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Sujet: I felt for sure last night that once we said goodbye ❝ Skyler ❞ Jeu 12 Avr - 16:48
Skyler Nahuel Adkins
❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞
Mon nom, parfois j’aimerais l’oublier, le laisser s’effacer et à jamais disparaître en tombant dans l’oubli. Pourtant, je le porte toujours, je m’appelle Skyler Nahuel Adkins, ça fait longtemps que ceux qui me connaissent ne m’ont plus appelés ainsi. Se souviennent-ils encore de moi ? Je viens du district 12, néanmoins je fais partie du District 13 même si personne là-bas ne dois savoir que j’existe. J’ai 18 ans depuis peu, mais là encore il ne s’agit que d’un détail peu important. J’ai changé, ceux qui se souviennent de moi pourrait le remarquer. Je n’aime pas le garçon que je suis. Je n’aime pas l’être torturé, froid et violent que je suis devenu. Je n’aime pas le garçon fou et instable émotionnellement que les événements m’ont fait devenir. Je ne sers à rien, je suis au crochet d’un district qui aurait pu se passer de moi, de ce fait je n’ai aucun travail dans cette fourmilière qu’est le district treize. Je passe mes journées à rien faire sauf attendre et résister à l’envie de crever qui me démange. Il fut un temps où j’aimais la liberté, où avec ma carrure imposante mes frêles j’avais l’audace de croire que je pouvais changer le monde. Une époque où mon regard plein de verdure ne demandait qu’à se fermer à jamais et où malgré ma misère, de ma haute taille, je pouvais encore espérer un peu toucher les nuages.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?
N’est-ce pas un peu ironique comme question ? Comment je vois ma mort ? Le problème est là, je ne la vois pas, je ne la vois plus. J’aimerais l’apercevoir, j’aimerais seulement avoir encore la chance de pouvoir la frôler. J’aimerais pouvoir sincèrement la voir venir le plus rapidement à moi, mais la garce c’est dérobée comme une gazelle qui en a marre d’être courtisée. Pourtant, avant je la voyais clairement, je l’imaginais sans difficultés, je l’espérais simple, je l’espérais posée. Plus que tout, je l’espérais loin du sang et de l’épée. Je l’avais accepté, persuadé de mourir dans des mines, mais la réalité fut tout autre. Ma mort, je l’ai vu, mais je ne sais pas de quoi elle sera faîte, je ne le sais plus. J’espère seulement qu’elle ne tardera pas à venir me chercher car je n’en peux plus de rester ici-bas. Ce n’est pas bon pour un mort de rester parmi les vivants, pas bon de se faire arracher au repos éternel pour rentrer dans les desseins de personnes dont on ne connait rien. La paix je ne la trouverai pas, certainement jamais, alors je erres ici-bas attendant encore follement qu’on me laisse crever.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?
Je suis mort pour des idées, enfin je l’ai cru. Je suis mort pour une vengeance que je n’ai même pas pu assouvir, un sang que je n’ai pas pu faire couler. Je pourrais mourir pour n’importe qui, n’importe qui voulant m’aider à me libérer. Au lieu de quoi on me garde soigneusement en vie à croire que c’est comme ça qu’on a décidé me punir de mes pêchers. Si on m’avait posé cette question par le passé, j’aurais certainement parlé de ma famille de mes amis Sauf que je les ai déjà perdus. J’aurais aussi parlé de mes idéaux, ces derniers étaient si beaux, plein d’insouciance, mais le Capitole a réussi à les briser alors que je mourais dans leurs Jeux.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?
Les choses qui m’ont grandement aidé durant les Jeux, sont les quelques aptitudes que j’avais acquises petit à petit dans mon district. Comme le fait de savoir poser des pièges, ou bien alors de chasser et de pister des proies. Toutefois, je n’ai pas été le genre de tribut à suivre un autre pour le tuer de sang-froid. J’étais discret et certainement pas fait pour tout ça. Maintenant , je ne sais pas ce qui peut être qualifier de « plus » pouvant m’aider dans ma vie. Peut-être ma folie ? Sinon, pourquoi est-ce qu’on m’aurait gardé en vie si longtemps ?
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?
Oui, mais non. J’y ai moi-même participé et contrairement à ce qu’on pourrait pensé il est terriblement aisé de nouer des liens dans les conditions chaotiques que vous offrent les Jeux. J’ai perdu, je suis mort et j’ai vu mourir des proches autour de moi, des personnes que je m’étais juré de protéger, des personnes que j’aurais aimé pouvoir sauver. Mais on n’est pas tout puissant, je ne le suis pas et quand bien même j’aurais pu faire des centaines de promesses que ça n’y aurait rien changé. Proche ou non, j’ai vu trop de personnes tombées dans ces Jeux de fou.
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ?
J’étouffe, je suffoque chaque jours un peu plus enfermé entre quatre murs, ne voyant la lumière du jour que dans de rare sortie qu’on m’autorise. Je passe mon temps assis sur un lit à attendre qu’on vienne me chercher pour que je puisse respirer à l’air libre. J’ai l’impression d’avoir passé ma vie sous terre, perdu dans ses entrailles à en retirer du charbon. Ma mort me semble terriblement similaire alors que je me perds entre les quatre murs de ce que je considère comme ma prison souterraine.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tient bien plus de la légende. DU COUP, MON NOM A aucune chance d'être tiré au sort. J'EXERCE LE MÉTIER D'aliéné vivant au crochet du district ET POUR TOUT VOUS DIRE, Je n'aime pas. JE SUIS DANS LE 13ÈME DISTRICT. AYANT 18 ans J'aie déjà PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET Je n'y ai pas survécu. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT. [/size]
reality is here.
Hum, j'ai la flemme, ça compte comme présentation ? Non, bon ok, toujours 17 ans, toujours lu les trois bouquins (et même vu le film) toujours belge (et fière) toujours moi en gros
Dernière édition par Skyler N. Adkins le Jeu 12 Avr - 19:08, édité 4 fois
Invité
Sujet: Re: I felt for sure last night that once we said goodbye ❝ Skyler ❞ Jeu 12 Avr - 16:48
tell us your story.
❝ Le vent souffle, pas le bon, pas celui qui ramène le naufragé vers la côté, celui qui l'en éloigne ❞
Troublé, j’avais l’impression de respirer, pourtant mon cœur était mort, pourtant il avait cessé de battre. Je respirais tout comme un enfant qui voit le soleil et qui rirait. Je respirais facilement, l’air rentrait dans mes poumons et j’exhalais alors que la panique était en train de me prendre. Je revoyais le corps d’Eglenver en sang, le sang, à croire qu’il n’y avait que ça. Je revoyais le sang qui s’échappait d’elle, le sang qui m’entourait moi, le sang sur le corps de Kirsen, le sang sur mes doigts. Allongé sur ce qui devait être une table d’opération, je ne reconnaissais pas ce qui m’entourait. Des êtres vêtus de blanc s’affairaient autour de moi en ayant l’air satisfait. Je ne comprenais pas, mais qu’est-ce que je fais là ? Regardant frénétiquement à gauche et à droite à la recherche d’un point reconnaissable auquel m’accroché, je ne trouvais rien. Ils étaient là à sourire alors que j’avais l’impression de sombrer. Je me noyais perdu au milieu de l’incompréhension et des questions auxquelles je ne pouvais répondre. Mort, j’étais mort ! Bon sang, j’étais mort et c’était mieux que d’être vivant. Mieux que de ressentir la peine, mieux que d’être écrasé par toute cette haine qui me rongeait de l’intérieure. Alors, qu’est-ce que je faisais là ? Qu’est-ce que ces tubes faisaient raccrocher à mes bras ? La panique s’écoulait paisiblement dans mes veines semant le feu et la pagaille dans mon esprit. Enervé, incapable d’affronter cette réalité qui me semblait impossible, je me redressais en occultant la douleur qui pourtant me déchirait depuis chaque parcelle de mes tissus. Je me redressais avant d’arracher les infimes tuyaux accrochés à mes bras. « Mais qu’est-ce… » Les gens m’entourant semblait terrifié, leur air satisfait avait laissé place à de l’incompréhension et de la peur, que se passait il ? Mon visage n’avait-il plus rien d’humain qu’ils me fixaient ainsi ? Mes pensées, elles, n’avaient plus rien d’humaines. La douleur et la peine semblaient être mes moteurs et je n’arrivais pas à occulter les images ensanglantées qui polluaient mon esprit. Attrapant un homme à la gorge, je l’entendis émettre un bruit étrange alors que quelqu’un sortait de la pièce exiguë dans laquelle nous nous trouvions. Les yeux exorbités, l’homme que j'étais en train d'étrangler n’avaient déjà plus la force de se débattre. Mes muscles étaient contractés à leur paroxysme, les autres personnes qui se trouvaient dans la pièce semblaient essayer de me faire lâcher prise, mais rien n’y faisait. Mes yeux perdus dans ceux de l’inconnu qui dépérissait à petit feu, je resserrais un peu ma prise sur son cou attendant, sans savoir pourquoi, qu’il rende son dernier souffle. Des mains s’agrippaient à mes bras, des ongles s’enfonçaient dans ma peau, mais la douleur était déjà là. Ca ne servait à rien, la douleur était là et je savais qu’elle ne disparaîtrait pas. Mes mains crispées sur le cou de l’homme qui m’avait sauvé, les larmes roulaient sur mes joues avant de s’échouer au sol ou plutôt s’écraser. S’écraser comme je m’étais écrasé en quittant l’au-delà pour revenir dans ce monde ou la douleur est la seule chose que je vois. La porte s’ouvrit à nouveau, cela ne faisait même pas vingt secondes qu’elle s’était refermée. Les mains posées sur moi se retirèrent alors qu’une nouvelle vague de douleur zébraot mon cou ne faisant place qu’à une vague de bien être grâce à laquelle je me détendais. L’homme que j’étais en train d'étragler tomba au sol une fois que mes mains ne le retinrent plus, mon corps mou et détendu, je sombrais dans l’inconscience rencontrant le sol à mon tour. Avec l'espoir fou que cette fois c'était enfin fini.
