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 le temps qui glisse est un salaud Δ (r)

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MessageSujet: le temps qui glisse est un salaud Δ (r)    le temps qui glisse est un salaud Δ (r)  Icon_minitimeLun 9 Mai - 13:40

le temps qui glisse est un salaud Δ (r)  Tumblr_lkj47aDsZt1qcel7mo1_500
de nos tristesses il s'en fait des manteaux.
Le regard perdu dans les nuages, Bô tourne la tête vers l’entrée du tunnel en entendant un bruit sourd. Se relevant légèrement, elle fixe avec attention ce qu’elle ne peut de toute façon voir et sursaute lorsqu’une épaisse fumée noire apparait pour s’échapper au grès du vent. Inquiète, Bô se lève et commence à faire les cents pas près de l’entrée. Ces mines sont dangereuses, elle le sait, les mineurs le savent, toute la population est au courant et les accidents sont si vite arrivés que l’on ne peut réaliser ce qu’il arrive avant d’y être confronté. Elle ne se rend pratiquement pas compte des regards qui s’attardent dans son dos lorsqu’elle s’arrête les bras croisés et commence à compter, à voix haute. Lors d’un accident de ce genre lui avait apprit Skyler, il fallait approximativement cinq minutes aux mineurs pour revenir à la surface avant de s’éteindre pour de bon. Dans sa position, elle ne pouvait strictement rien faire pour les aider et paniquer n’aiderait personne. Se concentrer sur une chose facile et prenante était donc la seule solution qu’elle réussit à trouver. Un, deux, trois (…) En lançant un regard autour d’elle, elle se rendit compte que les quelques femmes venues attendre leurs maris s’étaient éclipsées, ne pouvant sans doute pas supporter l’attente atroce de leur apparition. Cent, cent-un, cent-deux (…) Un bruit attire son attention derrière elle alors qu’elle recommence à fixer la mine. Détournant la tête, elle se rend compte de la présence de son père. Elle ne pense pas à cacher les morceaux de pains qu’elle avait amenés pour les mineurs et ne pense pas une seule seconde à se justifier, de peur de perdre le compte des secondes. Deux-cent, deux-cent un, deux-cent-deux (…) Le silence autour d’elle se fait de plus en plus oppressant et ses difficultés à rester en place sont de plus en plus complexes. Deux-cent-cinquante, deux-cent-cinquante-deux, deux-cent-cinquante-trois (…) N'y tenant plus, Bô dépose le pain sur une feuille par terre avant de s’avancer vers le tunnel d’où s’extrait presque simultanément une dizaine d’hommes.

Alors que le soulagement aurait du s’emparer d’elle, le contraire se produit et elle devient de plus en plus anxieuse à scruter la foule sans l’apercevoir. Autour d’elle, les hommes toussent, quelqu’un se sont écroulés tentant de reprendre leurs souffles tant bien que mal. Ils avaient repérés le pain qu'elle avait laissé par terre, ne désirant pas qu'ils découvrent d'où celui ci provenait. Quand enfin elle aperçu sa silhouette sombre, elle abandonna les mineurs pour sauter dans les bras de Sky. Se rendant compte de la limite qu’elle avait franchit, elle quitta bien rapidement sa frêle personne pour se reculer et lui tendre un morceau de pain, regardant légèrement ailleurs. « Qu'est ce que tu as encore fait? »
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MessageSujet: Re: le temps qui glisse est un salaud Δ (r)    le temps qui glisse est un salaud Δ (r)  Icon_minitimeLun 9 Mai - 18:54

le temps qui glisse est un salaud Δ (r)  Francisco+Lachowsky+by+Jessie+Craig
Je ne vois rien aux alentours que des tristesses à bon marché.
Salut toi mon étoile au loin l'illuminé de nos chemins.

Les heures à la mine était éprouvant. On devait forer, transporter le charbon, tâcher de ne pas se blesser et de ne pas aller trop loin sous peine de mourir ou de voir mourir. Nous travaillions dans une fournaise toute la journée et il était impossible de s'arrêter en dehors des pauses. Il s'agissait d'un travail dangereux et ingrat qui finirait par avoir toutes les personnes se trouvant avec moi ici bas. Un peu plus loin mon père travaillait au forage d'une nouvelle veine de charbon avec des plus jeunes qui pouvaient aisément se rendre entre les fissures. Allongé le dos contre la pierre, une machine en main, je forais moi même une de ces foutu veines espérant qu'aujourd'hui il ne se passerait rien. L'air était suffoquant, il faisait une chaleur à réveiller les morts et mes vêtements noir de charbon ne faisaient que renforcer mon impression d'étouffement. Toussant un peu, j'entendis un bruit sourd, un choc, une détonation, je n'en savais trop rien. Cependant à sa suite une nappe opaque de fumé vint prendre la mine alors que les hommes se mettaient à crier. Sachant qu'il n'était pas bon de rester là je laissais la machine en place, j'abandonnais mon casque trop frêle pour me protéger de quoique ce soit avant de me retrouver entourer de fumée. Tentant de ne pas me laisser avoir par la panique, j'avançais une main contre la paroi pour me guider. L'air était irrespirable, le tissu rêche de mon haut mis sur ma bouche et mon nez ne m'aidaient en rien. J'essayais de respirer, mais tout ce que j'arrivais à avaler c'était cette fumée âcre et qui me retournait le coeur. C'est à ce moment là que je sentis une main s'accroché à mon épaule et me retenir en arrière. C'était un autre mineur qui, plus mal au point que moi, avait besoin de soutien. Ma frêle épaule et le peu de force qui me restait ne risquaient pas de nous sortir de là. Ma gorge était en feu et des larmes commencèrent à s'échapper de mes yeux sans que je puisse rien y faire. Je luttais pourtant je n'apercevais pas la lumière. Rien pour illuminer mon chemin, ici c'était les ténèbres où se meurent les galériens.

Lorsque j'atteins enfin la lumière, l'air entra de force dans mes poumons m'arrachant une quinte de toux que je tentais de réprimer vainement titubant à l'arrière du groupe seul désormais. Lorsque ses bras s'accrochèrent à mon coup je ne m'y attendais pas. Je respirais à grande goulée incapable de retrouver mon air, étonné de la sentir dans mes bras sans savoir pourquoi. Je ne répondais pas à son étreinte, trop choqué, trop faible que pour pouvoir bouger et déjà elle se reculait me tendant un bout de pain tout en me parlant de ce ton qui lui était unique ses yeux délibérément posé ailleurs. : « Qu'est ce que tu as encore fait? » Je ne pu réprimer quelques éclats de rires qui se transformèrent en une toux grasse contre laquelle tant bien que mal je tentais de lutter. Même si elle n'en disait rien, moi j'en étais persuadé, quoiqu'il advienne elle s'inquiétait toujours un peu. Un peu comme une amie doit s'inquiéter, y pensant sans savoir que faire, ni par où commencer. « Un autre mineur m'a retenu, tout seul il était incapable d'avancer. » Lui offrant un léger sourire faussement détacher, j'arrachais la croûte de mon pain tentant de l'avaler sans rendre la bile qui me brûlait l'estomac. J'étais mal, mais devant elle je n'avais pas le droit. « Il y a ton père, pourquoi est tu restée ? Si c'est pour moi t'aurais pas dû. »
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MessageSujet: Re: le temps qui glisse est un salaud Δ (r)    le temps qui glisse est un salaud Δ (r)  Icon_minitimeMar 10 Mai - 14:33

