✤ TOURNEE DU VAINQUEUR les jeux sont désormais terminés, place à la tournée du vainqueur qui met à l'honneur andro graham ! plus d'informations ici. ✤ INTRIGUES panem ne cesse de changer avec de nombreux événements inouïs. découvrez le volume 6. ✤ MISES À JOUR une nouvelle règle a été instaurée. merci de prendre connaissance de celle-ci ainsi que les autres nouveautés ! ✤ MISSIONS ET QUÊTES toutes les missions ont été lancées ! rendez-vous dans ce sujet pour toutes les découvrir. ✤ SCENARIOS voici quelques scénarios qui n'attendent que vous: rebelles. liam hemsworth pacificateurs. boyd holbrook district 13. cobie smulders & chris hemsworth vainqueurs. gemma arterton & elle fanning d'autres scénarios gagnants de la loterie à venir !
" A 3h, cet après-midi, tu devra aller donner ces armes à un autre rebelle. On a un local, prêt d'un vieux restaurant du capitole. Vitres en verre, et tout le truc. Tu lui donne ça proprement discrètement et tu t'en va, sans attirer l'attention, compris ? ''
Siloë haïssait recevoir des ordres. Elle n'avait aucun ordre à recevoir de personne ! Néanmoins, on pouvait faire quelques exceptions, comme par exemple pour les dirigeants rebelles. La demoiselle hocha la tête, se saisissant de la besace en cuir qui contenait la marchandise clandestine. Elle tourna les talons, s'apprêtant à aller chercher une cape noire, de celles qui vous couvrent bien le visage et qui ne laissent rien transparaître de votre identité. Néanmoins, une main forte pressa son épaule, et elle fut contrainte de se retourner. Son interlocuteur avait des vêtements à la main, et lui souriait d'un air moqueur.
'' Tu passerait aussi inaperçue avec ta cape sur le dos qu'un oiseau moqueur dans une bibliothèque ! Ça, au moins, c'est une tenue digne des filles du capitole. ''
Elle saisit le tas de vêtements, puis les examina et esquissa une grimace contrariée. Une '' jupe '' ? Elle n'avait vu ce genre d'accessoire qu'à la télé, jusqu'à présent. Une jupe noire, et un chemisier blanc. Bon, ça au moins, ça ne la changerait pas trop de d'habitude.
'' Génial, vraiment génial.. Merci beaucoup ! ''
Maugréa-elle, tout en se plantant derrière un buisson pour se changer. Au moins, les vêtements étaient à sa taille. La jupe lui arrivait au dessus du genou, laissant découverte des jambes d'une couleur laiteuse, et les collants blanc qu'il lui avait donné la gênaient affreusement et la démangeaient. Le chef était parti, la laissant seule avec son affaire. Sa première mission d'une importance capitale, depuis qu'elle était une rebelle à proprement parlé. De mauvaise humeur, la demoiselle blonde se saisit de sa besace lourde, la jeta sur son épaule et se dirigea vers la gare. Heureusement qu'elle avait put garder ses bottes en cuir, car en hiver, il faisait incroyablement froid. Elle se demandait même comment les gens pouvaient survivre tout les jours comme ça, habillés avec une chemise et une jupe courte. Poussaient-ils donc la superficialité si loin qu'ils privilégiant l'apparence à leur bien être ? Siloë tira sur sa jupe. Elle avait froid. La jeune femme attrapa une mèche de ses cheveux blond et commença à l'entortiller autour de son doigts tout en marchant, priant pour qu'il ne se mette pas à neiger.
Un demi-heure plus tard, le train entra en gare. Il était vide, entièrement vide. A cet heure, toutes les personnes qui travaillaient au Capitole étaient encore là bas, les gens ne rentraient pour la plupart que vers 8h. Et dire qu'elle prenait sur son seul jour de congé pour les rebelles. Elle haussa les yeux au ciel et remis sa mèche derrière ses oreilles. Pénétrant dans le train avec très peu d'aisance, elle alla s'assoir sur un siège. C'était la première fois qu'elle prenait le train. A chaque fois qu'elle avait quitté son district, c'était à pied, clandestinement, pour aller braconner ailleurs ou vendre des choses au marché noir. La curieuse machine s'ébranla, la berçant au rythme des roulis qui faisaient trembler le véhicule. Siloë se laissa bercer par ces mouvements réguliers, puis ferma les yeux..
Elle se réveilla brusquement, lors de l'arrêt de la machine. Et ce qu'elle découvrit lui coupa le souffle. Ce n'était pas la première fois qu'elle voyait le Capitole, mais le découvrir grandeur nature avait quelque chose de surprenant. Toutes les choses ici étaient exagérés, surfaites. Les bâtiments brillaient de mille feu. Reprenant bien vite son calme, la blonde quitta le véhicule rapidement. Le froid la mordait de toute part. Et en apercevant la foule, elle ne tarda pas à se rendre compte que le rebelle s'était bien moqué d'elle ; tous demeuraient en pantalon, certes parfois extravagants et ridicules, roses, jaunes, pailletés, à poids... Néanmoins, maintenant, c'était elle qui attirait l'attention. Elle soupira, agacée. Non seulement il s'était royalement moqué d'elle, vis-à-vis de la tenue vestimentaire requise à Panem en hiver, mais en plus, il ne lui avait donné aucune indication sur l'endroit ou se situait ce local, si ce n'était à côté d'un vieux restaurant chinois. Mais comment repérer une telle chose dans une ville aussi grande ?!
Sa sacoche se balançait au rythme de ses pas, vifs, tandis qu'elle essayait de repérer une quelconque enseigne, une indication. Rien. Les gens se bousculaient, s'interpellaient, se hurlaient dessus. Le bruit de la ville se faisait pesant, il lui vrillait les tympans. Siloë manqua de hurler. Elle finit par s'arrêter, le long du mur, dans une ruelle sombre et déserte. Ou tout du moins, qu'elle pensait déserte. S'adossant contre l'édifice de pierre, elle ferma les yeux, frissonnant encore par la morsure du froid. Son paquet pesait lourd, comme un fardeau. Le Capitole était un endroit si beau, mais si vénéneux.. Insupportable.
Dernière édition par Siloë H. Firewild le Sam 3 Mar - 18:17, édité 2 fois
L'atmosphère était maussade, lourde. Les nuages semblaient si bas en cette journée hivernale. La neige n'avait pas décidé de s'écouler sur le Capitole en cette journée-là. Après tout, la mégalopole était placée de façon à toujours profiter des plus beaux rayons de son ami le soleil. Hulk n'écoutait pas vraiment ce qu'on lui disait. Enfermé dans cette petite pièce depuis le début de la journée, il contemplait avec une paresse ultime la vue offerte par les fenêtres de ce gigantesque bulding dans lequel il se trouvait, lui et l'équipe de tournage du prochain film d'un grand réalisateur originaire du district 7 et où Hulk en était la vedette. Seulement, aujourd'hui, Hulk peinait à travailler. Un rien formait une distraction quelconque à ses yeux. Un oiseau, le bruit de l'ascenseur, de pas, l'odeur des aliments posés sur le buffet, tout l'intéressait mais à part son travail. Par chance, l'équipe ne tournait pas en ce jour-ci, pas encore mais Hulk devait assister à une sorte de conférence expliquant les impacts du film sur les spectateurs. Il écoutait d'une oreille, il aurait pu répéter quatre ou cinq mots mais il se perdit si facilement dans les différents discours de ses collègues qu'il opta pour ne plus rien écouter du tout. Il fixa le gratte-ciel d'en face, quelques secondes. Il bailla. Hulk bailla, ce qui attira les regards électriques du réalisateur, vert de rage. Le gamin des Kerbinghton rit alors intérieurement, mîmant l'intéressement pour le monologue d'un petit homme trapu et non agréable à fixer ou même à écouter.
La conférence ne se termina qu'au bout de quelques heures. Hulk avait durement lutté contre l'un de ses plus grand ennemi : le sommeil. Il marchait alors dans les rues du Capitole. Sous les regards admiratifs de ses fans qui hurlaient dès qu'il présentait ne serait-ce qu'un soupçon de l'une de ses mèches de cheveux. Il ne donnait pas la peine de sourire. Il était accablé par tout et même par la célébrité. Il hurla de rage sur les moindres tentatives de rapprochement de la part des paparazzis et jeta même à terre l'appareil photo de l'un deux en ayant ricané de la même façon qu'il l'avait fait en achevant une gamine du district trois. Ce type avait eu de la chance que son appareil photo n'avait pas été brisé sur son nez pensa Hulk en quittant les rues abondantes pour rejoindre les ruelles moins fréquentées, plus sombres et où l'on sentait le froid nous parcourir le corps avec vivacité.
Le jeune homme réussit enfin à trouver des ruelles des plus désertes. Ce qui était amusant au Capitole, c'était le fait que chaque habitant ne cessait jamais de faire des découverte. C'était si vaste, si libre. Découverte du jour ? Ce labyrinthe de rue déserte et glauque. Hulk aimait ce genre de rues. Il se sentait libre, il pouvait respirer et hurler à la vie. Il bondit dans une flaque d'eau, en grand gamin qu'il était avant de courir un peu partout à toute vitesse en lâchant un énorme rugissement. Non, Hulk n'était pas atteint de la folie, il voulait juste évacuer ces trop nombreuses heures de stress à suffoquer. Qu'elle ne fut pas sa grande surprise lorsqu'il découvrit une silhouette au loin. Par chanson pour son honneur, la personne présente au bout de la ruelle était bien trop loin pour avoir entendu sa pseudo-crise. Curieux, et surtout brave, il s'avança vers elle. Il put y reconnaître les courbes d'une femme. Une ravissante jeune femme corporellement parlant. Poitrine abondante, petit cul rebondi. Comme il aimait. À plus il s'approchait, à plus il découvrait des traits du visage de poupée de cette jeune inconnue qui portait.. une jupe. Panem entier se réchauffait au feu, ne sortait pas sans son équipement de neige, et elle, elle avait une jupe. Hulk n'était pas dupe. Cette fille n'était pas d'ici. Elle n'avait rien du Capitole malgré sa beauté exaltante. Il vint alors vélocement en face d'elle en souriant narquoisement. Il n'y avait personne, Hulk était libre de faire ce qu'il voulait. Et si son intuition était la bonne, que cette délicieuse créature n'était pas du Capitole, il se promit de s'amuser avec et de lui faire payer son intrusion. Il planta son regard dans le siens, son regard, le regard à Hulk. Noir, profond. Celui qui relatait le cauchemar. Celui qui pouvait vous faire pleurer d'angoisse dès qu'il était posé sur vous. Il le fit descendre le long de son corps de mannequin et ne put s'empêcher de prendre la sacoche de sa future victime en main. C'était bien connu, toutes filles a une tonne de chose dans son sac à main mais celui-ci était réellement lourd. Il lui fit retirer en ne lâchant pas son sourire et l'ouvrit tout doucement, sans aucun stress. Apaisé et presque gaie de sa trouvaille. De l'armement en tout genre dans cette petite sacoche. Il ricana alors une seconde fois dans la journée et fit renverser le contenu du sac à terre en le retournant. Oups. J'ai tout fait tomber. murmura-t-il à la belle blonde après avoir dangereusement approché ses lèvres rosés de son oreille. Il vint rapidement se munir d'un poignard avant d'empoigner la jeune fille et de plaquer son dos contre son buste. Sûrement la réchauffait-il. Son corps dégageait une chaleur ultime et celui de sa victime était congelé. Il allait la réchauffer, oh ça oui, à coups de couteau ou à coups de..
