tell us your story.

Dire que ma venue sur cette terre était tout ce qu'il peut d'y avoir de plus banal aurait été mentir. Ma mère se trouvait dans son casino préférée une bonne masse d'argent à la main, son salaire qu'une nouvelle fois elle viderait en un seul pari. Mon père quand à lui comme d'habitude tenait un verre à la main draguant tout ce qu'il bouge.. Durant des années ma mère n'avait pas cessée de me dire qu'il n'était pas quelqu'un d'infidèle, que c'était le meilleur mari du monde bien que ses problèmes d'alcool lui faisait aussi souvent changés d'avis. Elle ignorait tout de la seconde vie de mon père, qu'avec sa maîtresse il avait eu un autre enfant mais, que pour s'occuper de moi et de ma soeur il avait tout laissé tomber. Mon père n'a jamais été quelqu'un d'honnête, tout le monde pendant longtemps voulait le faire comprendre à ma mère mais, amoureuse elle était devenue accro à cet homme. « Mon dieu, elle a déjà ta tronche Estelle. » Oui j'étais le portrait unique de ma mère -en mieux.- Les gens me rappelaient sans cesse notre ressemblance, bien que je n'avais pas de rides et pas la tête d'une droguée. Au fond je n'avais aucune envie de lui ressembler, ma mère c'était juste une femme comme les autres à mes yeux, une femme qui ne s'occupait pas de moi comme toutes les mères devraient le faire et mon père c'était pareil. Avec le temps il c'était calmé avec l'alcool, il évitait de rentrer bourré chaque soir mais, c'était ma mère qui avait finis comme lui ; Alcoolique. Dans le fond, j'avais un père malhonnête qui avait eu un enfant dans le dos de ma mère et une mère alcoolique accro au jeux. « Au moins je suis sûr qu'elle ne sera jamais comme toi Arnaud. » Mais il ne fallait pas oublier un détail, ma soeur jumelle.

Devyn & Danaé ont beau être des jumelles, elles sont très différente l'une de l'autre. Déjà enfants, on pouvait facilement voir la différence et ici, je ne parle pas de leur apparence, car de ce côté elle se ressemble comme deux gouttes d'eau mais belle et bien de leur caractère et de leur façon d'être différente. Dès son plus jeunes âges Danaé était du genre à ce prendre pour une princesse, alors que Devyn était plutôt de ces filles qui rêvait d'être une chevalière. C'était souvent leur jeu d'ailleurs, Devyn en pro chevalier qui venait délivrer la princesse du château. Jusqu'à ce qu'elle ai l'âge d'être moissonner car depuis là, c'était devenu sérieux. La princesse devait disparaître et elle devait devenir une vrai guerrière, car oui Danaé rêvait d'être piger et de gagner les jeux. Chose demandé, lors des 72ième hunger games, c'est le nom de Devyn que prononça la femme ou l'homme, peut importe. Devyn s'était sentis faiblir, elle avait perdu toute notion du temps, elle était dans une bulle. Mais c'est Danaé qui monta sur le podium, car elle venait de ce porter volontaire. Le matin même elle lui avait bien préciser : Si je me fais moissonner, ne vient pas me dire au revoir. À quoi bon, on se reverra à la fin des jeux !

La mort de Danaé à été un cou dure pour la demoiselle, elle fixait cet écran avec insistance, comme si sa soeur allait en sortir pour lui demandé de l'aider. « Je crois que je suis morte. » Sortis la blondinette en regardant l'écran, la chose la plus bizarre était qu'elle avait l'impression de ce voir, c'était elle qui s'était fait moissoner, pas sa soeur. Elle s'est lever, dans la petite salle il y avait un pacificateur, ces deux parents ainsi que le maire. Elle à regarder les personnes présentes et s'est mise à hurler. La table sur lequel elle avait posé ses coudes quelques secondes au paravant, elle la retourna la vaisselle ce brisa. Le pacificateur accouru vers elle, mais se pris une chaise dans la figure. Elle le regarda, son père se leva pour lui mettre une giffle. Elle regarda une dernière fois l'écran, quand le canon retentit pour alerter la mort de sa soeur jumelle, avant de s'écrouler au sol, trou noir.

