| Sujet: Les intrus ne sont pas la bienvue. (LIBRE) Dim 1 Avr - 16:36 | |
| Dans la vie on s'adapte à tous. On s'adapte à la vie, à la joie et puis on est frocée de s'adapter à la mort, aux reponsabilités qui viennent avec. On s'adapte à la faim qui vous tenaille le ventre. On s'adapte au fait que la vie est dur et que c'est comme ça. Après tous est-ce-qu'on a réelment le choix ? Non. C'est s'adapter ou mourir comme tous les autres.
Il faut devenir plus fort, plus intelligents, pour tous les battrent. Les seule personne que je respecte son celle qui ne meurt que pour elle même. Le sacrifice...est une chose abominable et croyez vous réellement qu'une vie en vaux mieux qu'une autres ? Ce n'est pas mon cas.
Vous pensez sans doutes que c'est facile de dire sa quand on a plus personne pour qui on voudrait réellement se sacrifié mais ce n'est pas le cas. J'ai et je penserai toujours comme ça. Je mérite de vivre autant qu'une autres personnes.
Souvent des pensées comme ça me prenne quand je reviens de la chasse. Le crissement des feuilles et l'odeurs du gibier. Le son des vaguelette sur le lac sa me rappel combien je suis chanceuse de vivre cette vie-là et pas une autre. Jusque dans la mort je reste profondément optimiste.
Dans mon dos pendent un écureuil et un lapin. Je les ait eut chacun presque en pleins le mille grâce à mes couteaux. Instinctivement je passe ma main sur ma ceinture. Il sont tous là. Une armada sanglante de couteaux prêt à l'utilisation. J'ai fabriqués chacun d'entre eux. Ce sont mes meilleurs compagnons de bataille.
Au loins j'entend quelques oiseaux chanté. Je rie devant leurs innocence. Qui n'a jamais rêvé d'être un oiseau. Je les trouve magnifique avec leurs chants mélodieux et leurs plumes parsemées de taches et de dessins incompréhensibles. La nature nous offrent des choses dont on à rarement conscience et pourtant si on prend la peine de faire attention on découvre un millier de choses incroyables.
Je m'approche de la masure de Ronan. Une vieille bicoque épuisée par la vie qui tient à peine debout. Il doit être là en trains de m'attendre pour cuisiner. Ronan à lui aussi perdu des êtres chers ici. Sa femme Idyla à été emporté par la maladie il y a plusieurs années. La vie n'a jamais été tendre avec lui.
La masure ce situe au bord du lac ce qui lui donne une vue assez apaisante à tous moments. Des chasseurs me saluent de loins. Ils me connaissent pour mes talents de chasse et mon impartialité.
Alors que je m'approche de la masure je remarque la porte entrouverte. Je m'approche et m'aprête à appelé Ronan quand je distingue une ombre qui n'est surement pas celle de Ronan.
Silencieusement je sort un couteau. Je détèste sa...qu'on s'introduise chez moi. J'attend en respirant calmemant. Je m'approche pas à pas. J'y suis presque. Quelques mètres. Je ferme les yeux et me jettent sur l'intrus en m'accrochant à lui ou elle j'en sais rien. S'en suit un amalgames de corps humains avant que ma lame glisse sous son coup.
- Vous êtes qui ? Qu'est-ce-que vous foutez chez moi ! Dis-je agressivement.
Ah je détèste ses gens qui se croyent tous permis ! |
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