| Sujet: MACKENZIE ζ It's like a dream ; no end and no beginning Mar 10 Avr - 18:28 | |
| MACKENZIE ELANA ZIEGLER❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Je suis Mackenzie Elana Ziegler, j’ai 23 ans et je vis dans le district 7. Je suis une inhabitants of the districts, comme la plupart d’entre nous. Je suis une menuisière depuis l'adolescence, vu que ma mère et mon père l’étaient. Je vous ait dit que je suis une enfant unique? Bah, maintenant vous le savez. Quand j’étais jeune, j’étais toujours malade, donc mes parents n’avaient pas l’argent ni le temps pour s’occuper d’un autre enfant.
Tout le monde me complimente en me disait que je suis une belle femme. J’ai un teint bronzé naturel et je passe le plus clair de mon temps dehors. Mes yeux sont pairs, naviguant entre le vert et le brun. J’ai de beaux cheveux bruns bouclés et un sourire à couper le souffle. Je tiens beaucoup de ma mère, parait-il, sur le côté physique. Je trouve aussi. Je suis une réplique de ma mère, sauf en plus jeune. Je suis grande pour une femme et je suis svelte. Mes hanches sont légèrement développées, mais pas comme d’autres, et j’ai une petite poitrine. Je suis une personne très athlétique et ça parait, avec mon ventre plat et ma forme phsysique excellente.
Côté caractère, on dit que je ressemble plus à mon père. Je suis une personne très sociale et qui a besoin du contact des gens pour être heureuse. Je suis curieuse, j’aime toucher à tout, essayer n’importe quoi. J’ai un petit côté extraverti que les gens aiment bien chez moi, je ne suis pas pudique et je m’affirme. Je suis une tête forte et j’aime beaucoup diriger. Je suis dynamique et énergique: je n’aime pas perdre mon temps. J’adore m’amuser, ce qui est plutôt difficile, donc les moments où je m’amuse, j’en profites. Par contre, je suis une personne très orgueilleuse... Ne me prenez jamais pour une idiote ou ne me faites jamais de coups bas. Je me venge tout le temps, c’est plus fort que moi. Il faut faire attention, car j’ai des tendances bipolaires. Chez moi, c’est les hauts et les bas sans cesse, depuis la mort de mes parents. Je peux être gentille et PAF, j’ai envie de vous égorger. Je ne suis pas violente de nature, comprenez-le. J’ai toujours été une fille douce, jusqu’à mes 18 ans. J’ai pris ma vie en main, je me démerde toute seule, sans l’aide de personne ni de tesserae. Je suis manipulatrice sur les bords: je n’ai pas le choix de l’être pour pouvoir convaincre les gens de me donner quelque chose. C’est la vie.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Premièrement, j’espère qu’elle n’arrivera pas de si tôt. Affronter la mort à 23 ans, je trouve que c’est beaucoup trop jeune. Vous savez donc ce que je pense des Hunger Games, alors que ce ne sont que des adolescents entre 12 et 18 ans qui vont se battre dans une arène pour gagner. Ma mort, elle viendra. Comme tout le monde. J’accepte le fait que je vais mourir un jour, mais je vais combattre si c’est une maladie. Je ne veux pas laisser tomber les gens qui m’aiment et je veux passer du temps avec eux. Je vis au jour le jour, donc si je meurs ce ne sera pas avec le sentiment d’avoir rien fait de ma vie. La vie est trop courte selon moi, surtout quand on sait qu’on a une chance, dès l’adolescence, de mourir. Mais bon, changeons de sujet. La mort, ce n’est pas une chose dont j’aime parler. ➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Je serais capable de me donner la mort dans certaines circonstances pouvant mettre en danger mes proches. Je préfère qu’une personne proche de moi, parents ou amis, soit sauvé et que je sois morte. Je ne suis qu’une personne de plus à nourrir. Une bouche de plus. Je préfère sauver une personne et mourir que de ne rien faire et avoir mauvaise conscience jusqu’à la fin de mes jours. Mais comme j’ai perdu beaucoup des membres de ma famille, je ne peut compter que sur moi-même. Je ne sais pas encore contre quoi j’échangerais ma vie. De la nourriture ? Non, certainement pas. J’arrive à me nourrir et me soigner correctement. Ça reste encore à en discuter, car on ne sait jamais ce qui arrive dans la vie. Si ce n'est pas pour mes proches que je voudrais mourir, ce serait pour personne. Je suis une battante, faut pas l'oublier... ➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Comme aptitudes précieuses, je peux dire que j’ai une très bonne mémoire. Je me souviens où je vais et j’ai un bon sens de l’orientation que ce soit en forêt ou en ville. Je sais vaguement quelles plantes sont comestibles ou non, mais quand je ne sais pas je n’y touche pas. Je sais comment soigner une plaie légère ou profonde sans qu’elle s’infecte et comment faire des points de sutures. Sinon, ce qui peut vraiment m’aider comme aptitudes précieuses, c’est que je suis capable de me défendre. À mains nues, je suis plutôt bonne. Je ne suis pas la meilleure, mais ça pourrait bien me sauver la vie. Avec des armes, n'importe lesquelles, j'arrive à me défendre. Une branche, un bâton, une barre de fer, un outil, une tasse à café, un couteau, des rideaux de douche... Bref, vous comprenez que n'importe quoi peut devenir une arme, non? La seule chose dont j'ignore si je suis capable de manier est un fusil. ➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Si on peut considérer cela comme un “proche”, il y a Julian K. Kennedy-Fawkes. Il est le frère jumeau de l’un de mes amis, Clay. Comme toutes les années, j’ai suivi la progression des tributs aux jeux et j’ai été surprise que Julian soit le dernier à tenir le coup, à remporter les Hunger Games. Appart cela, dans ma famille, il n’y a pas vraiment personnes que je connaisse ayant participé à ces jeux, aucuns proches. Il est certain qu’il y en a eu dans le passé, mais c’est très vague. Quant aux familles du district 7 ayant perdu un membre de leur famille, je ne l’ai ait jamais connu que de nom, lorsqu’ils ont été pigé à la moisson. Je me compte très chanceuse d’avoir perdu personne aux Hunger Games. La victoire de Julian m'a surprise, mais comme je ne le connaissais pas vraiment à l'époque, ça n'a rien changé dans mon train-train quotidien. ➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? C’est évident que je suis pour une rébellion et que je me joindrais aux rebelles. J’irais même au district 13 pour éviter de subir tout ce qui se passe avec les Pacificateurs et tout. Par contre, je reste au district 7 dans le but de donner quelques informations aux rebelles et à Clay. C’est illégal et ça encourage les révoltes, je sais bien. Le Capitole est injuste envers ses districts et je sais qu’il y en a qui souffrent beaucoup de de pauvreté que les gens dans le mien, mais je ne veux plus vivre cette dictature. Si il y a un simple espoir de possibilité de changer le monde, je suis dans le jeu. Je veux pour tout le monde une vie meilleure. Qu’on soit, en quelque sorte, un seul district et non plusieurs. Donc oui, j’essaie de me joindre à eux. Je m’identifie à eux. Je les aide et je ferai parti des rebelles au moment venu où il y aura un soulèvement du peuple contre le Capitole. J’attends la révolte avec impatience, mais je sais rester discrète. Je n’ai pas envie de mourir en dévoilant à tout le monde mes intentions, quand même. JE VIENS D’UN MILIEU DÉFAVORISÉ, AINSI POUR MOI LA NOURRITURE N’EST PAS ABONDANTE, MAIS ELLE EST LÀ. DU COUP, MON NOM A AUCUNE CHANCE D’ÊTRE TIRÉ AU SORT. J’EXERCE LE MÉTIER DE MENUISIÈRE ET POUR TOUT VOUS DIRE, J’AIME ÇA. JE SUIS DANS LE 7ÈME DISTRICT. AYANT 23 ANS, JE NE SUIS PLUS EN ÂGE POUR PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET JE N’AIME PAS CEUX-CI. ENFIN, J’ATTESTE QU’EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J’ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S’IL EST TIRÉ AU SORT. tell us your story. Je suis née en septembre, le 23 septembre, il y a maintenant 23 ans. Mon père et ma mère, jeune et fiers, voulaient déjà avoir plusieurs enfants, même s’ils savaient que ça risquait d’être difficile financièrement. C’était le risque couru, mais ils voulaient à tout prix se réveiller le matin et avoir plusieurs enfants souriants à la table pour manger. Les choses ne se passèrent pas comme prévue, bien sûr. Il faut toujours qu’il y ait un imprévu, une chose qui gâche un peu le bonheur que vous vous êtes forgé sur votre petit nuage. Bébé, j’ai eu la jaunisse, chose assez fréquente chez les bébés. Avec l’argent et la médication, je me suis rétablie facilement. Jusqu’à mes trois ans, j’étais toujours incapable de marcher et ça inquiétait mes parents qui songeaient à avoir un autre enfant. Ils ont découvert que j’étais paralysée, en faite. Ça, ce n’était pas du tout fréquent. Après des examens médicaux fait par certains amis de mes parents, sans frais, ils découvrirent qu’ils fallait simplement me pousser à marcher et m’aider. Ce n’était que les vaccins de bébé qui m’avaient rendue comme ça. Heureusement, ce n’était qu’une paralysie légère et temporaire. Mes parents décidèrent d’avoir un autre enfant plus tard, afin qu’ils puissent s’occuper de moi correctement et à temps plein, si on peut dire.
