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| Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 15:11 | |
| Naya Siska Ducani-Hayne❝ WHAT'S "GOD"? - WELL, YOU KNOW, WHEN YOU WANT SOMETHING REALLY BAD AND YOU CLOSE YOUR EYES AND YOU WISH FOR IT? GOD'S THE GUY THAT IGNORES YOU.❞
Les tourbillons du vent ne l'ébouriffent pas, la complainte de la terre ne l'émeu pas ; elle se terre, elle reste, immobile statue de marbre, le visage levé vers les astres. Les galaxies tournoient lentement, dans le fond de ses prunelles couleur océan, comme autant de myriades, comme autant de parures d'or ; rien n'est plus beau, rien n'est plus irréel. Elle est réelle. Et lorsque, brusquement, dans une bourrasque de plumes imaginaires et de soies tourbillonnantes, elle vrille ses yeux dans les vôtres, c'est la défaillance. Elle vous foudroie sur place, son regard azuré empreint d'une impétuosité empruntée, volée, à ces êtres libres, dont l'esprit, le cœur et l'âme, sont indissociables, et dont le seul besoin est de s'envoler. Mais elle ne vole pas ; ses ailes, aussi belles fussent-elles, lui furent arrachées ; d'ange ou de démon, la distinction est devenue floue. ❝ Siska ❞ murmure le vent. Elle lève la tête, l'appel résonnant dans son esprit. Siska sourit. Le nacre de son visage contraste avec le rouge de ses joues, et le bleu de ses yeux. Svelte silhouette, femme faite, elle a l'allure féline, l'allure d'une tigresse aux aguets. Elle avance, souple, la démarche avenante ; les yeux s'arrêtent sur elle, et elle rit. Un passant s'arrête, perdu dans la contemplation de la créature, et marmonne des mots charmeurs. Elle répond, sourires absolus, séductrice invétérée. L'extérieur sourit, l'intérieur grommèle. Parfaite actrice, née pour jouer un rôle une vie entière, Siska vous fera croire n'importe quoi. Que les éléphant soient bleus, qu'ils aient des ailes, et, pendus à ses lèvres, vous buvez ses douces paroles. Le pouvoir des mots est sien. Maître des espions, menteuse à profusion, escroc professionnelle, autant de couleurs peuplent son corps, autant de kyrielles qui vous font perdre la tête. Et lorsqu'enfin, vous croyez la saisir, elle se glisse hors de votre portée, disparaissant avec la brume du matin, vous laissant sur le palais la saveur de ses baisers. Les rebelles ont foi, les rebelles ont raison de lui accorder une telle confiance ; elle est digne d'eux, elle est digne de leurs secrets abyssaux. Le district deux grondera bientôt ; l'instigatrice répandra sur ses lèvres un sourire triomphal. La demoiselle est adjointe au maire du district deux. Elle est haut-placée, la donzelle, bien vue de tous. Autant de stupides ignorants que de pions sur son échiquier de marbre. Si son nom même l'annonce comme une stupide femme aimante et dévouée à son mari ... apparences, apprenez donc à voir au-delà. L'actrice entre en scène, le reste importe peu, et ce, depuis vingt-sept ans.
about games and relative.
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? Le pistolet collé sur sa tempe ne l’empêche pas de vriller son regard incandescent dans ceux du pacificateur. Défiant l’homme d’appuyer sur la détente, lui faisant face avec un sang-froid absolument terrifiant. Siska n’abandonne pas ; l’homme recule un instant, hésitant. C’est son assistant qui s’avance, là, dans sous les étoiles du district deux. Son assistant, qui, un sourire aux lèvres, appuie sur la détente. Mais il n’a pas pu l’empêcher de sourire. Et ce damné sourire sur le visage sans vie de Siska, suivra ces hommes dans leur lente descente aux Enfers. Si Siska meurt, la rébellion ne restera pas silencieuse. Ils lui doivent au moins ça, et la garce, elle le sait. Découverte ou non, elle refuse de laisser son orgueil en prendre un coup, quitte à ce que ça la jette dans les bras de la Faucheuse. Elle ne cesse pas le combat.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Elle détourne le regard. Ses prunelles sont fixées sur la fenêtre, et sur les rayons du soleil filtrés par la vitre. Elle tend une main, et les rayons caressent sa peau de porcelaine. Elle bouge les doigts, a un bref sourire. Vous n’obtiendrez d’elle rien de plus. Siska est capable de mourir pour le soleil ; non pas ce soleil, là, que vous voyez briller chaque jour. Mais, ce soleil, que l’on perçoit dans les yeux d’un gamin heureux, dans le sourire d’un proche, dans la chaleur d’une étreinte, pour ce soleil de paix. Elle donnerait sa vie pour la fin des Hunger Games volontiers ; pour tous ces gosses jetés en pâture dans une arène.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Elle reste silencieuse, obstinément. Siska est quelqu’un qui n’aime pas les interrogatoires. Parler d’elle, elle ne sait pas faire. Mentir, elle sait. Dire la vérité, non. Là est peut être son plus grand défaut comme sa plus grande force. Pas un mot qui ne sort de sa bouche n’est totalement vrai, pas un son n’est totalement faux. Dissocier le vrai du faux est si tortueux, si indissociable, qu’elle peut faire passer un mensonge pour une vérité, ou une vérité pour un mensonge, et n’importe qui gobera ça. Elle est douée avec les mots ; la lecture, en passant, y aussi pour beaucoup. Sa bibliothèque recèles milles secrets enfouis, véritable rat de bibliothèque, elle écume vents et monts sur des pages blanches. Et elle tire de ses lectures, de ces personnages, ces mensonges, ses propres images d’actrice perfectionniste. Et c’est ce qui fait de Siska une espionne redoutablement efficace. Elle est passe-partout, s’adapte à tout.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Rares sont ceux qui, de leur entourage, de leur famille, n'ont perdu aucun membre. Si la famille de Naya a jamais pu rester indemne, c'est avant tout, et surtout parce que lesdits parents étaient friqués, et que des gosses de riche dans l'arène, ça aurait fait tâche. Aussi n'a-t-elle perdu aucun frère, aucune sœur dans la sanglante balance. Fatalement, cependant, il y avait ceux avec qui elle trainait les rues ; ceux-là n'ont pas échappé au joug du tyran, ceux là n'ont pas eu sa chance. Ainsi vit-elle, de sa place, leurs noms tirés, leurs tronches de gamins apeurés pour certains, pour d'autre, la soif de sang vivace coulant déjà dans leurs yeux fiévreux. A chaque fois, ce fut le déchirement. Famille ou pas, les liens du coeur, ont, aussi, leur importance.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSRAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Elle lève les yeux, furtif mouvement qu’indiciblement, lui fait remonter la tête. Fatalement, poser une telle question lui est si stupide, que jamais elle ne vous répondra. Que dis-je, bien sûr qu'elle vous répondra. Seulement, ce ne seront pas là ses mots, ce ne seront pas là ses pensées. Elle vous dira ce que vous voudrez entendre, rien de plus. Jamais vous ne connaîtrez ses vraies pensées, car jamais elle ne les partage. Quant vous croyez qu'elle dit la vérité, ce n'est qu'un infâme mensonge, là, et quand elle dit la vérité, elle ne le fait passer que pour un mensonge. Elle n'est elle-même qu'au contact des rebelles, qu'à leur contact, elle cesse d'être une actrice, pour devenir, la femme effrontée, impulsive. Le Capitole doit tomber, et nombreux sont ceux qui perdront leurs ailes.
JE VIENS D'UN MILIEU favorisé, AINSI, POUR MOI, LA NOURRITURE est abondante.. DU COUP, MON NOM A aucune chance d'être tiré au sort . J'EXERCE LE MÉTIER DE adjoint au maire, et espionne pour les rebelles. ET POUR TOUT VOUS DIRE, J'aime.. JE SUIS DANS LE 2ÈME DISTRICT. AYANT 27 ans JE ne peux plus PARTICIPER AUX HUNGER GAMES ET j'appréhende. ENFIN, J'ATTESTE QU'EN CRÉANT CE PERSONNAGE, J'ACCEPTE DE LE LIVRER À LA BARBARIE DES JEUX S'IL EST TIRÉ AU SORT.
reality is here.
Bonjour, mon prénom est laurine. on me connait sur le net sous le pseudo de middle ages. j'ai 20 ansl. J'ai trouvé le forum sur bazzart, il est splendide. c'tout ce que j'ai à dire, beh, oui, j'ai une fiche à faire, alors hop!
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Dernière édition par N. Siska Ducani-Hayne le Jeu 10 Mai - 19:38, édité 17 fois |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 15:11 | |
| tell us your story. REBELLION ; N.f.→ action de se rebeller, de résister → ensemble de ceux qui se révoltent ACTRICE ; N.f.→ personne auteur d'une action → femme jouant dans une pièce de théâtre ou un film - là, c’est notre cachette. - personne viendra nous embêter ! - on se cachera ici, ouais !
Les éclats de voix retentirent aux oreilles de Siska. Gamine éperdue de curiosité, vivace aventureuse, la blondinette a su profiter de moments d’inattention de ses parents pour se faufiler hors de la maison, et rejoindre ce que les adultes appellent « les bas quartiers ». Pour elle, ce lieu renfermait tant de secrets, tant de mystères inavoués, qu’il l’attirait irrémédiablement. Du haut de sa grande fenêtre, elle avait vu les gamins débouler jusque sous les murs du jardin. Elle n’avait guère eu à faire grand-chose pour échapper à ses parents, occupés comme ils l’étaient avec sa sœur et son frère aînés. Et voilà, que gaussée dans des vêtements de ville, elle déambule dans les rues désertiques des bas quartiers. Les voix des gamins n’ont pas été difficiles à repérer, et c’est à couvert qu’elle les observe. A la mention de leur « cachette secrète » elle esquisse un sourire. Furtive comme l’ombre, elle se glisse hors de sa cachette, et s’avance vers les gamins des rues. « votre cachette est bien facile à trouver » les tance-t-elle, tandis, que, aussi sa voix claironnante dans l’arène, aussitôt se vrillent leurs regards sur sa silhouette menue. Leurs voix fusent. « t’es qui, toi ? » le ton est loin d’être amical, elle fronce les sourcils. « ce que je suis n’importe pas. » sourire furtif, elle hausse les épaules. « une enfant, comme vous. » le plus grand s’avance, rictus sur des lèvres trop enfantines, expression trop adulte pour lui. « on n’est pas des gosses. Aucun de nous ne l’est plus. » Siska croise les bras, septique. « mais, vous faites la même taille que moi. » proteste-t-elle avec la véhémence, qui fait d’elle, encore aujourd’hui, une personne tenace. Il éclate de rire. Froncement de sourcils, à nouveau. « quoi ? » Il s’approche, la toise de toute sa hauteur, bien qu’il ne soit guère plus haut qu’elle-même. « t’es trop pure. » lui balance-t-il à la gueule, la plantant là, et tous, de disparaître. Sa colère, alors, flambe, d’avoir ainsi été traitée. Elle fait volte-face ; il n’y a plus personne. Le soleil tire sa révérence, le ciel cède face aux nuages, l’orage gronde doucement, menaçant sourdement les environs. Et Naya, de tourner dans les rues, comme un tigre en cage, la colère dans le creux de ses entrailles. Là, le gamin réapparaît soudainement. Vive, en meilleure santé que lui, il ne lui faut guère que quelques courses pour le rattraper. Il sue, souffle comme un bœuf, et sa maigreur, alors, la frappe. Ses traits tirés, sa chevelure hirsute, ses bras chétifs, presque aussi peu épais que ses chevilles à elle. Elle lâche sa frusque, horrifiée. Il s’enfuit, la plantant au beau milieu du marché. Et elle de s’indigner, partout ou que se pose son joli regard bleu, de voir la pâleur de leurs visages, le décharnement de leurs corps, la pauvreté de leurs habits. Pétrifiée sur place, elle reste là, hébétée, à les regarder passer. Loin de son monde, elle semble avoir atterrit dans un autre. Un homme lui touche le bras, délicatement. « tu est perdue, petite ? » Elle lève les yeux, croise le regard de l’inconnu, et détale sans demander son reste. Là, dans le ciel, l’orage éclate. Doucement, la pluie tombe, fines gouttelettes d’argent sur désert d’ombres. La pluie se transforme en averse, et Siska, qui coure, rejoins le domaine familial. Elle arrive barbouillée de pluie, les cheveux collés sur son visage, les bas plein de boue. Sa mère se montre au mauvais moment, pousse un cri d’indignation, et envoie sa fille à la douche illico, maudissant son aventure.
Le téléphone sonne. Elle décroche, jette furtivement un œil dans la baraque ; il n’est pas là. « Siska, à l’appareil. » elle fronce les sourcils, se frotte le dessus de la tempe avec sa main droite, soucieuse. L’ordre émane, elle acquiesce, et raccroche. L’échange n’a guère duré plus de quelques secondes. Le téléphone glissé dans la poche arrière de son jean, Naya Ducani-Hayne reprend la cuisson des tomates laissées un instant en suspens. Parfaite femme au foyer, employée modèle, Naya est le modèle parfait, pour beaucoup de gens. Marié à Envy Ducani-Hayne, pacificateur ambitieux, adjointe au maire du district deux, elle est la candeur même, l’innocence à l’état de femme. Du moins est-ce ce que leurs yeux voient. Les tomates finissent dans la poubelle, trop cuites. Naya est une rebelle. Le coup de fil était un ordre de mission. Elle abandonne là poêles et ustensiles de cuisine. Un bref coup d’œil sur l’heure lui indique qu’elle a tout le temps nécessaire ; les jeudis soirs, Envy rentre tard. Elle saisit son sac, ferme la porte, et disparaît dans le crépuscule grandissant. Le district deux se teinte de couleurs chaudes, tandis que le soleil s’abaisse sur l’horizon morcelé et montagneux. Dans la pénombre, elle n’a aucun mal à se mouvoir, à passer inaperçue. Depuis longtemps, Naya sait comment. Elle marche ainsi, la démarche souple, tête haute, ne se donnant pas la peine de masquer un visage que tous connaissent, mais dont peu, ce soir-là, se souviendront. Elle sait ou elle va, de fait, on prête moins attention à une personne déterminée qu’à une personne perdue. Le rendez-vous l’emmène bien à l’écart, et là, dans les recoins pommé du district deux, se retrouve la fine fleur de la résistance anti-capitolienne. Espionne à leur solde, elle fourmille de choses à leur dévoiler, comme l’annonce des prochains jeux. Dans chaque visage qu’elle parcourt, elle voit le reflet de son propre combat. La réunion se termine, le soleil est déjà couché depuis longtemps. La porte de la maison est ouverte, les lumières allumées. Elle jure. Néanmoins, elle ne se presse pas ; il suffit de courir pour ameuter tous les soupçons sur elle ; ça, c’est impensable. Elle n’est utile aux rebelles que pour ce poste qu’elle occupe. Elle entre, ferme la porte. Siska se débarrasse de son sac. « le diner n’est pas prêt ? » Elle sourit, la mine désolée. « Navrée, Envy, j’ai été retenue.. » elle ne précise pas ou, ni comment. Laissons donc le chemin se faire dans la tête de son mari, le laisser s’imaginer des choses… bien autres que de mener une rébellion, évidemment. « mais je vais réparer ça aussitôt. » sa mine craquante fait fondre n’importe qui, et, n’obtenant aucun contrordre, elle se dirige dans la cuisine, jette sur le feu une casserole, y fait bouillir de l’eau.
