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 Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)

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Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 14:50


célion istván desvance
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

Il s’appelait Célion Istvan Desvance. Jusqu’à ces huit ans, c’était un petit Capitolien comme les autres, jusqu’à une passion dévorante pour les Jeux lui retourne les entrailles. Ainsi, cette machine à propagande du Capitole le rend solitaire, fou, schizophrène tous les ans après la mort de sa préférée pendant plusieurs jours. Cependant, en temps normal, il est tout simplement adolescent, bisexuel et fou des soirées du Capitole bien qu’il ne soit pas aussi étourdi que ses parents. Il n’a presque jamais suivi d’études, trop désintéressé du Capitole pour en connaître la profonde histoire. Depuis ses 20 ans, il est Pacificateur mais cette infiltration n’a pas duré longtemps avant son enlèvement par les rebelles. Il a aujourd’hui 22 ans et compte bien se débarrasser de son alter ego maléfique avant de s’enfuir retrouver sa sœur et de couler une belle vie douce avec une belle femme, ou peut être un homme si il réussit à se raccorder à sa nature, dont il a honte


about games and relative.


Ma mort n’a jamais été fixe. En fonction des années, des Jeux, des Arènes et de mes préférées, j’ai voulu mourir différemment. Tantôt, ma mort était offerte par une flèche me transperçant la gorge, tantôt je mourrai déshydraté ou brûlé vif. J’ai toujours voulu mourir ainsi je crois, pour sauver quelqu’un. Cependant, depuis mon entrée au District 13, je ne rêve plus que de mourir le plus vite possible, tué par une pilule empoisonnée, par un coup de couteau que je me suis infligé ou tout simplement de faim ou de soif. La seule condition à cela est la rapidité, car cela me gangrène de vivre avec lui, de m’infecter sous ses assauts et de devenir fou à cause de son rire.
Je pourrais mourir pour beaucoup de personnes. Tout d’abord, bien au devant de toutes mes amoureuses, je placerai ma sœur Ocleore qui est pour moi plus qu’un modèle, qu’un ami, qu’un confident. Cependant, je ne crois pas que cela soit réciproque. Après cela, je crois que mes parents aussi mériteraient ma vie car, malgré tout le mal que je me donne pour les détester, me détacher d’eux, je ne peux pas. Leur étourdissement fait leur attachement et c’est ainsi que je ne peux que les aimer. Je mourrai aussi pour toutes les filles qui m’ont déjà un petit peu tué en mourant elle-même et en me laissant les pleurer. Finalement, je mourrai pour moi-même. Ma vie n’a plus de sens aujourd’hui ou je ne suis plus moi-même. Je mourrai volontiers pour enfin avoir ne serait ce qu’une seule seconde de paix sans lui.
Le visionnage des Jeux n’a pas pour moi d’impact qui puisse se traduire par les mots. J’adore regarder les Jeux, et, avec le temps, j’en suis devenu presque drogué. L’état dans lequel les Jeux me plongent n’est, cependant, pas si euphorique que le précédent. Il me plonge dans une sorte de dépression qui a, peu à peu, causé la dégradation de mon état physique et mental pour me rendre vide de toute humanité et de tout bonheur réel. Toute notion de cette même réalité c’est aussi envolée dans le processus.
Je crois que, même si au fond de moi je me désintéresse complètement des affaires de cette institution d’état, mes avis sur la rébellion sont partagés. D’un côté, je suis pour une rébellion, un arrêt pur et simple de ses Jeux qui me font tant souffrir, les retrouvailles avec celles qui seraient mortes et vivantes à nouveau mais d’un autre côté, il m’est presque impossible de ne pas regarder les Jeux. Aussi, l’abolition du Capitole pourrait entraîner la fin de tous mes anciens privilèges du Capitole dont je me languis.
Je n'ai pas eu tellement de chance de vraiment voir les sous-terrains du Treize en dehors de mon arrivée. Étant capturé, j'ai vécu enfermé dans une petite cellule où j'ai servi de cobaye aux multiples médicaments des rebelle. Entre mes crises d’épilepsie et mes tentatives de suicide indirectes, je n'ai pas vraiment eu le temps, même en deux ans, de pouvoir parler aux rebelles, de les comprendre, et surtout de comprendre ce subite enlèvement. Je sais que j'ai les moyens de les faire parler, mais je ne veux pas subir encore plus de cauchemars que les fantômes de mes bien-aimées et Istvan qui me force la main en essayant de cohabiter dans mon cerveau beaucoup trop étroit pour deux personnes. Cependant, le seul moyen pour moi de me dérober de mon cerveau est de les supplier d'arrêter de m'injecter leurs pourritures dans l'organisme au risque de perdre la vie avant même de pouvoir dire bonjour à mes geôliers.



reality is here.


