| Sujet: Ivy~ Lost in a haze Dim 13 Mai - 2:58 | |
| Ivy Vinson❝ I didn't lose my mind ❞ Un lapin, deux lapins, trois lapins. Tous mangent l’herbe dans le pré. Insouciants du danger, ils gambadent chantant joyeusement la chanson du bonheur. Boum, boum, boum, le danger arrive et tous s’enfuient vers le petit terrier sécuritaire à vitesse grand V. Après la reprise d’émotions, le compte de la famille, tout le monde est là? Le danger n’est plus là, allons, sortons! L’oiseau… Ho, vous êtes là? Moi, pas tellement, mais ils disent qu’on s’habitue. Bref, je suis Ivy Vinson , la petite lapine du terrier pas très loin de chez monsieur castor. J’ai quinze ans , mais personne ne semble me croire. Je crois que les habitants du district onze ne me font pas très confiance. Vous devriez les voir me regarder pendant que je travail au verger . Ils ont peur que je vole les fruits! Pourtant, je ne suis pas une voleuse! Ils racontent parfois mon histoire. Les plus gentils disent que mon comportement est du à un traumatisme de jeunesse. Mais pour vous dire la vérité, je suis une proie. Constamment poursuivit par de méchants cauchemars. Ils veulent ma peau et ma seule défense est ma vitesse. Les médecins disent que j’ai subi ce qu’on appel on choc et que ça se reflète sur mon mental. Ils ne savent qu’énumérer mes défauts : fuyarde, faible, renfermée, apeurée, fragile émotionnellement, nerveuse et j’en passe. Avec tout ça, ils en ont oublié mes quelques qualités : créative, compréhensive, fidèle, habile, rapide . Le fait que je sois petite ne doit pas vraiment m’aider. On m’a dit que mes cheveux blonds un peu fou me donnent un drôle d’air et que mes grands yeux verts ressemblent à ceux d’un jeune enfant. J’aime beaucoup les hauteurs, courir, rêver, inventer et me sentir en sécurité. .
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Qui veut bien penser à sa mort? Je ne rentre certainement pas dans ce cadre de personnes. Je suis plutôt occupée à voir comment le monde pourrait être et non à comment je vais mourir. Mais puisque la question est poser je vais répondre rapide, sans douleur, de préférence un arrêt du cœur pendant que je dors. Je déteste souffrir, alors ce serait vraiment quelque chose à éviter, je ne m’en remettrais pas vraiment au niveau émotionnel quoique ça ne dérange pas grand monde, je vais être morte.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Je pourrai vous dire ma mère ou mon frère, mais les deux sont morts, alors la seule personne pour qui je pourrai mourir serait moi-même. Pas que je n’aime personne, seulement pas de gens pour qui je donnerai ma vie. C’est peut-être le manque de courage aussi? Enfin, je pourrai peut-être mourir pour ceux qui m’aiment bien et qui ne cherche pas à me protéger, car si on y va logiquement, si on meurt pour quelqu’un qui veut nous protéger bah, on est tous les deux perdants.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? C’est très probablement ma vitesse. Je l’ai développée à force de toujours fuir la moindre trace de danger. Je peux rajouter aussi un peu d’agilité avec ça, sinon pas de doute, je me serais prise quelques racines d’arbres ou de roches. Oui, fuir m’a toujours aidé dans ma petite vie, mais ce n’est pas toujours la meilleure solution, mais quand c’est la seule qu’on connaît, on n’a pas le choix. À part mes deux petites habiletés je ne sais pas faire grand-chose d’autre, rêver, mais ça ne m’aide pas vraiment.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? À part la plupart des enfants de mon district que je ne connais pas vraiment? Oui, mon grand frère. J’avais peut-être bien six ans quand il est partit. Je n’ai jamais vraiment bien compris ce qui s’est passé, mais ce que j’ai compris c’est qu’il ne reviendrait pas. Sinon, comme je l’ai mentionné plus tôt, les enfants qui ont leur nom appeler à chaque année, ceux que je n’ai jamais vraiment connus quoi.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Je ne ferais pas grand-chose pour tout dire. Je n’essaierai pas de les rejoindre sachant qu’il y a de très grandes chances que je meurs et même si je le ferais, je serai aussi inutile qu’un copeau de bois dans une explosion. Par contre, je ne tenterai rien pour l’arrêter. Ce serait bien si la révolte réussirait, mais si elle échoue, je préfère ne pas y penser. J’ai largement trop peur pour la rejoindre, mais assez d’espoir pour ne pas l’arrêter. De toute façon, même si je voulais les rejoindre je ferais quoi?
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A 7 chances d'être tiré au sort.. J'EXERCE LE MÉTIER DE agricultrice ET POUR TOUT VOUS DIRE, je n'aime pas. JE SUIS DANS LE 11ÈME DISTRICT. AYANT 15ams JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT. tell us your story.