Hulk la serra fort contre lui avant de la plaquer au mur pour fouiller ses vêtements. Dans la poche de sa jupe, il ne trouva qu'une sorte de pass où était indiqué son nom, son prénom, son district d'origine. Alors, ma petite Siloë. On a décidé de jouer au bandit ? Estime-toi heureuse, tu as trouvé ton policier. clama-t-il en avançant en arrière, le cou de Siloë enlacé par son avant bras, sa main serrant le poignard, suffisait qu'elle tente de se débattre pour se faire égorger. Et si elle avait reconnu Hulk Kerbinghton, elle savait très bien qu'il en était capable. Il réussit à l'emmener dans l'un de ses appartements. Bien sûr, il n'avait pas réussi à éviter la foule du Capitole, tous avait vu ce brave Hulk et son otage et la plupart rirent en lisant la détresse présente sur le visage de Siloë. Il fit entrer la belle déesse dans une pièce sombre à coups de pieds dans son petit cul de hors la loi avant de fermer à clef toutes les issues. Il rangea soigneusement la clef dans son calbut avant de reporter son regard sur les fesses presque nues de la pauvre rebelle. Mets toi à poil poupée. lança-t-il doucement avant de se jeter sur l'espèce de divan disposé dans la pièce avec quelques autres meubles tout aussi miteux. Il présentait fièrement la lame du couteau et passa même sa langue dessus pour finalement éclater de rire. Grouille bébé !
Le contact contre le mur rugueux était plutôt désagréable, mais le silence des lieux était tout à fait à son goût. La tête reposée contre le mur, elle fermait les yeux, réfléchissant. Tout d'abord, pourquoi ce rebelle s'était moqué d'elle ainsi. Outre le fait que cela avait dut être passablement amusant pour lui, il mettait la mission en péril, et risquait de lui attirer des emmerdes, en plus de la faire remarquer par quelques pacificateur. Elle ne voyait vraiment pas ce qui avait put pousser ce petit con à faire ça, mais allait le lui faire payer, d'une manière ou d'une autre. Ses jambes étaient littéralement glacées, ainsi que tout son corps d'ailleurs, qui la brûlait de toute part. Agacée, elle rouvrit brusquement les yeux et les écarquilla lorsqu'elle découvrit ce qui se tenait en face d'elle. Des yeux noirs se plantèrent dans les siens, un regard menaçant sondant le sien. Elle était littéralement paralysée. Merde. Voilà les ennuis qui commençaient.
Et elle ne l'avait même pas entendu venir, trop perdue dans ses pensées noires. Siloë se mordit les lèvres, mais c'était bien le seule mouvement qu'elle était capable d'esquisser. Il y en a à qui la peur donne des ailes, et il y en a d'autres que la peur paralyse. Et la demoiselle blonde faisait parti de la deuxième catégorie. Totalement figée, elle observa comme spectatrice les yeux quitter les siens pour parcourir son corps. Il avait l'air si sûr de lui. Il avait l'air de tout savoir, tout. De savoir qu'elle n'appartenait pas au Capitole, de savoir ce que contenait son sac. Machinalement, elle renforça sa prise sur la sacoche, se trahissant d'elle même quant à son contenu totalement illégal. L'inconnu porta son regard dessus au même instant, un sourire malfaisant sur son visage. Et il l'ouvrit, renversant son contenu à terre.
Les précieuses armes rebelles qu'elle devait faire passer se retrouvaient étalées par terre. Cela semblait le satisfaire amplement. Elle allait se faire tuer. Sans doute par celui-ci, sinon par Julian. Mais elle préférait encore que cela soit fait par le chef des rebelles, plutôt que par un sale petit chien du Capitole.
'' Oups. J'ai tout fait tomber. ''
Elle serra les dents, tandis qu'il s'approchait de son oreille pour murmurer ces sarcasmes. Le malade qui lui faisait face se baissa pour se saisir d'un poignard, qu'il examina longuement. Alors là, si elle ne s'était pas déjà embarquée dans une galère totale, maintenant, c'était fait. Dans un effort surhumain pour se ressaisir, elle donna un coup de pieds dans les armes restantes, les envoyant s'écraser dans le mur. Si il décidait de les récupérer toutes, elle pourrait s'enfuir en courant. Quitte à mettre en péril cette mission, qui était déjà un total échec.
Brusquement, il la plaqua contre lui, son dos collé contre son buste. Sa respiration se faisait affolée, son cerveau tournait à cent à l'heure. Une idée. Une quelconque idée pour se sortir de cette mauvaise passe. N'importe quoi. Il raffermit la pression de son corps contre le sien, bouillant. Tout l'inverse d'elle, et de ses membres congelés. Il fouilla les poches de sa jupe, sans doute à la recherche d'un quelconque objet compromettant. Il allait être déçu, elle n'avait rien à part.. sa carte. Qui indiquait, entre autre, son prénom, son nom, son métier et le district dont elle était issue. Elle était morte.
'' Alors, ma petite Siloë. On a décidé de jouer au bandit ? Estime-toi heureuse, tu as trouvé ton policier. ''
Elle ne répondit rien, se contentant de se débattre vainement contre cette emprise, lui griffant le bras au passage. Un bras vint se placer autour de sa gorge, l'étranglant à moitié. Elle suffoquait. La vue du poignard finit de l'achever. Il y allait bien y avoir un moment ou ce petit connard relâcherait son étreinte, un instant qui lui suffirait pour filer. Non ? Son agresseur la contraignit à avancer. Son cœur battait à mille à l'heure. Elle n'avait jamais eut aussi peur de toute sa vie. Ils ne tardèrent pas à retrouver la civilisation qu'elle avait elle même eut tant de mal à semer. L'étrange spectacle qui se déroulait sous leurs yeux ne semblait pas choquer les habitants du Capitole, certains en riaient même. Elle aurait voulu baisser la tête, pour ne pas se faire reconnaître par qui que ce soit. Mais le moindre mouvement de sa part lui aurait valu la mort. Le poignard était si proche d'elle que ce simple geste aurait suffit pour l'égorger.
