Claes Larkin-Weaver

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Rien d'exceptionnel ou d'extravagant. On nait et puis on meurt peut-importe qu'on meurt dans un combat ou seul au fond d'une grotte. Il n'y a aucune dignité dans la mort on meurt tous de la même façon et le plus souvent seul. Alors, ma mort je la vois comme celle de millions d'être humain: ennuyeuse et rapide. Si j'avais le choix j'aimerais mourir rapidement et sans douleur, mais j'ai appris qu'il ne fallait pas trop en demander dans ce monde de violence. Alors, jusqu'à mon dernier souffle je me battrais. Ensuite quelqu'un prendra sans doute ma place effaçant toutes traces de mon passage sur terre et je ne vivrais plus que comme un souvenir qui s'effacera lui aussi un jour ou l'autre.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Mon frère, il est l'unique personne qui me fait encore avoir foie en l'humanité. Pour lui je ferais le tour du monde, j'irais affronter des zombies, je sauterais d'un pont et s'il me le demandait j'affronterais seule une armée. Il est tout ce qu'il me reste et c'est également la seule personne qui me fait m'accrocher à un espoir que j'ai perdu depuis bien longtemps. Grâce à lui j'espère encore que les choses finiront par s'arranger et pour lui je pourrais mourir peut-importe dans quelle souffrance du moment qu'il reste en vie c'est tout ce qui compte.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Je possède la capacité du maniement de l'épée, pistage, rapidité, survie et tir à l'arc. J'ai été entrainé durant de longues années pour devenir une machine de guerre, pour devenir ce que je suis aujourd'hui. Le maniement de l'épée reste ma capacité la plus forte par rapport aux autres, avec le temps j'ai réussi à acquérir une grande connaissance de cette arme qui maintenant, entre mes mains peut faire des ravages et surtout me sauver la vie et celle de mon frère. Oui l'épée reste mon arme favorite.

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

Non aucun, personne dans ma famille n'y a participé, peut-importe la génération aucun d'entre nous n'aura mit les pieds dans cette arène. J'ai également eu la chance de ne pas y participer. Cependant, mon frère risque cette année d'y participer et je ne peux pas l'empêcher, même si je suis impuissante je dois croiser les doigts pour que le cycle ne soit pas rompu. Il n'y survivrait pas et s'il n'y survit pas je n'y survivrais pas non plus.

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

Je ne suis ni pour ni contre une rébellion, au fond je ne pense pas qu'il y ai de bon ou de mauvais chemins. Si jamais une rébellion est lancée il y aura encore plus de mort c'est une sorte de cycle infernale, la violence engendre la violence. Alors, même si le pouvoir était renversé au fond ça ne changerait pas grand-chose. Cependant, si jamais une rébellion commencée je profiterais sans doute de l'agitation pour disparaitre, on peut dire que je suis égoïste, mais dans la vie c'est meurt ou survie.



JE VIENS D'UN MILIEU modeste, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est plutôt abondante certains jours. J'EXERCE LE MÉTIER DE pacificateur ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime moyennement ça. JE SUIS DANS LE 7ÈME DISTRICT. AYANT 27 JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT. [/size]

reality is here.

tell us your story.

CHAPTER I: The world is a filthy place, It's a filthy goddamn horror show. There's so much pain you know? There's so much.

J'aurais aimé vivre dans une autre dimension, un autre monde là où il n'y aurait pas de guerre, ni d'arme ou l'on pourrait vivre sans s'entretuer. Un jour mon père m'a dit que ce n'était qu'une utopie et il avait raison. J'ai vu le jour dans le district deux, je n'étais pas un enfant voulu, mes parents auraient préféré que je ne vois jamais la laideur de ce monde. Cependant, ils apprirent à m'aimer et moi aussi. Mon père était maçon et ma mère architecte, nous vivions une vie plutôt paisible, nous ne manquions de rien. Pourtant, plus le temps passé et plus le visage de mes parents devenait triste comme-ci quelque chose de terrible aller se produire. Quand j'eus neuf ans ils eurent un autre enfant, Dexter, mon frère. La plupart des grandes soeurs aurait vu là un nouveau rival qui allait prendre toute l'attention de ses parents, mais pas moi. Non j'étais plutôt contente qu'ils s'occupent de quelqu'un d'autres ainsi je pourrais être plus libre et voir un peu plus le monde de mes propres yeux. Ils ne m'ont jamais vraiment expliqué combien ce monde pouvait être horrible, non ils ont toujours essayé du mieux qu'ils pouvaient de me protéger. Pourtant, il fallait qu'ils se rendent à l'évidence, jamais nous n'aurions une vie paisible. « Tu sais Claes tu vas bientôt avoir douze ans, tu te rappelles quand nous t'avons dit que ton ami, le fils du voisin n'était pas revenu chez lui parce qu'il avait décidé de partir avec sa mère ? » Il me raconta alors toute l'histoire, il était mort lors d'un Hunger Game et sa mère ne supportant pas d'avoir perdu son fils s'était suicidé. Au fond je me doutais que la vérité n'était pas celle que je pensais. Depuis ce jour j'ai commencé à voir le monde pour ce qu'il était: une tartine de merde qu'il faut manger avec le sourire.

CHAPTER II: It erases everything I hate about myself. Nothing can hurt me. I feel completely invincible. I feel like everyone else on that stage is invincible and we're capable of anything. There's no stopping us.

Puis un jour j'ai eu dix-neuf ans. Bref, la vie n'avait pas changé, mais je me considère chanceuse je n'ai jamais été tiré au sort pour la moisson. J'aidais mon père et ma mère de temps en temps et mon frère eu dix ans, à cette époque je pensais: plus que deux ans et le cauchemar recommencera et je devrais entendre de nouveau mes parents prié tous les soirs pour qu'il ne soit pas choisi. Moi je ne crois pas en Dieu, s'il existait il ne laisserait pas les gens souffrir autant ou alors il en a juste rien à faire de nous c'est une possibilité. J'ai rencontré un type aujourd'hui il a vingt-deux ans et travaille comme pacificateur, on m'a toujours dit de faire attention à ces personnes, mais il n'avait pas l'air méchant. Puis un jour mon père perdit la vie, je n'ai jamais compris ce qui s'était passé et je ne suis pas certaine de vouloir savoir. Après ça ma mère commença une dépression et disparu du jour au lendemain nous laissant moi et mon frère seuls. « Elle va revenir tu crois ? » « Non Dexter. Elle ne reviendra pas. Jamais. » A cet instant je ressentais beaucoup de haine envers elle, elle qui venait de nous laisser seul. Si un jour elle revenait j'avais juré de la tuer. Je crois qu'au fond j'ai toujours été un enfant torturé. Après ça je pris la décision de devenir pacificateur de cette façon je pourrais protéger mon frère et moi-même, je voulais juste devenir plus forte. Pendant plusieurs années j'ai donc été formé dans le district deux. Puis un jour il était temps pour nous de partir d'ici. « On va où ? » « Loin d'ici. » Dans ce geste j'espérais surtout retrouvé ma mère et lui demandais pourquoi elle nous avait fait ça. Nous étions donc partis pour le district sept. Si j'avais su je pense que je n'y serais jamais allé.

CHAPTER III: Heroes are ordinary people who make themselves extraordinary.

A ma plus grande surprise, lors de notre arrivée dans le district sept, je venais de retrouver le garçon que j'avais rencontré quelques temps auparavant. Il ne fut pas très étonné de me voir ici et en tant que pacificateur. Ezra, c'est son nom, il venait d'avoir trente ans et moi vingt-sept ans. Je lui avais expliqué la raison pour laquelle j'avais traversé tous ces districts. Il m'expliqua qu'il y avait peu de chance que ma mère soit toujours en vie. A cet instant je ressentis comme un soulagement, elle devait être dans un meilleur monde maintenant, c'est ce que je m'étais dit. Je pris donc mes fonctions dans le district sept, mais au fil du temps je trouvais qu'il y avait quelque chose d'étrange avec Ezra. Il paraissait trop détendu et laisser passer beaucoup de choses. Je ne fis pas attention sans doute que j'aurais dû. Il avait une petite amie, je me suis toujours comment les gens pouvaient tomber amoureux dans ce monde. L'amour du risque sans doute, mais moi je n'avais pas le temps d'y penser et je ne voulais pas y penser et pourtant malgré moi je ne pouvais m'empêcher de penser à lui. Puis un jour, toute ma vie bascula, une rebelle était devenue la tête d'affiche, la personne à abattre. Un jour je suis tombé sur elle et je l'ai tué, c'était mon travail après tout, mais c'était la première fois que je tuais quelqu'un, pourtant je ne ressentis ni peine ni tristesse. J'avais l'impression de l'aider, de l'emmener loin du vomi de ce monde, j'essayais de me convaincre de ma bonne action. Cependant, Ezra arriva et au lieu de me féliciter il paraissait agité et en colère. Il me menaça alors avec son revolver. Je compris à partir de ce moment-là que ma vie ne tenait plus qu'à un fil, alors j'avais sorti mon revolver et je l'avais également menacé avec le mien. Je ne pouvais pas mourir, pas ici, pas maintenant. Au fond la mort m'effrayait peut-être un peu. « Qu'est-ce que tu as fait ! » Il me criait dessus et je ne comprenais pas. « Je l'ai tué. Parce que c'est mon travail et c'est le tiens aussi. » j'essayais de rester calme pour ne pas perdre mon sang froid. « Je suis désolé, mais tu n'es qu'un chien du capitol tu ne comprends rien ! » « Peut-être que je ne comprends rien, peut-être que je ne suis pas parfaite, mais je ne laisserais personne me tuer aujourd'hui. Qui es-tu ?! » « ... » « Si tu es un homme parle ! » La seconde d'après il m'avait tiré dessus.

CHAPTER IV: I prepare for the noble war. I'm calm; I know the secret. I know what's coming, and I know no one can stop me, including myself.

Aujourd'hui je suis encore vivante, mon frère m'a sauvé la vie. Il a toujours eu un don pour soigner les gens. Je n'aurais jamais pensé qu'il arriverait à me sauver la vie, je l'avais toujours vu comme un jeune homme fragile, mais pourtant il était venu me sauver et je ne voyais aucune peur dans ses yeux. Je n'ai toujours pas compris ce qui s'était passé ce jour-là, mais après mon réveil j'avais comme un poids dans le coeur. Ezra ne sait pas que je suis en vie, beaucoup de questions se bouscule dans ma tête. Au fond je ne veux rien savoir, la vengeance je ne pense qu'à ça et je suis devenu un monstre. Un monstre assoiffé de vengeance, je vais le retrouver et lui faire payer. Cependant, il avait disparu je ne savais pas où il était allé et parfois je me sens tellement mal que j'ai juste envie de partir loin d'ici, loin de tout. J'avais trouvé un endroit sympa où j'aimais me rendre. Dexter m'avait trouvé un jour dans mon petit bout de paradis comme j'aime l'appeler. « Qu'est-ce que tu fais là ? » « J'ai l'habitude de venir ici quand le monde devient si petit que je ne peux plus respirer. Oui j'aime cet endroit. »