le temps qui glisse est un salaud Δ (r)  Tumblr_lkwcrglwLl1qh24vpo1_500
cendre de lune, petite bulle d'écume
Paralysée par la peur de le perde, elle réalisa qu’elle avait arrêté de respirer seulement lorsqu’elle le serra dans ses bras. Fébrile, presque tremblante, elle eut du mal à garder son masque d’indifférence habituel mais y parvient in extremis. Sa chemise blanche immaculée était devenue noire de suie. Sa mère lui passerait sans doute un savon en rentrant mais ça lui été égal. Elle inventerait une histoire à dormir debout en rentrant et sa mère la croirait sans l’ombre d’’un doute. Seule la présence de son père arrivait à ternir le bonheur de le voir en vie, aussi mal en point paraissait-il. Elle n’arrivait pas à comprendre ce qu’il faisait là. Le surveillait-il ? Voulait-il prendre des nouvelles de ce client passé hier soir en coup de vent ? Elle n’aurait su dire mais en tous les cas, sa présence ne passait pas inaperçue. « Toujours à jouer les héros. Si tu veux une médaille tu peux aussi demander ! » Elle n’avait pas vraiment le cœur à rire et elle comprenait parfaitement son choix d’aider les plus faibles mais ça ne l’empêcha pas de le taquiner. Une façon comme une autre de dédramatiser la situation.

En suivant son regard, elle aperçu qu’il guettait son père, se questionnant sans doute lui aussi sur les raisons de sa présence. « Ne t’inquiètes pas, je suis assez grande pour me gérer toute seule moi. Je ne dirai pas la même chose de toi par contre. Assois-toi, je vais te chercher à boire. » L’endroit était à présent prit d’assaut par les familles des mineurs rayonnant de joie en s’apercevant que leurs maris ou enfants ne manquent pas à l’appel. En allant remplir sa gourde, elle se rend compte que tous ne sont pas heureux. La petite Lys est en pleurs dans les bras de sa mère. Levant le regard, Bô contemple quelques secondes le courage de sa mère qui ne fond pas en larme. On pourrait presque suivre sa guerre contre ses larmes sur ses traits. Respectueuse de leur chagrin, elle détourne la tête et retourne vers Sky. Elles n’auraient pas voulues de sa pitié de toute façon, son statut de privilégiée n’en faisait pas une bonne épaule pour pleurer. De retour à sa place initiale, elle tend la gourde à son camarade tout en cherchant son regard. Lorsqu’enfin elle le capta, elle murmura simplement les larmes aux yeux. « Hipster. » Bô savait qu'il la comprendrait. En le regardant, elle saisissait brièvement ce que sa famille pouvait ressentir. Elle n’aurait su dire comment elle aurait réagi s’il y était resté. Son meilleur ami, le seul qui la comprenne vraiment.

« J’étais venue te dire que je ne peux pas venir dimanche. Ma mère veut absolument m’apprendre à coudre comme au Capitole. Si tu ris je t’assure que tu regretteras de ne pas y être resté, c’est moi qui te le dis. » Bô n’avait jamais porté grande attention à la mode, encore moins celle du Capitole qu’elle haïssait plus que tout. Cependant sa mère, loin d’être du même avis entendait que sa fille partage les mêmes centres d’intérêts. A force de repousser la corvée, sa mère ne lui avait plus laissé le choix et il devra chasser seul ce jour là, à moins qu’elle ne réussisse par miracle à s’échapper. Levant enfin la tête, elle remarqua que son père l’observait, à quelques mètres de là. Rougissant légèrement, elle détourna le regard pour se concentrer sur Sky. « Pas trop de dégâts ? Tes quatre neurones sont toujours là ? »
désolée pour le pavé --'
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MessageSujet: Re: le temps qui glisse est un salaud Δ (r)    le temps qui glisse est un salaud Δ (r)  Icon_minitimeMar 10 Mai - 17:54

le temps qui glisse est un salaud Δ (r)  Francisco+Lachowsky+by+Jessie+Craig
Comme un éclat de rire vient consoler tristesse,
Comme un souffle avenir vient raviver les braises

