Les discutes avec Jude étaient nombreuses cette année. Cela ne m’étonnais pas, je cherchais les ennuis plus qu’à l’habitude. Je voulais la pousser à fond, je voulais voir comment elle pouvait supporter tous. J’espérais que nos tributs ne meurent pas à cause de ses conseils. Je l’avais majoritairement laissé s’occuper d’eux. Je n’étais-là que pour observer ou presque cette année. Ma retraite approchait à grand pas. J’avais même pensé allez voir ce qui se passait dans les autres districts. J’avais entendu des rumeurs que certains mentors prennaient leur retraite et ainsi donc, peut-être étais-je du pour du changement? Allez voir ce à quoi les petits carrière du premier et deuxième districts seraient. Je savais que retourner au premier district ou au deuxième ferait le plus grand plaisir à mon neveu. Cet enfant ne voulait que cela depuis son arrivé au douze. Mais bon, Frederik n’avait pas à être le centre de mes pensés. J’avais un bouquet de fleur à la main et ce n’était certainement pas pour moi ou une quelconque femme. Non, j’avais acheté des fleurs à Jude. Maintenant que nos gamins étaient dans l’arène, il ne fallait que regarder et observer. Leur envoyer des choses de la part des sponsors et ensuite espérer que le sort leur soi favorable.
J’arrivais devant la porte de ma collègue et j’y cognais tranquillement. J’attendais ensuite voir si celle-ci viendrait m’ouvrir. Je me doutais qu’elle ne soit pas de bonne humeur face à mon comportement. J’avais vraiment agis comme un ingrats et je ne m’étais pas tant intéressé à l’idée de remonter l’estime de nos deux petits tributs. Ils avaient eux l’air ridicule. Je m’étais aussi rendu compte que j’avais sous-estimer Frenchie. Elle avait obtenue la note de 11, ce qui était assez remarquable pour une fille du douzième district, quant à Iugo je m’étais dit qu’il avait ses chances, mais plus le temps passait, moins j’avais l’impression qu’il avait des chances de gagnés. J’attendais devant la porte, mais pas de réponse. Je me décidais à entrer, elle était-là. Je lui tendais les fleurs :
«Bon travail, maintenant on espère que le sort et les sponsors leur soient favorables.»
Lui dis-je doucement en regardant par la grande baie vitrée de sa chambre. Je n’étais pas un homme agréable et j’en avais conscience. Jude connaissait ma façon de travailler et je savais très bien qu’elle ne l’aimait pas, mais cela ne me dérangeais pas trop. J’étais venu lui annoncer plusieurs nouvelles et lui en demander quelques unes puisqu’elle ne me parlait presque plus depuis que je l’avais confontrée dans le train.