I. I'm lost without you, I do not like it is twisted. Ce matin, en ce levant Silas s'était cogné contre sa fenêtre qu'elle pensait ouverte, la nuit avait été tellement chaude qu'elle avait du oublier d'ouvrir la fenêtre. Elle devait aller travailler à la boulangerie et entendre les jacassement de la vieille Dickens. Elle enfila un chemisier blanc, avec le dessous de la poitrine en dentelle ainsi qu'un jolie short noir. Elle mis sa père de ballerine noir elle aussi, elle n'était pas une fille négliger. Elle brossa ses cheveux et pris un élastique si elle voulait ce les attacher plus tard. Elle appliqua ensuite soigneusement un trait fin de crayon noir, un peu de mascara et de phare à paupière avant de sortir de sa maison. Il faisait encore nuit quand la demoiselle partait. La boulangerie était à dix minutes de chez elle à pied, elle passait devant chez Thyäm mais n'avait jamais oser y jeté un œil sur tôt le matin. Comme prévu, la vieille Dickens ce plaignait, le vieille homme me répéta que j'étais une brave fille qui aidais la société et plein d'autre clients tous aussi stupides les un que les autres.

La journée battait son plein, le soleil était présent à tout va, il rayonnait dans tous les sens, sans qu'un seul nuage ne vienne à s'opposer à lui. Le ciel était vraiment magnifique, d'un bleu éclatant. Une douce chaleur se faisait ressentir. Il faisait presque trop chaud. L'été, enfin. Le soleil daignait enfin sortir le bout de son nez, après s'être longuement fait désirer. Silas était bien placée pour savoir que cette année, le temps n'en avait fait qu'à sa tête. Elle avait donc choisi la mère, lieu calme et reposant. Idéal pour faire une promenade, mais ça venu n'étais pour personne d'autre que pour Thyäm. Elle l'attendait soigneusement sur le porc, elle était même assise sur la rembarre, les pieds dans l'eau.

Elle avait déboutonner son chemisier, laissant voir son soutien gorge, elle s'en fichait, il n'y avait pas grand monde, quelques personnes qui, comme elle, venaient simplement se promener, mais elles étaient bien trop loin pour voir la demoiselle. Et même, Silas était sans gène, surtout depuis qu'elle et Thyäm s'était fait prendre en.. en pleine action dans les bois par Sagitta. Elle ne savait pas quand le bateau de son ami revenait, pourquoi l'appellait-elle encore ami ? Même elle, ne savait pas vraiment à quoi leur relation en était. Si elle devait le considérer encore comme son meilleur ami, ou si elle pouvait passé au stade de petit-ami. Elle aperçu un bateau au loin, elle espérait que ce sois lui puisqu'il lui manquait énormément. Elle ne le voyait que lorsqu'il ne travaillait pas, ou alors elle allait le chercher si elle était libre. Elle ne l'avait pas revu, depuis deux jours. Il avait du s'occuper un peu de sa maison, lui qui avait une grande famille. Et puis, elle le voyait aussi quand elle n'était pas forcé de regarder les jeux à la télévision. Elle s'était toujours dis, que si un jour Thyäm ou elle ou même les deux ce verraient contraint de monter sur le podium du district 4, elle en mourrait. Voir son petit ami fuir la mort, elle ne pourrait pas tenir quelques jours en le regardant courir à sa perte. Si c'était elle, elle se battrait si fort, qu'elle en mourrait. Si fort pour revoir celui qu'elle aime. Et si ils se retrouveraient les deux, si.. elle ne préférait même pas y penser, elle en avait peur.

Thyäm s’était réveillé plusieurs fois au cours de cette nuit-là. Il dormait peu et d’un sommeil agité. La journée s’annonçait chaude et difficile pour tous les pêcheurs du district quatre et pour les autres travailleurs qui effectuaient de grosses tâches physiques. Il se réveilla une dernière fois vers quatre heures du matin. Le capitaine du navire sur lequel il exerçait la fonction de matelot lui avait demandé de se réveiller plus tôt afin de pouvoir travailler le plus longtemps au frais. Il l’avait quelque peu forcé, mais a ajouté qu’il allait terminer plus tôt et avoir la journée à lui seul. Il avait immédiatement pensé à Silas. Il n’avait pas vu beaucoup son... amie, dernièrement. C’était difficile pour lui de se libérer pour la voir, car il devait jongler entre les études, le travail ainsi que la famille. Les temps libres lui manquaient beaucoup. Bref, Thyäm partit vers le port trente minutes après son réveil avec dans l’idée de passer du temps avec la jolie Silas, cette jeune fille qui était sa meilleure amie, sauf qu’à présent ils couchent ensemble et éprouvent inévitablement des sentiments l’un envers l’autre.

Peu de temps après que le soleil eut atteint le zénith, le capitaine décida de lever les voiles et retourner au port. Il n’y avait aucune trace de nuage dans le ciel et le soleil frappait fort. Thyäm avait passé le plus clair de son temps torse-nu et avec une bouteille d’eau à portée de main. Tous étaient exténués sur le bateau: la chaleur intense et les rayons du soleil avait considérablement ralenti la vitesse de travail. Le jeune matelot avait même chopé un affreux coup de soleil dans le dos et regrettait de ne pas avoir mis de t-shirt et de lotion solaire après avoir mangé. Une trentaine de minutes plus tard apparut le port du district quatre. Thyäm était impatient d’aller retrouver Silas, mais il se dit qu’il ferait mieux de se baigner un peu dans la mer pour apaiser la douleur que sa peau en feu lui procurait.

Au fur et à mesure que le bateau s’approchait du port, Thyäm put voir une silhouette se dessiner sur le quai. Cette silhouette en question, l’adolescent la connaissait que trop bien. C’était Silas. Son coeur ne fit qu’un bond et les coéquipiers du jeune homme, tous plus vieux que lui, le taquinèrent en voyant son expression changer. Tous les hommes sur le bateau -ce n’était que des hommes, en fait- savaient pour lui et Silas, voilà pourquoi on s’amusait à taquiner Thyäm. Tous le poussaient également à ce qu’il saute sur l’occasion et lui demande d’être en couple. Qu’est-ce qui l’en empêchait ? Rien, probablement. Sans doute qu’il avait peur qu’elle ne veuille pas de lui comme petit-ami. Il n’avait qu’à demander pour savoir.

Lorsqu’il finit par descendre sur le quai, il avait mit un vieux t-shirt et avait un gros sourire aux lèvres. Il savait que même s’il était sale, crasseux et qu’il sentait le poisson mort, Silas serait contente de le voir. Il glissa un regard sur elle et découvrit qu’elle avait détaché quelques boutons de sa chemise, laissant voir son soutiens-gorges. Elle était belle. Non, pas seulement parce qu’elle était habillée ainsi... Elle rayonnait tout simplement le bonheur et l’amour. Thyäm s’avança vers elle, lui sourit et la serra dans ses bras.

« Quelle surprise! J’avais justement en tête de te voir. »

Il se pencha alors pour lui déposer un simple baiser sur les lèvres puis il la garda tout contre lui, tout sourire aux lèvres. C’est alors qu’un de ses collègues de travail, âgé dans la vingtaine, passa à leurs côtés et leur dit qu’ils formaient un couple très mignon. Il l’avait clairement fait exprès, vu le regard taquin et la tape amicale sur l’épaule. L’expression de Thyäm changea subitement et si son regard pouvait lancer des éclairs, l’autre matelot aurait vite été foudroyé.

Oh oui je rayonnais, de bonheur, d'amour et d'eau fraiche. J'avais pensé durant toute la matinée à ce que j'allais bien pouvoir dire à Thyäm, pour lui demander si on pouvait " officialisé " la chose, notre couple ou je ne sais pas vraiment comment l'appeler. J'étais folle amoureuse de lui, c'était bien certain mais le truc c'est que j'avais peur de ce qui pouvait ce passé si on venais à ce mettre ensemble et qu'au bout d'un certain temps ça ne marche plus entre nous, retrouvions nous notre amitié ou étais-ce fini ? C'était la seul chose qui m’inquiétais réellement ou peut être le fait qu'il refuse aussi.

Lorsque je le vis débarquer sur le port, j'ai eu un grand sourire sur les lèvres. Il étais vraiment très beau, il avait pris des muscles et son sourire.. son regard.. son putain de regard. De quoi me faire fondre. Je me suis lever, sans même prendre le temps de rattacher mon chemisier, et me suis blottis directement dans ses bras. Après un baiser, un matelot surement un collège à lui puisqu'il descendait lui aussi du bateau est passé à côté de nous. Il nous à très clairement dit que nous formions un couple très mignon. J'ai regarder Thyäm, il à lancé un regard noir au matelot en question. C'est à ce moment là, que je me suis un peu détacher de lui sans le vouloir. En faite, il ne voulais sûrement pas être avec moi, j'étais pour lui qu'un simple plan cul qu'il pouvait fourrer comme bon lui semblait.

