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fermeture du forum le forum ferme ses portes après six ans d'existence. merci pour tout, on vous aime. |
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| JER' ► somebody told me that i used to live | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: JER' ► somebody told me that i used to live Sam 24 Mar - 18:23 | |
| jeremiah lysandre harper❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Jeremiah. Jeremiah Lysandre Harper. J'ai à ce jour seize ans, et je crois que tout ce qui gravite autour de moi est bien plus complexe que ceux à quoi s'attendent les gens en général. J'appartenais au district neuf, mais comme le temps employé le montre, ce n'est plus le cas. Je suis maintenant dans les sous-terrains du district treize, me remettant lentement mais sûrement de mon entre-vue avec la mort. J'ai participé aux Hunger Games, et je peux sans mauvais jeux de mots dire que j'avais autant de chances d'y rester que de m'en sortir vivant. Je ne me souviens absolument pas de ma vie antérieure, celle que je menais avant que mon nom ne soit tiré, avant qu'un tribut du deux ne tente de m'évincer pour toujours. Dorénavant, je me fiche bien des Jeux ou encore du gouvernement, passant mes journées à brasser du vide dans l'espoir de retomber sur un fragment de mémoire, suppliant incessamment du regard les gens qui m'entourent dans l'espoir qu'ils puissent m'aider. Je ne peux être utile à personne, ayant bien trop souvent besoin de me faire expliquer les choses comme un enfant de cinq ans, si ce n'est que j'arrive à faire rire les autres ; et c'est sans doute ça qui me permet de tenir et encourage les autres. J'ai beau avoir ce profond désespoir d'avoir tout perdu, je laisse cette étrange bête au fond du moi, faisant mine de l'oublier comme tout le reste. Chacun a prit l'habitude de me traiter un peu plus en adulte chaque jour, mais j'attribue ce détail au fait que je doute qu'on puisse encore être un enfant après avoir dîné avec la mort, avoir tout perdu et se voir rebouté à chaque fois que je me mets à poser des questions sur mon hypothétique soeur.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Il paraît qu'elle a déjà eu lieu même si cela reste pour moi un passage à vide, comme l'histoire qu'on se raconte en boucle entre amis mais qui est déformé par chaque bouche et rime plus à grand-chose une fois revenue à sa genèse. Cependant cela n'a rien d'une plaisanterie. Si je ne me souviens pas précisément comment je suis mort, je sais parfaitement qu'il me manque une part de moi, qui elle est restée dans les limbes dans lesquelles j'errais pendant le coma. Ma mémoire y est restée prisonnière. Mais si je devais mourir à nouveau, j'aimerai que cela n'arrive qu'une fois mes souvenirs revenus et ma soeur rencontrée. Ce n'est plus une chose à laquelle je pense ; puisque je doute être officiellement vivant alors à quoi bon penser à la mort ?
➺ POUR QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Mourir à nouveau. Cela pourrait presque avoir une résonance comique. Je crois que je pourrais mourir pour la simple idée de me souvenir, ne serait-ce que pendant une heure, de la totalité de mes souvenirs, tout ce qui m'appartient, et qui m'a construit. Aujourd'hui il ne reste plus que la construction de moi et non plus les archives, si on devait donner un côté trivial à la chose. Mais il faut être réaliste, personne n'est à même de me donner ce que je désire si bien que je pourrais mourir sans raison réaliste particulière.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Je crois pouvoir dire sans prendre trop de risques que mon fort reste la stratégie. Si je n'ai nullement la carrure de quelqu'un prêt à combattre, réfléchir et établir des stratagèmes a toujours été mon fort. Enfant j'adorais monter des plans abracadabrants pour gagner à de petits jeux de réflexion, savoir quand faire quoi et surtout comment. C'est sans doute de cette façon que je n'ai pas été abattu dès le début des jeux. Je crois qu'espiègle était le mot, pour mon irrésistible envie de toujours jouer avec les autres, lorsque je n'avais pas même conscience de ce qu'étaient les jeux. Aujourd'hui, ça ne me sert pas à grand-chose, si ce n'est me ruer dans tous les impasses. je pense toujours pouvoir m'en sortir, mais je me retrouve toujours face au même mur, face au même problème : l'amnésie. En soi, être doué en stratégie n'a rien d'extraordinaire. Mon avantage vient peut-être que les gens ne songent pas un instant à se méfier d'un gamin souriant à l'air insouciant et aussi tendre que peut être une âme non-torturée. Il faut toujours avoir un coup d'avance sur l'autre, que cela soit aux échecs ou dans la vie. Comment pourrait-on soupçonner le nombre incalculable de possibilités qui défilent chaque seconde dans mon crâne lorsqu'on croise mon regard vide de toute cruauté ou brutalité ?