Voir Bô se jeter dans mes bras m'avait un peu étonné sur le coup. En effet, on était pas très démonstratif l'un envers l'autre, c'était ma meilleure amie, mais on était plus à l'aise dans une bourrade sans réel contact que dans une accolade chaleureuse. C'était pourquoi, en partie, je ne répondais pas à son accolade. Toute la fumée que j'avais respiré et les forces dont j'avais usées pour remonté à la surface me manquait terriblement. Mes rires devinrent toux et je ne pouvais pas lui cacher plus longuement que même si je tentais de le masquer j'étais à bout. Même dans cette position de faiblesse je ne pouvais m'empêcher d'essayer d'apparaître à mon avantage. Autrement que le pauvre gars aux joues creusé et famélique qui se tue au travail afin d'avoir de quoi nourrir sa famille. Je n'étais pas ce gars, même si les marques de la faiblesse avaient inscrite leur infâmes traits à coup de douleur qui blesse. Je ne voulais pas être ce gars plié en deux qu'on prend en pitié. C'est pourquoi je répondis sans fierté aucune, m'attelant à arracher la croûte de mon pain histoire de manger pour lui prouver que tout allait bien. Sa répartie habituelle m'arracha un léger sourire alors que la nourriture que j'ingurgitais avait du mal à passé. « C'est une bonne idée Bô ! Je devrai en demander une au maire et comme ça je pourrai l'exhiber fièrement. » Je n'avais pas fait un acte de charité, je n'avais pas non plus risqué ma vie pour en sauver un autre. Il s'était juste accroché à moi, me broyant presque l'épaule espérant que moi je aurais remonté, que c'était sur le bon cheval qu'il avait misé. Mes yeux survolant brièvement la foule, j'aperçu le père de ma meilleure amie entouré de mineurs qui toussaient gravement, recrachant presque leur poumons. Il s'agissait de vieux mineur en sale état et que la fumé avait encore traîné encore plus bas. Ne m'attardant pas sur eux, je préférais regarder à nouveau Bô pour m'arracher à ce spectacle pourtant si récurrent. Lui parlant de son père sa réponse ne me heurta pas, c'était bien son genre de s'inquiéter pour moi et de refuser que j'en fasse autant pour elle. J'aurai plus me plaindre, mais j'avais tellement besoin de m'asseoir que je préférais lancé une petite remarque en la regardant chercher de l'eau plutôt que de me batailler. « Tout de suite maman ! »

Quant Bô revint ce ne fût pas avec de bonne nouvelle, elle me tendit la gourde pleine les larmes aux yeux. Comme on pouvait s'y attendre, à tout les coups l'un ou l'autre y avait laissé sa peau. Entendant le nom d'une connaissance qui malgré sa pauvreté avait toujours été aimable et prévenant, je ne pu m'empêcher de lâcher un juron tout en abattant mollement mon poings dans le sol. J'aurai pu m'énerver, me plaindre de ce que le Capitole nous faisait faire, du nombre de morts qui sortaient des mines, mais ça ne servait à rien. Je préférais utilisé mon énergie, une fois que je l'aurai recouvré, afin de supporter la famille. Quand on a rien, il devient naturel de soutenir ceux qui sont comme vous et même si je pouvais pas faire grand chose, je voulais quand même apporté mon soutien, j'étais certain que mon père en pensait autant. Je manquais de m'étouffer en buvant l'eau que mon amie m'avait apporté lorsque celle-ci me parla des projets que sa mère avait pour elle pour le dimanche qui venait. Bien sur, d'habitude, le dimanche était notre jour réservé. Je tachais de ramener de quoi manger à ma famille et la belle me suivait. Cela faisait pas mal de temps que nous marchions ainsi, c'est pourquoi j'étais persuadé que ce dimanche-ci allait me paraître étrange. Posant la gourde devant moi, je levais les yeux vers elle lui répondant : « Comme si c'était mon genre de rire de ça enfin... Princesse aux doigts de fée, je t'imagine très bien en atelier couture tout de même. » La voyant détourné les yeux quelques instants, je me forçais à avaler ce qui restait du pain, sachant que c'était un des rares aliments que je pouvais avoir en plus des maigres repas qu'on se partageait à la maison. Lorsqu'elle reporta son regard sur moi, je tapotais le carré d'herbe à côté de moi afin de l'inviter à s'assoir. Je devais bien avouer que je me sentais diminuer dans cette position. « Ca fait longtemps que je les ai tous perdu Bô ! N'est-ce pas toi qui en aurait perdu un ou deux plutôt ? » Rire dans ce genre de situation devenait presque vital. Un moyen de lutter contre la mort qui était bien trop présente et à tout les coups brutale.

T'inquiète =) Tant que tu me fais pas 2000 mots, je pense pouvoir suivre xD
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