Prologue
*I'll stand by you, Won't let nobody hurt you, I'll stand by you
Avant même d’être moi, j’étais une enfant. Innocente et fragile. Dépendante de sa maman, pleine de vie, insouciante de ce que le monde peut nous apporter. Ce qui est le plus malheureux à dire, c’est que ma mère est morte. J’avais peut-être bien trois ou quatre ans. Je n’étais pas ce que l’on pouvait appelée triste. Je me demandais simplement où elle était partie. Quand elle allait revenir. La seule réponse que j’ai méritée ressemblait à un « Elle ne reviendra pas.» de la part de mon paternel. Il n’avait jamais donné plus de détails, même mon grand frère était resté muet sur le sujet. À cette époque, j’étais un peu perdue. Je venais de perdre mon seul point de repère et ma seule sécurité. En plus de perdre une mère, j’ai perdue mon père. Il a peu perdu les pédales par la suite, il n’a jamais eu toute sa tête après ce jour. Plutôt étrange, mais on ne peut rien y faire. Les gens sont ce qu’ils sont et perdre un être cher peut changer n’importe quel homme. C’est quelques jours après que mon frère à décider de me prendre sous son aile. De me protéger du monde extérieur, de ce qui est mauvais. Il ne voulait pas laisser quelqu’un me blesser. « Je resterai avec toi, ne laisserai personne te faire du mal. » Les seules paroles que j’ai réussi à retenir de cette partie de ma vie. Le reste, un grand noir. En même temps, il n’y à pas grand monde qui se souviennent de ce qu’on leur dit à quatre ans.
*When you're standing at the crossroads, Don't know which path to choose, Let me come along, 'Cause even if you're wrong, I'll stand by you
Puis, j’ai grandis. Je suis passée de jeune enfant à petit fille puis à jeune fille. Du haut de mes huit ans, je n’étais toujours pas plus éclairée sur le monde. C’était encore flou, une image imprécise. Heureusement, mon grand frère était là. Il a tenu ses paroles. Il est resté près de moi à me protéger. Il veillait sur moi pendant que mon père reprenait peu à peu ses esprits. Il n’était peut-être pas sain, mais il avait surmonté le plus gros défi, il venait d’accepter la mort de sa femme. Je ne dis pas qu’il était meilleur pour autant. Étant devenue un peu plus indépendante, un peu plus sûre de moi, mon frère à décider de me laisser faire mes choix. Il me suivait et même si je me trompais, il n’était jamais bien loin pour m’aider ou me conseiller. Il a toujours eu une grande confiance en moi et c’est peut-être pour cette raison que je l’ai laissé continuer avec moi encore et encore. Ensuite, il m’a expliqué les Hunger Games. Leur cruauté et leur but. Ils ont toujours hantés mes nuits. Ils ont remplacés les cauchemars d’enfant pour devenir une horreur réelle. J’étais trop jeune pour y participer, mais mon frère lui, il pouvait. Chaque année, j’espérais qu’il ne soit pas moissonné et chaque année, je remerciai secrètement le ciel de me l’avoir laissé une année de plus. Il avait presque sortit de ce cauchemar vivant. Seulement, il n’a pas eu de chance. J’avais dix ans quand j’ai entendus son nom le jour de la moisson. Il n’a pas parut triste sur le coup, mais je peux vous dire que lorsque je suis allée lui dire au revoir il était tout sauf calme. Il avait peur pour moi. Je crois qu’il savait qu’il n’allait pas revenir, il le sentait. Pendant les petites minutes de visite, il m’a dit de fuir le danger, de ne pas m’attirer de problème. Cependant, il faut savoir que pour une jeune fille de dix ans qui à toujours été protégée et qui n’a jamais affronté l’extérieur par elle-même, le monde est remplis de dangers et la seule technique que je maîtrisais contre ce dernier était la fuite.
Partie II :l’avant chapitre
Quand on sait quelque chose à l’avance, on planifie notre réaction et on se prépare. On se dit que ça sera moins pire de cette façon. J’ai fais de même. Après que mon frère soit partit. Je me disais que si il ne revenait pas, j’allais me montrer forte et que j’aillais marcher la tête haute, que j’allais encaisser le coup, mais la vérité est toute autre. Je regardais les jeux sur l’écran géant à la grande place. Nous n’avions pas télévision, du moins chez moi. Puis je l’ai vu, mon grand frère. Ça faisait peut-être bien trois jours que les Hunger Games avaient commencés dans l’arène et il était toujours là. Il courait probablement pour sa vie. J’étais soulagée qu’il respire toujours. Il n’avait pas l’air blessé ou malade, simplement il devait être affamé ou déshydrater. Il a couru pendant un moment, puis un autre enfant est apparu devant lui. Je préfère ne pas raconter ce que j’ai vu. Tout ce que je peux vous dire, c’est que c’était trop horrible à voir pour moi. Je venais de voir mourir mon protecteur, juste là, devant mes yeux, sur un écran. Mon premier réflexe aurait été de pleurer, mais je crois que j’étais encore trop sous le choc. La solution qui m’a semblé la meilleure à été de partir en courant. Je regardais tous les autres avec terreur, c’était comme si ils étaient les méchants et qu’ils voulaient ma peau. Je me suis retrouvée dans un arbre à pleurer silencieusement. J’avais peur qu’on me trouve, qu’on me dise que ce qui est arrivé est de ma faute. J’étais en quelque sorte devenue une proie. À la fin des jeux, c’était encore pareil. Je n’ai jamais voulu que les autres m’approchent. Je restais encore à la maison, mais si je voyais quelqu’un d’autre que mon père, je courais vers un endroit plus en sécurité.
