Klevir Morgur

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(choisissez au moins cinq questions qui sont les plus pertinentes pour la présentation de votre personnage, et supprimez les autres ainsi que le spoiler. répondez en un minimum de cinq lignes.)

Spoiler:

Stressée, inquiète, qui sais si la prochaine moisson ne sera pas là mienne ? Comment peut on être tranquille alors que l'on sais que nous pourrions être la prochaine jeune fille à quitter foyer et ami pour se battre auprès des féroces de ce monde ? De plus quelles chances auraient je dans cette arène moi petite bergère du district dix ?

JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé..., AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende.... DU COUP, MON NOM A 16 CHANCES/RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE bergère ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime.... JE SUIS DANS LE 10ÈME DISTRICT. AYANT 16 ans JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

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tell us your story.

Ma naissance est advenue il y a seize années de cela. Arrivant par un jour de printemps en plein milieu du mois de mai, mon père aime à me raconter comment il avait du courir depuis le près ou il aidé une brebis à mettre bas pour être au chevet de ma mère lors de ma naissance. Mes parents se connaissaient depuis leur adolescences et après être passés entre les mailles du filet des jeux avaient décidés de se marier.  Une belle histoire en somme, une simple histoire. Rien de bien palpitant ou intéressant jusque là, après tout, vu le nombre de personnes s'étant connu au lycée et s'étant mariés par la suite.

J'oubliais de vous dire que ma famille est un peu spéciale. Le district dans lequel nous vivons, le dixième, est spécialisé dans l’élevage bovin. C'est nous qui fournissons la viande et le cuir au capitole et la majorité du district travail dans ces branches. Pourtant, le monde ne peut se nourrir que de viande de bœuf ou de veau ! C'était ce que disais mon arrière grand père paternel lorsqu'il a investit le peu d'argent qu'il avait dans deux couples de moutons. Mon arrière grand mère été devenue folle est l'avait injurié de tous les noms à cet instant, enfin je dit ça mais je ne vous répète que ce que l'on m'en as dit. L'élevage à porté ses fruits pourtant. Rapidement, ils sont parvenue à agrandir le troupeau, vendant la laine au printemps et le fromage quasiment toute l'année ils arrivaient à subvenir à leur besoin, sans pourtant rouler sur l'or ni manger à leur faim tous les jours. Et puis les pacificateurs se faisaient la part belle sur les produits.  Mais malgré cela notre famille à réussis à subsister et continu aujourd'hui l’élevage de mouton. Nous commençons d'ailleurs à parvenir à vendre correctement leur viande ce qui est un avantage vu la taille de notre troupeau.

Mais revenons en à nos moutons. J'ai donc grandi dans une famille d'éleveurs de moutons. Bien que la vie ne soit pas simple, je n'ai pas à me plaindre de mon enfance. Ma mère était une femme douce est délicate qui chantonnait souvent et m'emmener garder les moutons avec elle. Mon père lui est un peu plus bourru. Du genre à ne pas parler des masses et sourire dans sa moustache, mais  c'est comme ça qu'on l'aime, après tout chercher à le changer serait ne pas l'aimer pour ce qu'il est non ? Aucune anicroche donc durant mon enfance, les jours étaient paisible, je ne comprenais pas bien ce qui se passais chaque année lorsque je voyais des garçons et des filles partir en pleurant, ni même ce qui se passait sur les écrans lorsque je voyais des enfants se battre et s’entre tuer, je me souvenais juste des magnifiques vêtements qu'ils portaient quand ils paradaient. Une vraie petite fille en somme. Et puis lorsque j’eus six ans, le ventre de ma mère s'arrondit de nouveau. Elle me disait que c'était le monde qui se créer en elle et qui allait offrir une nouvelle vie et de nouvelles joies à notre famille. J'étais excitée comme tout, je passais mon temps à lui demander si le bébé aller bientôt naître, si ce serait un garçon ou une fille et surtout quel nom elle comptait lui donner. Mon excitation amusé mes parents qui me demandèrent de les aider à préparer le coin pour le bébé. Je fis des couronnes de fleur et des dessins représentant des moutons et des brebis, tout pour que ce nouveau né soit heureux, tout pour qu'il sache que ce monde l'accueillais à bras ouvert et l'aimais de tout son cœur. Mais pour une fois, la vie en avait décidé autrement et la douceur qui habité mon existence s'estompa.
En cette soirée du neuf juillet deux mille trois cent deux après plus de vingt quatre heure de travail, ma mère mis au monde Shinko mon petit frère et lui offrit sa vie. Notre deuil dura des mois entiers et ce fut l'une de mes tantes qui vint nous aider avec mon petit frère nouveau né. Mon père lui, s'était renfermé sur lui même et ne voulait pas approcher mon frère, le trouvant responsable de la mort de notre mère. Pour moi c'était un petit ange que notre aimé de tout son cœur, tout comme moi et que je devais le protéger. Alors je pris sa défense à chaque colère de mon père et appris à m'en occupé du mieux que le pouvait une petite fille. Au fil des années pourtant, mon père appris à aimer mon petit frère et non sans oublier ma mère lui ouvrit son cœur. Bien sur, il restait renfermé et taciturne, mais il apprenez tout de même  à  mon frère les rudiments du métier lors de ses jours libre et nous parler chaque soir de notre mère et des souvenirs qu'il avait d'elle, la faisant ainsi vivre en notre mémoire. Voici ce qu'est ma vie. Rien de palpitant, rien d'excitant, juste la vie simple d'une petite bergère du district dix.