samuel uriah kennedy

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

La mort est quelque chose de si lointain. J'ai passé l'âge de me présenter à la moisson, et ais eu la chance de ne pas être tiré. A présent, je la regarde un sourire aux lèvres, persuadé de l'avoir déjouée. Elle ne m'aura pas. Seulement, mes proches n'ont pas toujours eu la même chance que moi. Ma sœur, ma petite sœur, morte à cause de cet être abject. Je ne l’appellerai pas mon frère. Celui qui aurait dû crever à la place des bonnes personnes autour de lui. Si je le pouvais, je déciderais moi même de mettre fin à la vie de plusieurs personnes. Un droit qui devrait m'être tout attitré. Après tout, il n'y a qu'un être tout ce qu'il y a de plus objectif pour décider d'une chose pareil. Et je le suis. J'en suis persuadé.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Pour rien ni personne. Il n'y a rien, à mon avis, dans ce monde qui vaudrait la perte de ma vie. Savez vous à quel point je suis important pour le district, même pour la société ? Combien de personnes souffriraient-ils de ma perte ? Non. Je ne peux pas envisager une chose aussi sordide. Aussi ridicule. Mais, si j'y réfléchis bien, je préférerais mourir pour préserver mon honneur, ma fierté. Si elle venait à être entachée, je me couperais la gorge. Suis-je bien en train de dire que la seule personne pour laquelle je pourrais mourir est moi même ? On peut le dire comme ça, oui ..

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Je ne suis pas née dans une famille très riche. Ainsi, je n'ai pas pu avoir un entraînement très développé pour les jeux, et ne puis compter que sur moi même pour acquérir certaines compétences. Je me sais très agile et rapide : le maintien de ma condition physique étant quelque chose de très important pour moi. Je ne sais malheureusement manier aucune arme, mais ais quelques connaissances en médecine qui m'ont été apportées par quelques livres très intéressants.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Mon frère a participé aux jeux. Mon petit frère, Azrael. Autant dire que j'aurais préféré qu'il meure dans cette arène, plutôt qu'il revienne vainqueur. J'ai toujours pensé que c'était une injustice suprême, une sorte de test pour voir si j'avais des nerfs d'acier. Tous les jours, je me maudis d'être né dans cette famille, la même que ce .. ce sous-homme. Sinon, je ne connais personne qui est mort là bas. Oh, de vue, si, certains tributs carrière de mon district, mais personne que je ne connaisse personnellement et dont la perte puisse me faire quelque chose.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

En aucun cas je ne pourrais faire partie d'un mouvement si ridicule que le mouvement rebelle du district 13. Je suis persuadé que ce n'est qu'une phase, qu'un petit jeu que certains habitants trouvent amusant. Cela crée de l'adrénaline, non ? De se dire qu'on doit se cacher. Je trouve ça très drôle, à vrai dire. Qu'un petit groupe de personnes puisse penser rivaliser avec le Capitole. Je suis absolument contre cette rébellion mais à vrai dire, cela ne me ferait que du divertissement de pouvoir les regarder s'entre tuer sans que cela ne change quoi que ce soit au système.

JE VIENS D'UN MILIEU moyen mais à présent favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est plus que suffisante. DU COUP, MON NOM A aucuns RISQUES D'ÊTRE TIRE AU SORT. J'EXERCE LE MÉTIER D' architecte ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime. JE SUIS DANS LE 2ÈME DISTRICT. AYANT 26 ans JE ne peux pas PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'attends la prochaine moisson avec impatience. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.

reality is here.

tell us your story.

Tu marches, le regard perdu au loin, les mains dans les poches et le cœur lourd. Est-ce seulement possible, Uriah ? Que tu puisses ressentir une once de fureur ? Une pointe de dégoût pour ce qui te fait, toi et ta famille ? Tes doigts tremblent, tremblent d'envie d'attraper une mine et de tracer des lignes sur du papier. De déverser tout ce que tu ne peux pas montrer, tout ce dont tu as honte de même penser. Tu le détestes. Tu l'abhorres. S'il existait un mot plus fort, tu l'utiliserais. Parce qu'après tout, tu en as marre d'être associé à cet énergumène. Le nom Kennedy, tu l'enterrerais profondément dans le sol si tu pouvais. Le prénom Azrael se répète à l'intérieur de ton crâne, déclenchant une de tes nombreuses migraines. Si seulement il n'existait pas. Tout ne serait-il pas plus simple ? Il t'avait volé la place sous les projecteurs dès sa naissance, et si tu avais pu l'en empêcher, tu l'aurais fait. La violence dont il avait fait preuve envers tes sœurs t'avait été insupportable, mais tu avais simplement observé. Ce n'était pas à toi de t'interposer. Si tu avais assisté à un meurtre commis par lui, tu n'aurais dit mot. Car tu ne fais office que meuble à glace, un autre zombie parmi les autres. Et contrairement à d'autres, tu en es fier. Le genre à se faire frapper et torturer sans dire un mot, sans même détourner son regard du seul point noir sur le mur. Peu amusant. Peu intéressant. En ton fort intérieur, les organes se tordent. Ton cerveau crie à l'aide, que quelqu'un puisse déverrouiller le cadenas qui le garde prisonnier. S'énerver, toi ? Jamais. Tu restes calme en toute situation, ou presque. Cette fille a failli te faire perdre patience, la dernière fois. Qu'est-ce qui est si spécial chez elle ? Pour qu'elle ait attiré ton regard. Pour que, l'espace d'un instant, tu la trouves jolie. Pourtant, l'espèce féminine a toujours été un mystère pour toi. Tu n'y as jamais accordé le moindre intérêt, si ce n'est pour satisfaire tes besoins primaux d'homme. Moins fortes, moins intelligentes. C'est ce que tu as toujours pensé. Et devant toi, elles ont le chic pour glousser et se tordre dans tous les sens, tellement qu'elles t'agacent. Mais pas elle. Elle t'a parlé, franchement, directement. Et cela a actionné quelque chose en toi.

Les années s'ajoutent à ton âge et tu envies secrètement tes cadets. Tu passes à côté d'un terrain d’entraînement de carrière, et soudain, tu te prends à imaginer quelle aurait été ta vie si tu t'étais porté volontaire à la place de ton frère. Sûrement que tu serais ressorti vainqueur : il n'y a même pas d'autre possibilité à tes yeux. Tu te serais battu et tu aurais tué de sang froid, sans même éprouver la moindre culpabilité. Apparemment, cela coulait dans les veines de la famille. Parce que tu as cette étrange capacité : celle de pouvoir contrôler tes émotions à souhait. De pouvoir activer le bouton en mode on, ou off. La plupart du temps, il reste éteint. Plus facile pour juger tes semblables et les placer en dessous de toi. Plus simple pour placer une phrase sarcastique qui pourrait être mal prise. C'est ce que tu as fait, d'ailleurs, lorsque vous étiez dans cette grotte. Tu as remarqué qu'elle avait de la répartie. Ce n'est pas tous les jours que les gens se donnent le droit de te répondre. Au final, elle a laissé une marque dans ton cerveau, une image que tu t'es empressée d'exprimer de ton crayon. Et tu l'observes. En te demandant de quoi elle est faite. Et si tu seras capable de lui échapper.