| Sujet: Vycka — do you really want me dead or alive? Lun 13 Fév - 19:05 | |
| VYCKA ELEONOR TURNER❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Mon nom est Turner; Vycka Turner. Mes parents sont tous les deux issus de famille riches et respectées du District 8, le lieu de ma naissance, mais aussi le trou perdu dans lequel je devais survivre chaque jour. Ils sont bouchers et tous les jours en rentrant de l'école, alors que certains vont coudre les plus belles robes de Panem, moi j’ai du apprendre les rudes ficelles d'un métier littéralement sanglant. Dans le district de production textile et de l'abondance des richesses. Cherchez l'erreur, moi je ne comprend toujours pas ce que nous faisions là-bas. Les gens nous regardaient telles des bêtes de foire, des animaux à qui on peut lancer quelques cacahuètes pour les remercier. Cependant, être la fille du seul boucher en service dans le district 8 n'a pas toujours des inconvénients... Car j'ai appris à découper la viande avec précision, à faire du couteau la prolongation naturelle de mes mains habiles. C'est un art que je maitrise parfaitement, mon père m'a souvent dit que je tenais ça de lui. Je me demande si lui aussi avait des pulsions meurtrières comme les miennes. Il parait que je suis un peu bizarre et depuis toute petite les enfants ont toujours refusé de jouer avec moi. Ceci a quelque peu renforcé mon côté solitaire et m'a permis de me forger intérieurement. Ma mère est morte des suites de ses blessures, un Pacificateur l'ayant violemment fouettée pour son "insolence". Cet évènement m'a profondément marqué. Je me débrouille également à la chasse et mon père m'a appris à dépecer des animaux sauvages. Il y a quelques années, je me suis enfuie. J'ai courus à travers les champs, je suis passée sous la barrière électrique qui entoure mon malheureux district et je suis partie. J'ai laissé mon vieux père derrière et cette vie que je méprisais tant. Des semaines de marche plus tard et quelques rencontres intéressantes dans les bois... me voilà au District Treize. Le berceau de la rébellion. Je ne vis que pour la vengeance et je rêve de me battre un jour contre le Capitole et de renverser son gouvernement. Je suis préparée à cela, je me suis entrainée en secret dans la forêt durant de longues années, mes couteaux toujours sur moi en cas de bagarres - oui il m'arrive de me battre, je ne suis pas une fillette - et toujours bien aiguisés. J'attend la mort comme une amie qui a pris du retard, je n'ai peur ni d'elle ni de personne d'autre d'ailleurs.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Je n'ai pas le temps pour penser à la mort honnêtement... J'espère juste que la personne qui me tuera sera rapide et efficace, car je n'ai absolument pas envie d'agoniser pendant des heures voyez-vous. Je repense à la mort de ma mère, qui fut longue et douloureuse... Je ne souhaite absolument pas vivre ça. Connaissant ma chance et mon caractère plutôt insolent et bagarreur, je me vois mal mourir paisiblement de vieillesse ou d'une maladie. Je rêve souvent que je meurs assassinée pendant les Jeux; à vrai dire quasiment toutes les nuits. Ces visions me tétanisent. Me rendent malade.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Pour moi-même? Je ne vais pas vous pondre un pavé bien mielleux dans lequel je vous dirais que je pourrais mourir pour la liberté et l'égalité des hommes, ou encore par amour ou pour ma famille. Je rêve de vengeance, je vis pour elle; c'est elle qui coule dans mes veines. Cependant si je vois une personne se faire attaquer par quelqu'un de plus fort ou avantagé; je ne peux m'empêcher d'intervenir. Je suis froide, mais pas sans cœur! Pour ce qui est de l'amour... je n'ai pas encore eu de petit ami dans ma vie. De ce fait je suis encore parfaitement vierge dans tous les sens du terme. Mon petit être rude comme de la pierre a longtemps été habitué à l'absence des sentiments, car mon père est aussi habile en déclaration d'amour que je le suis.