jérémy phoenix lewis

❝ I AM THE "WHO" WHEN YOU CALL "WHO'S THERE" ❞

about games and relative.

TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? ♣ la mort a de longues dents, un regard perçant et de longs cheveux blonds tombant sur les épaules. Elle nous regarde en riant et lorsqu'elle nous entoure de ses bras fins nous ne sommes plus capables de lui échapper, car personne n'est plus sexy et attrayante que cette mort salvatrice. Je ne regarde pas la mort dans les yeux, je m'en détourne, je me bats à ses côtés et je lui souris. Je suis son esclave, son serviteur le plus audacieux. Je me joue de l'espoir des autres. Je porte une cape noir, et je me fonds dans la nuit où se cache les ombres et les âmes damnées. Je tue, je torture, j'écoute le dernier souffle de vie s'échapper des entrailles de ces malheureuses victimes. J'en suis devenu la victime à une époque où je rêvais de vie et de beautés. Aujourd'hui où plus rien n'a d'intérêt ni de beauté, je vis de la mort.
POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? ♣ A une époque un peu plus lointaine, j'aurai sans doute pu répondre que je serais mort pour ma famille. Car rien n'est plus important que la famille... N'est-ce pas ? Car après tout il existe des sentiments en ce monde qui sont de véritable Requiem pour la vie : l'amour, l'espoir, l'amitié et la vertu. Et sans cela pourquoi vivrions-nous ? Peut-être pour la vengeance, la haine et la violence, car aujourd'hui je ne pourrais mourir qu'à cause de ces trois faits. Je mourrais battu, tué, assassiné. Je ne vis plus que pour moi, car j'ai vu mourir la personne la plus importante dans ma vie : ma petite soeur. Je préfère ne pas en parler, ne plus y penser. Car après tout si j'ai perdu la vie, l'envie de vivre, c'est bien car la vie à quitté son corps si délicieux .
QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? ♣ Je sais me faire discret, me cacher dans la masse, entre les murs, dans les ombres. Je sais être silencieux, de sorte que personne ne saurait m'entendre ou me saisir dans l'ombre. La discrétion est un magnifique atout, surtout lorsque l'on recherche quelqu'un pour l'assassiner. Surtout lorsque l'on ne doit pas se faire tuer. Surtout lorsque le but du jeu c'est de survivre. Et à part cela, qu'est-ce qui serait plus utile que l'instant de survie, l'envie de ne plus seulement vivre chaque instant, mais de survivre à ce monde cruel et empli de violence et de cruauté. Ce monde où rien n'a plus d'importance que ce souffle de vie qui s'échappe de notre pauvre corps. Pourtant c'est si facile de l'arracher. Peut être suffit-il de tirer une flèche dans le coeur saignant des innocents. C'est une autre aptitude sans doute, plus violente, qui demande plus d'aptitudes et d'agilité que tout le reste.
AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? ♣ Je préfère ne pas y penser, ne pas en parler. J'ai moi-même participé aux jeux. Pire encore, je les ai gagné. J'ai survécu à cette boucherie. J'ai survécu à ça. J'ai passé des jours entiers dans un cauchemars enivrant où tout autour de moi sentais le soufre et la sueur, la peur et l'angoisse. Et dans ce monde ignoble, il restait une simple étincelle, une lueur dans la brume. Ma petite soeur. Ma soeur ... Ma petite soeur, qui dans mes bras péri. Je me souvenais de son souffle, son regard vide de la moindre étincelle de vie. Eteint. Simplement éteint, et jamais je ne pourrais oublier cela. Ma soeur mourante dans mes bras, et le coup de feu retentissant au loin. Les cris, les bruits et le silence assourdissants. La gloire qui jamais ne vint, et les reproches, les remords, la colère, la haine, la douleur ... Puis plus rien. Un silence simplement. Le vide autour de moi et le vertige.
APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? ♣ La seule chose que nous ayons inventés qui soit mieux que cela ce sont les jeux eux-mêmes. Il est jouissif d'observer cette peur dans leurs yeux, les cris, les hurlements ou simplement la mort, et la peur s'émanant de ces âmes fragiles. Pour avoir connu cela déjà une fois je ne peux qu'adorait voir les autres en souffrir. Cette souffrance est si magnifique. Ces enfants qui vivent dans un cauchemars, un simple cauchemars. C'est à ce demander pourquoi les hommes continuent à procréer sachant le risque qu'encourent leurs enfants. Peut-être devraient-ils s'en abstenir car rien ne peut justifier ce risque et la peur que tous endure. Ou encore les remords, et les regrets. La haine envers les gagnants. Qui pourrait croire que la gloire les attends ...
TU APPRENDS QU'UNE RÉVOLTE EST ENVISAGÉE PAR CERTAINS, TU RÉAGIS COMMENT ? ♣ Une révolte, tant qu'elle n'est qu'envisagée n'est pas dangereuse. Elle doit simplement disparaitre tout de suite. Je suis là pour que cela se fasse rapidement et proprement. Il faut simplement punir par la mort les pauvres fous qui oseraient se lever contre l'autorité. Je ne peux pas y participer, sauf pour le punir. Je suis fait pour cela. Les punitions. Simplement punir pour mieux réduire à néant l'espoir de ces pauvres fous.



JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante. DU COUP, MON NOM A peu de chance d'être retiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime. JE SUIS DANS LE 11ÈME DISTRICT. AYANT 21 ans J' ai déjà PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je les ai remportés. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

(merci de remplir le paragraphe ci-dessus en choisissant le champ qui correspond à votre personnage. il vous est bien sûr possible de changer le texte pour que cela colle mieux, mais garder la trame de départ tout de même. message à supprimer quand la fiche est postée.)

tell us your story.

Time is running out
Le soleil se levait à l'horizon, illuminant les maisons du onzième district. Et déjà, dans les rues, des rires d'enfants se faisaient entendre. Jérémy Lewis était devant sa maison, jouant avec une pierre et les feuilles mortes qui virevoltaient autour de lui. Il riait, regardant le ciel où les nuages s'amusaient à cacher les rayons du soleil. Les oiseaux chantaient dans les arbres plus loin. L'enfant rêvait à un monde meilleur, souriant innocemment. Il lui semblait que tout pouvait être beau en ce monde. Il se sentait heureux. Puis soudainement, le ciel s'assombrit, une goutte d'eau lui tomba sur le nez, et levant les yeux vers les nuages gris et épais, il perdit son sourire. Il se sentait mal, triste soudainement et inquiet. Se relevant, alors que de grosses gouttes épaisses le trempaient, il rentra chez lui. Son père l'accueillit avec un sourire triste. Jérémy regarda autour de lui et aperçut sa petite soeur Renata dans le salon entrant de dessiner avec de petits crayons de couleurs. Il se tourna vers elle et la prit dans ses bras. Il avait cinq ans alors, elle en avait trois. Elle était son petit trésor, et sentant que quelque chose n'allait pas, il alla la trouver pour la protéger. ”Jérémy. C'est à propos de ta mère.” dit son père en se penchant vers lui et sa soeur. Il le regarda dans les yeux en tenant sa soeur près de lui. Tout s'assombrit dans la brume. Ses yeux s'humidifièrent et il perdit simplement la notion du temps. Le jeune enfant resta des heures entières dans la pièce, pleurant la perte d'une mère aimante et aimée. Il voulait se remémorer cette si belle personne. A l'étage, le cris des jumeaux se firent entendre. Quatre enfants étaient nés d'un amour parfait. Quatre enfants dont Jérémy se promit d'être le protecteur, étant l'ainé. Il regarda sa petite soeur Renata et embrassa son front. ”Renata, petite soeur, tu n'as sans doute aucune idée de ce qu'il s'est passé ce soir. Mais je te promets de te parler d'Elle souvent. Tu ne l'oublieras pas. Tu te souviendras de notre mère, de son amour pour notre famille et pour toi, sa petite fille adorée. Je te promets que je prendrais soin de toi.” Et il tint promesse. Le soir, lorsqu'elle allait se coucher et faisait semblant de dormir, son frère attendant d'entendre les ronflements de leur père pour se glisser dans la chambre de sa petite soeur. Et il lui parlait de leur mère pendant une bonne partie de la nuit, ou il lui racontait des histoires prouvant de la beauté de ce monde. Une véritable complicité se créa entre les deux enfants qui devinrent inséparables. Ils ne se quittaient que très nécessairement. Ils devinrent de véritables petits monstres connus dans tout le district. Ils faisaient les quatre cents coups ensemble, rendant tout le monde complètement fous. Une chaise dérobée ? Un chat avec une petite robe ? Un gâteau disparut soudainement ? Les enfants Lewis se firent bientôt connaitre pour être des petits fourbes. Pas méchants cependant, ils savaient se tenir en société et étaient très appréciés des gens. Ils étaient tout simplement adorables. Ils étaient insouciants et joueurs. Leur père les laissait faire en souriant doucement. Surtout parce que ces jeux développés chez eux quelques facultés qui leurs seront utiles un jour. Jérémy était un garçon qui savait être discret et qui savait quand le danger devenait trop grand. Il savait viser une cible et la toucher en plein centre. C'est une chose qu'il apprit à mesure de jeux et de farces. Cela l'amusait ainsi que ca petite soeur. Un jour, cependant leur père leur interdit de sortir alors que le soleil était déjà haut dans le ciel. Ils durent sortir avec les autres enfants. Jérémy fronça les sourcils. Serait-ce possible que déjà, nous ayons l'âge de participer aux Jeux ? ... La peur lui prit le ventre, et il sortit en compagnie de sa soeur. Les deux premières années sont nom ne fut pas tirer. A quatorze ans, une fois encore il sortit. Cette fois sa soeur avait douze ans. Cette fois il avait bien plus à perdre. Elle insista pour aider ses frères, elle insista pour mettre son nom plusieurs fois. Ils se tenaient tous bien droit, Jérémy lui tâchait de se faire le plus discret possible. Il sentait pour la troisième fois le stresse le prendre aux tripes. Il sentait l'envie de vomir le rendre malade et fiévreux. Il n'aimait pas cela, cette peur qui le prenait au ventre. Il tentait de respirer profondément. “Commençons par ces demoiselles.” Il ferma les yeux et tentait de se reprendre. Il devait être fort. Il sentait que les choses ne seront pas aussi simple cette année. Il avait peur, terriblement peur. “Domino Lewis !” NON ! Il releva le regard soudainement, regardant cette femme hautaine qui venait du capitole et qu'il haït plus que n'importe qui en ce monde. Sa soeur avait à peine l'âge ... Et elle était déjà envoyée en enfer. Jérémy ne pouvait pas l'admettre il ne pouvait pas l'accepter. Il regarda sa petite princesse, terrifié, et eut soudainement le désire de partir avec elle. Il se rattachait à cet envie, cet espoir de ne pas la voir partir loin de lui à jamais. Passons maintenant à ces messieurs ! (...) Jérémy Lewis” Parfait Un cris retentit à côté de lui. Celui de sa soeur qui protestait. Lui se montrait moins expansif, plus discret. Lui y avait échappé déjà deux ans de suite, mais rien n'était éternel et cette année il allait partir en enfer, avec sa petite soeur ...