Ils finirent pas atteindre un bâtiment. Il la fit avancer à coup de pieds, ne la traitant avec aucune considération. Et chaque coup qu'il lui portait était une atteinte à sa fierté. Coute que coute, elle allait le lui faire payer cher. La porte s'ouvrit pour se refermer derrière le duo qui avait tant fasciné les pauvres cons qui peuplaient le Capitole. Siloë le foudroya d'un regard noir tandis qu'il fermait toutes les issues possibles et imaginables. Et soudainement, son visage lui revint en mémoire. Il s'appelait Hulk, Hulk Kerbinghton celons ses souvenirs. Et il avait été le vainqueur des Hunger Games il y avait quelque années. Le tribut qui avait tant marqué la foule par sa cruauté. Et qui, chaque année, venait se balader avec son air narquois sur les écrans qui diffusaient les Hunger Games. Il avait assassiné de sang-froid pas mal de tributs, en riant, en chantant même. Cette nouvelle découverte ne la rassura pas le moins du monde.
'' Mets toi à poil poupée. ''
Elle bouillonnait. Pour qui se prenait ce petit merdeux ? Elle allait lui refaire le visage, à coups de couteau ! Lorsqu'il l'interpella une deuxième fois, elle le coupa, et répondit d'une voix hautaine et glaciale, puisant dans un courage venu de nul part ;
'' Crève, espèce de sale petit con. ''
Elle leva le menton, le défiant fièrement, son regard noir figé sur lui qui s'était affalé dans un fauteuil. Siloë tremblait, haletait, complètement affolée et perdue. Elle se recula vivement vers la porte, s'appuyant contre celle-ci, et naïvement, appuya sur la poignée en priant pour que la serrure soit défectueuse, que la porte soit mal fermé, ou s'ouvre, prise de pitié pour elle même. Rien. Elle actionna la poignée plusieurs fois, rageuse, provoquant un insupportable cliquetis métallique, sans quitter Hulk du regard. Pourquoi la vie était-elle si injuste ?
Dernière édition par Siloë H. Firewild le Sam 3 Mar - 18:18, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: I'm lost. [PV HULK] [HARD] Mer 18 Jan - 1:07
/!\ violence + sexe
Le jeune psychopathe était assis sur un vieux divan au tissu déchiré, on y sentait même les vieux ressorts présent dans l'espèce de mousse bas de gamme qui le formait. À vrai dire, il se contrefoutait du confort que pouvait lui apporter ce fauteuil, le plus intéressant se déroulait sous ses yeux. La belle Siloë faisait preuve de bravoure en refusant les ordres du beau brun. Il la voulait, il voulait la faire hurler, de plaisir ou de douleur, il s'en fichait, il désirait juste entendre ces hurlements et il était prêt à tout pour les rendre audible ; même à commettre l'irréparable. Hulk ne s'énerva pas. Ce qui rendait la scène encore plus angoissante pour la petite blonde qui devait sûrement compter les minutes qui lui restaient à vivre. Elle était bien loin du compte. Le comédien ne commençait seulement à s'amuser. Ses désirs étaient disproportionnés, comme tout habitant du Capitole qui se respecte. Un long rictus s'était dessiné sur ses lèvres rosées et fines. Il était dangereux. Il était fou. Il en était ravi. Il fit tournoyer sa longue langue autour de la lame du poignard qu'il tenait en main depuis le début de leur intercalation au risque de se piquer le bout de la langue. Il vint alors se lever. Il s'avança vers la jeune fille qui haletait de peur. Il était bien plus imposant qu'elle, ce qui caricaturait la scène. Ses pas étaient lourds, comme des masses qui s'écrasaient au sol après une longue chute. On entendait qu'eux dans toute la salle mal éclairée. Il ne se fit pas prier pour plaquer Siloë contre le mur en l'empoignant par le cou. Il souriait du coin de ses lèvres en la soulevant contre le mur de brique. Elle, elle se débattait brusquement. Lui, il riait doucement. Il la fixa de ses yeux noirs, d'un regard insistant et insultant à la fois. L’humiliation n'était pas toujours évidente à supporter mais ce n'était rien comparé à ce qui attendait la belle rebelle. Hulk cracha sur son visage avant de la lâcher et de lui donner plusieurs brusques coups de pieds dans le ventre en l'insultant de salope, de pute.
Il s'éloigna du corps meurtris de sa victime en ne lâchant pas son regard pesant sur ce petit corps. Il se surprit lui même en chantonnant avec allégresse une mélodie d'un hit pro-capitole tout en arrachant la chemise qui lui servait de haut après avoir jeté son long manteau noir. Il se présentait alors torse nu devant elle qui peinait à se lever et à se déshabiller. Allez ma belle, lève toi et ne te plains pas ! J'ai un gros joujoux pour toi ! Il se rapprocha d'elle à une telle vitesse qu'elle ne le vit sans doute pas arriver. Il souleva la jeune fille dans ses bras, tel un prince charmant après avoir délivré sa princesse des griffes de la méchante sorcière. C'était naturellement totalement ironique et hilarant aux yeux de Hulk qui conclut ce semblant de conte de fée en jetant son jouet sur le divan qu'il avait occupé quelques minutes auparavant. Tu sembles pas très obéissante, donc écoutes moins bien catin. Tu vas devoir respecter chacun de mes ordres ou tu crèves. Et crois moi, je vais prendre un malin plaisir à t'arracher les boyaux un par un ! Il mit fin à son dialecte en arrachant le peu de vêtement qu'il restait à Siloë. Il découvrit alors son jouet dans son intégralité. Il porta premièrement son regard sur les deux seins de la rebelle. Parfaitement arrondis. Ni trop gros, ni trop petit. Les tétons roses dépassaient et excitaient Hulk qui se trouva être dans un état second à la vue de ceux-ci. Il n'hésita pas à tâter l'un des deux seins de sa grosse main de tueur. Il le serra fortement, si fortement que Siloë ne put résister à la douleur provoquée. Il descendit ses longs doigts le long de l'épiderme de son corps. Elle était douce, comme la perle. Il écarta ses deux jambes pour découvrir son entre. L'endroit si convoité par Hulk qu'il ne put faire autrement qu'entrer directement en érection. Il fut surpris et intrigué par le fait qu'elle soit rasée. Lui qui pensait que toutes les femmes des districts n'étaient que des bohémiennes, il fut agréablement surpris. Il n'en dit pas plus à ce sujet et reprit son couteau qu'il avait laissé tomber sa poche pour dessiner du bout de la lame le contour du nombril de sa proie. Il le fit plusieurs fois et ne put s'empêcher d'enfoncer la lame légèrement afin de la faire souffrir et de faire encrer cette douleur à jamais sur son corps. Il sourit à la vue du filet de sang qui émanait de son ventre. T'es bonne, dommage que tu veuilles pas t'amuser avec moi, on délirerait bien, tous les deux.
