| Sujet: Dorian de Massari - [100%] Lun 9 Jan - 11:12 | |
| DORIAN DE MASSARI❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞
RAPPORT DU SERVICE D'INTERVENTIONS MÉDICALES D'URGENCE DU DISTRICT 13 le 28 mai 2307. Dorian de Massari, 23 ans, né le 14 février 2290, mort le 27 mai 2307. Sujet originaire du district 2, placé en zone de soin au district 13 après récupération par Overcraft. Taille : Approximativement 1.80 mètre - corpulence moyenne, présentant quelques marque de malnutrition - cheveux : bruns - yeux : gris. Le sujet présente une large plaie à la tête et quelques blessures superficielles à la jambe et à l'épaule gauche - forte déshydratation constaté. État actuel : critique.
RAPPORT DU SERVICE D'ACCOMPAGNEMENT PSYCHIATRIQUE DES RESCAPÉS - DISTRICT 13 le 15 décembre 2307. Sujet hospitalisé depuis 21 jours : présente une état psychologique instable, diagnostiqué d'un trouble de la personnalité schizoïde. Présente des crises d'agressivité - légère tendance à la paranoïa - difficultés à nouer des liens sociaux - souffre d'amnésies chroniques. Placé sous calmants - déclaré inapte à travailler. Sujet hospitalisé depuis 37 jours : résultats des soins apportés : le patient semble à nouveau stable - amnésie rétrograde identifiée - Le sujet est déclaré apte à travailler si suivit de son traitement.
INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES Lieu de naissance : District 2 - quartier des tailleurs Fonction : Carrier A participé au Hunger Games : 72ème édition.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Je la voyais un peu chaques jours. Mais on a beau fantasmer toute notre vie sur la manière dont on va finir, on ne peut réellement l'envisager que lorsqu'on y fait face. Quand j'ai été appelé aux Hunger Games, sans grande surprise, j'ai enfin pu appréhender ce qu'était la peur de la mort et la résignation. Se battre pour vivre c'était un peu mon crédo, alors j'imaginais un peu ma mort comme ça, oui. Finalement, c'est pas ma mort en elle même qui fut le plus terrible; mais la mise en scène qui l'accompagna.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? J'ai vécut toute ma vie et manqué de mourir chaque jour pour que nous puissions vivre, Deli' et moi, et je serais mort pour elle. Quand j'ai rencontré Constance, j'ai eu une nouvelle raison de vivre, et en prime une autre de mourir. Nous étions tous les trois susceptible d'être appelés à l'arène, je m'étais préparé à devoir les accompagner, si elles étaient condamnées aux Jeux. Je serais mort pour elles, s'il avait fallut. Mais je suis mort tout seul, sans héroïsme et sans noblesse.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Ma vie jusqu'aux Hunger Game ne fut peut-être pas des plus idylliques, mais elle eu au moins le mérite de m'apprendre à survivre. Débrouillard de nature, j'étais déjà très jeune un peu plus dégourdit que les autres et j'avais vite compris qu'on pouvait avoir un peu d'eau et de nourriture en embobinant quelques femmes fortunées. A 12 ans, je commençais dans les carrières. Le travail n'était peut-être pas le plus enrichissant du monde, mais il eu le mérite de développer mon corps et de l'entrainer à être résistant. Comme la force ne suffit pas, et aussi parce que le travail en carrière faisait souvent des éclopés, je finis par m'intéresser à la médecine. Quelques bouquins poussiéreux faisant office de professeurs, j'apprenais à recoudre les plaies superficielles et à soigner certaines blessures. Mon entrainement pour les Hunger Games se contentait des bases les plus primaires : la défense, l'attaque, et l'apprentissage théorique de la survie en milieu hostile. Mais tout ceci ne m'empêcha pas de mourir bêtement en arène...
