| Sujet: Lucas Mandrake - Build a better world Sam 28 Avr - 9:22 | |
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Lucas Mandrake❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Je m'appelle Lucas Mandrake et je suis fils unique de 17 ans. Issu du district 8 en proie à une grande misère, je rêve d'une vie meilleure. Cette vie à laquelle ma famille et moi aspirions au cours de mon enfance, mais que le Capitole a détruite en propageant la pauvreté parmi nous tous. Mes parents tiennent une boutique de revente, et par bonheur pour eux, je semble né pour bricoler. Il n'existe rien de plus agréable pour moi que de créer toutes sortes d'objets, utiles ou inutiles. Ainsi mon destin serait donc de reprendre la boutique familiale. Malheureusement, le malheur de la misère qui s'abat sur notre district à considérablement réduit le nombre de nos clients, et je suis donc obligé de passer mes journées dans les usines à bidouiller les machines qui dysfonctionnent afin de ramener un minimum de revenu à la famille. J'y suis tellement attaché que je pourrai prendre une infinité de tesserae pour qu'ils échappent à cette vie cruelle qui nous pousse au delà de nos limites. Terriblement protecteur, je serai capable de tout pour empêcher le moindre mal à ceux que j'aime. En revanche, j'accorde ma confiance avec beaucoup de difficulté. C'est peut-être cette entière dévotion à mes proches qui me pousse à être aussi méfiant, et parfois même rancunier envers ceux qui m'ont trahis. N'avoir que peu d'amis proches fait de moi quelqu'un de calme, parfois même solitaire. Malgré cela, j'apprécie le contact humain et je suis du genre ouvert à toutes les discussions. J'admire particulièrement les animaux, auxquels je préfère parfois la présence apaisante et innocente.
Physiquement, je ne suis pas gros. Il faut voir les rations de nos repas. D'une taille convenable, j'atteint environ 1m80. J'ai les cheveux noirssouvent coiffés en bataille. Il faut dire que je ne prête pas une grande attention à mon look. De toute façon, qui aurait le temps de le faire ici ? Avec un visage plutôt expressif, il m'est difficile de cacher ce que je pense lorsque mes émotions sont trop fortes. En revanche, cela me permet également de me montrer parfois plus convainquant quand il le faut. Mon père m'ayant appris le marchandage dès mon plus jeune âge, je me débrouille souvent pour convaincre mes interlocuteurs. Enfin, je n'aborde pas un des physique les plus impressionnant. Le seul fait de serrer des boulons encore et encore dans les usines me fait les bras, rien de plus. Je n'aime pas particulièrement m'agiter pour rien. En revanche, la nuit, comme le jour, je me faufile partout dans l'espoir de mettre la main sur n'importe quel petit objet qu'il serait intéressant de bricoler. Souvent je erre dans les usines la nuit à la recherche de pièces abandonnées. Je sais qu'il n'y a rien de plus dangereux, mais puisque cela me permet de bricoler et de contribuer au rendement de la boutique par la même occasion, je n'y prête guère attention.
Mon plus grand rêve serait de pouvoir abattre, ou au moins franchir les barrières du district 8 afin de fuir cet endroit maudit. Je tiens le Capitole en ligne de mire, unique coupable de la chute de ma famille dans la misère. A autant pomper les réserves du district, la vie apaisée que nous avions connue a disparue à jamais. Toute cette histoire m'a poussé plusieurs fois à prendre des tesserae, malgré ma peur bleue des Hunger Games. En attendant un jour meilleur, je continue à m'évader à travers l'invention de nouveaux outils, dans l'espoir que cela améliore au moins la vie de quelqu'un, ou parfois simplement pour m'amuser, oublier, réfléchir.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?
Mon idéal, ce serait de mourir rapidement, et sans souffrir si possible. Mais vous savez, dans le 8 on est tellement poussés à bout que la souffrance semble être un passage obligé. J'aimerai ne pas le voir venir, ne pas avoir le temps d'y penser. C'est une réflexion assez terrifiante au début et qui impose de nombreuses questions. 'Que deviendraient mes parents sans mon aide ? Qui défendrait mes amis ?' Une pincée parmi tant d'autres. Et puis finalement, je me dis que ce n'est pas si grave, si c'est pour la bonne cause. Au final, j'espère seulement qu'on se souviendra de moi comme quelqu'un de bien.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?
Je pourrai m'attirer des ennuis pour une infinité de choses, mais quand il s'agit d'y laisser sa vie, il est bon d'y réfléchir à deux fois avant non ? Malheureusement, en ce qui concerne ceux qui me sont chers, je suis plutôt du genre impulsif, à pouvoir vendre mon âme au diable plutôt que de les voir souffrir. Je prend pas mal de risques en me baladant discrètement dans des endroits souvent interdits à la recherche de babioles utiles. Mais empêchez moi de bricoler, empêchez moi de vivre. C'est une activité qui est devenue aussi nécessaire que de manger pour moi, peu importe les risques. Enfin, je crois que je pourrai mourir pour une bonne cause. Une cause noble, qui ferait de moi quelqu'un de bien et qui aiderait quelqu'un d'autre. Une ou deux fois je me suis surpris à avoir ce rêve fou de mourir pour anéantir le Capitole.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?