Dernière édition par M. Hulk Kerbinghton le Sam 21 Jan - 12:15, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: I'm lost. [PV HULK] [HARD] Jeu 19 Jan - 20:04
Elle se sentait lâche. Si lâche. De ne pas prendre la tête de ce sale petit habitant du Capitole pour l'écraser contre le mur. De ne pas réussir à le frapper jusqu'à ce qu'il la supplie d'arrêter. Mais elle était terrorisée. L'horrible cliquetis de la porte qui refusait de s'ouvrir. Ce couteau qu'il parcourait de sa langue sans craindre de se couper. Elle rêvait. C'était un cauchemar, oui, et dans quelques secondes, dans quelques minutes, elle allait se réveiller sur sa paillasse, et il faudrait qu'elle aille couper du bois. Sa respiration était saccadée, elle continuait à s'acharner contre la poignée de porte de toutes ses forces.
Il ne s'énerva pas lorsqu'elle l'insulta du mieux qu'elle pouvait. Sa langue semblait de plâtre, sa gorge était sèche. Elle tremblait. Elle se sentait si pathétique et faible. Il se leva lentement, sans cesser de la fixer un instant de son regard de bête sauvage. Arrête. Elle tenta de reculer, brusquement, et se cogna à la porte. Il saisit son cou de ses deux mains et la plaqua contre le mur si brusquement qu'elle en eut le souffle coupé. La soulevant du sol sans considération et râpant son dos contre le mur de briques défoncé. La demoiselle tenta de reprendre son souffle à plusieurs reprises, vainement. Alors, à moitié paniquée, l'esprit embrumé par le manque d'oxygène, elle lui envoya un coup de genou dans les parties génitales, lui griffant le torse et les bras. Il fallait qu'elle respire. Elle le frappa une nouvelle fois, dans l'estomac.
Elle tomba au sol et inspira longuement, lorsqu'il la lâcha à cause du coup qu'il venait de prendre. Il lui cracha au visage avant de lui donner des coups dans le ventre. Ah, il prenait son pied hein. Il en profitait parce qu'elle était à terre. Elle allait mourir, elle en était certaine. Elle avait l'impression qu'elle allait exploser de l'intérieur. Les insultes qu'il criait à son encontre ne lui faisaient aucun effet. Elle était trop obnubilée par les coups qui pleuvaient.
Il finit par se détourner, puis retira son manteau en chantonnant un air qui lui était inconnu. Elle essuya rageusement le crachat de ce porc du revers de sa main. Elle peina à se remettre debout, tout ses membres tremblaient, sa vue était trouble. Elle toussa, pris son appui contre le mur. Elle refusait de mourir. Par comme ça. Pas à terre, pas comme un animal. Elle sentit sa jambe se dérober sous son poids et manqua de tomber. Il ricana. Elle n'y prêta pas attention. Pas pour le moment. Elle s'accrochait de toute ses force au mur de briques, griffant chaque brique, y plantant ses ongles comme pour se raccrocher à une quelconque bouée de sauvetage.
Allez ma belle, lève toi et ne te plains pas ! J'ai un gros joujoux pour toi !
Elle n'eut même pas le temps de se rendre compte qu'il s'approchait qu'il se retrouva de nouveau devant elle. Lorsqu'il prononça sa phrase, elle le dévisagea froidement, puis grimaça un rictus sarcastique
'' Je préfère encore crever ''
Elle murmura ça sans baisser les yeux, son regard bleu fixé dans le sien de prédateur. Et puis, elle se mis à paniquer. Parce qu'elle savait qu'il en était capable. Il la pris dans ses bras doucement, la portant à la manière des princesses de compte de fée. Pour toute réponse, elle lui envoya un coup de poing dans la mâchoire. Elle ressentit une satisfaction incomparable lorsqu'elle vit qu'il saignait de la lèvre inférieure. Elle n'avait même pas réfléchi. Tout lui semblait flou, irréel. Il la jeta contre le sofa, un air mauvais sur le visage.
Tu sembles pas très obéissante, donc écoutes moins bien catin. Tu vas devoir respecter chacun de mes ordres ou tu crèves. Et crois moi, je vais prendre un malin plaisir à t'arracher les boyaux un par un !
La blonde était sonnée. La seule chose dont elle avait conscience, c'était les ressorts du meuble défoncé qui s'enfonçaient dans son dos. Dans un élan de fierté, elle cracha ;
'' C'est toi, la catin ''
Quitte à ce qu'il l'achève, autant qu'il le fasse rapidement. Elle voulait souffrir le moins possible. Elle finit par détourner son regard, bien plus terrifiée qu'elle ne voulait se l'avouer par ce regard pesant, et par sa personne toute entière. Hulk se pencha et arracha ses vêtements qu'il envoya s'écraser par terre. Sentir ses yeux posés sur son corps à nu était insoutenable. Lorsqu'il la toucha, elle frissonna de dégout. Elle ne put retenir un cri plaintif lorsqu'il lui pinça le sein. Elle aurait voulu le mordre, le griffer et le battre à mort. Mais elle était tétanisée. La dernière personne qui l'avait vue nue, c'était Phoenix. Phoenix.. Il fallait qu'il vienne la sortir d'ici. Lui, ou n'importe qui. Loukas, Julian, Simeon. Même Snow, ou encore un pacificateur, n'importe qui.
Il lui écarta légèrement les cuisses, sans doute pour voir ce qu'elle avait à lui offrir. Mais il n'y avait rien pour lui. Aucune partie de son corps, en partant de ses oreilles jusqu'à ses ongles. Elle lui envoya un coup de pied maladroit, avant de se recroqueviller sur elle même.
Il attrapa son couteau qu'il avait fait tombé auparavant. La vue de cette arme l'acheva. Elle serra les dents et ferma les yeux. La pointe du couteau venait lui chatouiller la peau, elle frissonna au contact de la lave autour de son nombril. Et puis, soudainement, elle sentit la lame s'enfoncer sous sa peau. Le contact du métal froid qui s'insinuait dans sa chair lui arracha un grognement plaintif. Elle le sentit se retirer, rouvrit les yeux. Il s'amusa à lui perforer la peau ainsi plusieurs fois. Son corps entier tremblait. Elle n'avait jamais ressenti une telle douleur avant. Mais elle savait que cela allait être bien pire, oh bien pire oui.
T'es bonne, dommage que tu veuilles pas t'amuser avec moi, on délirerait bien, tous les deux.
S'amuser. Elle releva les yeux brusquement et lui cracha au visage comme il l'avait fait auparavant. Alors, elle était son petit jouet ? Son petit jouet de gamin du Capitole prétentieux. Elle sentait le sang qui ruisselait doucement le long de son ventre. Siloë avait l'impression que tout allait au ralenti. Chaque coup de couteau dans son ventre rendait l'instant d'autant plus insoutenable. Elle serra les dents pour retenir ses plaintes, se mordant les lèvres jusqu'au sang. Jusqu'à ce que son propre sang lui coule le long de la bouche. Elle ne voulait pas lui donner cette satisfaction.
Dernière édition par Siloë H. Firewild le Sam 3 Mar - 18:19, édité 1 fois
La lame du couteau ne cessait de tournoyer sur la surface du ventre de la belle Siloë et pénétrait vicieusement quelque fois son épiderme dans le but de laisser une trace d'elle, pour laisser la répugnante trace de Mélodore Hulk Kerbinghton. Ce dernier prenait un malin plaisir à la voir se tordre dans tous les sens, de l'entendre gémir afin de retenir des cris de douleurs qui pouvaient facilement sortir de sa bouche. Il ne cessait pas ce jeu et vint même graver son prénom sur le bras gauche du bout de chair qu'était sa victime. Objectivement, il insista plus particulièrement sur la pression exercée par la lame afin que Siloë garde le prénom "Hulk" tout le long de sa vie, enfin du moins ce qu'il en lui restait. Il rit du nez en sentant le crachat éperdu de la femelle s'écraser contre la paroi de sa joue droite. Un doux sourire au lèvres, il vint essuyer sa joue contre l'un des deux seins bombés de Siloë. Tout en promenant le manche du couteau sur le front de Siloë il vient nicher son nez entre sa poitrine, pour finalement y déposer de sadiques baisers longs et insistants. Il vint caresser l'un pendant que sa langue s'affairait à s'occuper du deuxième. Il s'amusait à mordiller les tétons de la grande blonde en appuyant son bras sur son bassin afin de la bloquer. Il frottait ses dents, les rentraient doucement dans la chaire du mamelon, puis plus fort, encore plus fort, jusqu'à ce qu'elle vienne à saigner. Il rit alors mélodieusement en caressant l'intérieur des cuisses de sa belle dulcinée d'un soir. Sa peau était si douce, si pure que Hulk fut rapidement prit d'une idée.
Il se leva sans se soucier que sa proie puisse s'enfuir du canapé, de toute manière, elle ne pouvait quitter la pièce. Il chercha longuement dans les tiroirs d'une commode un objet sous le regard tétanisé de son jouet vivant. Il ne trouvait pas son bonheur dans les objets qui se présentaient à lui ce qui l'agaça tout au plus. Il commença alors à devenir agressif en jetant tout ce qu'il lui passait sous la main et en défonçant le vieux meuble de bois qui ne te contenait pas ce qu'il désirait avec ses poings et ses pieds. Un vrai psychopathe le kerbi. Il trouva enfin ce qu'il ambitionnait depuis quelques minutes en fracassant un tiroir, il prit en main l'objet et le broya dans son poing tout en souriant vicieusement. Il tira Siloë par le bras avec force et brutalité en lui cachant la nature de l'objet qu'il avait soigneusement caché son caleçon. Il la prit contre elle malgré ses débattement et lui pinça fortement le sein afin qu'elle se calme. Arrête de t'exciter comme ça me belle, tu vas te la prendre ma queue, no stress. médisa-t-il en attachant ses poignets à un crochet clouer au plafond. Siloë était donc pendue au plafond par les poignets. Il la fixa longuement en souriant. Il tournait autour d'elle, tel un requin autour d'un festin de chaire humaine. Il colla son torse bouillant et musclé contre le dos gelé et fin de sa belle. Il se débarrassa vivement de ses chaussures, chaussettes et de son short en velours vert émeraude. Il ne put s'empêcher de frotter son pénis contre les fesses charnues de Siloë afin de réveiller la bête. Il ne tarda pas à entrer en érection mais avant de passer aux choses plus ou moins sérieuses, Hulk sortit de son caleçon un briquet. Un énorme briquet qui avait la faculté de faire des flammes si épaisses qu'il pouvait mettre le feu à une feuille en deux ou trois secondes maximum. Il alluma donc son jouet et le présenta à Siloë tout en souriant de toutes ses dents blanches. Il l'approcha la flamme des cuisses si douces de la jeune fille et rit en attendant quelques secondes en laissant la flamme s'écraser contre son épiderme. Elle gigotait dans tous les sens, et Hulk ne pouvait s'empêcher de verser quelques larmes suite au fou rire qui le prenait en voyant la pauvre gazelle pleurer et hurler. Il déplaçait la flamme le long de ses cuisses en tâchant tout de même de ne pas brûler ses parties génitales. Il finit par se lasser de cet outil et jeter le briquet au travers de la pièce.
Supplies-moi d'arrêter Bouffonne ! cracha Hulk en maintenant le visage de Siloë entre ses mains, il lui mit plusieurs claques sur son visage innocent et finit par la décrocher du crochet pour la laisser tomber par terre comme un vulgaire filet de pêche. Il lui donna alors un coup de pieds dans le ventre toujours en chantonnant cette maudite chanson qu'il appréciait tant. Il prit son short qui trainait par terre et empoigna une énième fois le poignard. Il délivra les poignées de Siloë d'un coup de lame.
Hulk tira son objet sexuel par sa crinière et la fit virevolter sur le canapé. Il vint à son tour prendre place à ses côtés après avoir retiré son caleçon. Son pénis était fièrement tendu, vraiment long et plutôt fin. Il était vraisemblablement fière de ses attributs masculins et il comptait en faire profiter la divine Siloë. Il prit une poignée de ses cheveux et la tira bestialement pour lever sa tête et l'approcher de son organe génital. De l'autre main, il maintenait la lame du couteau tout près de sa gorge. Pompe moi-bien ou je t'égorge sec. Ne penses même pas à mordre, ou j'enverrai un colis à tes proches avec ta tête de pute à l'intérieur. murmurait-d'une voix ironiquement douce Hulk. Il approcha son pénis des lèvres de la jeune fille et ne tarda pas à le faire coulisser entre celles-ci. Tout en maintenant sa tête, il lui imposait un rythme de suçon qui le comblait. Joue avec ta langue ! J'ai l'impression d'être sucé par un corbeau. dit-il avant d'enfoncer son sabre de chair au fond de la gorge de l'innocente victime qu'il maîtrisait.
Hulk appréciait le traitement qu'il se faisait infliger par l'intermédiaire de la rebelle qui se débrouillait divinement bien, il se surprit même à lâcher ses cheveux et à faire voler le couteau dans la pièce. Il voulait qu'elle se débrouille seule, sans qu'il lui impose rien. Bien sûr, si Mademoiselle comptait s'enfuir ou le frapper, elle allait être sanctionnée comme elle l'avait été depuis le début de la soirée mais si vraiment Hulk appréciait ce moment passé en sa compagnie, il était probable qu'il la laisse partir vivante. Il râla de plaisir et lui donna des conseils, lui susurra à l'oreille ce qu'il appréciait dans une fellation. Branle moi bien pendant que tu lèches.. voilà, comme ça bébé.. disait-il en grognant de bien-être. Il bascula sa tête en arrière et opta de se laisser complétement faire par son esclave sexuel.
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Sujet: Re: I'm lost. [PV HULK] [HARD] Sam 3 Mar - 18:10
La sensation du couteau qui transperçait sa chair la rendait folle. Elle aurait voulu hurler. Les plaintes de douleur qui arrivaient à franchir la barrière de ses lèvres en étaient les sinistre témoins. Son corps s'arc-boutait sous les déchirures que le poignard infligeait à sa chair. Le liquide chaud et poisseux qui s'échappait de ses plaies ruisselait sur son épiderme. Elle préférait fermer les yeux. Par pur lâcheté. Par peur de voir ce qu'il infligeait à son corps. Parce que le voile que ses paupières formaient sur ses yeux la protégeait de la vision de ce fou qui allait la tuer à petit feu. Dans un effort pour préserver quoi que ce soit de sa fierté, de sa dignité, elle lui cracha au visage. Un geste complètement inutile, désespéré. Elle l'entendit rire. Fit un effort pour ouvrir les yeux. Il souriait. Son sourire, ce sourire, l'effrayait bien plus encore que les insultes, que les coups, que le supplice qu'il lui infligeait. Parce qu'il signifiait '' Je vois que tu souffre, et crois moi, ce n'est que le début ''. Il se pencha, et alla essuyer sa salive sur son propre sein. Il la répugnait. Mais elle n'avait pas le temps d'y penser, parce que la lame du couteau était dangereusement proche de son visage. Elle s'appliquait à retenir sa respiration. Au moindre mouvement de trop, elle était morte. Elle prenait soudainement compte de la vie qui était emprisonnée dans sa poitrine. Du sang qui parcourrait ses veines. De ses doigts qu'elle pouvait articuler. De son corps entier qui tremblait. C'était tout ça, qui consistait en la vie. Et pourtant, cela semblait si facile d'enlever la vie de quelqu'un. Un simple coup de couteau, et tout cela arrêtait de fonctionner. Est-ce que c'était la dernière fois qu'elle ressentait cette sensation qu'était la vie ? Est-ce que, parce qu'un type complètement fou l'avait décidé, son cœur pouvait arrêter de battre ? Oui.
Elle ressentait les baisers qu'il nichait au cœur de sa poitrine de tout son corps. Ses caresses lui étaient insupportables. Arrête. Elle aurait voulu hurler. Sa gorge était serrée par la peur qui lui prenait les tripes. Elle ne voulait pas mourir. Pas maintenant, pas comme ça. Elle sentit les lèvres de Kerbinghton s'approcher de son mamelon. Ses dents qui venaient malmener sa peau sensible. Ses dents qui lui cisaillaient la chair de plus en plus fort. Elle devenait littéralement folle sous la vague de douleur qui l'envahissait, et petit à petit, occupait toute la place dans ses sens, dans son cerveau qui ne réagissait plus. Siloë ne tentait même plus de retenir les gémissements de douleur qui s'échappaient de ses lèvres. Il se mit à rire, tout en caressant doucement sa cuisse. Il était complètement fou. Elle s'en moquait. Elle voulait qu'il arrête.
Comme une réponse à ses prières informulées, le Kerbinghton se détourna. Elle n'osait même pas regarder l'état de son buste. Les élancements qu'elle ressentait lui suffisaient amplement pour se faire une idée de l'étendue des dégâts. Elle l'entendait fouiller dans des meubles à moitié défoncés, qu'il achevait de détruire, en balançant des coups de poings et des coups de pieds dans le bois. Qu'est-ce qu'il cherchait ? L'imagination de la belle s'emballa à une vitesse folle. Un fouet. Elle avait encore la cicatrice des derniers coups de fouets qu'elle avait reçu. Un de ces teaser électrique qu'utilisaient les pacificateurs du District 7. Celons les dires, deux coups de jus infligés par ces instruments de torture suffisaient à vous faire perdre la raison.
Elle jeta un coup d’œil circulaire dans la pièce. Aucune issue. Rien. Sa mâchoire se crispa sous l'effet de la panique. Ce n'était pas possible. Il devait bien y avoir un moyen de sortir de cet appartement. N'importe quoi. Une bouche d'aération. Une trappe dans le plancher. Trop tard. Il agrippa son bras si violemment qu'elle cru un instant que son os allait céder. Apposa sa main contre l'épaule du Kerbington pour tenter de le repousser, en vain. Se mis à frapper son torse, en désespoir de cause. Elle sentait sa dernière once lucidité qui lui échappait inexorablement. Son dos alla se cogner contre le torse de son tortionnaire qui lui lui pinça violemment le sein. La blonde grimaça de douleur. Arrête de t'exciter comme ça me belle, tu vas te la prendre ma queue, no stress.. Il pouvait parler, l'insulter, elle s'en moquait. Elle ne voulait pas souffrir. Pas encore. Pas une nouvelle fois.
Il noua ses poignets entre-eux avant de la suspendre à un crochet au plafond, comme il y aurait suspendu un vulgaire objet. Le visage de la rebelle était figé dans une expression indéfinie, à mi-chemin entre la crainte et la haine. Cela se mua petit à petit en une peur certaine, lorsqu'elle aperçu l'objet qui trônait fièrement dans la main d'Hulk. Elle eu à peine le temps de réaliser l'information, que, déjà, une flamme se promenait vicieusement sur sa cuisse, lui léchait l'épiderme. Elle hurla de douleur, ne recherchant même plus à sauver quoi que ce soit de sa fierté, qui, de toute façon, avait disparu il y a bien longtemps. Des larmes vinrent troubler sa vision. Elle sentait les perles salés de son désespoir qui roulaient le long de ses joues souillées par le sang. Son corps entier se tordait sous l'effet du mal qui occupait toute la place dans son esprit. Une odeur de chaire brûlée venait chatouiller ses narines. C'était sa peau, qu'il avait mis à vif.
Lorsque son tortionnaire consentit à arrêter ce jeu qui semblait l'amuser réellement, un sillon de larme coulaient abondamment le long des joues de la rebelle. Elle se moquait bien de son honneur, en cet instant. Elle voulait juste que la douleur s'en aille. Par pitié. Supplies-moi d'arrêter Bouffonne !. Il entourait son visage de ses paumes de tueurs. Elle se contenta de le dévisager, rendue muette par l'hystérie qui l'avait saisie. Une claque. Deux. Combien d'autres suivirent ? Elle ne savait pas, elle ne savait plus.
Il trancha la corde qui maintenait ses deux poignets liés sèchement. Elle se contenta de les masser vigoureusement, pour que le sang circule de nouveau dans ses membres ankylosés. Il lui balança un coup de pied dans le ventre. La demoiselle senti ses poumons se vider de l'oxygène qu'ils contenaient. Le souffle coupé par le choc, elle se mis à paniquer. Ce fut tout ce qu'elle eu le temps de faire, avant que la poigne de son agresseur ne vienne se saisir de sa crinière blonde. Siloë fut brusquement éjectée contre le canapé. Sans avoir le temps de comprendre quoi que ce soit, elle se retrouva nez-à-nez avec l'organe génital du Kerbington. Pompe moi-bien ou je t'égorge sec. Ne penses même pas à mordre, ou j'enverrai un colis à tes proches avec ta tête de pute à l'intérieur. . Son regard était rempli d'effroi. Sans avoir le temps de comprendre, elle se retrouva avec le sexe de son bourreau enfoncé dans la bouche. Une violente nausée s'empara d'elle, si forte qu'elle dû réprimer un haut-le-cœur. Joue avec ta langue ! J'ai l'impression d'être sucé par un corbeau.. Sans réfléchir d'avantage, la rebelle obtempéra. Si il y avait une seule chance qu'elle sorte d'ici vivante, alors, elle ne voulait pas la laisser filer entre ses doigts. Quitte à se laisser ridiculiser par un de ces sales merdeux du Capitole ? Oui. Non. Elle sentait la lame du poignard encore dégoulinant de son propre sang. Elle le sentait, là, si proche de sa gorge. Il suffisait qu'il appuie.. Ne serait-ce qu'une mince pression contre son cou.. Et tout serait fini. Son bourreau poussait des petits grognements de bien être qui la révulsaient, lui prodiguant des conseils qui lui filaient la gerbe. Branle moi bien pendant que tu lèches.. voilà, comme ça bébé... Il relâcha la pression qui maintenait sa tête, et elle entendit le couteau qui s'écrasait à terre, plus loin. Un vague coup d’œil lui indiqua qu'il se trouvait sur sa droite. Sans se donner le temps de réfléchir, elle serra brusquement les dents autour du pénis du psychopathe. Elle se recula instantanément, et se jeta sur la lame qui était tombée plus loin. Sa main se referma sur le manche dans un mouvement saccadé. Son corps entier tremblait, elle était parcourue de spasme. Sa respiration était haletante. Elle se releva maladroitement, peinant à rester campée sur ses pieds. Brandissant son arme en direction du Kerbinghton, elle hurla. APPROCHE TOI, ET JE TE JURE.. JE TE JURE QUE JE TE TUE !. Ses phalanges étaient écarlates, tellement la pression qu'elle exerçait sur le manche du couteau était forte. Elle se raccrochait à lui comme l'on se raccroche à une bouée de sauvetage lors d'un naufrage. Elle aurait volontiers enfoncé le couteau dans la chair de son tortionnaire. Se serait volontiers réjoui de son sang qui aurait été tâcher le sol. Elle était un monstre.