« J'imagine que ça te fait vraiment chier, qu'il le dise ainsi. » lancais-je sur un ton déçu.

Je voulais qu'il me réponde qu'il le voulais, comme moi je le voulais. Mais c'était beaucoup espérer. J'étais folle de lui depuis le premier jour où je l'avais vu à l'école, alors que je venais de rentrer de l'orphelinat. Je me souvient encore ce que ça m'avait fait lorsqu'il m'avait parlé pour la première fois, quand il m'avait pour la première fois pris la main pour monté dans un arbre. C'étais encore quand je ne savais pas ce que je risquais en tombant amoureuse. Mais je voulais prendre le risque, le risque d'avoir peur de le perdre, tout le temps, chaque jour, chaque heure, chaque minute.

I am afraid of loosing you.
Grossière erreur de la part du jeune brun. Silas s’était aperçue du regard qu’il avait lancé à son collègue matelot et sa réaction fût instantanée. Thyäm serra les dents en s’empêchant de jurer. La belle brune se défit de ses bras et se planta devant lui. Il était stupéfait de la voir agir ainsi. La nature indéterminée de leur relation compliquait les choses et l’un comme l’autre n’aimait pas cela. C’était évident. Il ne savait pas comment aborder le sujet, surtout car il ne voulait pas tout gâcher entre eux. Silas lui dit qu’elle imaginait vraiment que ça le fasse chier que son collègue dise qu’ils formaient un couple mignon. Son ton se voulait déçu, mais il semblait sentir une once de reproche ou de colère. Thyäm resta planté là un moment, cherchant les bons mots à dire mais également parce qu’il n’avait pas l’habitude qu’elle lui parle ainsi.

« Ce type ne fait que m’agacer, comme tous les autres sur le bateau. » Il se risqua à sourire, ainsi qu’à ajouter: « Ils n’en reviennent pas que je vois une fille aussi belle que toi. J’imagine qu’ils sont jaloux. »

Il détourna bêtement le regard et soupira. Quel idiot il était d’avoir réagit comme ça. Pourtant, tôt ou tard ils allaient devoir avoir une conversation sérieux à propos de leur relation. Il n’avait pas envie d’être seulement amis. Son coeur battait uniquement pour elle, mais il était simplement incapable de le lui dire directement. Il n’arrivait pas à prononcer les trois mots. Ces mots-là, ceux qu’il avait si souvent entendus lorsque son père était encore en vie. Oui, il était incapable de lui dire « Je t’aime. » Quel idiot il faisait! Il n’avait jamais été vraiment doué pour comprendre et exprimer ses sentiments. Il savait ce qu’était la tristesse, la colère et le désespoir. L’amour et la tendresse lui faisait peur. C’était un saut dans le vide. Et c’est sauter dans ce vide qui fait qu’il est effrayé: il ne veut pas rien briser. Il ne voulait rien briser de ce qui se passait entre Silas et lui.

« J’ai chaud. Allons sur la plage. »

Il lui saisit la main après un vague moment d’hésitation et ils marchèrent un petit moment afin de s’éloigner du petit port du district quatre. Son t-shirt lui collait à la peau et Thyäm aurait bien aimé qu’un vent se lève, même s’il aurait été chaud également. Il retira ses chaussures et les laissa dans le sable. Le sable chaud se faufilait entre ses doigts de pied et il se dirigea vers la mer. Celle-ci était calme. L’eau, ni trop froide et ni trop chaud, était rafraichissante. Il s’y assit après avoir retiré son t-shirt et dévoilé son dos rouge comme une tomate, dû au coup de soleil qu’il avait attrapé lors de la journée. Ce n’était pas beau à voir. Peu de temps après, Silas vint le rejoindre et s’assit à ses côtés, dans l’eau. Les yeux fermés, Thyäm pensait à ce qu’il allait bien pouvoir lui dire. Il espérait ne pas faire de faux pas: s’il la perdait, il ne savait pas ce qu’il allait faire. De plus, il n’osait même pas penser aux Hunger Games. L’année prochaine, ils allaient pouvoir être choisis une dernière fois avant d’être trop vieux pour y participer.