This is Halloween
Il faisait froid, humide et sombre. Nos vêtements étaient déchirés, nos visage sali, notre peau tirée et nos regards fatigués. Nous étions perchés en haut d'un arbre immense dont les branches épaisses et désordonnées nous cachaient et nous permettaient de monter facilement au sommet en cas d'arrivée d'un inconnu. Jérémy préférait les voir ainsi et non comme des enfants peut être plus jeunes que lui encore. Ils étaient des inconnus, des étrangers et sans doute des meurtriers aussi. Lui il ne voulait tuer personne, il voulait simplement protéger sa soeur pour la ramener à la maison quand ils se seront tous entretués. Jérémy était levé depuis deux jours, il ne dormait pas pour permettre à sa soeur de se reposer. Mais il commençait à faiblir. Ils mangeaient des baies qui se trouvaient sur les arbustes voisins, et parfois avec une flèche, le garçon tuait un animal qui s'aventurait près d'eux. Il se tourna, et regarda sa soeur qui dormait paisiblement derrière lui. Domino ... il lui avait promis de la protéger. Il se rattachait à cette promesse. Il devait lui permettre de rentrer à la maison. Alors luttant contre le froid, le sommeil et la peur, le garçon se replia sur lui même et attendit que le temps se passe. Il regarda vers le ciel un instant et soupira. “Maman, si tu es là-haut ... Protège ton enfant. Fais en sorte qu'elle s'en sorte.” Il se fichait lui-même de rester en vie, tant que Domino vivait. Mais il était bien trop tard, et il n'avait pas dormi depuis bien trop longtemps. Les jours se passèrent ainsi au début. Ils passaient leurs journées sur l'arbre à attendre, ne descendant que lorsqu'ils savaient ce qu'ils cherchaient : une pierre a aiguisé pour se faire un couteau. Des baies pour manger, ou de l'eau pour ne pas mourir de soif. Mais un matin, alors que le Jérémy se réveilla frapper par une chose dure, il eut la désagréable surprise de ne pas trouver Domino sur la branche au-dessus de la sienne. Paniqué, il se leva d'un bond, et vit la pierre qui l'avait frappé. “DOMINO NON !!!” Pour lui cela ne faisait aucun doute, sa soeur était partie, pour une raison qui lui était inconnu, et la peur le perdit. Il sauta et alla retrouver sa soeur allongée un peu plus loin. Allongée, immobile, les yeux fermés. Et un poignard dans la poitrine. Il se jetta sur elle, mettant sur deux mains autour de la plaie où le sang coulait à flot. “"Non Domino, tu ne vas pas partir maintenant, reste avec moi Domi, s'il te plait, reste avec moi , ne pars pas Lewis !" La supplia-t-il en pleurant. Mais elle s'enfonçait dans les limbes, et en dernier espoir de cause il ôta le poignard qu'elle avait dans la poitrine alors qu'un coup de feu retentit au loin. Il resta figé jusqu'à ce que l'on vienne la chercher. Le regard qu'on lui porta alors ne fut plus le même. On lui annonça qu'il avait survécu. Qu'il avait ... gagné. Puisque sa soeur était morte, qu'il l'avait tuée ... La gloire ne vint pas, et la fortune lui sembla dérisoire et inutile. Il voulait rentrer chez lui. Il se haïssait, il pleurait. Son père et ses frères l'attendaient à la porte. Les feuilles tombaient des arbres, et le jeune homme eut la désagréable surprise de trouver ses affaires dehors, éparpillées dans le jardin. “Prends tes affaires, tu ne fais plus parti de cette famille à présent, Assassin.” Le garçon ouvrit les yeux, au fait de la stupeur qui le prit. Son propre père le traitait d'assassin et le mettait à la porte. Son propre père le tuait une seconde fois après qu'il eut à voir sa petite soeur mourir dans ses bras. Pensait-il vraiment que Jérémy eut le courage, l'audace, la stupidité de tuer leur princesse ? Il aurait préféré se tuer lui-même plutôt qu'elle. Personne n'arrivait donc à la voir ? A quoi bon vivre alors ? “Quoi ?! Tu penses que ... Je ne l'ai pas tuée Papa ! Je t'en pris crois moi. Elle ... Je voulais juste ... La sauver, j'ai voulu la sauver, je voulais ...” “Tu voulais rentrer le plus vite à la maison n'est-ce pas ?” Jérémy ne perçut pas le sarcasme, la cruauté dans les paroles de son père, ou alors il ne voulut pas les voir, il ne voulait pas y croire. “Bien sur oui ...” Son père baissa le regard, et lui tourna le dos. Jérémy resta dehors, ne comprenant pas ce qui était en train de se passer. “Bien sur oui. Et la seule qui t'empêchait de rentrer c'était ma petite princesse. Alors tu as voulu la sauver en lui plantant un couteau dans le coeur. C'est très héroïque Jé', félicitations.” Le silence s'abattit autour de lui. Ses frères le regardèrent une dernière fois, tristement. L'un d'eux voulu venir le prendre dans ses bras, murmurant son prénom. Mais son jumeau le retint et lui ordonna de retourner à l'intérieur. Puis se tournant vers son grand frère, ce grand frère pour qui il avait prié ces derniers jours, il versa une larme. “T'as vraiment merdé sur ce coup Jé'. Tu as survécu, bravo, dommage que tu es dû tuer notre petite soeur pour cela. A partir d'aujourd'hui tu es mort pour nous.”“A quoi bon avoir survécu dans ce cas ?” Demanda son ainé, désemparé. “Bonne question. Peut-être aurait-il mieux fallu que tu meurs toi aussi alors.” Jérémy fut choquer des mots que lui envoya son frère. Il leva un regard affligé vers cet enfant qui ferma la porte de sa maison en souriant.

I can feel your halo
Il perdit la raison. Durant des années il se laissa engloutir par les flammes et le tourment. Longtemps il pleura cette soeur qu'il avait perdu, qu'il avait vu partir dans ses bras, et il croyait encore à la sensation du liquide rouge sur ses mains. Il mourut une seconde fois. Il se perdit, oubliant son nom, sa famille, sa soeur, sa mère et ses promesses. Durant quatre ans il vécu de chasse et de trouvaille, de vols et de charité. Et il se laissa mourir. Il quitta le onzième district en espérant qu'ailleurs il serait accueillit en héros, puisqu'il avait gagné les jeux. Mais son crime prenait le pas sur tout le reste et tous le virent comme le meurtrier de sa petite soeur. Personne ne crut à son histoire si bien qu'il n'y croyait plus lui-même. Bientôt il se souvint avoir lui-même poignardé sa soeur avec un couteau qu'il avait aiguisé quelques jours auparavant. Il avait compté le nombre de coup de feu tiraient depuis le début des jeux, mais la faim et la fatigue l'avaient poussés à bout et il avait simplement poignardé sa soeur pour que sa s'arrête. La peine, la douleur qui accompagné ce souvenir le tourmenté tant et si bien qu'il voulut arrêter de penser. Il regardait le vide et attendait durant des heures en espérant s'oublier. Peu à peu, les souvenirs inventés ou non se dissipèrent, et il ne resta rien en lui qui pouvait s'apparentait à celui qu'il avait été jusqu'à présent. Il avait dix-huit ans et il arriva au deuxième district. “Je souhaite devenir Pacificateur.” Il avait perdu le gout de vivre, les autres l'avaient rejeté, sa famille l'avait rejeté. Et apparemment, il avait acquis le gout du sang. “Quel est votre nom ?” Il eut un moment d'hésitation. Il regarda l'homme en face de lui avec un air vide, morne, comme si la mort l'avait déjà consumé. Puis soudainement, un sourire naquit sur ses lèvres, son regard s'illumina d'une lueur nouvelle, flamboyante et sadique. L'excitation rendit sa peau plus rosée, et il se redressa. “Je m'appelle Phoenix Lewis.” Jérémy était mort. Durant deux ans, Phoenix suivit un entrainement intensif et violent. Il apprit à maitriser le sang, et à torturer et tuer ses semblables. Il se remémore parfois sa première leçon de torture. Un homme, enchainait, recevait des coups de fouets et une cisaille venait d'être sortie pour lui arracher les doigts un par un. Le jeune homme, soudainement choqué, s'écria devant tous :“Arrêtez ! C'est inhumain !” Tout se stoppa durant deux minutes, ils le regardèrent et l'homme portant la cisaille se tourna vers lui en souriant. Il s'approcha. “Tu as raison. Nous devons arrêter ... C'est toi qui te charge de le faire parler, Phoenix.” Il lui tendit la cisaille, et l'élève, alors, surpris et excité, s'en empara. Comme un automate, il se tourna vers sa futur victime qui le supplia déjà et lui coupa la langue. Il apprit beaucoup de cette première leçon : l'homme était inhumain par nature, l'humanité n'était pas acquise elle se gagnée; pour recevoir des aveux, couper la langue d'un homme était stupide; il n'y a rien de plus jouissif en ce monde que la douleur de ce qui qui nous on fait souffrir. Dans le cas de Phoenix il vit en les personnes des habitants des districts des ennemis et rien de plus. A vingt ans il devint officiellement un pacificateur et fut envoyé dans les districts pour le compte de l'autorité suprême : le Capitole. Il tua, tortura, découpa des centaines de gens, des rebelles, des innocents, des hommes et des femmes. Il ne connaissait ni la pitié, ni le remord, ni la douleur ou la peine. Il ne culpabilisait pas. Il aimait ça. Il aimait ce qu'il avait réussit à devenir. Il aimait accompagner la mort, cette alliée si fidèle. Lui un meurtrier au service du pouvoir. Les gens étaient de vils hypocrites à ses yeux. Tous pleuraient leurs enfants lorsqu'ils partaient au jeux, mais tous, il le savait, espérait ne pas les voir revenir. Aucun ne pourrait supporter l'idée que son enfant ait survécu, après avoir tué le fils ou la fille du voisin, ou un membre de sa propre famille. Phoenix devint cruel et sévère envers l'espèce humaine qui ne l'avait pas épargné. Et surtout, à mesure du temps, il apprit à haïr son passé, et particulière sa soeur Domino, qui l'avait détruit.

Anh je suis désolée c’est moi qu'il faut taper j'ai du faire une fausse manip quand j'ai changé le bottin ce qui fait que Ben Barnes n'apparaissait plus


Vous choisissez Josh (qui n'est pas pris ) ou vous avez besoin d'aide ? ^^

Bienvenue sur le forum, quand même j'espère que tu te plairas sur Mockingjay

et encore désolée pour cette erreur de ma part

BIENVENUE
Bonne continuation pour ta fiche
Et puis comme mon double-compte est un pacificateur, il nous faudra un lien