Je n’ai jamais été vraiment doué pour parler de moi donc on va faire semblant que je réussis bien itou … Donc à 3 … 1 ; 2 ; 3 : Bienvenue Mesdames et Messieurs sur ma fiche de présentation sur MJ. J’avoue que le forum m’attire vraiment, du point de vue du contexte vachement cool, du scénario à la hauteur des plus grandes espérances qui me rend faut, grâce aussi à la CB qui ne désemplit pas et qui reste un vrai petit bonheur mais enfin aussi grâce à ses sources d’inspirations. J’ai récemment fini la lecture du 2ème livre HG et je me suis senti trahi par l’auteur à cause de temps de suspens et d’imagination. Grand Chapeau. Pour parler de moi, je dirais tout d’abord que je suis un SPF (non non, pas un écran solaire, juste un Sans Pseudo Fixe) Midnight, Cafféine, Jazz, vous pouvez m’appeler comme vous voulez. Enfin, le plus zarb pour la fin, 1- je vis au Maroc, 2- je m’appelle Othman et 3- je suis un garçon :D Enjoyy Arrow

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Dernière édition par I. Célion Desvance le Dim 17 Juin - 20:29, édité 7 fois
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Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 14:50

tell us your story.


Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 5xjs0p_large

J

e ne me rappelle pas d’une époque où je n’étais pas devant ma télévision pour suivre les Hunger Games comme tout Panem au même moment avec moi. Pourtant, pour moi, ce spectacle n’avait rien avoir avec celui que les autres regardaient en même temps. Je n’avais pas vraiment compris le côté sanguinolent ni horrible des Jeux avant mes 8 ans. Je n’avais pas vraiment compris grand-chose avant cet âge à vrai dire. La seule chose qui importait avant cela était de manger à l’heure, de dormir avec une belle histoire et de voir mes parents dont je n’arrivais toujours pas à me rappeler le visage ni la voix. A côté de cela, je revois encore et encore Ocleore se pencher vers moi pour m’embrasser le front, pour m’emmener jouer dans le jardin, pour commander à manger pour nous deux. Et ainsi allait la vie. Jusqu’à ce que je la vois.



R

ien n’avait semblé avoir changé dans ma vie jusqu’à l’instant du défilé. Déjà, je n’avais d’yeux que pour elle, son costume époustouflant, ses gestes, ses sourires, ses cheveux, ses yeux. Tout en elle m’appelait. Puis je la revis lors des interviews où, malgré son peu de chance de survivre longtemps dans l’Arène, elle brilla à mes yeux comme mille étoiles dans le ciel. Je l’admirai, l’adulai, l’aimai. J’ai aussi parié sur elle. Et pourtant, elle m’a laissé tomber. Sous le choc, je ne fis que pleurer. Bien sûr, tout mon eye-liner si bien mis se mit à couler mais je n’en avais rien à faire. Je m’enfermai dans ma chambre, à l’écart de toute ma maison. Les volets étaient fermés, les quelques faibles lumières qui brillaient normalement dans ma chambre étaient éteintes. Sur mon écran mural, une mer déchaînée par une tempête grisâtre éclairait faiblement quelques centimètres devant elle. Sur mon lit, j’attendis que mes larmes se tarissent, et c’est ce qu’elles firent après ce qui me parut être une éternité. Trop fatigué pour encore pouvoir réfléchir ou quoi que ce soit, je me laissai tomber dans un sommeil plein d’elle et de cauchemars. Je me réveillai perdu lorsque j’entendis tambouriner à ma porte. Mais il me semblait que cela venait d’un autre monde. J’étais beaucoup trop occupé par mon deuil pour pouvoir faire attention à ces minables mortels. Je passai ainsi les quelques jours d’après à me morfondre dans ma chambre, enveloppé de mes vêtements sales jusqu’à ce que la lumière éclaircit mes pensées. Je me levai tremblant, et pénétrai dans ma douche. J’appuyai au hasard des boutons et me retrouvai sentant le citron avec les cheveux roses. Je titubai nu jusqu’à ma porte et priai pour qu’on me ramena à manger. Après mon jeûne prolongé, je ne trouvai pas de forces pour parler. Je me goinfrai de tout ce que je trouvai dans la maison et reprenais des couleurs à mesure que mes joues creuses se remplissaient peu à peu. J’oubliai au fur et à mesure de mes kilos la belle qui m’avait volé au royaume des mortels. Je l’oubliai, mais cela ne dura pas éternellement…



M
es parents avaient eu vent de cette affaire et avaient crus bon de me faire étudier, que toute cette télévision que je regardai ne faisait que rajouter à ma bêtise de jeunesse et que tout cela finirait par me passer par-dessus la tête pour de bon. Puis ils prirent la route pour l’une de leurs fêtes habillés avec les dernières pièces qui avaient franchis leur dressing déjà plein à craquer. Mais cela ne m’intéressai en rien de connaître l’histoire de Panem ou encore l’utilité de tous ses districts inférieurs qui n’étaient là que pour nous permettre d’avoir une belle vie et nous divertir. Et quelle était l’utilité de savoir faire autre chose que compter, lire, écrire et comprendre ce que Caesar Flickerman racontait à propos des Tributs ? Depuis la tournée des Vainqueurs, la prochaine édition des Jeux m’obsédait déjà. J’avais tellement hâte de pouvoir enfin revoir les tributs s’entre-tuer dans l’Arène, j’avais de l’année dernière un souvenir tellement beau de cette danse morbide, cette course effrénée pour échapper à la faucille de la mort qui pendait à leur cou. Peu leur importait de tuer leurs faux amis, de trahir leurs alliés, de jouer les hypocrites tant qu’ils pouvaient voler à la mort quelques secondes encore et encore. Et cela m’excitait et me poussait à les regarder se battre à longueur de journée. Cette seconde édition inoubliable ne tarda pas à paraître sur tous les écrans.



D

ès la Moisson, mon choix était fait. Avant même que les Candidats n'atteignent le Capitole dans leurs trains ultra-rapides, j’avais déjà jeté mon dévolu sur une candidate du Troisième District. J’avais changé la couleur de mes cheveux, l’odeur de ma douche et même jusqu’à mes vêtements pour pouvoir la supporter du mieux que je pouvais. J’avais même volé de l’argent dans la chambre de mes parents, où cela ne manquait guère, pour pouvoir parier sur elle. Ce fût la onzième à être tuée et, comme avec ma première protégée, je rentrai dans un état second lorsque plusieurs caméras diffusèrent sa mort simultanément sous tous les angles possibles les flèches qui la transpercèrent de toutes parts. De nouveau dans ma chambre, le jeûne et la solitude furent mes seuls compagnes alors que je broyai du noir. Il se mit à essayer de dessiner des flèches, des portraits de celle qui l’avait attiré vers la mort encore une fois, pour le tenir proche d’elle le temps d’un voyage à l’au-delà. Le même rituel repris lorsqu’enfin j’avais terminé mon deuil. Je pouvais enfin ressortir de ma transe afin de revivre à nouveau avec les miens.



D

e plus en plus intrigués, mes parents avaient tout fait pour essayer de m’emmener chez un spécialiste mais j’étais formel, je ne voulais voir personne ; ni précepteurs ni médecins. Pour une fois, je les voyais enfin sortir de leur torpeur habituelle, quelque peu affolés par mes sorties du droit chemin. Cela ne dura que 5 minutes, le temps de se rendre compte que déjà, il fallait ressortir pour aller s’amuser et picorer un peu partout. Je n’étais toujours pas assidu en cours mais cela ne voulait pas dire que j’étais bête. Loin de là même. Je réussissais à tenir des raisonnements, lire des livres, écouter de la musique et apprendre relativement bien à me tenir en prévision des jours meilleurs où je serais assez grand et intéressant pour apparaître aux côtés de mes parents lors des galas publics. Mon seul plaisir était de jouer aux grands avec Ocleore lorsqu’elle daignait bien jeter sur moi un regard au lieu de travailler avec acharnement. Dans ses moments là, nous sortions les habits et bijoux de nos parents et puis nous tournoyions devant le miroir et essayions de reproduire leur démarche caractéristique qui était à mi-chemin entre les sauts d’oiseaux et la course des tributs. Tout ce rapportait toujours à eux dans ce que je faisais. La couleur des yeux de l’un ressemblait à cette table, la coupe de cheveux de l’autre ressemblait à celle que je voyais sur la tête des amis de la famille qui venaient dîner quelques fois à la maison. Je restai alors dans ma chambre à épier toutes ses allées et venues, encore trop jeune pour pouvoir m’y aventurer. C’était, à quelques autres exceptions près, mes seuls contacts avec le monde extérieur.



J

’avais douze ans lors de mes cinquièmes Jeux et pouvais enfin oser demander à mes parents d'aller à la gare pour pouvoir accueillir les Tributs et voir ma préférée de cette année là. J’étais affublé de mes plus beaux habits afin d’enfin pouvoir rencontrer en chair et en os mon amante qui avait été jusque là quelque peu virtuelle et irréelle, comme un produit de mon imagination déjà débordante à force de regarder encore et toujours ses monstres, ses Arènes et ses adolescents affolés par la mort qui trouvaient de tout pour pouvoir nous rendre fous de joie. Je la voyais devant moi, toute timide essayant à grand peine de traverser la foule pour entrer au Centre d’Entraînement. Cette seule vue de faiblesse mis le feu à mes veines et je sentis le sang me monter aux joues. L’émotion l’avait emporté sur la raison et, avec toute la foule en délire je scandai son nom, rêvant qu’elle entendit ma voix du plus profond de sa chambre. Je passai le moment le plus drôle, enivrant de ma courte existence alors que, courant comme pour sauver sa vie déjà proche de la fin, elle m’avait frôlé et que j’avais tendu mon bras pour qu’elle me le prenne, qu’elle me serre la main ; je m’attendais à ce que n’importe quoi se passe, mais rien. Même pas un regard. Je ne cillai pas et continuai de l’appeler. Cette perte fut l’une des plus rapides et des plus dures que j’ai eu à subir depuis le début de ma folie naissante. Enfermé dans la pénombre de sa chambre, il écrivait son nom partout. Il se mit à noircir les feuilles d’un cahier, les coins de son mur, ses mains, le carrelage de sa salle de bain du seul et unique mot : River. Je sortis de ma torpeur entouré de feuilles volantes et de gros marqueurs noirs. Trop faible pour me lever, j’avais rampé jusqu’à la lumière qui, loin d’être ma délivrance, n’était qu’une ultime course vers le fond. Une course à la mort et à la folie …



L

es éditions suivantes furent pimentées par mes différents allers et retours à plusieurs hauts lieux des Hunger Games pour soutenir mes favorites qui finissaient immanquablement mortes, ce qui me plongeait dans un désespoir encore plus profond. Lors de mes treize ans, il me fut donné la chance d’assister au grand défilé, lors de mes quatorze ans, j’assistai à toutes les interviews, lors de mes quinze, j’eus même le droit de faire la fête toute la nuit dans les rues bondées et joyeuses du Capitole. J’étais de moins en moins présentable après mes sorties à la fin des Hunger Games. Maigre, sale, je ne pouvais rien faire à part sortir tant bien que mal de ma prison pour pouvoir revoir la lumière du jour, respirer l’air frais qui pouvait s’en aller au gré des souffles et du temps. La seule qui pouvait m’accompagner dans ma sortie des Enfers était Ocleore. Elle était tout pour moi, une alliée, une défenseuse, une amie, une confidente. C’était elle qui m’accompagnait toujours car, selon mes parents, je n’avais pas encore l’âge de sortir seul. Mais cela me plaisait de pouvoir lover ma main dans la sienne, la tirer là où je pouvais avoir une meilleure vue sur le spectacle et je la voyais toujours ouvrir des grands yeux ébahis devant ce spectacle qu’elle n’appréciait guère à sa juste valeur. Je voyais bien, au fond de ses yeux, cette lueur malsaine du regret qu’elle éprouvait à voir pour la dernière fois ses morts vivants qui saluaient la foule quand ils n’étaient pas trop affolés et tremblotants comme les gladiateurs saluaient César. Mais cette flammèche disparaissait aussitôt qu’elle voyait Caesar Flickerman. Elle était folle de lui, regardant ses moindres gestes, buvant toutes ses paroles, lisant toutes les expressions de son visage, de ses visages. Je n’avais d’yeux pourtant que pour ma bien-aimée qui, elle aussi, ne cessait de changer de visages. J’avais maintenant le droit d’apparaître en public, assez grand pour osez pointer le bout de mon nez quelques minutes aux fêtes de mes parents, mais je ne pouvais avoir le malheur d’apparaître sans Ocleore, c’était la seule qui pouvait me tenir de me comporter comme un enfant sans manières. Tout allait alors relativement pour le mieux ; puis vint le jour maudit où tout bascula.



L

a planche quelque peu précaire qui retenait mon bonheur s’effondra lors de mes seize ans. J’étais à l’une des soirées prisées dont pullulait le Capitole accompagné de mes parents. Ocleore avait trop de travail pour pouvoir pointer à la soirée. J’étais allé seul, un peu plus assuré et plus habile avec les gens quand je l’aperçu. Lui, le beau grand jeune homme aux traits parfaits. J’avais envie de rire à mes pensées si bizarres mais je commençai petit à petit à ressentir la même petite boule que provoquaient en moi toute ses Tributs, jeunes, jolies, agiles et mortes. Comment se faisait il que je puisse ainsi être attiré par ce garçon. Cela ne pouvait être normal, et c’est ce dont je m’assurai quand je vis Ocleore s’éloigner peu à peu de moi. Elle ne pouvait pas ne pas avoir remarqué, Ocleore savait tout, et elle s’en allait pour de bon. Je ne pouvais pas la laisser partir loin de moi, j’avais tant besoin d’elle que je ne me sentais pas capable de vivre une vie où elle ne serait pas présente; mais son absence se fit de plus en plus sentie. Cette année là, les Jeux furent pour moi une occasion de me racheter, de lui dire à quel point j’étais désolé d’avoir mal vu ce garçon, qu’elle n’avait pas à s’en faire pour moi, que j’étais juste fatigué. Je me faisais des histoires seul dans ma tête, sûr d’avoir fait une erreur que j’essayai d’effacer. Quand je la vis, cette année là, j’ai même cru que tout était oublié, pardonné, et j’ai même cru que j’avais rêvé d’avoir commis une faute, essayant d’expliquer le soudain départ d’Ocleore. C’était pour moi un Messi, une apparition divine venue me sauver des folies humaines. Je la trouvais jeune, belle, jolie et émouvante. Puis, du haut de mes seize maigres années, j’étais allé seul la voir à toutes ses apparitions publiques. Je m’étais même enfui de chez moi, comme pour prouver mon grand amour. J’étais plus que fou d’elle, comme jamais auparavant même dans mes années les plus horribles. Je la voyais même les yeux fermés, j’entendais murmurer sa voix à mon oreille, je rêvais d’elle la nuit, ou plutôt les quelques heures où mes paupières s’alourdissaient à cause de la fatigue quand je ne pouvais pas la regarder. Je n’avais jamais été aussi coquet, aussi changé, aussi moi-même. A chaque réveil je me peignai les yeux, me coiffai avec soin, m’affublai de mes plus beaux habits et allai assister au bal qui se déroulait à la télévision. J’étais avec elle à chaque instant, ressentant ses émotions, vivant ses craintes, l’aimant de plus en plus. Puis ce qui devait arriver arriva et je pris sa sentence de plein fouet dans mes reins. Comme un coup de poing dans le ventre, je cessai de respirer. Je me perdis complètement ce jour là.



I

l était rentré dans sa chambre sans un bruit, avait éteint toutes les lumières et s’était plongé dans son lit. Il avait perdu toute notion du temps et de la réalité environnante. Il la revoyait qui courrait dans sa chambre et accourait pour la prendre dans ses bras. Ces mirages avaient semblé durer une éternité. Puis soudain, il vit la porte s’ouvrir. Il accourut à son lit et se préparait déjà à crier à la personne qui venait oser pour la première fois troubler son deuil toutes sortes d’obscénités. Cependant, il reconnut le pas léger et le claquement des talons aiguilles qui résonnaient sur sa moquette. Ocleore s’approcha de lui et commença à lui murmurer à l’oreille. Sa voix tendue laissait penser qu’elle attendait la fin de ce deuil depuis longtemps pour enfin pouvoir lui annoncer sa nouvelle. Elle partait. Sa seule réaction fut la nonchalance. Il n’avait prononcé qu’un mot, un seul … « Et ? » Cependant, à l’intérieur de ses entrailles, un geyser bouillonnait. Un torrent de lave, de colère, de honte. Il n’avait pas été à la hauteur alors. Même sa folie ne pouvait empêcher son acte impardonnable d'être racheté, son amour maudit, ses amours maudits. Il avait attendu que, lasse, elle s’en aille et referme la porte. D’un pas lent, il avait refermé les volets, éteint les lumières et s’était plongé dans sa cabine de douche. Il avait augmenté la température de l’eau au maximum et avait lancé le jet d’eau. Les brûlures semblaient s’imprimer sur ses bras à mesure que la température montait dans la cabine. Même les murs semblaient faits de fer chauffé à blanc. Il se mit à hurler ; hurler de douleur, de désespoir. Cela était de loin son deuil le plus horrible, le plus ravageur et le plus ravagé. Il était allé au retranchement de la raison, avait voyagé dans les confins de son cerveau et avait saccagé sa peau qui était autrefois si belle et si soyeuse mais qui n’était, aujourd’hui, plus qu’une écaille rougeoyante recouverte de vêtements mouillés qui devenaient pesants. Une décharge se fit dans ses membres qui se mirent à déchirer les étoffes chères. Plus rien ne faisait plus écran entre son corps nu et le jet bouillant. Assis dans un coin où giclaient les gouttelettes, il s’évanouit sous l’effet de la douleur qu’il ne pouvait plus supporter.



J

e me réveillai dans un hôpital entouré de tubes qui recouvraient mes bras. A peine avais je essayé de relever la tête que déjà, un flot de médicaments me fit retomber dans le sommeil. Plusieurs fois, ma tête combattait tous ses produits dans mon corps pour essayer de se relever mais, immanquablement, elle frappait le lit avec fracas avant de re-sombrer dans les landes de la sœur de la mort. C’est pour cela que je ne remarquai pas sa présence. Mais, un jour, je le sentis m’encercler, me pousser hors de ma propre tête tandis que lui prenait le contrôle de ma raison. Mon cœur se mit à battre et je fus pris d’une crise d’angoisse ; après quoi, je fus remis en état de coma artificiel avant de me réveiller une fois pour toutes. Heureusement pour moi, aucune trace d’Istvan lorsque je pus enfin me rassoir. Je mangeai à ma faim, qui n’était pas si grande, avant d’essayer de faire quelques pas dans ma chambre exiguë d’hôpital. A peine quelques heures plus tard, je ressortais de cette ambiance d’alcool médical et de pansement avec une peau neuve. Comme je le fis bien comprendre à mes parents, cela n’avait pas lieu de tomber aux oreilles d’Ocleore, c’était mon deuil et cela restait mes affaires. Cependant, j’avais dû l’arrêter en plein milieu, ce qui me laissa un petit goût âcre dans la bouche pendant quelques temps …



M

aintenant que j’étais présent devant le fait accompli, je commençai à regretter ma réaction sur le vif. Mais je n’étais pas fait pour le regret et il fallait bien avouer que le costume de Pacificateur m’allait parfaitement bien. Je revoyais encore les yeux ébahis de mes parents devant ma décision si rapide. Il ne m’avait même pas fallu une nuit pour faire mes valises après la pseudo-mort de ma préférée cette année. Je dis pseudo-mort car je suis sûr qu’elle n’est pas vraiment morte. Je le sais parce que pendant l’une des multiples soirées dont j’étais devenu adepte, j’avais entendu parler de ses rebelles qui réanimaient des Tributs morts lors des Jeux. Et puis je savais qu’elle n’était pas morte tout au fond de moi, je le savais parce qu’elle ne m’avait pas emporté avec elle, je le savais parce qu’elle m’avait jeté un regard qui voulait dire qu’elle me retrouverait, un regard qui voulait dire qu’elle me connaissait, m’aimait. Je le savais aussi parce qu’Istvan avait, après ses quatre années de retranchement, réapparu en moi pour me guider vers le droit chemin. Trop de questions venaient embrumer mon cerveau alors que sa voix était claire comme du cristal. Elle me dictait des ordres dont je ne voulais même pas me dérober, bien qu’ils me parussent impossibles. Il savait bien plus que je ne savais, je le sentais. Je ne pris qu’une petite valise contenant des documents que je m’étais débrouillé dans le bureau d’Ocleore et quelques habits. Dans le train qui m’accompagnai au District 2, je me posai déjà tant de questions, et, aveuglé par mes émotions, mes passions dévorantes, je laissai Istvan prendre la relève du Célion fatigué que j’étais. Je ne cherchai plus à reprendre le contrôle de mes membres, de ma faiblesse. Je me retrouvai devant les hauts grades des Pacificateurs alors que je voyais se dérouler devant mes yeux l’histoire de mon propre enrôlement. Je pris mon uniforme, les instructions dont j’avais besoin et on m’accompagna avec tous les autres apprentis Pacificateurs qui voulaient percer dans le métier. Je n’en voulais rien, mais cela faisait parti du plan d’Istvan. Il fallait prendre cet uniforme pour venir ici, se faire passer pour ce que l’on n’était pas. Il fallait ensuite chercher ses noms, ses visages qu’Ocleore qualifiait de rebelles, il fallait les interroger et la retrouver. La retrouver à n’importe quel prix. Et ce prix ne risquait pas d’être bas ...



M

e revoilà, pensant à mon enlèvement, mon enlèvement qui n’était qu’un accomplissement d’Istvan qu’il me cachait. J’aurais dû savoir qu’il ne voulait pas la sauver avant. J’aurais dû savoir qu’il m’avait tout simplement empêché de faire mon deuil pour rejoindre les rebelles. Les autres inconnus de la liste qui n’étaient que des quidams de Panem n’étaient faits que pour attiser mon attention, j’aurais dû me douter de quelque chose, n’importe quoi. Au moins, je savais que le District 13 existait, mais cela ne résolvait en rien toute l’autre partie du mystère. La seule occupation qu’il me fût donnée d’avoir était de combattre le monstre intérieur qui essayait de me dévorer. Je me retrouvai trop faible face à lui, lui qui m’insultait de tous les noms, qui fustigeait ma faiblesse, raillait mes amours. Et, dans cette cellule sale, je combattis aussi mes plus grands cauchemars.



I

l criait à quelqu’un de le laisser tranquille, quelqu’un d’absent, d’inexistant. Il cognait sa main contre le mur en hurlant à l’aide puis, tout d’un coup, sa voix mourut dans sa gorge. Il reprit avec un ton et un discours totalement différents. Il ne pensait plus à se sauver, il ne pensait qu’au plaisir qu’il avait de lui faire peur, de le pousser à hurler, à se frapper. Il semblait jouir de ce bonheur qui, dans sa bouche, semblait être une délectation divine. Encore une fois le silence se fit. Cette fois, il dura plus longtemps. Les yeux de Célion étaient grands ouverts, il était fasciné par la beauté des reflets du soleil contre cette lame de couteau. Il approcha ses longs doigts fins de la pointe effilée. Il la plongea entière dans son doigt dont le sang se mit à sortir avec abondance. Il eut une mine apeurée, il tenta de cria mais le son qui sortit de sa gorge fut un gros rire à mesure que la lame se réfléchissait dans ses yeux et qu’elle pénétrait dans son ventre toute entière. Là, il eut un monologue des plus étranges sur son interdiction de vivre, sur sa faiblesse, ses folies et son défaut, au plutôt comme il le dit, sur « la plus grosse honte qui puisse arriver à un être vivant » ce qui lui avait valu d’être dépouillé même de ce titre. Il finit par se calmer, ne lâchant plus que des faibles hoquets de douleur à mesure que les larmes creusaient des sillons dans la crasse accumulée sur ses joues pour se perdre dans sa barbe.



L

orsque je n’étais pas occupé à guérir d’une de mes multiples blessures ou à essayer de dénouer les liens qui m’emprisonnaient les bras, j’essayai de recracher les pilules qu’on me faisait avaler de force, comme un animal. Je savais que c’était du poison à l’état pur qu’on me faisait manger mais je ne pouvais pas les en empêcher. Je voyais tour à tour toutes mes protégées, je les embrassai avec fougue, passion sans pour autant être à l’abri de leur courroux, de leurs hurlements de rage. Elles étaient furieuses que je ne les ais pas aidées et elle me frappait tour à tour avec leurs ongles, leurs pieds, leurs poings, des dagues, des sabres. Je n’étais pas à l’abri de ses apparitions qui semblaient plus réelles que ce que je mangeai et pleurai ces douleurs qui me tiraillent, les douleurs physiques et les douleurs morales de les voir me renier, moi, leur plus fervent admirateur. J’étais celui qui les avait fait tenir dans cette arène, j’étais celui qui les avait sauvé aux yeux des sponsors. Je leur hurlai au visage, leur crachai à la figure et entendait encore et encore ce rire qui me hantait, me faisait hurler d’épouvante. J’étais le seul à pouvoir le combattre et personne ne pouvait m’aider à éloigner de moi ce démon qu’on appelait fictif. J’étais affolé à la seule idée d’être livré seul à lui. Si seulement elle avait pu être avec moi, si seulement elle ne m’avait pas renié. J’aurais tout fait pour implorer son pardon à cet instant, si seulement elle avait été là pour me sauver de moi-même …







Dernière édition par I. Célion Desvance le Dim 17 Juin - 20:13, édité 9 fois
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Thybalt M. Homens
DISTRICT 5
Thybalt M. Homens
△ correspondances : 8988
△ points : 29
△ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi)
△ à Panem depuis le : 22/12/2011
△ humeur : désabusé
△ âge du personnage : trente quatre ans
△ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles


can you save me?
statut: the one that got away
relationships:


Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 14:53

BIENVENUE SUR MJ Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 173490454 chou
Trop bon choix de scénario l'histoire est trop koul Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 4209083858 chou
Bon courage pour ta fiche Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 3523041270
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http://www.mockingjay-rpg.net/t1349-thybalt-strawberry-fields-forever http://madebyumita.tumblr.com
Miléna E. Andréis-Wheeler
DISTRICT 13
Miléna E. Andréis-Wheeler
△ correspondances : 5888
△ points : 1
△ multicomptes : (l. c. meery)
△ à Panem depuis le : 04/09/2011
△ humeur : cruellement arrachée à sa famille
△ âge du personnage : vingt sept ans pour toujours


can you save me?
statut: On ne touche qu'avec les yeux, coeur et corps pris par un homme jaloux.
relationships:


Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 15:01

Bienvenue parmi nous chou Bon courage pour ta fiche chou chou
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Invité



Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 15:02

Bienvenue parmi nous !
Ouais, je suis d'accord avec Thythy, le scénario était trop de la balle !
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Invité



Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 15:20

Comme j'aime trop ce scénar' Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 846282082 !
Bienvenue ! Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 2774444739
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Gemma K. Mubstin
DISTRICT 6
Gemma K. Mubstin
△ correspondances : 4141
△ points : 0
△ multicomptes : Ø
△ à Panem depuis le : 16/04/2012
△ humeur : Floue.
△ âge du personnage : Vingt-et-un
△ occupation : Danseuse.


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statut: as free as the wind
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MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 15:24

Kyah je suis trop contente que tu aies pris mon scénar' chou

Je te souhaite un super, méga, giga bienvenue sur le forum Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 846282082
Rien que ton deuxième prénom est trop classe Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 173490454 Vraiment hâte de voir la suite Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 3920004554

Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 2774444739 Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 2774444739 Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 2774444739

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Invité



Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 16:11

Ce choix de scénar Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 4209083858 Si j'avais pas déjà eu 3 compte j'aurais sauté dessus chou Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 173490454
Bienvenue ici et bon courage pour la suite, réserve moi un lien I love you
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Adonis Nightsprings
DISTRICT 8
Adonis Nightsprings
△ correspondances : 2406
△ points : 12
△ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy
△ à Panem depuis le : 01/04/2012
△ humeur : Blasé.
△ âge du personnage : 35 ans
△ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08


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statut: Single.
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MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 16:39

Bienvenue à toi *-* !
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Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 16:47

Merci beaucoup tout le monde Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 324581347
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Invité



Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 17:01

Bienvenue Smile
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Invité



Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 17:04

Super choix de scénario, en plus t'as fait plaisir à ma petite tribut chérie Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 2774444739
Bienvenue Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 173490454
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Silk Preston
DISTRICT 8
Silk Preston
△ correspondances : 1057
△ points : 0
△ multicomptes : Fenugreek (✝) Auden (D2)
△ à Panem depuis le : 01/04/2012
△ âge du personnage : 32 ans


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statut: N'a alors mais alors absolument pas besoin de Swain Hawkins. Mothafucker.
relationships:


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MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 19:26

Bienvenue Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 3523041270
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Kathleen S. Harper
DISTRICT 9
Kathleen S. Harper
△ correspondances : 11512
△ points : 1
△ multicomptes : ◭ silver & asha
△ à Panem depuis le : 21/05/2011
△ humeur : ◭ lasse.
△ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.


can you save me?
statut: hum
relationships:


Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 21:54

bienvenue parmi nous Céline Dion Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 3516571458

bon courage pour ta fiche Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 173490454
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http://www.mockingjay-rpg.net/t9145-harper-congratulations-you-re-still-alive http://www.mockingjay-rpg.net/t9156-harper-we-knew-wed-die-before-we-lived
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MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitimeJeu 14 Juin - 22:22

WELCOME ICI CELINE DIOOOON Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 173490454


Buena chanca para tu ficha Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) 1147778360 (sisi c'est espagnol, je t'assure)


crac crac
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Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Vide
MessageSujet: Re: Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée)   Célion ▲ Something's coming ... Something good (Revue et corrigée) Icon_minitime

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