« J’ai... J’ai peur de te perdre Silas. »

C'était risqué et j'avais vraiment peur de lancé le sujet, plein de question ce bousculais dans ma tête, pourquoi pas nous, pourquoi nous aussi. « Ce type ne fait que m’agacer, comme tous les autres sur le bateau. » Il se risqua à sourire, ainsi qu’à ajouter: « Ils n’en reviennent pas que je vois une fille aussi belle que toi. J’imagine qu’ils sont jaloux. » Je ne sais pas si c'était la réponse que j'espérais, mais au moins il avait répondu quelques choses de gentil. Et ça m'avais fais décroché un petit sourire. « Tout le monde n'est pas en ma compagnie. » Le brun détourna le regard, peut-être que je l'avais rendu mal à l'aise, je m'étais tous de même détaché de lui et j'avais été un peu distante. « J’ai chaud. Allons sur la plage. » Moi aussi, j'avais peur de lui dire ces deux mots fatidique. Je ne l'avais jamais dis à personne, ni même à ma soeur qui était tout pour moi. Je le suivais à la plage, il m'avait pris la main. Je ne l'avait pas repoussé, au contraire. J'avais bien trop chaud, c'est pour cela que je n'avais pas rattacher mon chemisier même si la plage.

Le soleil tapais fort, c'est pour cela que j'ai fini par me tressé les cheveux sur le côté. L'eau était bonne, assez rafraichissante pas trop froide pour ne pas y rester. J'avais moi aussi enlever mes chaussures, que j'avais laissé plus loin. Certes un peu de vent n'aurai fais de mal à personne. Il enleva son t-shirt, il faisait beaucoup trop chaud pour un homme de resté avec un vêtement alors que l'on pouvait l'enlever. « Aie.. » Son dos était belle et bien rouge. Ce n'étais pas un petit coup de soleil qu'il s'était pris. Malheureusement je n'avais pas pris mon sac et donc pas de crème avec moi. J'ai pris son t-shirt que j'ai mouillé dans l'eau, avant de revenir m'assoir dans le sable et de lui serré le t-shirt dans le dos de sorte à faire couler l'eau fraîche et de mettre le t-shirt par dessus. , au moins pour rafraichir ses rougeurs. « C'est pas un remède miracle, mais ça devrait un peu te mettre du frais. » Je lui ai adresser un fin sourire ensuite. Ma mère n'étais pas infirmière ou quoi que ce sois, mais lors des grande chaleurs où le soleil tape dur, la crème est un bon truc. Surtout pour un marin sur la mer.

Puis je me remis à réfléchir comme une idiote, je ne devrais pas. « J’ai... J’ai peur de te perdre Silas. » J'ai tourné la tête vers lui, c'étais comme si mon coeur battait si fort que j'avais peur qu'il l'entende, la seul façon dont il pourrait me perdre, serai à ces stupides jeux. Un an, encore une moisson et ce serai fini, pourquoi ce serait nous après tout ? « Tu me perdras jamais. » D'une façon ou d'une autre je ne pourrais plus vivre sans lui, j'étais tombé raide dingue de lui, c'était fait.

Thyäm était perdu dans ses pensées lorsqu’il sentit Silas lui éponger son dos rouge avec son t-shirt trempé. L’eau qui coulait dans son dos lui faisait un bien fou, même si ce n’était pas de la lotion. Le jeune matelot allait probablement mal dormir et ce vilain coup de soleil en serait la cause. La jeune brune vint alors prendre place à ses côtés et il se recroquevilla légèrement, déposant ses coudes sur ses genoux. Pourquoi est-ce qu’il avait peur ? Ce n’était pas comme la première fois où il l’avait embrassé, dans les bois... Là, il y avait une raison de craindre un refus. Seulement, après tout ce temps, même après s’être échanger d’innombrables baisers et caresses, il craignait toujours de la perdre. Il lui en fit part, trébuchant un peu sur ses mots, puis il regarda au loin. La mer était magnifique. Quelques vagues venait s’échouer sur le rivage. L’atmosphère avait une légère odeur salée qui venait justement de l’eau.