❝ Je regarde une mouche qui se cogne contre la fenêtre de ma chambre et je songe qu'elle est comme moi : il y a du verre entre elle et la réalité. Séparée du bonheur par une prison invisible ❞
Assis sur mon lit. Tout était trop immobile, trop figé. La vitre qui me séparait du monde extérieure ne me renvoyait qu’à ma propre image, j’avais l’impression de faire face à un miroir brisé. Un miroir qui montrerait les parties brisées de mon âme, un miroir que je ne pouvais plus fixer sans avoir envie de pleurer. Mes bras recouverts de bandage, je savais ce qui se cachait sous le blanc immaculé de ces derniers, des marques qu’on allait faire disparaître, des marques témoignant de mon envie de me tuer. J’avais beau recommencer inlassablement, jour après jour je pouvais arracher mes perfusions, crier, me débattre, planter mes ongles dans ma chair, essayer de ne plus respirer, taper mon crâne contre le verre, rien n’y faisait. Ils me réparaient toujours. J’étais une poupée qu’on rapiéçait à chaque fois que cette dernière se déchirait. Et je me déchirais, je me déchirais encore et encore. J’avais tout essayé, un jour j’avais tenté de m’arracher les yeux, ils sont venu à plusieurs pour m’attacher à mon lit, deux jours plus tard plus aucune marque ne se trouvait sur mes paupières. J’étais une poupée de cire qu’on réparait, qu’on maquillait à l’infini, ne se lassant pas de lui faire une beauté. Sauf qu’à l’intérieure j’étais toujours aussi laid, toujours aussi brisé. Blanc, tout était blanc à l’extérieur. Les murs, la porte, mes draps, le carrelage, les barreaux du lit. Tout était blanc à l’extérieur, mais il faisait toujours aussi noir à l’intérieur. Et pourtant, le blanc s’infiltrait partout, il s’était infiltré sous mes paupières, s’était insinué en moi me rongeant. Me rongeant comme un animal se délectant de son repas. Toutefois, rien n’y faisait, l’obscurité qui entourait mon esprit n’avait pas lâché un millimètre de terrain. Tout était toujours aussi noir dans ma tête, c’était peut-être pour ça que je ne retrouvais pas le chemin. Le chemin aux autres, le chemin à moi. Toujours assis sur mon lit, je n’avais pas la notion du temps. Il n’y avait rien dans cette pièce pour m’aider à le faire passer. De toute manière je ne savais même pas s’il s’écoulait, je ne le savais même plus. Immobile, je restais des heures, surement des journées perdu au milieu de cette pièce immaculée, pareil à une tache qui ne voudrait pas partir. La seule chose qui rythmait mes jours et mes nuits était le néon fixé au plafond qui s’allumait ou s’éteignait de temps à autre. Sinon, je suivais le courant. On me demandait d’avaler des pilules, je les prenais sans broncher, on me demandait de me lever et de suivre, je le faisais retrouvant l’air libre et l’extérieur m’asseyant à même le sol en attendant qu’on me fasse à nouveau rentrer. Une femme et un homme venaient parfois me parler, ils cherchaient à savoir, ils disaient vouloir comprendre. Le seul problème qui m’empêchait de les aider c’était que je ne savais pas ce qu’ils voulaient comprendre. J’étais enfermé, j’étais un poison dans un bocal qui ne peut même pas voir la mer qui se trouve pourtant à côté de lui. J’étais un poisson aveugle qui imagine la vie sans se remémorer qu’elle était son goût. Mes yeux perdu dans le vide je me perdais dans mes pensées. J’étais prisonnier de mon corps, mais plus encore prisonnier de mon esprit et de mes souvenirs. Ces souvenirs qui me hantaient, qui m’empêchaient de dormir et me rendaient fou. Je revoyais mon district, je l’imaginais sans mal qu’il s’agisse du feu de bois qui réchauffe ce qui me servait de maison à l’époque ou alors le goût du pain dont on se régale tant il est rare de pouvoir en avoir. Je m’en rappelais puis tout disparaissait, le feu, les flammes de mon cœur consumait le tout. Je revoyais le garçon que j’avais tué, je revoyais Kirsen qui semblait venir me hanter. Et je ne le supportais pas, je n’arrivais pas à supporter l’image déchirée et virulente que j’avais moi. J’avais honte, honte de ce que j’avais fait. Je regrettais les promesses