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Jusqu'à ce que j'entre dans l'arène, personne dans mon entourage n'avait été touché par les jeux de la faim. Nous ignorions alors ce que cela faisait de voir un ami mourir dans un écran devant nous. Après ma mort, je dû regarder les moissons l'estomac noué : si Del ou Constance étaient choisies, je ne pourrais rien faire pour elles. Quand je vis les deux tributs s'avancer sur la scène pour les 73ème jeux de la faim, un soupire de soulagement m'échappa : aucune des deux n'avaient été piochées. Mais le malheur tomba une année plus tard, alors que le nom de Delilah sortit de la grande boule de verre. Constance se sacrifia à sa place, et un douloureux mélange de haine et de frustration s'empara de moi : je ne pouvais rien faire pour l'empêcher de mourir.
➺ COMMENT TE SENS-TU DANS LES SOUS-TERRAINS DU TREIZE ? Pas vraiment différent de quand on était dans les carrières… un endroit gris, froid, sans vie et sans intérêt. On s'y sens un peu comme pris au piège, ou même captif. C'est un peu comme une prison sans en être une : on bénirait le ciel d'y être, mais il est impossible de s'en échapper. Les principes rigides de cette civilisation souterraine, un peu trop différentes de ma vie d'autrefois, me restent encore en travers de la gorge, mais je m'y plie. Il me fallut longtemps avant de m'acclimater à ce lieux et à ses habitants, mais avouons qu'ils ont compris comment survivre.
JE VIENS D'UN MILIEU défavorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE tenait bien plus de la légende qu'autre chose. DU COUP, MON NOM AVAIT pas mal de chances d'être tiré au sort. J'EXERÇAIS LE MÉTIER DE carrier ET POUR TOUT VOUS DIRE, c'était foutrement merdique. JE VIENS DU 2ÈME DISTRICT, mais maintenant je crèche au 13. AYANT 21 ans J'ai déjà PARTICIPÉ AUX HUNGER GAMES ET j'en suis mort. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT, ce qui m'étonnerait un peu quand même.
tell us your story. Le rapport psychologique des services de suivit des victimes du district 13 m'avait présenté comme un homme souffrant d'une légère tendance à la paranoïa, doublé d'un traumatisme mental important, souffrant d'une grave amnésie rétrograde et sujet à des accès de colères. Soulignant le fait que, ma personnalité avait été altérée suite à "l'accident", on me plaça gentiment dans une chambre, seul, en attendant que mon état s'améliore. C'était il y a 3 ans.
La vie au district 2 n'avait rien d'idéale, pas plus qu'ailleurs. En fait, la pauvreté était sans doute la même partout, simplement il était plus rare de faire partit des crèvent-la-faim ici. On peut donc dire qu'on était des genre de parias parmi les parias. Ma famille vivait dans un des quartiers d'ouvriers de la ville, la journée on partait mon père et moi dans les carrières; le travail n'avait franchement rien de passionnant, mais permettait de manger de temps à autre. Nous vivions chichement, mais personne ici n'aurait troqué sa place avec celle des autres, aussi riches et aussi lèche-cul du Capitole qu'ils soient. Comme les voisins par exemple, les "Windsor", ses sales pourritures de Capitolistes chez qui j'allais cracher sur la porte chaque matin sous le regard sévère de mon père. "Arrête de faire ça" disait-il d'un air consterné. "Ils vivent pas dans la merde, pourtant c'est eux qui sont merdiques." grognais-je. J'avais 12 ans.
Le soir, en rentrant de la carrière, je regardais souvent la fenêtre de la chambre des voisins. Des fois, une fille nous regardait moi et ma sœur; la fille Windsor. Je lui jette un regard noir, puis détourne les yeux. "Bien sur ! tu peux venir !" lui avait répondu Delilah quand elle était venue, un jour, leur demander de jouer avec nous. "T'es folle ! tu sais qui elle e…" Delilah me coupa dans mon murmure féroce, le regard farouche. J'haussais les épaules, me jurant intérieurement que cette fille ne serait jamais des nôtres. Pourtant les jours, les semaines puis les mois passèrent, et mon regard dur se mua peu à peu en œillades enflammées.
Les années passèrent, nous avions déjà échappés à plusieurs moissons, serrant nos mains tous les trois jusqu'à ce que le sang nous engourdisse. Je continuais dans les carrières, travaillant souvent le soir dans des vieux livres où j'apprenais les rudiments de la médecine. Parfois mes nouvelles connaissances étaient utiles dans les carrières où les blessures étaient fréquentes. Le soir, nous nous entrainions ma sœur et moi pour le jour où nous pourrions être envoyés aux jeu de la faim. Nous n'avions pas une chance face aux carrières, nous le savions, mais y aller les mains dans les poches était quelque chose que nous n'envisagions pas alors. Quitte à mourir, il fallait nous battre.
A 15 ans, mon nom était déjà inscrit 11 fois dans le tirage de la cérémonie de la Moisson. Delilah, Constance et moi étions tous les trois très proches, si bien que nous passions le plus clair de notre temps ensembles. Alors un jour, sans surprise, Constance et moi devinrent un peu plus l'un pour l'autre.
Deux ans étaient passés, alors que, comme une routine lassante, nous prenions le chemin de la place centrale, plutôt que celle des mines. La moisson reprenait comme chaque année, avec son lot de mort et de résignation. Aligné dans la file des "garçons", je cherchais du regard Del et Constance, l'air inquiet, sans parvenir à les distinguer dans la foule. "T'en fais pas… ça tombera pas sur elles, c'est encore jamais tombé sur nous, c'est juste une année comme une autre", me répétais-je inlassablement jusqu'à ce que la voix de l'hôtesse des tributs de la 72ème session des jeux de la faim me sorte de ma torpeur.
Le discours était le même chaque année, j'aurais sans doute pu le réciter par cœur, surtout avec toutes ces maudites rediffusions des jeux précédents. Je regarde la femme à l'allure grotesque, l’extravagance de sa coiffure, la couleur irréelle de sa peau, ses bourrelets disgracieux... elle me donne envie de vomir, aussi bien son physique que la voix de crécelle qu'elle aborde en prononçant mon nom bien haut, un grand sourire sur les lèvres. Je reste stoïque. Est-ce qu'elle a bien dit mon nom ? où alors l'ai-je rêvé ? Immobile, je sent que l'on s'écarte autour de moi, comme si j'étais à la fois devenu leur sauveur, mais également pestiféré. J'ignore quelle force réussit à me faire rejoindre le devant de la scène, là, aux côtés de la carrière qui se battrait avec, ou plutôt contre moi dans l'arène. Mon regard vacilla sur Delilah puis sur Constance qui, hurlant, fût interceptée par deux soldats. Lui adressant un demi sourire résigné, je détournais les yeux. Je faisais à présent face à tous.
Deux jours plus tard, j'embarquais dans le wagon du train qui allait me conduire à la mort. Jetant un dernier regard sur le district 2, je ne réalisais pas que c'était la dernière fois que je le voyais, que je voyais Delilah, et que je devais faire mes adieux à celle que j'aimais. Retirant ma veste, un objet en tombe. Un collier d'argent sertit d'un pendentif, il ressemble à une chouette. Ses grands yeux noirs me scrutent, brillants. Je le serre dans ma main, puis le passe autour de mon cou.
Je jetais un coup d’œil rapide à ceux qui allaient être dans quelques jours mes adversaires. Les habituels carrières semblaient vibrer d'enthousiasme, les plus jeune, eux, pleuraient en silence. Le centre d'entrainement était immense et regorgeait d'ateliers en tous genre. J'allais rejoindre l'un de ceux qui n'avait pas le plus de participant : la pose de pièges. Ça pourrait être utile… après tout c'est pas mes compétences de carrier qui allait me permettre de manger. Une jeune fille vint me rejoindre, dans un premier temps je n'y fit pas attention, concentré sur mon piège mal monté, je pestais. "C'est pas comme ça qu'il faut faire", dit-elle d'une voix calme. Levant les yeux sur elle, je la dévisageais en silence. Quelque chose en elle me dérangeait.
Mon mentor vint rouspéter le lendemain. "Entraine toi au combat ! tu penses pouvoir tuer qui si tu sais pas te battre ?". J'haussais les épaules, ça m'était égal, je ne savais même pas si je pourrais en tuer un seul, j'étais pas chasseur, tuer n'était pas vraiment mon quotidien. Malgré tout, sans doute pour qu'il arrête de m'ennuyer, et aussi parce qu'il était celui sur qui je pourrais compter en arène, je fit ce qu'il me dit. Après tout, lui avait déjà gagné. Si je voulais sortir d'ici il valait mieux suivre ses directives… Serrant les dents, je constatais avec amertume que j'étais devenu un toutou du capitol.
Le premier jour dans l'arène avait fait 11 morts d'après les coups de canons retentissant à la chaine. J'avais fais le choix de ne pas entrer dans la mêlée dès les premières secondes; je n'étais ni assez fort ni assez entrainé pour tenir tête à des carrières regroupés et armés jusqu'aux dents. Marchant sur un sol sablonneux, je maudissais cette arène de malheur de ne pas m'offrir le moindre point d'eau après plusieurs heures de marche. Je m'enfonçais alors dans ce qui semblait être une sorte de jungle inhospitalière.
Ma première nuit dans l'arène fût éprouvante. J'avais cherché longtemps un arbre sur lequel je réussi à me hisser tant bien que mal, priant pour que la pénombre réussisse à me cacher. Des pas se mirent à résonner non loin de moi, faisant craquer les feuilles et les branches au sol. "Ne bouge pas" me dis-je, alors que les pas se rapprochent. Derrière moi, une silhouette longue et menaçante siffle et claque de la mâchoire. J'ai à peine le temps de me retourner pour me retrouver nez à nez avec ses crochets gigantesque que je tombe de mon perchoir, m'écrasant lourdement plus bas. Le choc avec l'autre tribut est tel que nous mettons quelques secondes à reprendre nos esprits. Ma main frôle un objet encore chaud tombé sur le sol, une arme. J'ignore si c'est la peur ou la rage qui s'était soudainement emparé de moi, mais je la levais sur la silhouette que je devinais devant moi, tirant. Le bruit de sa chute fut étouffé par les feuilles au sol, mais j'entendis clairement son râle de douleur... Plusieurs minutes étaient sans doute passées puisque le canon retentit. Je venais de tuer quelqu'un. Maintenant il fallait partir vite, l'Overcraft allait attirer les carrières sur moi. La gorge sèche, je tournais les talons.
Troisième jour. La faim et la soif et le manque de sommeil m'épuisent peu à peu. Sans compter mes blessures. Impossible de trouver un abri dans cette jungle, chaque arbre regorge de bestioles prêtent à vous dévorer à la moindre seconde. La nuit tombe, aujourd'hui il y a eu 3 morts... nous ne sommes plus que 7. Épuisé, je plisse les yeux, devinant dans la semi pénombre une petite cavité dans la roche plus loin.
Je pointe mon arme sur elle, elle me regarde l'air terrorisée. C'est la fille, celle de l'entrainement. Elle veut l’abri elle aussi ? elle a pas l'air armée... elle semble vouloir dire un truc... ? "j'ai pas d'arme", tant mieux "mais j'ai de quoi soigner, là dedans". Elle désigne son sac à dos, puis la large plaie qui me couvre l'épaule. "Et j'ai une couverture aussi... pas toi, non ?" je grogne ; elle parle trop. "On pourrait s'allier ? Séparément on a pas de quoi tenir ici... mais ensembles si." Je la fixe un long moment, toujours en joue, je sais ce que je lui trouvais d'étrange il y a quelques jours à l'entrainement... elle "lui" ressemble...
"D'accord."
Deux jours plus tard, je ne m'étais pas résolu à tuer la fille. J'avais sans doute abandonné l'idée en silence, c'était idiot, mais la regarder provoquait en moi une sensation étrange.
Nous étions encore 5 dans l'arène, bien trop pour les juges. Quand le soleil marqua le début du 6ème jour des Hunger Games, ce fut sous une épaisse brume bleuâtre. "Putain c'est quoi ça ??" je cri, puis m'étouffe. Cette fumée me brûle sur tout le corps et me dévore les poumons, comme si chaque particules de ce gaz était composé d'un brasier ardent. La fille est partie, avec ses vivres, et mon arme bien entendu. Je me maudit intérieurement d'avoir été si con.
La brume se dissipe quelques minutes plus tard, un coup de canon retentit, puis une image apparaît dans le ciel artificiel, le juge pose sur nous un regard tel deux billes glacées. "Cher tributs, ce matin vous avez été nombreux à être tiré de votre sommeil dans des conditions fâcheuses... A présent que vous n'êtes plus que quatre, j'ai une excellente nouvelle pour vous. Chacun d'entre vous trouvera d'ici 2 heures le remède à son mal à la corne d'abondance... Ou ne vous a-t-on jamais appris qu'il faut parfois se battre pour obtenir ce que l'on désir ?". Et l'image disparue.
Le corps brûlant, je serrais les dents pour marcher sans m'arrêter, retrouvant le désert que j'avais traversé le premier jour des jeux. "A quoi bon y aller ?" je me répète en boucle, la fraîcheur du médaillon contre ma peau me fait reprendre esprit. Je le regarde un instant, serrant les dents. "T'essayes de vivre, ou t'attends de mourir..."
La corne d'abondance apparu alors devant moi, puis je vis "la fille" se précipiter vers les sacs, une jambe traînante et en sang. Je me stoppe net, l'observant. Je murmure "erreur". A peine s'est-elle saisie de l'un des sacs qu'une masse s'abat sur elle, la laissant inerte sur le sol. C'est l'instant où un petit colis blanc sortit de nulle part tomba juste devant moi.
Un couteau ? Je le tiens en main, regardant un instant sa lame taillée grossièrement. Le carrière, alerté par l'objet tombé du ciel, se rue sur moi. Esquivant sa masse, je lui assène un coup dans l'abdomen, retirant mon arme maculée de son sang. Il hurle de douleur, reculant de plusieurs pas. Je le regarde sans bouger, mon arme à la main, puis un choc à la tempe me fait vaciller brusquement. Ma main cherchant la raison de ma douleur butte alors contre une grande tige d’aluminium plantée dans mon crâne. Les yeux fous, je regarde la jeune femme plus loin, une arbalète à la main. Je m'écroule.
"C'est bon, il se réveille".
J'ouvre les yeux sur un plafond gris. "Je peux savoir pourquoi on l'a récupéré celui la ? il a l'air pas terrible..." dit une voix au dessus de moi. Je cligne des yeux, hagard, entrouvrant les lèvres je tente de murmurer quelque chose, en vain. "si la question que tu te pose c'est "où j'suis", t'es au district 13, gamin." dit l'homme dans un lit à côté, la moitié de son crâne sans bandage laisse découvrir un sourire perturbant. "Bienvenue !"
reality is here.
Bonjour ! je vais pas trop m'épancher là dessus, donc je vais plutôt faire vite et court. A 22 ans, je fais du rp depuis pas mal d'années déjà, ayant baroudé dans bon nombre de forum en tous genres. Ca faisait un moment que je cherchais un forum sur Hunger Games, mais j'avais abandonné l'idée y'a plusieurs mois déjà, probablement au même moment où ce forum a commencé (my bad). J'ai lu les bouquins il y a quelques temps, et je pense que je vais bien me plaire ici. Voilà, à la revoyure !
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Dernière édition par Dorian de Massari le Mar 18 Sep - 8:58, édité 41 fois |
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