Après deux ans, je marchais, courais, roulais, grimpais sans aucune difficulté. Ma mère avait essayé d’avoir un enfant, mais elle a fait une fausse couche après la 16e semaine de grossesse. C’était très difficile pour elle et mon père. Moi, j’y comprenais rien. Je faisais les choses de la vie courante: je jouais avec mes amis, j’allais à l’école, j’aidais du mieux que je pouvais mon père et ma mère à la maison. Oui, à 5 ans, j’aidais mes parents. J’étais très autonome, pour une jeune fille. À mes 6 ans, je me suis cassée une jambe en tombant d’un arbre. Mes parents ne l’ont pas trouvé drôle, faut dire. Ça coûte cher, une jambe cassée. En 3 mois, c’était réparé et je marchais de nouveau dessus. J’ai été un bon nombre de fois malade: la gastroentérite, le rhume, la grippe, les intoxications alimentaires... Bref, tout ce qu’un enfant peut bien attraper comme maladies, hein. Je ne rendais pas la tâche facile pour mes parents. Pauvres eux. Vers mes dix ans, mes parents décidèrent de laisser tomber le fait d’avoir des enfants. C’était trop compliqué, j’étais toujours malade. Tout dans mon enfance se passait bien, hormis les maladies qui survenaient fréquemment. À l’école, j’étais très bonne, mais j’étais plus une fille manuelle, vu que j’avais commencé à aider mon père dans son entreprise de menuiserie.
Les Hunger Games. « Puisse le sort vous être favorable ». C’est tout ce que j’entendais l’année où j’ai eu mes douze ans. J’étais alors éligible à être une candidate pour les jeux. Étais-je stressée ? Pas autant que les autres. Je me disais que le hasard n’allait pas me choisir. Je n’hésitais pas à prendre des tesserae de temps à autres, surtout pendant l’hiver. C’est l’hiver la plus difficile des saisons, vous savez. Il y a moins de nourriture. Bref, vous comprenez. Les années passaient et j’avais presque 18 ans. Je ne me doutais pas vraiment que mes parents complotaient d’aller rejoindre le district 13. J’ai fait l’heureuse découverte lorsque trois Pacificateurs sont venus dans ma maison et ont convoqué mes parents au Hall de Justice de notre district. Ils ont refusés. Grossière erreur de leur part. Cela avait en quelque sorte trahit leurs intentions et on les as tués. Devant mes yeux. Je n’avais que 17 ans, quelques semaines encore et j’allais avoir 18 ans. Je me retrouvais seule, dans un orphelinat et sans parents. C’était difficile à avaler. On prit soin de moi le mieux qu’ils pouvaient, mais tous savaient que j’allais partir au moment où j’atteignais ma majorité. J’ai été mise à la rue: j’avais toujours l’entreprise à mon père à gérer, bien que j’en cédais la moitié à l’un de ses vieux amis qui savait mieux gérer ça que moi. J’amassais de l’argent alors que je vivais chez lui. Lorsque j’atteignis 19 ans, j’arrivai à m’acheter une chambre dans un logement pas trop cher. Dans mes temps libres, j’allais cueillir des baies, des fraises, myrtilles et bleuets. J’avais souvent deux repas par jour, rarement qu’un seul. On m’aidait du mieux qu’on pouvait, alors que je pensais m’évader et rejoindre le district 13. Mes plans s’avéraient inutiles: je savais que si je m’évadais, on me retrouverais. On gardait un oeil sur moi. On m’avait épargné dans le but de savoir si je savais quoi que ce soit concernant les rebelles. Les Pacificateurs m’avaient même interrogé maintes fois à ce sujet et c’était toujours la même réponse: j’ignorais ce qui se passait. Ils ont fini par me laisser tranquille.
Aujourd’hui, je suis toujours menuisière et j’ai en quelque sorte repris le contrôle de l’entreprise de mon père. Je dirige tout et je continue de faire de la menuiserie. J’aime beaucoup ça, même si j’aurais préféré continuer avec mon père. La mort de mes parents hante mes jours et mes nuits. Je rêve de faire payer à ces Pacificateurs ce qu’ils m’ont infligés. Ma vie fait des hauts et des bas, surtout depuis qu’on m’a diagnostiqué comme étant bipolaire. J’essaye de me contrôler du mieux que je peux. J’ai rarement des crises, même sans mes médicaments. Heureusement. Je sers d’informatrice pour le district 13: je dis à mon ami Clay ce qui se passe dans notre district pour qu’ils soient informés, quoi. Je lui dit les nouvelles, ils m’en dit un peu sur les rebelles. J’essaie de ne pas montrer mes intentions, je ne parle à personne de mon envie de retrouver les rebelles. Bref, la discrétion est de mise. Je ne veux pas finir comme mes parents. Sur le côté amour, il n’y a pas grand chose à dire. Pas de relation stable. Pour l’instant, ça ne m’intéresse pas vraiment...
reality is here.
Moi c’est Coco, je viens du Canada! J’ai seulement 17 ans, mais dans pas trop long je vais en avoir 18 et faire des trucs en toute légalité ! J’ai lis le premier Hunger Games, j’ai adoré, oui! Je me plait déjà ici, j’aime le contexte, le design, la CB! Je sens que je vais m’amuser ici. Je vais souvent être présente, peut-être moins vers mai-juin, mais quand même! Je suis en Art et Lettres: Lettres et Médias Écrits et il me reste un an encore avant d'aller à l'université, donc à 18 ans
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Dernière édition par Mackenzie E. Ziegler le Jeu 12 Avr - 3:09, édité 23 fois |
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