siam tangerine vassily

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Je me vois pas vieillir et mourir paisiblement dans mon lit, sans vraiment m'en rendre compte... On ne vit pas dans un monde qui nous permet vraiment d'avoir cette chance, ou plutôt, tout le monde ne l'a pas... Je veux dire, c'est pas équitable le fait que quatre-vingt pour cent de la population ait plus de chance de mourir dans d'atroce souffrance que de s'en aller tranquillement, alors que les vingt pour cent restant, eux, savent pertinemment que leur mort sera douce et délicate. Alors non, je peux pas me voir mourir de vieillesse tant que je ne suis pas certaine que n'importe qui puisse avoir ce droit là. En attendant, j'imagine ma mort violente et douloureuse, comme tout le monde.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Je crois que je pourrais mourir pour un peu n'importe qui... Quand je vois quelqu'un en danger, je me demande pas franchement qui il est ou ce qu'il fait dans la vie, ni même si l'aider est dangereux pour moi, j'y vais juste, parce que j'ai la sensation que je dois le faire tout simplement. Après, il y a ce que tout le monde réponds à ce genre de question, des réponses toutes faites et d'une banalité sans nom "Je mourrais pour ma famille" "Je mourrais pour les gens que j'aime", mais je le dirais pas, parce que à mes yeux, ses réponses sont d'un égoïsme profond et ça ne me ressemble pas trop.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Ma mère a été élevé d'une manière très difficile par ses parents, ils avaient tellement peur qu'elle soit tiré au sort, tellement peur qu'elle disparaisse du jour au lendemain, qu'ils l'ont entrainé des ses plus jeunes années à se battre. Moi, je n'avais aucune chance d'être envoyé au jeu et pourtant, comme une espèce de tradition lugubre, ma mère m'a fait la même chose. J'étais encore une petite fille d'à peine quatre ans lorsqu'elle a commencé à m'apprendre l'art du combat, elle m'a forcé à développé rapidité, agilité et techniques pour que je puisse survivre le plus longtemps possible, c'était sa phrase fétiche. Puis quand j'ai eut l'âgé, le district 13 m'a entrainé pour que je deviens soldat, j'appréciais alors je me donnais à fond et j'ai vite été parmi les meilleurs. Cela dit, rapidement, je me suis aussi tourné vers les soins, j'ai donc suivis une double formation éreintante mais nécessaire. Aujourd'hui, je me consacre presque exclusivement aux soins en tant qu'infirmière, j'ai donc de bonne notions sans pouvoir non plus opéré à cœur ouvert toute seule.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Mes parents me parlaient de certains de leurs amis d'enfance qui avait vus leurs enfants tirés au sort lorsqu'ils vivaient encore au district 1. Ils m'en parlaient sans arrêt, de leur peine, de la peur qu'ils avaient éprouvés à l'époque en se disant que si un jour leur amour donné naissance à un enfant, ils y auraient des chances pour qu'on le leur retire brusquement et sans pitié, c'est d'ailleurs ce qui les as rapidement poussé à quitter leur district de naissance pour rejoindre le district 13... Moi, je n'ai pas connus ça et franchement, ça me va très bien comme ça.

➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?

Je sais que je devrais être en un sens reconnaissant de vivre au DISTRICT 13, de ne pas avoir vécus cette peur d'être tiré au sort pour les jeux, mais pour être honnête, je déteste réellement le district, sa façon de nous faire vivre, ce contrôle permanent qu'il a sur nous. On ne peut pas sortir quand on veut, on doit suivre un emploie du temps déterminé, on a si peu de temps avec nos familles... Je n'appelle pas ça la liberté, pourtant, c'est pour ça qu'on se bat non ? C'est pour cette put**n de liberté qu'on envoie des gamins à peine majeur se battre ? Qu'on ait du se cacher durant les premières années je le comprends, mais je n'accepte pas la façon dont tourne le district 13. Je veux vivre, pas survivre. C'est aussi pour ça que j'ai suivis une double formation, je veux dire qu'au début, je crois que j'avais juste envie de faire plaisir à ma mère, mais mon vrai but c'était d'être infirmière, puis je me suis rendu compte qu'en étant soldat, je pourrais sortir et être un peu libre. Mais je n'ai fait que quelques missions avant de finalement revenir en tant qu'infirmière, cela dit, ma double formation m'a permis plus d'une fois de pouvoir accompagné des soldats en tant que renfort médicale, mais je préférais vraiment pouvoir être libre de mes mouvements... Je me demande depuis de nombreuses années si finalement Coin n'est pas simplement une copie un peu raté de Snow.

JE VIENS D'UN MILIEU plus ou moins favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE quotidienne mais contrôlé. DU COUP, MON NOM N'A aucune CHANCES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER DE Infirmière (soldat de temps à autre en soutient surtout) ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime mon métier. JE SUIS DANS LE 13ÈME DISTRICT. AYANT 24 ans JE ne peux pas PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je n'ai jamais souffert de leur tirage au sort. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

I'm back (j'ai l'autorisation d'Ava évidemment, je ne me serais pas permis de refonter mon personnage sinon >< )

FEATURING Bora Yoon© COPYRIGHT tumblr

tell us your story.

« Docteur Jeckyll ... »

« Qu’est-ce que tu fais ? » Siam releva la tête, l’air incrédule, presque innocente, un crayon de couleur à la main... Oui, à 24 ans elle s’amusait très souvent à faire des coloriages des plus enfantins, enfermé dans un coin sombre de l’infirmerie. Elle aimait les endroits exigus, car elle appréciait le calme, alors quand elle en avait vraiment besoin il n’était pas rare de la retrouver dans une armoire ou même sous un lit en train de colorier un quelconque dessin de façon extrêmement soigné. « Je fais une pause… On a pas mal de blesser à l’infirmerie et certains sont assez embêtant, comme Isaac, il a qu'une petite plaie et il se plaint sans arrêt... Enfin, je me change les idées… » Elle avait dit ça avec un large sourire, ne trouvant pas du tout étrange le fait de jouer à ce genre de chose alors que la veille elle était à l’extérieur, en mission, en train d’observer, faussement impassible, des soldats s’entre-tuer. La différence était grande pour le commun des mortels, pas autant pour elle. L’infirmier qui était entré dans la pièce pour lui demander ce qu’elle faisait aurait voulu continuer cette conversation, malheureusement une autre collègue arriva vers eux en courant, l’air paniqué, hurlant de toute ses forces qu’un jeune soldat arrivait ici en urgence, qu’il était grièvement blessé et qu’il fallait absolument quelqu’un d’expérience pour s’en occuper. Siam était peut-être jeune en un sens, mais elle étudiait depuis un long moment et elle avait tout de même plusieurs années d’expériences sur le terrain derrière elle. Alors évidemment, sans attendre quoi que ce soit, elle laissa tomber son jeu du moment, courant jusqu’à la chambre de ce jeune patient. Il était plus que blessé, le sang coulait à flot, il semblait à moitié conscient, un coup présent, un coup somnolant, ce qui ne présageait rien de vraiment bon pour son avenir. Il avait surement tout juste dix-huit ans comme beaucoup de blessé depuis quelques mois, la rébellion ayant poussé à envoyer au front n’importe qui capable de tenir une arme, même les plus jeunes. La seule chose qu’elle pouvait faire contre ça c’était de les accompagner sur les champs de batailles en tant qu’infirmière/soldat ou simplement de les soigner ici, ce qu’elle comptait bien faire aujourd’hui. Assistante d’un médecin plus âgé, Siam opéra à ses côtés durant des heures, luttant contre la fatigue, tentant de sauver désespérément ce jeune garçon, un enfant dont il ignorait tout et qu’elle se refusait pourtant à perdre si facilement. L’opération dura trois heures, trois longues heures au bout desquelles le soldat fut sauvé… Enfin, il respirait à nouveau, il pouvait même parler et ouvrir les yeux, mais jamais plus il ne pourrait utiliser ses jambes… A mettre du côté des dommages collatéraux comme dirait les hauts gradés de la rébellion.

Couverte de sang, Siam retira ses gants qu’elle jeta dans une poubelle avant de passer une main dans ses cheveux, se laissant glisser le long d’un mur, l’air amer oui, mais étrangement souriante pour quelqu’un qui venait de sauver une vie à moitié seulement, c’est en tout cas ainsi qu’on pouvait le voir, c'est en tout cas ainsi qu'elle le voyait elle. « Tu souris toujours quand on perd quelqu’un… Ça fait un peu peur… » La belle laissa échapper un petit rire amusé avant de réponde. « Désolé… C’est juste que je trouve ça toujours très ironique… J’ai arrêté d’être juste un soldat pour sauver des vies… Mais je me dis, que j’aurais surement sauvé pas mal de ses gamins si j’en étais toujours un... » « Tu sauve des vies d‘une autre façon, mais tu les sauve quand même… » « Ouais… Reste à savoir si j’aime vraiment cette façon là plus que l'autre… » Toujours souriante, mais loin de laisser transparaitre une quelconque vrai joie, la jeune femme se releva, donnant une tape fraternel dans le dos de ce jeune infirmier qui semblait si surpris par ses dires, puis elle s’en alla, tout simplement, se dirigeant vers un endroit un peu plus gaie, celui réservé aux enfants. Son refuge, son lieu saint.

Il y avait des enfants malades, blessés, qui se retrouvait dans cet espace bien plus coloré que le reste de l’hôpital, un endroit que Siam aimait par-dessous tout… et ce pour une seule et unique raison : Les jeux qui s’y trouvait. Ça parait égoïste dit comme ça, mais elle n'avait jamais honte de l'être un peu de temps en temps, elle trouvait ça plutôt nécessaire en fait. Grande enfant elle ne venait ici que pour ces jeux, que pour s’amuser à des jeux de gamins plutôt spartiates mais qui lui redonnait instantanément le sourire, elle aimait aussi le contact avec les enfants, mais ça, c’était plus un bonus qu’un vrai but. Elle se moquait de ressemblait à une gamine de douze ans lorsqu’elle jouait a la pèche au canard, elle se moquait de perdre toute crédibilité en tant qu’infirmière lorsqu’elle riait comme un camionneur aux blagues potaches de certains adolescents, elle se moquait de l’avis des autres et même de ce qu’elle aimait, tout ce qu’elle voyait, c’était son propre bonheur du moment et si ça ne plaisait pas, tant pis. Elle fonctionnait ainsi, elle aimait passer d'une action à une autre même si la seconde était aux antipodes de la première, et même si elle savait que ce n'était pas la meilleure façon de faire, elle savait aussi que ce n'était pas la pire et ça lui suffisait amplement.... Pour l'instant.

« ... & Mister Hyde. »

« T’a une mission à l’extérieur ? » « Ouais, je dois accompagner un groupe de soldat et comme je suis l’une des rares à savoir tenir une arme ET à savoir utiliser un bandage correctement…. » Sur ses mots Siam offrit un large sourire à son petit frère, Seymour, une tête brulé totalement sous le charme de son ainée, et n’imaginez pas une quelconque connotation sexuel à tout ça, il n’y a rien de semblable dans cette amour fraternel, non, juste une réelle admiration et une confiance presque excessif l’un envers l’autre. Siam était une habituée des sorties militaires, ou tout du moins elle quittait davantage le district 13 que la majorité des autres infirmières simplement parce qu’elle avait une double formation et que c’était toujours utile d’avoir quelqu’un capable de retirer une balle ou de panser des blessures quand on s’apprête à mener une opération plus ou moins dangereuse. Elle n’accompagnait pas toujours les soldats, mais tout même, elle passait parfois plusieurs semaines à l’extérieur pour les aider, tant bien médicalement que militairement même si elle fuyait autant que possible les combats…. En rangeant son sac et en pensant à cela, la belle tomba sur un objet qui lui rappela énormément de souvenir… Un collier trouvé dans un district plusieurs années auparavant, alors qu’à l’époque elle était soldat et uniquement soldat. C’était sa première mission en tant que tel, Siam était si excité à l’idée de se retrouver à l’extérieur, à l’idée d’utiliser tout ce qu’elle avait si durement apprit enfin contre un ennemi. Cette jeune demoiselle était la meilleure au combat, rapide, forte, stratégique, elle était capable de tuer un homme sans qu’il ne la sente arriver et pour être honnête, à cette période, elle en était plutôt fière. Je ne dis pas qu’elle balançait à qui veut l’entendre « Yoo je peux te tuer sans que personne ne remarque tu sais! », non, mais Siam avait à peine dix huit ans, elle s’était décidé à voir le bon côté de l’entrainement brutal qu’elle avait subit était enfant, elle essayait de se dire que ça en valait la peine et que c’était même un cadeau. Alors quand on lui avait annoncé qu’elle ferait partie des plus jeunes soldats à partir en mission, elle avait sauté de joie, euphorique, ravis.

Les premiers jours c'étaient plutôt bien passé, elle était concentrée, comme à chaque fois qu’elle se met à bosser, rien ne pouvait la détourner de sa mission… Puis tout était allé très vite, des coups de feu échangé, des hurlements, un homme au sol qu’elle n’a pas hésité à achever, car il était un ennemie, et cette femme qui est arrivé de nulle part, en pleure, totalement hystérique. Cette dernière s’était littéralement effondré sur le corps du pacificateur, chacun de ses hurlements transperçaient le cœur de Siam, de cette femme qui n’avait jamais vraiment réalisé que tuer un homme, c’était parfois tuer un peu plusieurs personnes en même temps. En tant que soldat on ne vous apprend jamais ça, on ne vous dit pas que vos ennemies sont des pères, des frères, des fils, on vous dit juste qu’il faut les éliminer avant qu’il ne vous élimine vous… Surement trop empathique, Siam n’avait pas réussit à accepter ça, à se dire que c’était normal, que c’était ça la guerre… Elle le comprenait, mais elle ne voulait plus en faire partie, plus de cette façon en tout cas….

« Siam? Tu m’écoute ? » La belle était perdu dans ses pensées, dans ses souvenirs, et c’est la voix de son frère qui la réveilla, la ramenant brutalement dans le monde des vivants. « Oui ? » « Je disais que tu devrais peut-être pas emmener… autant de cotons… » Sans le voir, la jeune femme avait remplit son sac de sachet de coton, ce qui la fit sourire, amusé par tant de maladresse, elle qui était normalement si concentrée. Après avoir rit un bon coup avec Seymour, elle termina son sac correctement, le lançant par-dessus son épaule pour rejoindre le groupe de soldat qu’elle devait accompagné, un groupe dirigé par un officier trop zélé, qui aime donner des ordres pour se sentir exister, le genre de mec que notre infirmière n’appréciait pas du tout et il allait l’apprendre à ses dépends. « Vous êtes en retard Vassily. » Affichant un sourire amusé, elle se contenta de rétorquer. « Mieux vaut tard que jamais. » Le débriefing pu commencer sur cette note légère, le hic dans tout ça, c’est que le chef d’équipe était un sadique un peu co* sur les bords, le genre de type avec qui elle ne s'entendait pas vraiment car ils adoraient montrer leur force au monde pour être respecter. Un combat de coq en quelque sorte. Celui là était presque le pire, il prenait un malin plaisir à rabaisser l’un de ses soldats, une jeune recrue, surement tout juste sortie de l’entrainement, il était physiquement du genre à être emmerdé par tout ce qui bouge sans pouvoir réagir, chétif et pas très impressionnant en somme. Brimade, bousculade, moquerie, le pauvre avait le droit à tout, et les soldats qui l’accompagnaient, prit par la néfaste effervescence de l’effet de groupe, ne semblait pas franchement vouloir le défendre. Seule Siam restait statique face à cet humour qui n’en était pas à ses yeux, son visage était fermé et elle ne quittait pas des yeux l’officier supérieur en charge de la mission… Il le remarqua d’ailleurs, tombant nez à nez avec son regard, des yeux de biches qui aurait très bien pu le tuer sur place dans une autre dimension, on aurait presque pu voir une espèce de flamme jaillir de ses pupilles… Au début il tenta de soutenir se regard mais bien vite il abandonna, reprenant le briefing comme si de rien n’était, juste légèrement et temporairement désarçonné.

Une fois terminé, tout le monde alla dans son coin, vacant à ses occupations, préparant les derniers détails avant le grand départ. L’officier s’éloigna alors, prenant un couloir désert pour ce rendre dans ses quartiers surement pour récupérer quelque chose, malheureusement pour lui, il tomba sur Siam, ou plutôt c’est Siam qui lui tomba dessus, si discrètement qu’il ne put retenir un léger et presque imperceptible sursaut, surpris par cette apparition si soudaine. Que voulez-vous, quand on a du sang de ninja de l’ombre en soit… « Qu’est-ce que vous faite là ? » « Pourquoi vous martyriser ce gamin? C’est sa première mission, il est terrorisé et vous vous amusez à l’humilier ? Il n’a confiance en aucun de vos hommes, si vous le faite partir avec nous, il nous mettra tous en danger parce qu’il ne pourra pas compter sur le type à sa gauche comme sur celui à sa droite… C’est en tout cas ce qu’il va se dire, résultats, il va faire une connerie et on se fera tuer. » « Écoutez, je ne viens pas vous dire comment soigner vos patients, ne venez pas me dire comment gérer mes troupes… » … Un silence… Puis un coup rapide donné à la gorge, une main saisi et retourné comme si de rien n’était, un coup de pied violent dans le tibia et cet officier d’à peine quelques années de plus qu’elle, se retrouva à genou, au sol, physiquement soumis à sa bourreau du jour qu'il avait, comme beaucoup, bien trop sous-estimé. « Il n’est pas question que je laisse ses gamins se faire tuer, et encore moins moi-même… Alors vous allez lui dire de rester là et l’affecter ailleurs… Sinon… » « Tu me casse le bras? Comme si c’était suffisant… » « Non, enfin je te le casserais surement, mais j’irais surtout raconter à tout le monde que tu t’es fait maté par une infirmière… Tu verras ce que ça fait d’être la victime des autres… » Sur ses mots elle lâcha prise, le poussant loin d’elle comme par dégout avant de simplement s’en aller, sans un mot de plus. Quand elle arriva vers les soldats elle perdit son visage renfermé et fort pour laisser place à des sourires presque mignon et innocent, même lorsque l’officier refit surface. Évidemment, la recrue fut affecté ailleurs et la mission eut lieu sans lui et se termina sans une seule perte… Ha la persuasion féminine est parfois si utile.