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ? Comme un cheval dans un pré sans herbe. Je tourne beaucoup en rond, sans ne jamais pouvoir me poser. Mon esprit s'y sent torturé même si j'éprouve une gratitude sans limite pour chaque personne venant du treize, puisque c'est l'un d'eux qui m'a sauvé et me permet aujourd'hui de marcher et respirer. Cependant je n'y trouve aucune réponse et ce ne sont pas les questions qui me manquent. La plupart des gens qui m'accompagnent au quotidien ne savent de moi que ma présence lors des derniers jeux, et cette mort évitée grâce à je ne sais quelle prouesse scientifique. L'un d'eux m'a récemment apprit que j'avais une soeur, ce qui a brisé quelque chose en moi. Une profonde envie d'hurler et de pleurer à la fin. Dans les sous-terrains du treize je me sens comme étranger à moi-même.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, MAIS, POUR MOI, LA NOURRITURE ne tient pas une place prépondérante dans ma vie car je saute beaucoup de repas, trop perdu dans ma recherche du temps perdu pour avoir faim avec régularité. DU COUP, MON NOM N'A plus aucune chance d'être tiré je dirais puisque je devrais être mort. . JE N'EXERCE AUCUN MÉTIER POUR LE MOMENT puisque je me remets d'un coma de deux mois et je souffre d'une amnésie qui me rendrait handicapant pour toute personne tentant de m'apprendre un quelconque métier ET POUR TOUT VOUS DIRE, JE me sens comme un lion en cage, ayant pour toute occupation d'attendre que le temps passe et que les choses se fassent. J'ETAIS DANS LE neuvièmeÈME DISTRICT ET JE SUIS MAINTENANT dans les sous-terrains du treize. AYANT seize ans J' ai déjà PARTICIPÉ AUX HUNGER GAMES ET j'aurais pu en mourir si on ne m'avait pas sauvé. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story. On me dit de me souvenir de l’idée et non de l’homme, parce que l’homme peut échouer, il peut être arrêté, il peut être exécuté et tomber dans l’oubli alors qu’après 400 ans, une idée peut encore changer le monde. Je connais d’expérience le pouvoir des idées. J’ai vu des hommes tués en leurs noms... et mourir en les défendant. Mais on ne peut embrasser une idée. On ne peut la toucher ou la serrer contre soi. Les idées ne saignent pas, elles ne ressentent pas la douleur... et elles ne peuvent aimer.V for Vendetta. J’avais mal au crâne comme si on y avait mis des lames de rasoir. Mal comme si quelque chose pressait indéniablement ce qui se trouvait à l’intérieur de ma tête. Mal à en tuer. Je ne savais pas trop si c’était ma propre gorge qui produisait ce hurlement, s’il n’existait que dans mon esprit ou bien encore s’il venait d’ailleurs. Je me pressais les paumes contre les tempes, recroquevillé dans un coin d’une pièce, les yeux fermés. Mal à en mourir. Le cri de douleur venait sans doute de moi, toute réflexion faîte, et résonnait, me torturant comme autant d’éclats de verre qui m’assaillaient. Je n’en pouvais plus de ces maux de crâne. Je sentais une main presser mon épaule avec de plus en plus d’insistance mais la douleur me labourait le crâne, et à cet instant précis, plus rien d’autre ne comptait. On me secoua, ce qui me donna la lourde impression que mon sang cognait plus fort que jamais dans l’hémisphère droite de mon cerveau, comme si mon cœur s’y était logé. Ma voix se brisa, et une part de moi, le peu de raison qui me restait et qui se terrait dans un recoin de mon esprit, salua avec plaisir le fait que je n’avais jamais eu une voix portante ni une grande endurance en matière de beuglement. Les larmes baignaient mes joues, j’en sentais la tiédeur qui roulait et finissait même par me laisser l’impression que mon visage était en feu. « Jeremiah ! » Un pic de douleur m’arracha un sursaut. Ma tête. Une fleur de sang s’étendait étrangement devant mes yeux alors même que je les gardais fermé, et je sus instantanément que d’une seconde à l’autre je serai soulagé de ma tête, de mon corps et même de tout ce qui pouvait m’entourer. Ces crises étaient devenues une habitude, et la douleur poussait parfois mon corps à lâcher prise avec la réalité pour se préserver de dommages trop importants. Je me sentis partir, et la main qui avait broyé mon épaule la minute d’avant tenta de me retenir.
Mon cœur battait à la chamade. La terreur pulsait dans mes veines à la place même de mon sang. Je n’avais aucune chance de survivre. On m’avait pourtant dit que je n’avais aucune chance d’être tiré au sort. On me l’avait juré et répété sans cesse, et pourtant j’étais. D’ici quelques secondes j’allais très certainement avoir le choix entre mourir ou tenter une sorte de quitte ou double. Mon esprit était englué par la peur, et mon incapacité à prendre rapidement une décision ne m’angoissait que d’autant plus. Je n’étais pas un guerrier, j’étais le garçon qui aidait les autres. Je n’avais pas l’âme d’un tueur. Ni même d’un survivant. Je n’avais pas envie de tuer qui que ce soit pour survivre. Je n’avais aucune envie d’être là. Aucune. Pouvais-je seulement implorer qu’on me laisse partir ? Je savais très clairement que non. Le Capitole réclamait du sang. Le Capitole allait avoir ce qu’il désire. Malgré ma terreur j’arborai un visage fermé, l’œil froid et tentait au maximum de ne pas laisser paraître ma respiration qui trahissait mon affolement. Certains n’avaient que treize ans et pourtant en eux une rage de vaincre qui m’avait terrassé pendant l’entraînement. Je m’en souvenais. Deux secondes. Avais-je besoin de prendre le risque d’affronter les autres ? Etais-je suffisamment intelligent pour me suffire à moi-même ? Les questions n’eurent pas plus le temps de commencer. Cela serait un bain de sang. Je bondis et ne pris pas la peine de réfléchir plus. L’adrénaline me permit de courir sur une bien plus longue distance que ce que j’avais prévu et à un rythme que je ne me connaissais pas. Je savais que je ne pouvais compter que sur moi-même, et ma logique guidait mes foulées grandissantes, qu’importe la terreur. Mes jours étaient comptés, je le savais, ça aussi. J’avais plus au Capitole pour mon sourire, pour mon air innocent. Ce n’était rien de plus qu’un sacrifice. Les Grecs sacrifiaient des jeunes vierges. Le Capitole sacrifiait des gamins au sang frais et au regard pur. Je disparus rapidement dans la végétation. Je n’avais pas de nourriture. Pas d’eau. Mais j’avais un cerveau, pas vrai ? Puis une idée limpide m’apparut : je n’avais pas envie de tuer quiconque, mais c’était moi, ou eux.
Je me réveillai en sursaut, trempé de sueur et me redressai brusquement, le cœur s’affolant entre mes côtes comme un oiseau en cage. Je pris le temps de scruter l’obscurité ambiante puis me laissai retomber. Qui m’avait promis une chose aussi stupide ? Combien de temps ai-je survécu aux Jeux ? Et surtout, comment ? Je ne maniais aucune arme, à moins de considérer mon cerveau comme tel, ce dont je doutais fortement. Un violent frisson parcourut mon échine. Cela ne faisait qu’une semaine que j’étais sorti du coma et déjà les questions me prenaient à la gorge, et les flashs dans ce genre surgissaient dans les moments les plus critiques.
Les morts ne savent qu’une chose : il vaut mieux être vivant.Full Metal Jacket J’avais déjà posé un millier de questions. Peut-être même plus. J’avais tourné les choses dans tous les sens possibles mais il semblait que je possédais une pièce de puzzle qui n’appartenait à aucun jeu connu. J’avais arpenté la pièce qui me servait de chambre de long en large, puis en travers jusqu’à en connaître les dimensions sur les bouts des doigts ; ainsi mon manège pouvait continuer quand bien même j’étais plongé dans le noir le plus complet. On me pensait anxieux mais je n’y croyais pas véritablement. Je n’avais pas d’accès de panique, de passages à vides, de crises d’angoisse. Pas la moindre envie de pleurer ni même une ombre d’hystérie. Un simple acharnement à courir après ma mémoire qui semblait galoper à bride abattue bien loin de moi. Je haïssais l’étranger que j’étais. Humilié par mes propres questions, je jouais même parfois la carte du garçon résolu, prêt à commencer une nouvelle vie qui n’aurait plus rien de commun avec la précédente, si ce n’est mon enveloppe corporelle. La vérité était que je ne pouvais décemment pas tolérer l’idée que je pouvais passer le restant de mes jours à regarder un type que je ne connaissais ni d’Eve di d’Adam dans le miroir. J’avais cette rage qui naissait en moins, découlant de mon impuissance à revenir en arrière. Tout ce que je savais, je l’avais appris des autres. Je n’avais pas su dire, à mon réveil, quel était mon prénom ni même en quelle année nous pouvions bien être. Aucun souvenir des Jeux, du Capitole, ni même de mon visage. Ma voix m’avait fait l’effet de celle d’un autre. Le fait que je puisse me trouver dans les sous terrains du district treize ne m’avait pas plus d’effet que de savoir que mes cheveux étaient bruns. La seule personne qui pouvait encore se targuer de me connaître un minimum était celui qui m’avait sauvé d’une mort certaine. Par deux fois, il m’avait raconté sa vision des Jeux. Et je l’avais écouté comme si jamais auparavant je n’en avais entendu parler et il n’y a pas plus frustrant que de savoir qu’on a oublié et qu’on ne peut pas s’en souvenir. Il y avait ça et là quelques rares personnes à qui j’adressais un regard, un sourire ou une politesse mais rarement une véritable conversation. J’avais tendance à me perdre et tous commençait à être habitué à l’idée qu’il fallait sans cesse me remettre sur le bon chemin pour que je ne divague pas trop. Enfin ça, c’était jusqu’au jour où, errant sans but, je me suis fait rabroué sans délicatesse et sans explications. Il semblerait que je n’ai jamais été du genre à m’insurger avec trop de violence puisque je me suis contenté d’avoir l’air contrarié puis je me suis excusé pour rebrousser chemin sans demander mon reste. C’était peut-être même ce genre d’attitude bien trop douce, trop enfantine, trop sucrée, qui avait signé mon arrêt, ma mort.
Quoi que docile, je ne supportais pas de ne pas comprendre – et c’était sans aucun doute du à cette maudite amnésie. J’étais rentré d’un pas vif, le regard sombre. Je maudissais le monde entier. L’univers entier, moi compris. Et cette rancune serait peut-être même immortelle. Subitement je sentis qu’on m’attrapait le bras et n’eus pas le temps de tourner la tête que déjà on me traînait dans un recoin. Je voulus me dégager d’un brutal coup d’épaule. Je n’avais plus le temps d’avoir peur. La seule angoisse ne venait que durant mon sommeil, et je m’y étais accoutumé si bien que toute situation qui aurait pu paraître anormale à n’importe qui me laissait indifférent. J’émis un bref grognement, voulus me dégager à nouveau mais trébuchai ce qui tua en moi toute envie de rébellion. « Cesse de jouer au plus imbécile un peu » me siffla la personne qui m’entraînait et une part de moi reconnu vaguement cette voix. Peut-être avions nous déjà parlé. Peut-être même avais-je posé digne d’un enfant de cinq ans à cet étranger. Je levais la tête, me laissant mollement faire comme le premier des idiots. Comme le premier des moutons. « Tu sais, je me suis fais refoulé tout à l’heure. » déclarai-je sans même savoir avec précision à qui je m’adressais. « Je sais. » Je fronçai les sourcils. Avais-je trouvé le seul devin des sous terrains ? Je me mis à rire tout seul mais cela ne parut pas communicatif pour une fois. « Je ne devrais même pas te le dire. Et si j’entends que tu tiens ça de moi je me débrouille pour qu’on te renvoie dans l’arène et qu’on ne te récupère jamais. Compris ? T’as une sœur. T’as une sœur et tu ne dois en aucun cas la voir. » Autant dire à un cheval, voici ton avoine mais n’y touche pas, tu ne dois pas y toucher sinon ça va mal finir. C’était le premier coup de pied dans la fourmilière. Je sentis mon cœur se soulever. J’avais cette horrible nausée qui m’assaillait sans raison. J’avais de nouveau cette envie de mourir, mais pas avant de l’avoir vu. Lorsque je relevai un regard humide de larme et empli de question, mon informateur avait disparu. Et mon déjeuner ne put pas rester plus longtemps dans mon ventre.
reality is here.
