✤ TOURNEE DU VAINQUEUR les jeux sont désormais terminés, place à la tournée du vainqueur qui met à l'honneur andro graham ! plus d'informations ici. ✤ INTRIGUES panem ne cesse de changer avec de nombreux événements inouïs. découvrez le volume 6. ✤ MISES À JOUR une nouvelle règle a été instaurée. merci de prendre connaissance de celle-ci ainsi que les autres nouveautés ! ✤ MISSIONS ET QUÊTES toutes les missions ont été lancées ! rendez-vous dans ce sujet pour toutes les découvrir. ✤ SCENARIOS voici quelques scénarios qui n'attendent que vous: rebelles. liam hemsworth pacificateurs. boyd holbrook district 13. cobie smulders & chris hemsworth vainqueurs. gemma arterton & elle fanning d'autres scénarios gagnants de la loterie à venir !
△ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011△ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
Sujet: Victory tour for the dead people Ҩ HOPE&THYBALT Sam 3 Mar - 1:01
A REVOLUTION HAS BEGUN Ҩ « a revolution has begun today for me inside, the ultimate defense is to pretend. revolve around yourself just like an ordinary man, the only other option is to forget. Does it feel like we've never been alive ? Does it seem like it's only just begun ? Does it feel like we've never been alive inside ? Does it seem it's only just begun ? It's only just begun »
Il était tard. Impossible pour Thybalt de dire quelle heure exactement mais il était tard, et lorsqu'il avait remis le nez dehors il n'y avait donc rien d'étonnant au fait qu'il ne rencontre que le silence et ne croise pas âme qui vive. Il faut aussi dire que la journée n'avait pas été des plus agréables pour les habitants du district, outre la vague de froid qui sévissait à nouveau depuis quelques jours alors que l'on croyait l'hiver touchant à sa fin, il leur avait en plus fallut affronter la corvée annuelle de la tournée du vainqueur ... D'autant plus difficile pour le cinquième district cette année de par le nombre de tributs envoyés dans l'arène ; Deux garçons et deux filles. D'autant plus difficile pour Thybalt parce que pour la première fois depuis toujours les adolescents envoyés n'étaient pas tous des inconnus, pas uniquement des visages croisés au détour d'une rue sans pouvoir mettre un nom dessus ... Parce que parmi eux, il y avait Luna. Comme si l'avoir vu monter sur l'estrade après avoir été tirée au sort, comme si lui avoir dit adieu dans cette salle froide et impersonnelle de la mairie, comme si l'avoir vu hurler de douleur avant de mourir, avant d'être exécutée comme un vulgaire animal par cette fille du six, comme si tout cela n'était pas déjà suffisant, il fallait en plus qu'on les oblige à regarder dans les yeux celle qui était ressortie vivante là où quatre des leurs avaient une nouvelle fois périt. La cruauté du Capitole était sans limites, et chaque année ils avaient à nouveau la possibilité de le rappeler à tous les habitants ... Avaient-ils seulement l'espoir qu'un jour la population de Panem finirait par adhérer ? Sans doute que non, le Président Snow avait du comprendre avant tous les autres que le seul moyen efficace de garder une population sous contrôle c'était la terreur, une terreur permanente et une cruauté qui ne pouvait être ignorée ... « Longue vie au Président Snow » susurra Thybalt d'un ton cynique avant de donner un coup de pied dans un caillou qui trainait à portée de sa chaussure. Après l'apparition et le discours d'Alexiane chacun était rentré chez soi, et Thybalt avait raccompagné Heidi chez elle. Ils n'avaient pratiquement pas échangé le moindre mot de toute la soirée, le jeune homme l'avait aidé à préparer le repas et ils avaient diné dans un silence pesant, aucun des deux ne tenant à revenir sur cette journée ou bien à faire le moindre commentaire sur le discours de la gagnante. Luna n'était peut-être plus là, mais son absence était si pesante que nul ne pouvait ignorer le vide qu'elle avait laissé ... Heidi avait les yeux brillants de larmes mais n'en avait pas laissé couler une seule de toute la soirée, sans doute à cause de la présence du jeune homme ; Quoi qu'il en soit bien qu'il lui arrive de temps à autre de rester jusqu'au petit matin elle lui avait rapidement fait comprendre son besoin d'être seule ce soir lorsqu'elle avait prétexté être fatiguée et s'était retirée dans sa chambre. Le jeune homme était resté encore une petite heure, le temps de débarrasser le reste de la table et de faire la vaisselle afin d'éviter une corvée de plus à Heidi le lendemain matin, puis il avait éteint la lumière de la pièce principale et sans un bruit il avait quitté la maison.