Ma capacité d'invention m'est incontestablement la plus utile pour m'aider dans la vie de tous les jours. D'ailleurs, plus qu'utile, elle est devenue indispensable pour moi. Je m'emploi à ce don du bricolage à la moindre minute de mon temps libre, et parfois lorsque j'ai besoin de me vider la tête. Peut-être pourrais-je inventer un quelconque outil ou piège pour m'aider à survivre durant les Hunger Games, mais je me suis toujours refusé à imaginer comment éliminer d'autres enfants sans doute aussi terrifiés que moi. Durant mes escapades nocturnes dans le dos des pacificateurs, j'ai également dut développer une stratégie de déplacement rapide et discrète, qui me permet d'explorer les lieux en silence et de fuir avec le plus d’agilité possible en cas de problème. Enfin, mes nombreuses leçons de marchandages depuis mon plus jeune âge auprès de mon père m'ont appris à tenir un discours parfois un peu trop cohérent pour persuader les clients. Mais que voulez vous, les temps sont durs. En ce qui concerne les Hunger Games, je ne pense pas avoir le coeur à marchander une alliance avec qui que ce soit. J'espère seulement que le sort me restera favorable et ne m'obligera pas à revoir cette hypothèse..
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?
Qui n'a pas perdu de proches au cours de l'émission la plus ignoble de toute l'histoire ? Pour ma part, c'est une adorable cousine que j'y ai perdu. A sa mort, ma tante s'est effondrée, elle était veuve, et sans sa fille qui lui avait permis de surmonter cela, elle a sombré dans la folie. Etant herboriste, au cours de mes visites, elle m'avait appris combien les plantes pouvaient nous être utiles. Je me rappelle en avoir rapporté de toutes sortes pour tenter de la sauver, ou même de constater une infime amélioration. Malheureusement, mes efforts restèrent vains, et ma tante continua de mourir à petit feu jusqu'à s'éteindre brutalement un jour d'été. Ce fut un choc, une blessure qui ne guérira jamais vraiment, et au fond de moi, une promesse de vengeance, aussi futile soit-elle, si cela peut soulager le poids terrible qui s'est effondré sur nous ce jour là. Après cela, à chaque Hunger Games diffusé, la nervosité prend le contrôle sur moi, et je deviens bien plus agressif et agacé que je ne le voudrait. Mes parents essayent de me calmer et de m'aider à préparer cette phase, mais chaque fois, au cours de cette période je ne fabrique plus que des objets menaçants, sans autre utilité que de faire du mal, en broyant du noir dans mon coin. Pourtant, je le regrette ensuite à chaque fois que je me calme. Je m'emploi donc à contrôler mes nerfs, aussi pénible cela soit-il, dans la peur de blesser mes amis ou mes proches sous une colère impulsive.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?
Ô joie. Enfin un espoir de stopper toute cette folie, cette misère et ce désespoir, nourri par une peur omniprésente que le Capitole nous rappelle avec soin à chaque moisson. Ce message n'a fait que redoubler ma haine contre ceux qui nous exploite, et l'apparition de rebelles fut un énorme soulagement. Plusieurs fois, lorsque l'hiver nous gèle les orteils, ou que la chaleur de l'été absorbe jusque nos larmes, j'ai songé que nous n'avions plus rien à perdre, et que nous devrions simplement partir à la recherche du District 13. Mais la raison me rappelle toujours à l'ordre. Le danger serait omniprésent. Seul, je n'aurais pas hésité une seconde. Mais le trajet est trop dangereux pour mes parents, surtout ma mère qui devient de plus en plus fragile avec ces conditions de vie déplorables. Alors reste l'espoir. L'espoir que ces rebelles viennent nous chercher, qu'ils abattent enfin ces barrières qui entourent le huit en les maintenant prisonnier de ce cauchemar, et qu'enfin je me batte à leur côté, pour moi, pour ma famille, pour nos voisins, et pour Panem tout entier. Alors en attendant, je rêve de liberté et je m'évade à imaginer la construction d'un engin capable de nous sortir de ce périmètre sans avenir. Et dans un soupir, tout ce que je peux me contenter de murmurer c'est : "Un jour.. Peut-être... Sans doute.." Car j'ai envie d'y croire. Et j'y crois.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE se fait désirer. DU COUP, MON NOM A 21 chances d'être tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER D' inventeur-vendeur dans mon idéal, mais le manque de ressources me pousse dans les usines pour réparer les machines défaillantes ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'adore bricoler, ce n'est même pas une corvée pour moi. Je pourrai le faire une semaine durant que je ne m'apercevrait pas de la faim qui me rongerai les entrailles. En revanche, le travail dans les usines est particulièrement cauchemardesque. Le bruit, les odeurs, la chaleur, les conditions, et surtout le danger, car personne n'arrêtera les machines si l'on a le malheur de s'en approcher d'un peu trop près. . JE SUIS DANS LE 8ÈME DISTRICT. AYANT 17 ans JE peux PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET je suis pris de tremblements empli de terreur à l'idée de l'approche de la prochaine moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
Une soirée d'été tranquille, les rires fusent dans la maison des Mandrake. Mon invention des couverts autonomes pour s'occuper tout en mangeant n'est pas tout à fait au point et viens de me renverser le reste de soupe que contenait mon bol sur la tête. Je boude un peu face au gâchis, mais le rire de mes parents me console bien vite, et je me joins à eux avec joie.
- Ça ressemble plutôt à une catapulte ! S'esclaffe mon père en tripotant l'engin avec curiosité tendis que ma mère continue de sourire en récupérant le bol qui ne s'est heureusement pas cassé. Aussitôt, je dirige ma nouvelle arme dans sa direction en prenant un air vengeur.
- Tu vas devoir payer cet affront ! Mais mon père s'empare alors d'un plat vide pour s'en servir de bouclier, toujours en riant. En cet instant, rien ni personne ne semble pouvoir briser cet instant de simple joie, et les conditions de vie difficiles que nous affrontons tant bien que mal n'ont plus la moindre importance pour nous. Alors qu'une nouvelle guerre semble sur le point d'éclater au beau milieu du salon, ma mère qui riait avec nous jusqu'à présent en plaidant pour la paix, se met à tousser bruyamment.
La dure réalité nous ramène aussitôt sur Terre. Je perd tout sourire et me relève vers elle. Elle a enfoui son visage dans un torchon, et m'arrête d'un geste de la main durant toute sa quinte de toux qui me semble durer une éternité. Lorsqu'elle reprend enfin se respiration, tout mes muscles sont tendus, et je devine que mon père est dans le même état derrière moi. Tout ça à cause de ces fichues vapeurs que ma mère respire à longueurs de journée. Je suis persuadée qu'elles sont toxiques alors qu'elle s'entête à me répéter que non d'un air rassurant, ce qui ne fait que me convaincre d'avantage. A nouveau, cette haine de notre reconversion forcée vers les usines me noue l'estomac, et la colère me fait serrer les poings. Mon père se jette sur elle pour l'aider à s’asseoir tendis qu'elle nous répète qu'elle va bien avec un sourire. Mais impossible de nous tromper, ses yeux sont remplis de fatigue et de tristesse. Car elle sait, et nous savons tous : ma mère est malade. Cette pensée me serre le coeur, et je suis pris d'une terrible envie de vomir.
- Je vais chercher quelque chose. Ma voix étranglée trahit mon trouble, mais mon père se contente de hocher la tête et ma mère me dit d'être prudent. Je m'enfuis l'instant d'après. Machinalement, mes pas me conduisent dans le secteur industriel. Cet endroit que je déteste tant est pourtant la première source d'approvisionnement de mes créations. Je traîne des pieds en tournant au hasard, broyant du noir. Soudain mon pied envois un boulon abandonné un peu plus loin. Je le ramasse et le fait tourner entre mes doigts, songeur. Soudainement plongé dans un autre monde, mon cerveau est en ébullition quand je réalise que je suis retourné à notre boutique de vente. Je m'introduis discrètement, et me laisse tomber par terre dans un soupir terrible. L'espace d'un instant, mon regard erre autour des nombreuses babioles qui m'entourent, quand je décide finalement de m'emparer d'une lampe à huile abandonnée dans un coin. Finalement, mon esprit se vide, mes problèmes s'envolent, et ma concentration ne se réduit qu'à ce qui se tient entre mes mains. Le silence est absolu autour de moi. La tension retombe enfin.
Je n'ai pas vu les heures passées et après avoir réparé la petite lampe à huile qui m'a permis de m'éclairé, j'ai du passer une bonne partie de la nuit à bricoler. Lorsque j'émerge enfin et que je me décide à regagner la maison, mes parents sont au lit. Je soupire doucement. Il ne reste plus que tristesse et lassitude en moi. Je décide de me coucher aussi. Demain sera un jour meilleur.
reality is here.
Hello~ Je m'appelle Manon et j'ai 18 ans depuis peu. Je vis aux alentours de Bordeaux. Je viens de finir le troisième tome de Hunger Games il y a quelques heures et je suis comblée. J'ai décidé de me lancer dans la lecture après avoir vu le film que j'ai bien aimé également. J'ai découvert le forum par le biais d'une amie qui ne m'en a dit que du bien, et je constate avec plaisir qu'elle n'avait faux en rien. Bravo pour votre travail et merci beaucoup de m’accueillir parmi vous~ !
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Dernière édition par Lucas Mandrake le Sam 28 Avr - 17:38, édité 7 fois |
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Kathleen S. Harper △ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011 △ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
| Sujet: Re: Lucas Mandrake - Build a better world Dim 29 Avr - 10:11 | |
| COLIN ta fiche est parfaite, te voilà validé Tu viens d'être validé, mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. S'il est membre d'une équipe de préparation (mentor, styliste, hôte(sse), c'est par ici que ça se passe. A vérifier que le rôle convoité est bien libre. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
tu auras ta couleur et ton rang sous peu, mais tu peux déjà poster have fun |
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