Quel speech ! Je m'appelle Emilie, les surnom j'en ai toute une tripotée comme tout a chacun, mais ce n'est pas vraiment intéressant. Je viens de fêter mes dix-neuf ans et après une pause de six mois je reprends le RP. J'ai arrêté car je suis en hypokhâgne ( prépa lettres ) et que c'était un peu l'enfer, mais maintenant ça commence à se décanter, je comprends mieux mes cours ce qui me permet de m'arracher moins le cerveau et de faire des trucs à côté... Dont du RP. je n'ai pas lu les livres car j'en ai entendu parlé cette année seulement, et vous vous doutez bien que j'ai déjà une montagne de livres à lire avant de pouvoir m'accorder le plaisir d'une lecture qui ne sera pas que pour mon plaisir et non pas pour mes références et ma culture dira-t-on. Le forum je le trouve chouette. J'en ai vu deux sur The Hunger Games et l'autre ne m'a vraiment pas emballé. Après, le scénario a pesé pour beaucoup, car je le trouvais très intéressant, même si ça me fait tout drôle d'avoir du écrire "seize ans" dans la partie "âge du personnage". Bref, comme vous pouvez le voir j'ai une belle incontinence verbale !
FEATURING Freddie Highmore © COPYRIGHT britsterzstupidtumblr
Dernière édition par Jeremiah L. Harper le Dim 25 Mar - 19:45, édité 25 fois |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Sam 24 Mar - 18:24 | |
| PREMS bienvenue t'es beau dis donc kathou doit être trop contente VOILA MERCIIIII |
| | | Kathleen S. Harper △ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011 △ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Sam 24 Mar - 18:29 | |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Sam 24 Mar - 18:34 | |
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| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Sam 24 Mar - 21:11 | |
| Oooh un Jeremiah Bienvenue sur MJ Bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Sam 24 Mar - 22:12 | |
| Bienvenue ^^ Bon courage pour ta fiche mister ! |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Sam 24 Mar - 22:50 | |
| mouton girl Merci copine-adoptive |
| | | Aiden S. Bregstone △ correspondances : 1696 △ points : 2 △ multicomptes : - j. baÿs-galor △ à Panem depuis le : 09/10/2011 △ humeur : - découragé, désemparé et plein d'autres rimes tarées. △ âge du personnage : - vingt-quatre ans. △ occupation : - (ancien?) chef rebelle du district neuf, pilier d'infirmerie
| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Dim 25 Mar - 1:17 | |
| Bienvenu à toi mini Harper ! J'espère que tu sera pas aussi taré que ta grande soeur |
| | | Miléna E. Andréis-Wheeler △ correspondances : 5888 △ points : 1 △ multicomptes : (l. c. meery) △ à Panem depuis le : 04/09/2011 △ humeur : cruellement arrachée à sa famille △ âge du personnage : vingt sept ans pour toujours
| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Dim 25 Mar - 7:42 | |
| JEREMIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH Bienvenue parmi nous |
| | | Avalon R. Sweenage △ correspondances : 13212 △ points : 2 △ multicomptes : dely, ridley, dahlia △ à Panem depuis le : 23/04/2011 △ humeur : mélancolique △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : garde d'enfants
| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Dim 25 Mar - 9:27 | |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Dim 25 Mar - 12:20 | |
| - Aiden S. Bregstone a écrit:
- Bienvenu à toi mini Harper !
J'espère que tu sera pas aussi taré que ta grande soeur
Je suis élevé au biberon par les déments esprits qui règnent sur la chatbox. Ai-je une chance de m'en sortir indemne ? Merci à toi, amoureux de cette folle d'Ava ! Et d'ailleurs, Ava, ne mets pas de coeur, t'as dit que t'aimait pas les Harper ( alors que je maintiens, pour ma défense, que j'ai même été de ton côté lorsqu'il s'agisse de garder pour toi seule les attributs de ton Aiden ) Bref, vous tous, vous êtes, magiques, gentils, drôle et tout et tout. Je dois finir ma fiche, je m'en occupe bientôt ! (Dès que j'aurai fini de pester contre le décalage horaire ) |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Dim 25 Mar - 12:28 | |
| JE VEUX T'EPOUSER |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Dim 25 Mar - 12:30 | |
| QUAND TU VEUX |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Dim 25 Mar - 19:05 | |
| little awesome freddie bienvenue sur mockingjay ! |
| | | Kathleen S. Harper △ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011 △ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live Dim 25 Mar - 20:26 | |
| omg c'est parfait parfait j'ai hâte de rp avec toi en plus j'ai une ébauche d'idée déjà j't'enverrai un mp Tu viens d'être validé, mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. S'il est membre d'une équipe de préparation (mentor, styliste, hôte(sse), c'est par ici que ça se passe. A vérifier que le rôle convoité est bien libre. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
amuse toi bien |
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| Sujet: Re: JER' ► somebody told me that i used to live | |
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| | | | JER' ► somebody told me that i used to live | |
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