Il n'avait pas trainé trop longtemps dans les rues, tout d'abord parce qu'il ne faisait pas chaud mais également parce qu'avec la présence de la gagnante des derniers jeux dans le district le nombre de pacificateurs présents en ville semblaient avoir doublé, et pour les plus demeurés d'entre eux le fait de se balader dans les rues en pleine nuit était déjà quelque chose de louche. Et ce n'était définitivement pas le moment de se mettre à dos un pacificateur de plus, surtout avec les allers et venus incessants depuis quelques semaines de rebelles ou de soldats du treize en infiltration. Thybalt était persuadé que cela finirait mal cette histoire, que cela finirait par lui retomber dessus un jour ou l'autre, et que la seule raison pour laquelle les pacificateurs n'avaient pas encore repéré ce petit manège résidait dans le fait que le village des vainqueurs était éloigné du centre-ville. Il savait aussi que s'il continuait à avoir l'autorisation de demeurer dans la maison de son père adoptif au village des vainqueurs, c'était uniquement parce que le pacificateur Landon Hessfield le lui permettait ... Parce que son père avant de mourir avait passé un pacte. Alors il était tout sauf temps de se mettre à dis les pacificateurs de façon générale ... Même si cela dit, si ses activités rebelles venaient à être découvertes il aurait de bien plus gros souci que le fait de devoir changer de maison ; Ce serait même le cadet de ses soucis à vrai dire. Parfois il avait l'impression d'être simplement un couard, et de ne pas vouloir se l'avouer. Pour quelle autre raison pourrait-il craindre autant l'ampleur que prenait son appartenance forcée à la rébellion ? Il n'approuvait pas les méthodes employées par les rebelles et surtout par le district treize, et il se sentait révolter de devoir composer avec quelque chose qu'il n'approuvait pas ... Mais était-ce là la seule raison ? Non, la vraie raison était effectivement la peur. Pour les conséquences que le fait d'être découvert pourraient avoir sur lui, mais également sur le district ; S'il venait à être capturé il ne pouvait pas se promettre en son âme et conscience qu'il serait capable de résister à tout, qu'il réussirait à ne lâcher aucune information, aucun nom ... C'était trop facile de faire croire qu'on ne flancherait pas, mais la vérité c'était que tant qu'on avait pas été mis en situation on en savait rien et Thybalt n'avait pas la prétention d'être différent. Il ne pouvait pas garantir que dans une situation désespérée il ne finirait pas par lâcher le nom du vieux Byron, le patron du bar clandestin qui renseignait la rébellion sur tout ce qu'il voyait ou entendait dans son bar, ou bien qu'il ne parlerait pas des méthodes du treize pour infiltrer les districts, de la façon dont ils récupéraient des armes et de la nourriture en comptant sur les informations que pouvaient leur fournir les rebelles comme lui. Il n'était pas à l'abri de ce genre de chose, bien d'autres rebelles s'étaient fait prendre avant lui, le mari d'Heidi en était un exemple parfait ... Autre raison pour laquelle Thybalt craignait de se faire attraper, il ne pouvait pas, ou plutôt il ne voulait pas laisser Heidi toute seule.
Les mains dans les poches, il rasait les murs en regardant le sol, pressé d'arriver chez lui. Si d'habitude passer par le centre-ville lui était agréable, ce soir c'était plutôt le contraire et il avait hâte d'arriver à destination ... La journée avait été psychologiquement éprouvante pour lui aussi. En passant devant le bar clandestin du vieux Byron il trouva porte close et lumière éteinte ; Il n'y avait que trois journées par an durant lesquelles il restait fermé : Le journée où le vainqueur de l'année était de passage au district, et deux jours durant les jeux, un pour chaque tribut du district qui perdait la vie. Byron était tellement vieux qu'on aurait pu croire qu'il avait connu l'avant hunger games ; Ce n'était pas tout à fait le cas, mais cette tradition-hommage semblait elle aussi être arrivée avec le début des jeux. Enfin il avait quitté le centre-ville et pris le chemin du village des vainqueurs, il ne s'attendait plus à croiser personne maintenant, et il avait l'espoir que le présence de gens du Capitole et d'une grosse dose de pacificateurs dissuaderait n'importe quel rebelle de venir frapper à sa porte comme s'il s'agissait d'une auberge. Du moins c'était ce qu'il pensait jusqu'à ce qu'il arrive à quelques mètres de chez lui et remarque une ombre un peu plus loin ... Tout de suite méfiant, il marqua une courte pause avant de recommencer à s'avancer à pas lents
« Salem, c'est toi ? Laciann ? » Il faisait trop sombre pour qu'il puisse voir de façon précise qui il avait en face de lui, tout ce qu'il savait c'était que la démarche était trop féminine pour qu'il puisse s'agir d'Alecto, ou d'un homme de façon générale. Et puis finalement il s'était assez rapproché pour voir qu'il ne s'agissait d'aucune de ses deux voisines, et tout de suite son air s'était renfrogné et la méfiance était réapparue plus que jamais sur son visage. « J'peux vous aider ? » Son ton était légèrement froid. Thybalt était pourtant quelqu'un d'ordinairement avenant, mais aujourd'hui n'était pas un bonjour, et les étrangers n'étaient en général pas une bonne nouvelle. Quoi qu'à bien y regarder Thybalt avait une vague impression d'avoir déjà vu cette femme quelque part ...
Invité
Sujet: Re: Victory tour for the dead people Ҩ HOPE&THYBALT Dim 29 Avr - 23:52
Cliquetis, cliquetis, on n'entendait que ça. C'était le soir et nous étions tous réunis dans la cuisine du maire qui était très modeste. Elle avait un petit style country qui rendait la maison chaleureuse. Le maire et sa femme vous avait accueilli avant le discours d'Alexianne. Eux aussi étaient chaleureux, très accueillant, alors qu'ils commémoraient la mort de leur tribut. Cette année avait été fatale pour eux. Quatre de leurs enfants étaient partis aux Jeux et aucun d'entre eux n'étaient revenus. Je crois que pour eux ce fut un coup très dur, même trop dur. Je m'imaginais mal voir des jeunes de mon district mourir chaque année par obligation puis accueillir celle qui avait survécu. Comment faisait-il pour gérer cette situation. Aucune idée, ça devait être l'habitude, oui l'habitude...
Un des chefs pacificateurs m'avait donnée l'ordre de rester pour quelques jours au district cinq suite à quelques complications dans l'organisation de notre arrivée au District 3. Le maire et sa femme t'avaient rapidement proposé de s'installer chez eux pour quelques jours. Il y avait assez de place pour nous. L'après-midi même nos bagages avaient été déposées dans mon nouveau logis et j'avais passé le reste de la journée à préparer mon équipe pour le prochain district. Par la suite, j'étais passé voir Alexianne et nous avions parlé de tout et de rien, du comment elle se sentait etc. C'était devenu une routine entre nous et j'aimais bien ça. J'en apprenais un peu plus sur elle et vice versa. Puis le soir arriva rapidement et ce fut le temps de manger. Nous étions tous habillé sobrement, enfin tous sauf les deux crétins de mon équipe de préparation. Ils s'étaient vêtus d'habits bleus et roses et s'étaient maquillés horriblement comme à l'accoutumé. Même si je leur ordonnais de foutre un pantalon sur leur cul il trouverait toujours un moyen de ne pas respecter les règles. Mais je les aimais bien quand même...quand même. Bref nous en n'étions là dans un souper très silencieux. Parfois, l'équipe de préparation animait la conversation et puis elle retombait subitement, comme ça. J'avais eu la brillante idée d'interroger le maire sur l'élevage et la vie au district cinq et bientôt la conversation n'incluait que nous deux. Bref nous en n'étions là dans un souper très silencieux. Parfois, l'équipe de préparation animait la conversation et puis elle retombait subitement, comme ça. J'avais eu la brillante idée d'interroger le maire sur l'élevage et la vie au district cinq et bientôt la conversation n'incluait que nous deux. Elle était vraiment passionnante, j'en apprenais un peu plus sur le merveilleux monde de Panem. De temps en temps, Alexianne passait un ou deux commentaires. Une certaine alchimie s'était créé entre nous malgré nos différences, notre mode vies. Au fond, nous n'étions pas si différents, nous étions humains.
« Oh mon dieu! J'arrive pas à y croire le site de Daylimakeover viens de publier un article sur la future arène des prochains Jeux. »
Des murmures d'excitation parcouraient la table, les membres de l'équipe de préparation se levèrent rapidement pour se pencher sur l'article que tenait Cashmere. J'avais vu le regard d'Alexianne ainsi que celui du maire. C'était le genre de regard que vous ne voulez pas voir, car vous savez qu'ils resteront dans votre mémoire. Tranquillement je déposais ma fourchette avant de lancer un regard foudroyant à Cashmere.
« Messieurs et mesdames, je croyais que mes ordres étaient clairs, nous ne diffuserons rien à propos de futurs Jeux. Entre nous oui, mais sinon c'est silence complet. Capiche ? »
J’avais prononcé ces mots d’un ton sec, dur. Je m’étais retenue pour ne pas exploser de colère. Comment osaient-ils? N’avaient-ils pas vu que ces gens avaient perdus des êtres chers depuis des années, n’avaient-ils pas vu que notre simple présence pouvait les faire souffrir? Non. Il ne pensait qu’à eux, à leur petite vie. Ils étaient d’un ridicule, d’une naïveté, d’un égocentrisme, d’une égoïste, mais ils restaient naïfs et soumis au Capitole. Des chiens quoi. J’avais soif, très soif, j’avais soudainement envie d’une nouvelle gorgée de vin. Je trempais mes lèvres dans mon verre avant de reprendre la conversation avec nos hôtes. Je savais que d’une certaine manière j’avais froissés mes comparses, mais mn équipe ne s’apercevait pas du mal qu’il pouvait faire, jamais. Ils étaient si naifs que tu avais le goût de les égorger. La conversation se termina comme elle avait commencé dans un silence brisé par quelques cliquetis.
***
C'était facile, beaucoup trop facile songeai-je. Avant d'aller « dormir » j'avais demandé à la mairesse si je pouvais dormir les fenêtres ouvertes. Selon elle, je devais être assez folle pour les garder ouverte en hiver, mais je l'avais rassuré en lui disant que nos pyjamas étaient conçus un peu comme les tenues des Hunger Games, ils pouvaient nous permettre de nous tenir au chaud malgré la température. Je lui ai même promis de lui en donner un si elle en voulait. Ça l'avait intéressé. Je lui avais promis de lui en donner un avant de partir. Sur ce, elle m'avait quitté en me souhaitant la bonne nuit. Trop facile. Rapidement, Hope aux cheveux rouges avaient disparues sous une tonne de cheveux noirs (vive les perruques) et sous un costume de pacificateurs. Ils étaient faciles à reproduire. Finalement, j'étais sorti par la fenêtre de ma chambre qui comme par hasard se situait au premier étage. La chance du débutant ...
Les rues étaient tranquilles. Moi non, j'avais envie de pleurer, de crier, de frapper, de... de... pleurer. Il était tard dans la nuit ou très tôt le matin peut importe ça revenait au même. Je ne savais pas ce qui m'avait mené à cet endroit. Je ne savais pas pourquoi... Ces derniers temps je m’étais posée tant de questions avec le mot pourquoi temps que ça m'avait rendu folle.
Depuis le début de la tournée je n'étais plus la même. J'avais énormément maigrie, de large cernes étaient apparus sous mes yeux, je ne dormais presque plus. Cette tournée m'avait transformée, j'avais un oeil plus ouvert sur le monde. Plus le voyage approchait à sa fin, plus je me rendais compte de la chance que j'avais de vivre au Capitole et ça me dégoûtait. Les habitants des districts ne vivaient pas; ils tentaient tant bien que mal de survivre. Cette pensée ne cessait pas de me trotter dans ma tête, de me ronger intérieurement. Pourquoi? Pourquoi devaient-ils souffrir et moi non ? J'avais honte. Honte d'être capitolienne et honte de ne pas pouvoir faire quoique ce soit pour venir en aide à ces gens.
Pourtant, une petite voix dans ma tête me disait que j'aidais ces gens, en étant les styliste de leurs enfants, en les rendant désirables, en leur donnant une chance d'avoir des sponsors qui les aideraient au cours des futures semaines, mais une autre te disait que ce n'était pas assez. Je n'en pouvais plus d'entendre ces pensées, alors je me plongeais méticuleusement dans mon travail. Un cercle vicieux n'est-ce pas ? Tranquillement je sortis une bouffée de cigarette. J'avais pris cette mauvaise habitude récemment et le simple fait de fumer me calmait. Je croisai un pacificateur qui me salua de la tête, il ne m'avait pas reconnu tant mieux. D'ailleurs ce n'était pas le premier que je croisais. Il y en avait surement pour assurer notre protection pendant notre séjour. Voilà pourquoi il y en avait autant dans les rues. Non, c'était faux, il y en avait parce que nous étions là. Non, ils étaients là parce que depuis plusieurs semaines des rumeurs de rébellion se faisaient entendre. Je n'étais pas dupe, je ne le suis jamais.
Je soupirai, ma tournée nocturne arrivait à sa fin, il fallait vraiment que je retourne dans la maison sinon c'était kaput pour moi. Je retournai sur mes pas en passant par les petites rues. Je tournai à un coin de rue avant d'apercevoir une ombre plus loin. Un autre pacificateur? Non... il ne portait pas l'uniforme, un habitant ? Si tard dans la nuit, quoique je n'étais pas mieux. Il devait surement faire une petite promenade de rien. Il se retourna. Il m'avait remarqué, puis il avait ralenti son pas. Je n'aurais peut-être pas dû utiliser un uniforme de pacificateur en fin de compte. Je lui faisais surement peur.
« Salem, c'est toi ? Laciann ? , dit-il avant de se rapprocher vers moi, J'peux vous aider ?" dit-il froidement. Malgré moi, je fis un pas en arrière. Il n'était peut-être pas l'homme le plus imposant, mais une grande méfiance régnait dans ses yeux et je ne savais pas ce qu'il pouvait me faire, ni ce que je devais faire d'ailleurs. Mentir? C'était peut-être intéressant, mais il devait surement savoir qui j'étais.
« Je … N’ayez pas peur… je ne suis pas ce que vous croyez… je… je voulais juste me promener…"dis-je d’une toute petite voix. Ma bouche était pâteuse et j’avais de la difficulté à trouver mes mots. Respire Hope, respire. « Je suis Hope Carter. » dis-je en lui tendant la main.