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Mes connaissances en découpage de viande et en maniement de couteaux, sans hésiter! Je possède une grande collection, de tailles et de lames différentes - petit héritage de mon cher père -. Je suis aussi capable d'atteindre des cibles mouvantes avec ceux-ci. Le sang et les entrailles ne me font pas peur; sans vouloir vous écœurez je pourrais même dire qu'en quelque sorte j'apprécie cela. Comme je l'ai dit plus tôt, je m'en sors plutôt bien à la chasse; car cela va de paire avec mon domaine de prédilection. La survie et le camouflage ne me poseraient également pas de problèmes! Je suis également quelqu'un de persévérant et de buté; quand j'ai un objectif, il est rare que quelqu'un ou quelque chose arrive à m'en détourner. Depuis mon arrivée au Treize j'ai notamment eu l'occasion d'apprendre à me servir d'autres armes et j'ai pu me muscler un petit peu plus; de quoi être capable de me défendre parfaitement.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Durant sa jeunesse, ma mèrea connu une fille qui a participé aux Jeux une année. Mais je n'ai jamais su son nom ni même fréquenté un membre de sa famille. Mes parents ont quant à eu échappé à ce sort, du fait de leur rang social... Aimant tout particulièrement ma propre compagnie et le silence de la forêt, je n'ai pas beaucoup eu de liens avec les autres habitants du District Huit et encore moins les jeunes de mon âge. Seuls les visages de ceux qui venaient régulièrement à la boutique chercher quelques maigres morceaux de viande me disent quelque chose. Les choses n'ont pas énormément changées depuis que je suis au Treize pour être honnête... Je n'aime pas me mélanger et les gens semblent tellement mal à l'aise en ma présence.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Je n'ai jamais été pro-capitole ou rebelle dans l'âme... Désolée de casser le mythe mais ce n'est qu'à partir de la morte injuste de ma pauvre mère que les évènements extérieurs à ma petite vie d'écolière m'ont vraiment intéressé. Tout était prétexte à la rébellion et au soulèvement. Je brisais des vitres, crachais sur les Pacificateurs... Puis, j'ai pris mon courage à deux mains, remplis mon sac à dos, pris mes couteaux et je suis partie dans la nuit. Je caresse en silence l'idée qu'un jour le Capitole devra payer pour ses agissements et que les Districts tous ensemble se rebelleront contre Snow. Je vengerai toutes les morts qui restent aujourd'hui impunies, ainsi que la mémoire de ma défunte mère. La barbarie des Jeux doit cesser, les familles de se briser et des vies de s'éteindre. Mais avant qu'un tel jour arrive, des tas de choses peuvent encore se passer.
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ? Je n'ai jamais aimé être enfermée. Déjà dans le Huit, je filais en douche par ma fenêtre pour m'échapper dans la forêt. Cependant quand ma mère est morte, j'ai du m'occuper de la boutique avec mon père alors que j'allais encore à l'école. J'ai mûrie très rapidement, mais comme je suis quasi muette, je n'ai pas eu l'occasion de le montrer énormément. Je ne me sens pas plus en sécurité qu'autre part au Treize. Nous sommes tous pris au piège sous cette terre pourrie et détruite. Nous n'avons aucune liberté, ce qui est bien paradoxale pour des rebelles. Ce qui me manque le plus, c'est de pouvoir chasser tranquillement et de m'occuper paisiblement des mes prises. Ici, je suffoque littéralement.
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE n'est pas tellement abondante, ce qui n'est absolument pas ma préoccupation principale. DU COUP, MON NOM N'A plus aucune chance d'être tiré au sort. J’EXERÇAIS LE MÉTIER D' apprentie bouchère, pour reprendre la boutique de mes parents, maintenant je suis soldate au Treize. JE SUIS ORIGINAIRE DU 8EME DISTRICT. AYANT 17 ans JE pourrais PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'ai appréhendé la moisson depuis mes 12 ans. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
tell us your story.
. I AM THE ONE WHO GOT AWAY. J'avais entendu les cris de ma mère depuis l'intérieur. Elle hurlait à tout rompre. Je n'ai pas tout de suite réalisé ce qu'il se passait, je pensais qu'elle s'engueulait avec mon père comme il avait l'habitude de le faire dès que le soleil disparaissait derrière les montages. Cependant ces cris là n'avaient rien à voir avec ceux de mes souvenirs, c'est pourquoi je suis sortie de ma chambre, le cœur au bord des lèvres. Mes parents et moi ne sommes pas très proches mais nous nous entraidons chaque jour. Nous sommes là pour survivre.
- Je t'en prie Mark, tue moi... je n'en peux plus de cette douleur ! s'écria ma mère.
J'eus un hoquet de terreur. Jamais encore de tels propos n'étaient sortis de sa bouche. Ainsi, quelques secondes plus tard, j'avais dévalé les escaliers et rejoint le reste de ma famille dans l'entrée. Nous habitions une modeste demeure, payée grâce à l'héritage de mon père; issu d'une famille plutôt riche. Celui-ci tenait ma mère couverte de sang dans ses bras. Il semblait totalement déboussolé, lui qui d'ordinaire ne laissait aucune émotion paraître. Je tenais mon air fatalement impassible de lui; car ma mère elle, était belle à en mourir, et avait un sourire resplendissant sur son visage. Qu'il fasse beau, qu'il neige, qu'il vente ou qu'il pleuve, jamais son bonheur de vivre ne dépérissait. A cet instant elle paraissait si fragile, sa peau avait la blancheur d'un mort et sa robe déconfite était couverte de sang - le sien-.
- Que s'est-il passé?
Ma voix semblait bien lointaine à mes oreilles, et je m'étais adressé avec une froideur incomparable. Mon père leva les yeux vers moi, menaçant de tomber. Je vis une telle détresse et tellement de douleur dans ses yeux que mes propres jambes se mirent à trembler. Mon père n'était rien sans ma mère. C'est elle qui l'avait sauvé à l'époque; quand il était encore comme moi. Si elle venait à mourir, il serait incapable de continuer à vivre et de s'en remettre; je le savais pertinemment. Au bord des larmes, je me rendis compte du silence qui s'installait et décida de prendre les devant. Je pris ma mère par les épaules et l'emmena vers la cuisine. Là-bas, nous lui fîmes un lit de fortune et préparâmes nos maigres économies de médicaments et crèmes en tout genre. Je remarquais à présent les blessures; quelqu'un l'avait violemment fouetté à plusieurs reprises. Mon estomac se noua.
- Tu vas bientôt me dire ce qu'il s'est passé? Lançais-je d'un air menaçant à mon père.
Je croisa le regard de ma mère, celui-ci était rassurant, presque implorant. Même à l'article de la mort elle continuait à protéger mon père. Elle attrapa ma main, ce qui lui tira une grimace puis me chuchota avec amour:
- Il faut que tu sois plus gentille avec ton père ma petite Vycka... Il n'y est pour rien, tu le sais... Tu es une fille tellement forte, tellement intelligente... Il faut que tu t'ouvres au monde, que tu te fasses des amis, des alliés dans ce monde...
- Maman arrête... Tu ne vas pas mourir. Arrête de me dire tout ça. Calme toi ! Lui dis-je, en prenant soin de masquer mes yeux pleins de larmes.
Elle attrapa mon bras, me forçant à la regarder dans les yeux. Si, elle allait mourir. Son corps tout entier était glacé et bleu. Il fallait qu'on se dépêche, qu'on la sauve par dessus tout. Ma mère était le pilier de cette maison, notre raison de vivre à tous les deux. Si elle s'en allait, notre petit monde paisible s'écroulerait. Sa pression se relâcha tout à coups, et ses yeux s'embrumèrent. Tous mes membres se paralysèrent, mon cerveau lui-même ne réalisait pas encore ce qui était en train de se passer. Ses beaux yeux me fixaient toujours, son sourire ne l'avait pas quitté. Elle ne pouvait pas mourir en restant aussi belle. Ce n'est que quand j'ai vu mon père tomber au sol, le corps secoué de sanglots que j'ai compris qu'il n'y avait plus rien à faire. Je suis restée immobile, des larmes silencieuses roulant sur mes joues. Mes poumons, mon coeur, tout mon corps me faisait mal. Après quelques heures d'un silence des plus morbide, mon père qui ne parlait que très peu, brisa la glace:
- Elle ne s'est pas laissée faire tu la connais... Quand il a commencé à se moquer d'elle, en lui balançant des saloperies de Pacificateurs... Il lui rappelé que la Moisson aurait bientôt lieu et que cette fois, la bizarrerie qui lui servait de fille n'échapperait pas à son sort...
Je n'ai pas tout de suite compris de quoi il parlait, mais une fois que les mots prirent tout leur sens dans ma tête, je me suis dirigée vers le tiroir à couteaux.
- Elle lui a répondu de se la fermer et de laisser les braves gens comme nous tranquilles. Que c'était de la faute de pro-capitoles comme eux et du gouvernement que des tas d'adolescents innocents mourraient tous les jours... J'ai essayé de la protéger, mais le temps qu'un client me prévienne...
J'attrapais le premier couteau, le plus long, le mieux aiguisé. Mon favoris pour la découpe.
- ... c'était déjà trop tard. C'est toujours trop tard. Mon dieu... Anyssa...
Mon père était étalé de son long contre le sol et pleurait toujours bruyamment quand j'ai passé le pas de la porte. Je me suis élancée, les larmes m'aveuglant et le vent battant contre mon visage. J'ai couru pendant une bonne demie-heure sans m'arrêter, telle une folle furieuse, mon couteau à la main. Plus rien ne pouvait m'arrêter. Sauf peut-être la bande de Pacificateurs qui me tombèrent dessus, juste avant que j'entre dans l’Hôtel de Ville. Ce soir là, j'ai fini en cellule. Mon père, profondément en deuil et n'ayant pas réalisé mon absence - vu son manque de préoccupation pour ma petite personne - ne m'a pas récupéré avant deux jours. J'étais couverte de bleus, de coupures et de brulures de cigarettes. Mon corps meurtri portaient les coups de brutes violentes qui m'avaient tout pris. La seule motivation qui me permise de me relever ce matin fut mon envie de vengeance et ma colère envers la race humaine.
reality is here.
EH OUI C'EST ENCORE MOI ! Je me présente une nouvelle fois (enfin rapidement!)... Mon petit nom c'est Laura, mais appelez-moi Laloue! J'ai 18 ans et je suis Miss Alsace -only kidding- plutôt miss choucroute! Vous me trouverez également sous le nom de Z. ALIX SNOW. Enjoy ! (:
FEATURING Hannah Murray © COPYRIGHT tumblr
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| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Lun 13 Fév - 19:08 | |
| Tu me réserves encore un super lien hein ? |
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| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Lun 13 Fév - 19:12 | |
| C'pour toi que je viens au Treize me amor donc y'a intérêt ! EN PLUS: Aaron et Hannah ont joués dans un film ensemble ! |
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| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Lun 13 Fév - 19:15 | |
| Oui donc ils auront un fucking bon lien |
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| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Lun 13 Fév - 19:17 | |
| OH OUI Par contre je n'ai toujours pas changé; je suis associable et inquiétante... va falloir t'accrocher ! HA HA |
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Miléna E. Andréis-Wheeler △ correspondances : 5888 △ points : 1 △ multicomptes : (l. c. meery) △ à Panem depuis le : 04/09/2011 △ humeur : cruellement arrachée à sa famille △ âge du personnage : vingt sept ans pour toujours
| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Lun 13 Fév - 22:44 | |
| Choix d'avatar |
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| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Lun 13 Fév - 23:11 | |
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Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Mar 14 Fév - 18:27 | |
| Rebienvenue |
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Kathleen S. Harper △ correspondances : 11512 △ points : 1 △ multicomptes : ◭ silver & asha △ à Panem depuis le : 21/05/2011 △ humeur : ◭ lasse. △ âge du personnage : ◭ vingt-quatre ans.
| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Jeu 16 Fév - 11:52 | |
| bon maintenant que t'es au 13, va nous falloir un lien Tu viens d'être validé, mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent. Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici. Si ton personnage est de la famille du maire de son district, tu peux le recenser ici pour éviter toute incohérence. S'il est membre d'une équipe de préparation (mentor, styliste, hôte(sse), c'est par ici que ça se passe. A vérifier que le rôle convoité est bien libre. Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici. N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici. Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay
bon tu sais déjà quoi faire itout |
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| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Jeu 16 Fév - 17:51 | |
| Voilà, done everything Oh oui, un lien démentiel au Treize |
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Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: Vycka — do you really want me dead or alive? Jeu 16 Fév - 21:03 | |
| rebienvenue parmi nous et désolé du retard |
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