que je n’avais pas pu tenir, je regrettais d’avoir vu les gens autour de moi mourir. Et parfois, la nuit, me tirant de mes rêves, une image forte me revenait, un sourire que je pensais avoir oublié. Une lumière dans l’obscurité ambiante, une lumière que j’avais vu s’éteindre dans une mare de sang. Avec Kirsen, le souvenir d’Eglenver était le plus douloureux que j’avais à porter. Il me suffisait d’y repenser que pour être pris de folie. Un soir j’avais essayé de me tordre le cou à l’aide des barreaux de mon lit après avoir rêvé d’elle. La mort était tout ce que je méritais, alors pourquoi le monde semblait faire tout son possible pour m’obliger à exister ? Mes mains se portèrent instinctivement à mon cou alors que mes ongles se mirent à gratter frénétiquement ma peau. Ressentant la douleur comme une libération, un moyen d’expier mes fautes, je ne m’arrêtais pas bien que du sang commençait à s’écouler le long de mes doigts. Un sourire de défi vint se poser sur mes lèvres alors que je fixais la vitre en face de moi espérant énerver les gens qui se trouvaient surement derrière. Cependant, la seule chose que je voyais, c’était le garçon qui se faisait du mal. Ce gars assis sur ce lit qui cherchait dans le mal un moyen de se faire du bien, mais ça ne pouvait plus continuer comme ça, je ne pouvais plus continuer comme ça. Mes mains se crispèrent une dernière fois sur mon cou avant de retomber mollement devant moi sur le lit. Les draps étaient souillés, ils n’étaient plus blanc, on les avait tués, sans une hésitation, on … on … Posant mes pieds sur le sol, me tenant debout j’arrachais les draps avant de les jeter dans un coin de la pièce attrapant ensuite le matelas alors que ma respiration se faisait de plus en plus confuse. J’étais un enfant incapable d’affronter la frustration d’un grand. Blanc, rouge, tout se mélangeait dans ma tête, j’avais envie de souffrir, j’avais envie d’arrêter. Juste pouvoir couper court à mes pensées. Tirant le matelas avec moi sans savoir ce que j’allais en faire, je le lâchais finalement pour m’attaquer au barreau du lit. C’est à ce moment que la porte s’ouvrit, comme d’habitude un homme me plaqua contre le mur et l’espace d’un instant je me débattais. Mais j’étais las, tellement las que mes bras se mirent à pendre mollement le long de mes flancs alors que mon corps avait été pressé contre le mur sans ménagement. Une voix s’éleva alors derrière moi, rassurante, calme, mais surtout assurée : « Détends toi, c’est bien Skyler, c’est très bien. » Immobile et plaqué contre le mur, je ne répondis rien alors que la seule chose que j’avais envie de faire c’était pleurer.
Dernière édition par Skyler N. Adkins le Jeu 12 Avr - 20:09, édité 4 fois
Invité
Sujet: Re: I felt for sure last night that once we said goodbye ❝ Skyler ❞ Jeu 12 Avr - 17:29
Re m'sieur si je comprends bien
Invité
Sujet: Re: I felt for sure last night that once we said goodbye ❝ Skyler ❞ Jeu 12 Avr - 17:39
Reuh parmi nous !!!
Bonne chance pour cette fichette
Invité
Sujet: Re: I felt for sure last night that once we said goodbye ❝ Skyler ❞ Jeu 12 Avr - 17:41
Merci vous deux
Invité
Sujet: Re: I felt for sure last night that once we said goodbye ❝ Skyler ❞ Jeu 12 Avr - 17:53
J'connais pas ton avatar, mais il est pas mal. Re-bienvenuuue & bon courage !
Invité
Sujet: Re: I felt for sure last night that once we said goodbye ❝ Skyler ❞ Jeu 12 Avr - 20:13
Merci, c'est vrai qu'on voit pas encore trop souvent Oscar Spendrup. Et toi, t'as fait un excellent choix d'avatar avec Emily
Sinon, ma fiche de psychopathe cinglé est finie
Adonis Nightsprings
△ correspondances : 2406 △ points : 12 △ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy △ à Panem depuis le : 01/04/2012△ humeur : Blasé. △ âge du personnage : 35 ans △ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08
Sujet: Re: I felt for sure last night that once we said goodbye ❝ Skyler ❞ Jeu 12 Avr - 22:17
Hola et bienvenue à toi \o/ !
Thybalt M. Homens
△ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011△ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles