Atem Blackstone

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Après avoir participer à la délivrance Panem, au combat. Je suppose que ce serait la meilleure fin pour moi. Je veux mourir pour mes idées. L'idéal serait de mourir en sachant que Panem est enfin libre. Pour l'instant ça peut paraitre utopique mais je suis convaincue que la fin ce sera ça. Je dois le croire pour avoir la force de me battre. Sinon entre les mains d'un Pacificateur si l'on échoue, mais cette possibilité n'est pas envisageable. Ca voudrait dire que j'ai échoué mais je mourrais alors en ayant tenté tout ce que je pouvais. Aussi je me vois mourir en sachant que ma soeur va bien, sinon encore une fois j'aurai échoué.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Pour Panem dans son ensemble, pour chaque habitant de chaque district qui souffre de la domination du capitole. C'est maintenant le sens de ma nouvelle vie. En rejoignant le district 13 et le camp des rebelle je fais le serment de mourir pour Panem s'il le faut. Je pourrais mourir si ma mort peut servir à sauver une grande quantité de personnes. Egalement pour ma soeur, parce que je ne commettrai pas la même erreur deux fois. Mes parents sont morts à cause de moi et malgré la haine que je pouvais parfois éprouver pour eux je le regrette. Par contre Emrys mérite largement de vivre et je me dois de la protéger. Elle est la seule exception.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

référez-vous à ce sujet.

Persuasion, survie et j'apprends le maniement des couteaux depuis que je suis au D-13.

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

Petit garçon je pensais que ce n'était pas réel, que c'était "pour de faux". J'entends encore ma soeur me dire que c'était des vrais petits garçons et de vraies petites filles là derrière l'écran. Pourtant je ne voulais pas croire, c'était beaucoup trop triste pour être vrai. Bien sur en grandissant la vérité s'est vite imposée à moi. Les jeux étaient un tel événement au Capitole. A l'école nos professeurs en parlaient avec excitation et mes camarades s'amusaient à parier sur leur tribut favori. Moi j'ai toujours était réticent envers les jeux. A l'adolescence la vu des Hunger Games sur les écrans m'était devenu insupportable, intolérable. Dès que je pouvais je les boycottais.

➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?

Malgré la haine que j'ai nourri envers la population du capitole pendant des années, la haine envers toute l'outrance et l'extravagance de ces gens, mon arrivée dans le district 13 ne fut pas simple. Les richesses du Capitole ont laissé place à la simplicité et l'efficacité du 13. La nourriture est exécrable mais on s'y habitue. Chaque bouchée dans la cantine du district, chaque pas dans le district est un pas de plus vers la liberté. Je souffre parfois des souvenirs de ma famille, mais maintenant que j'ai perdu mes parents par ma faute, il est plus facile de supporter la douleur maintenant que je suis dans le district 13. Les moeurs du district 13 ne sont pas forcément simple à suivre mais j'y suis arrivé j'imagine. Quelques fois je fais des écarts de conduite mais ma volonté me pousse toujours à m'intégrer. L'ambiance guindée, terrée n'est pas simple, parfois je ne me sens pas à ma place, décalée mais je me sens toujours plus à ma place qu'au Capitole.



JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE a toujours été abondante. DU COUP, MON NOM A aucune chance d'être tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER DE rebelle ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime ce gout de rébellion.. JE SUIS DANS LE treizièmeÈME DISTRICT. AYANT 24 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende la prochaine moisson. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT. [/size]

tell us your story.

J’ai vu le jour au Capitole, capitale de la dictature du président Snow. Comme tous les habitants du Capitole mon enfance s’est résumée à un parfait petit cocon doré. Mes parents ne manquaient pas d’argent. Nous mangions beaucoup plus qu’à notre faim, nous avions une éducation de choix et ma sœur Emrys et moi étions promus à un très bel avenir. Le capitole garantissant à ses enfants les meilleures professions. Petit garçon j’étais déjà un peu à part. Je n’exaltais pas devant les Hunger Games et mes camarades de classe me reprochaient de ne pas me déchainer sur les paris. Voir ces jeunes de mon âge se battre jusqu’à la mort m’a toujours paru un peu cruel. Petit je pensais que c’était justifié même si je n’étais pas d’accord avec le principe de sacrifier des enfants. Mais à l’école on nous parlait des jours sombres et on nous assurait que c’était le seul moyen de ne pas retourner en guerre. Naïf j’y croyais même si je n’y étais pas intimement convaincue.
Ce caractère méfiant à l’égard de la société était assorti d’une terrible envie de transgresser les règles. J’imagine que c’était ma façon de faire savoir que je trouvais les Hunger Games odieux et que je n’étais pas d’accord avec les règles imposées. J’en faisais voir de toutes les couleurs à ma mère, m’échappant de la maison familiale pour n’y revenir que le soir. Je ne me rendais pas compte du souci qu’elle pouvait se faire.

A l’adolescence ma haine envers les Hunger Games et le Capitole s’est affirmée. J’avais la maturité nécessaire pour comprendre que les jours sombres étaient justifiés, que la population souffrait alors que nous étions nous au capitole des privilégiés. Ce sentiment d’injustice m’était en vérité insupportable. Peu à peu je ne supportais plus du tout de voir tout ces gens se gaver, s’extasier pour un rien mais surtout devant les jeux de la faim.
J’étais déjà écoeuré de la population du capitole mais le coup de grâce fut lorsque je surpris mon père dans les bras d’une autre femme. A cette époque-là j’avais seize ans. Je n’avais plus foi en rien, ni en la société ni en propre famille. Je ne cessais d’être déçu. Tout n’était qu’illusion, ce qui semblait parfait n’était en fait que le masque d’un disfonctionnement évident. Mon père m’a fait jurer de ne rien dire à ma mère. Je le lui ai promis. A quoi bon faire souffrir ma mère ? Autant lui laisser un voile devant les yeux comme le capitole le faisait si bien. De plus j’étais trop déçu, beaucoup trop pour vouloir y repenser.

Plus ça allait et moins je me sentais à ma place. Je ne savais pas de quoi serait fait mon avenir mais j'étais sûre d'une chose, je ne crèverai pas au capitole s'en avoir tenter de mettre fin à cette mascarade.
Je passais le plus clair de mon temps dehors, coupant un peu le lien avec ma famille. Mes fréquentations n’étaient pas très fréquentables et pour oublier je passais mes nuits avec des belles filles. Certaines d’entre elles étaient issues de familles célèbres et au creux de l’oreiller j’ai pu apprendre quelques secrets sur les dirigeants du capitole. Des secrets qui n’ont fait que raviver ma haine.

Ce qui me poussa certainement à fuir le capitole fut d’apprendre qu’Emrys était en fait ma demi-soeur. Mon ignoble paternel ayant découché une nuit dans les bras d’une femme des districts. Ma mère avait accepté de récupérer le bébé. C’était fou, fou de voir à quel point ma sœur et moi vivions dans le mensonge. Je ne savais plus ce qui pouvait bien être vrai autour de moi. La seule chose que je voulais c’était m’enfuir, loin d’ici et me battre pour faire tomber le capitole. Pour que les populations ne souffrent plus, pour que le mensonge n’existe plus.
Heureusement pour moi mes balades nocturnes m’ont permises d’avoir des contacts avec les rebelles. Je m’en remettais à eux pour me déporter dans le district 13. Pour ça il fallait que l’on me pense mort, ainsi je pourrais m’enterrer dans le district 13 en toute impunité. Pour que les rebelles acceptent de me fournir une couverture je fis un deal avec eux. Les rebelles allaient faire exploser une mine près de ma maison au capitole et en échange je garderai contact avec mon père qui me fournirait des informations sur le capitole. Il accepterait sinon je révèlerais son infidélité à ma mère mais surtout que j’informerai Emrys de la vérité.

Malheureusement pour moi, le soir de l’explosion de la mine mes parents avaient annulé leur sortie et je n’eus pas le temps d’annuler l’opération. Ils périrent tous les deux dans "l’accident". Seule Emrys survit. Je décidais de m’en tenir au plan initial, passer pour mort et laisser ma sœur derrière moi. Le jour où elle serait en danger au capitole j’irai la chercher.

Tu viens d'être validé, mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. S'il est membre d'une équipe de préparation (mentor, styliste, hôte(sse), c'est par ici que ça se passe. A vérifier que le rôle convoité est bien libre.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay