tombante ses songes s'évanouirent. Comme tout le reste. Oubliées.




Dernière édition par Jules M-J. Martin le Jeu 21 Nov - 16:59, édité 6 fois
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Ambre L. Galeoni
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeLun 18 Nov - 22:06

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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeLun 18 Nov - 22:11

Bienvenue sur MJ JULES + crash crash, and let it all burn. 3523041270
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http://www.mockingjay-rpg.net/t6374-this-is-survival-of-the-fittest-this-is-do-or-die http://www.mockingjay-rpg.net/t3544-a-man-chooses-a-slave-obeys http://www.mockingjay-rpg.net/t3545-nature-nurture http://six-ways-to-misbehave.tumblr.com/
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeLun 18 Nov - 22:19

Enh, Freya, qu'est-ce que je peux l'aimer I love you Merci !
Merci Swain, j'adore ton pseudo !
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeLun 18 Nov - 22:24

OH PITAIN MANON, YOU HERE. chou (rien qu'à voir Manon, quinze ans, t'étais fichée What a Face ...)
JOTEM, J'SUIS TROP HEUREUSE DE TE VOIR PAR LÀ. crac crac
Bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de voir ce que tu réserves. JULES + crash crash, and let it all burn. 1147778360 JULES + crash crash, and let it all burn. 2774444739 JULES + crash crash, and let it all burn. 3686848491
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeLun 18 Nov - 22:38

OMG OMG OMG TOI JOTEM. MAIS GENRE FOR EVER AND EVER ET PLUS QUE TOUTE MA LIFE ENTIERE MY GOD. HA JE MEURS. LIKE. RIGHT. NOW. JULES + crash crash, and let it all burn. 4209083858 JULES + crash crash, and let it all burn. 4209083858 JULES + crash crash, and let it all burn. 4209083858 JULES + crash crash, and let it all burn. 4209083858 JULES + crash crash, and let it all burn. 4209083858 JULES + crash crash, and let it all burn. 4209083858 JULES + crash crash, and let it all burn. 4209083858 JULES + crash crash, and let it all burn. 324208944 JULES + crash crash, and let it all burn. 1739967284 JULES + crash crash, and let it all burn. 642620432 JULES + crash crash, and let it all burn. 3458505197 JULES + crash crash, and let it all burn. 1366640713 JULES + crash crash, and let it all burn. 3166754813 
Comment j'm'y attendais trop pas JULES + crash crash, and let it all burn. 1345126580 J'te mpotte de suite pour qu'on se trouve un lien de fou mon dieu. Merci love. I love you
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeMar 19 Nov - 18:53

Bienvenue à toi I love you 
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeMar 19 Nov - 20:02

Merciiiiiiii I love you
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Adonis Nightsprings
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Adonis Nightsprings
△ correspondances : 2406
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△ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy
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△ âge du personnage : 35 ans
△ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08


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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeMar 19 Nov - 21:53

Bienvenue à toi !
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Alexiane R. Hawthorne
DISTRICT 11
Alexiane R. Hawthorne
△ correspondances : 11154
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△ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory)
△ à Panem depuis le : 08/05/2011
△ humeur : indifférente
△ âge du personnage : vingt-deux ans
△ occupation : mentor


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statut: célibataire, coeur occupé par un revenant
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeMar 19 Nov - 22:16

Bienvenue parmi nous, et bonne chance pour cette fiche chou
Je file te réserver ton avatar pour la semaine I love you
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http://www.mockingjay-rpg.net/t6442-get-along-with-the-voices-inside-of-my-head-alexiane http://www.mockingjay-rpg.net/t152-11-this-is-survival-of-the-fittest-this-is-do-or-die-alexiane
Kathleen S. Harper
DISTRICT 9
Kathleen S. Harper
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△ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.


can you save me?
statut: hum
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeMar 19 Nov - 22:37

à que bienvenue JULES + crash crash, and let it all burn. 846282082
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeMar 19 Nov - 22:44

Enh mais vous êtes tous trop beaux I love you Merci beaucoup !
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Avalon R. Sweenage
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Avalon R. Sweenage
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△ multicomptes : dely, ridley, dahlia
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△ humeur : mélancolique
△ âge du personnage : vingt-deux ans
△ occupation : garde d'enfants


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statut: célibataire
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeMer 20 Nov - 14:47

Bienvenue sur MJ chou I love you
& bonne chance pour ta fiche JULES + crash crash, and let it all burn. 1001256540
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitimeMer 20 Nov - 15:31

salut jotem, c'est toi qui est à moi. au revoir. JULES + crash crash, and let it all burn. 4153354820 
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MessageSujet: Re: JULES + crash crash, and let it all burn.   JULES + crash crash, and let it all burn. Icon_minitime

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