Silas lui confia qu’il n’allait jamais pouvoir la perdre. Un mince sourire apparut sur le coin de ses lèvres alors qu’il tournait la tête pour affronter son regard. Il avait envie de lui faire répéter ces mots qu’elle venait de prononcer. Il soupira doucement. La vie est trop courte pour ne pas saisir des opportunités comme celle-ci, Thyäm le savait. Il toisa les magnifiques yeux noisettes de Silas et s’y perdit pendant un long moment. Un an encore et ils pourraient vivre ensemble sans se soucier de ce qui pourrait arriver. Il ne craignait pas d’aller aux Hunger Games: le hasard est le hasard. Ces jeux n’ont été instaurés que pour faire peur aux habitants des districts et qu’ils ne se rebellent pas contre le Capitole. Ce qu’il craignait, par contre, était d’entre le nom de Silas le jour de la moisson. Cela déchirerait son petit coeur si fragile. Il aurait un autre deuil à faire, mais il savait qu’il serait incapable de le traverser. Il serait obligé de voir sa mort en direct, car c’était un visionnement obligatoire pour tous. Doucement, le jeune matelot glissa sa main dans celle de la jeune brune et il dit:

« Tu es magnifique. »

Tous les deux étaient inévitablement amoureux l’un de l’autre. Il déposa doucement ses lèvres contre les siennes pour un doux baiser, laissant sa main caresser la joue de Silas. Il avait toujours été tendre avec elle. Il se surprit à penser que c’était avec elle qu’il désirait faire sa vie. Il voulait la marier et la voir dans une belle robe blanche, il voulait avoir des enfants avec elle et s’éteindre avec elle. Il se devait de lui dire qu’il l’aimait... Sinon, elle allait se faire des faux espoirs et lui aussi. Le silence revint peu à peu alors que Thyäm réfléchissait à ce qu’il pouvait bien dire. Il était incapable de se retenir plus longtemps, même s’il avait peur la réaction qui allait s’enchainer. Il commença d’une voix chevrotante, mais qui finit par se faire bien plus confiante.

« Depuis si longtemps que je désire t’avoir pour moi seul... Il faut que je t’avoue quelque chose. C’est toi la seule personne qui arrive à faire battre mon coeur et je ne veux que toi.. »

Je n'étais pas une fille qui avait des peur particulière, la seul peur que j'avais c'était de perdre Thyäm. Le perdre lui et ses caresses, ses baisers, son humour, son sourire, ses regards et tout ce qui faisait que je l'aimais. Les Hunger Games aussi, j'avais peur d'entendre mon nom, Silas Maurer résonner dans toute la cours. J'avais peur d'entendre celui d'Athèsya, ô si j'entends celui de ma soeur, je peux vous jurer que je me porterais volontaire, quitte à perdre tous ce que j'ai, je ne veux pas voir ma soeur aller au jeu. Si je venais à être tirer ou me porter volontaire pour ma soeur, je me battrais pour moi, pour ceux qui m'attende. Mais je ne pense pas gagner. D'accord je suis agile, mais autrement.. je ne sais pas si je pourrais gagner un jeu comme les Hunger Games.

Je sentis la main de Thyäm ce glisser délicatement dans la mienne, j'ai fais un petit sourire en levant les yeux vers lui. J'adorais ces yeux, ils étaient magnifique. J'avais envie d'y plonger, c'étais mon petit coin de paradis. « Tu es magnifique. » Ces mots me fis décroché un sourire, j'aimais bien qu'on me complimente et je l'aimais encore plus quand c'était de la bouche du matelot que ça sortait. « Merci. Et je dois dire que dans ton genre, tu es pas mal non plus ! » J'ai laché un petit rire à mes dires.

Lorsque les lèvres du jeune homme viennent s'aventurer sur les miennes, j'esquissait un sourire contre ses lèvres. Sa main se baladait sur ma joue, alors que la mienne était venu simplement se posé contre son torse. Alors que nos lèvres se lachèrent, je le regardais mon petit sourire au lèvre. « Depuis si longtemps que je désire t’avoir pour moi seul... Il faut que je t’avoue quelque chose. C’est toi la seule personne qui arrive à faire battre mon coeur et je ne veux que toi.. » Je suis resté comme une idiote à lui sourire, alors que tout ce que je voulais c'était le prendre dans mes bras et lui crier que je l'aimais. Seulement ces deux petits mots, ils avaient beaucoup de mal à sortir. Je me suis redressé, pour paraître plus grande. « Ce que tu essais de me dire.. deux mots.. sept lettres ? Et c'est pas plan cul ? » J'étais stupide, mes phrase l'était. J'avais bien une réputation de fille sans gène, et maintenant je savais pourquoi.