Chapitre I
** If anyone asks, I’ll tell them we both just moved on
Ça m’a bien prit une ou deux semaines avant que je commence à accepter le fait que mon grand frère ne reviendra pas. Je l’ai peut-être accepté, mais je ne me sens pas mieux pour autant. Certaine personne sont venue nous voir, moi et mon père, pour nous demander si nous allions bien. Je leur disais que oui, que nous allions faire de notre mieux et qu’on allait s’en remettre. C’était peut-être un mensonge, mais je n’avais pas la force d’avouer que j’étais encore sous le choc. Pour me réconforter j’ai commencé à vivre dans mes rêves. Les joyeux, où tout va pour le mieux. Je ne me croyais pas vraiment capable de perdre la notion du réel et de l’illusion, mais faut croire que ça m’est arrivé. Tellement que mon paternel m’a amené voir un docteur pour savoir ce que j’avais. Le verdict est tombé. J’avais subi un choc de perdre mon frère et que ma seule défense restait la fuite. Sauf que ça, on le savait déjà.
** When people all stare, I’ll pretend that I don’t hear them talk
J’étais devenue folle. J’étais la petite fille qui à complètement perdue la tête. La plupart me regardaient étrangement et parlaient de moi comme une alien. Certain avait de la compassion ou de la pitié, d’autre bien était plus méchants dans leur propos. Ça ne m’atteignait plus réellement. Je les entendais, mais ne me retournais pas pour pleurer ou pour entrer dans une colère. Ce n’était pas réellement mon genre. Oui, je pleurais, mais pas en public. Puis, avec le temps ils ont arrêté de parler. À quoi bon? J’ai fini par me faire oublier, pas complètement, mais presque. Les seuls fois qu’on pouvait faire attention à moi c’est quand je cueillais des fruits. Ils surveillaient pour ne pas que je vole. Une autre fois, quand je sortais de mes pensées et me retrouvais devant un inconnu. Je me mettais simplement à courir dans la direction opposée, en souhaitant me faire oublier au plus vite. ** Is it over yet, Can I open my eyes
J’ai continue à vivre de cette manière. Avec le temps, la réalité était devenue un cauchemar interminable. Je voulais à tout prix qu’il se termine et que tout redevienne avant. Que je retrouve mon grand frère que rien de toute cette histoire ne ce soit passée. Il m’arrivait parfois de fermer les yeux et espérer qu’en les rouvrant mon mauvais rêve soit terminer. J’ai toujours refusé de croire que la tragédie s’était réellement passée. Je le refuse toujours aujourd’hui. Pour leur échapper je m’enfuis dans mon monde, où tout est parfait. Les lapins ne sont plus des proies et les loups sont devenus de gentils amis. Ils peut-être espérés que je revienne sur terre un jour, mais ça ne risque pas. Je suis en sécurité dans mon univers. Personne ne pourra m’y en sortir.
*: I’ll stand by you, by Carrie Underwood **: Cry, by Kelly Clarkson
reality is here.
Hola les coco! Je suis une kit kat volante à la recouse de la terre et de ses habitants d’une invasion imminente! J’ai quinze belles années derrière moi, par contre le cerveau n’a pas pu suivre cette évolution ce qui fait de moi une moi parfaite! *sort* Je n’ai pas de nom, mais on me surnomme Kit Kat, allez savoir pourquoi! Par contre, à mes yeux vous êtes tous des choux de Bruxelles! J’ai lu tous les Hunger Games! Tous sans exception! Et j’ai même vu le film O : Je tiens à ajouter que je suis dans la TEAM PEETA !! Je viens du pays voisin aux ours polaires, aussi appeler Québec, même si ce n’est pas un pays!
FEATURING Juno Temple © COPYRIGHT britsterzstupidtumblr
Dernière édition par Ivy Vinson le Sam 26 Mai - 18:42, édité 3 fois |
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Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: Ivy~ Lost in a haze Jeu 17 Mai - 11:54 | |
| New-York La chance, bon voyage et profite bien là-bas Je t'ajoute un délai d'une semaine, donc tu as jusqu'au 27 pour finir ta fiche C'est plus pratique, tu n'auras pas à te presser à ton retour |
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