Dernière édition par N. Siska Ducani-Hayne le Jeu 10 Mai - 20:47, édité 5 fois |
| | | Alexiane R. Hawthorne △ correspondances : 11154 △ points : 75 △ multicomptes : hunter, pepper-swann (leevy, ivory) △ à Panem depuis le : 08/05/2011 △ humeur : indifférente △ âge du personnage : vingt-deux ans △ occupation : mentor
| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 15:40 | |
| Re Bonne chance pour cette nouvelle fiche |
| | | Silver I. Flickerman △ correspondances : 929 △ points : 0 △ multicomptes : ◭ kathleen & asha △ à Panem depuis le : 27/02/2012 △ humeur : ◭ grumpy △ âge du personnage : ◭ trente trois ans △ occupation : ◭ haute-juge
| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 16:31 | |
| rebienvenue bon courage pour ton nouveau personnage |
| | | Miléna E. Andréis-Wheeler △ correspondances : 5888 △ points : 1 △ multicomptes : (l. c. meery) △ à Panem depuis le : 04/09/2011 △ humeur : cruellement arrachée à sa famille △ âge du personnage : vingt sept ans pour toujours
| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 16:31 | |
| Bienvenue parmi nous |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 16:42 | |
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| | | Thybalt M. Homens △ correspondances : 8988 △ points : 29 △ multicomptes : raven, gwendal, eurydice (denahi) △ à Panem depuis le : 22/12/2011 △ humeur : désabusé △ âge du personnage : trente quatre ans △ occupation : médecin de campagne ~ bras droit du chef des rebelles
| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 16:43 | |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 17:36 | |
| Re-bienvenuuue & bon courage ! |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 18:07 | |
| rebienvenue |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 21:39 | |
| meeercii. oui, mais, Thybalt, elle est pas née Ducani-Haynes. Donc, elle est pas vraiment de cette famille de tordus. |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Lun 7 Mai - 23:26 | |
| Re bonhomme ! |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Mar 8 Mai - 5:20 | |
| Rebienvenue |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Mar 8 Mai - 8:37 | |
| Siska, ça tue comme prénom Rebienvenue alors et bonne chance pour ta fiche |
| | | Adonis Nightsprings △ correspondances : 2406 △ points : 12 △ multicomptes : Robin D. Bates / F. J. Kennedy △ à Panem depuis le : 01/04/2012 △ humeur : Blasé. △ âge du personnage : 35 ans △ occupation : [i]Chef[/i] Pacificateur du D08
| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Mar 8 Mai - 14:00 | |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. Mar 8 Mai - 14:54 | |
| Ouais, elle fait pas partie de notre famille elle èé Pis on est juste une cinquantaine techniquement parlant, mais vous inquiétez pas, d'autres VRAI Ducani-Hayne vont bientôt arriver (a) DUCANI-HAYNE LIKE A BOSS Je ne te dis pas bienvenue, je ne te dis pas bonne chance pour ta fiche , et tout ça, je ne le dis pas avec amour Haa j'ai hâte d'être invité à diner chez mon cher jumeau un soir... Juste pour pouvoir dire que ta cuisine est pas bonne et pouvoir te critiquer pendant que tu vas chercher le café (la gentille en moi te dit quand même vraiment bienvenue et hâte que tu sois validé **) |
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| Sujet: Re: Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. | |
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| | | | Une, valse, à, sept, temps, c'est, un, peu, bancal. Sûrement, pas, l'idéal. | |
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