Devyn n'avait jamais été toute sage, elle avait souvent eux des problèmes avec les pacificateurs. La famille Baker était souvent alerter car leur fille avait volé au marchant des bijoux ou du pain au boulanger. Elle était punis, en général par ses parents, mais quelques fois c'était eux, les pacificateur, les forces de l'ordre qui la punissaient en lui demandant les taches les plus affreuse, un jour elle dut ce mettre à nu pour ne pas écoper d'une trop grosse amande, oh elle n'a jamais du aller jusqu'à offrir son corp, sa virginité car oui elle est encore vierge à 21 ans, elle ne veut pas d'enfant, pas d'amour, elle ne veut pas avoir peur de perdre quelqu'un. Et pourtant, n'est-ce pas une chose qui arrive sans demander ?

Alors que la blondinette tentais d'ouvrir les yeux, du mouvements s'agitait autour d'elle. Lorsqu'elle ouvrit ces yeux, ce fût un plafond grisâtre, des bruits de machines qu'elle entendais autour d'elle. Elle cherchais quelqu'un, quand une femme accouru, c'était sa mère. Elle avait de grande cernes autour des yeux et des rides sur le front. « Maman ? Maman ? Où suis-je ? Où est papa ? Et où Danaé ? » La demoiselle était tombé dans un coma alors que sa soeur était morte. Quatre et deux mois. Elle n'avait plus 15 mais 19 ans maintenant. Elle avait évoluer, ses seins étaient un peu plus gros qu'avant, ses yeux avait éclaircis, mais elle était très blanche elle n'avait aucunement bronzé. Après quelques jours, tout commençais à correspondre. Son père était dans les affaires de la rébellion, il savait que sa fille allait finir dans un bâtiment hautement sécurisé si il ne faisait rien, après accord avec Estelle, la mère de Katäm, ils partirent tout les trois dans les souterrains du district 13 où après tout les soins possible, la blondinette finis par ce réveiller. Elle ne sais pas pourquoi elle est ici, elle ne se souvient pas de la visualisation de la mort de sa soeur.

Devyn était entrain de chanté une petite comptine, elle était seule dans ce rectangle qui lui servait d'appartement, ce n'était pas bien spacieux, il y avait une salle de bain, un lit double ainsi qu'un petit sofa et une armoire. « Tu as vu Dana, je me souvient toujours des paroles, tu l'aimes toujours hein ? » Il y avait tous de même un médecin derrière une vitre en colophane, comme on utilise dans les prisons. « J'en étais sur, je sais que c'est ta préférer. » Derrière la vitre, les jugements fuses, depuis maintenant une année, la demoiselle parle seule, comme si elle parlait à sa soeur ou à d'autre personne. Elle les nommes des fois, elle les appelles : tribut 2, Danaé, tribut 7, petit gringalet du district 5... et j'en passe des fois il y a des prénoms qui sortent et c'est grâce à ça que les docteurs on put comprendre qu'elle avait des hallucinations et croyait parlé au tributs des précédente moissons. Alors que l'ont la croyait calme, elle regarda le plafond, les murs... Elle se mit à ce frapper fortement la tête, à pleurer et hurler. Très vite ont est venu la contrôler, mais pourtant elle n'était pas hors de danger, elle devait prendre l'air d'urgence. C'est pourquoi, tous les deux jours environs ils la laissent monté avec les soldats sur les ruines du treize, pour prendre l'air et pour se libérer du poids du monde qu'elle à sur les épaules. La première fois qu'on la laissé sortir, c'était de nuit. En pleine été, donc la fraîcheur était tendre et elle pouvait enfin regarder les étoiles. Elle s'est mise à pleurer, elle était avec deux soldats, un était partit un peu plus loin, alors que l'autre était resté vers elle. « Je suis folle pas vrai ? Ils le disent en dessous, j'ai entendu les médecins dirent que j'ai quelques troubles. » Le soldat n'a rien répondu, mais s'est mis à sourire. Certains jours, elle panique, ses crises revient. Mais le soldat lui avait dit un soir alors qu'ils sortaient, de ce souvenir que les étoiles en dessus, resteront là quoi qu'il arrive. Elle pensait au étoiles lorsqu'il lui était impossible de sortir, à cause du temps ou tout autre raisons. Son travail comme aide soignante lui prend du temps, depuis qu'elle est sortis du coma ils l'ont misent dans ce service, pour garder un œil sur elle, et parce qu'elle à toujours été une bonne main.