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Sujet: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Ven 29 Nov - 22:41
I'm friend with a monster Kalixte & Drake
Ce matin, réveil, comme tous les matins. Pourri. Au Capitole, il aurait pu se lever deux voir dix heures plus tard. Il aurait pu faire la fête hier soir jusqu'au coma éthylique et encore accepter des stupides paris qui l'ont amenés ici. Fichus gars. Fichue alcool. Fichue soirée. En y repensant il aurait pas dû y aller. Pour une fois, il aurait pas du aller se bourrer la gueule. Il aurait dû lire une encyclopédie ou n'importe quoi d'autre, mais pas se lever de son fauteuil en cuir pour aller boire trop de vodka. Ou alors, il aurait pu y aller, mais aller dans une autre boîte. Une où ils n'étaient pas. En fin de compte, c'est à cause d'eux que qu'il est ici. Tout est de leur faute. Si il va finir par crever ici, ça sera de leur faute. Si il tombe sur un rebelle trop rebelle qui décide de lui ôter la vie avec un couteau, par surprise, ça sera de leur faute. Si le Capitole lui a fermé ses portes, c'est leur faute. Sa vie est un bordel, par leur faute. Il les déteste. Comme il déteste la plupart des personnes qu'il rencontre, apparemment, c'est réciproque. Normal. Bref, cette journée était banale, une banale et ennuyeuse journée parmi les autres Pacificateurs. Il fallait qu'il ajoute quelque chose. Cette chose allait être une femme ce soir. Kalixte.
« Je rentrai plutôt tôt pour mon train de vie. Environ vingt-trois heures. Je me fis un rapide café que j'engloutis, presque brûlant, sans sucre. Ce goût amer me dérangeait la gorge mais devoir touiller son sucre comme une grand-mère me dérangeait plus. Les connards comme moi ne touille pas leur café, bon, ils s'éclatent la tasse contre la tête aussi... Bref, j'avais passé une journée ennuyeuse à mourir, ce qui rentrait parfaitement dans les risques du métier. Je risquai à chaque instant de croiser un rebelle, voir une bande de sauvages rebelles qui croient qu'ils peuvent vaincre le Capitole avec leur petits couteaux. C'était misérable. L'espoir faisait vivre, mais rendait aussi naïfs. Presque stupides. Comment voulaient-ils renverser un pouvoir pareil ? Ils avaient déjà perdus une première fois, pourquoi retenter ? Je ne les comprendrais pas. Il me fallait une distraction ce soir. Un film ? Non je risquai de m'endormir avant trois heures du matin. Aller en soirée ? Sûrement, mais avec qui ? Pourquoi ? Non. Une fille ? Cette idée me tentait plus... Laquelle à présent ? Tiens, cela faisait longtemps que je n'avais pas vu Kalixte. Cette jeune brune, trop belle, trop sage. Pourtant il y a un caractère sous cette gueule d'ange. Un vrai. Non, ce n'est en aucun cas de l'admiration ou quoique ça soit de positif ! Ça jamais, pour quelqu'un d'autre que moi.
Bref, après avoir mis cette tasse non éclatée contre ma boîte crânienne, au lave-vaisselle, je décide de m'habiller à peu près correctement et de retirer ce fichu déguisement de Pacificateur. Alors après une douche chaude, entouré d'une serviette blanche, nouée autour de la taille, je vais fouiller dans mon armoire. J'en ressors donc avec un t-shirt parfaitement noir, un peu moulant, une veste en cuir noir, un jean déchiré et des bottes, oui, comme celles des motards. Un rapide coup d'œil au miroir dans ma chambre, je change de tenue. Une veste en jean, un t-shirt blanc, un jean noir déchiré, et toujours ces baskets rouges. Bon, on fera avec. Je prend les clés de la maison et file vers celle de la petite brune.
Après quelques minutes de marche, pas plus de dix, j'arrive enfin devant la fenêtre éclairée de sa chambre. Il y a évidemment un arbre devant, comme dans tout bon film romantique. Sauf qu'ici, ce n'est pas romantique, loin, à des milliers d'années-lumières de ça. Je retire ma veste et la dépose sur une branche, et commence à escalader ce qui ressemble à un cerisier. Après quelques acrobaties, j'arrive enfin à me faufiler à travers sa fenêtre ouverte. Elle n'aurait pas du la laisser comme ça. J'aurais du passer par la porte d'entrée, et donc sûrement me présenter à ses parents. Et qui étais-je à part son kidnappeur à temps partiel ?
- Salut poupée, dis-je de ma voix charmeuse et qu'elle détestait à mon souvenir. »
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Dernière édition par Drake M. Lewis le Dim 1 Déc - 0:48, édité 1 fois
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Dim 1 Déc - 0:26
Dralixte ❥ La véritable indépendance consiste à dépendre de qui on veut.
« Encore un effort Kalixte ! » Je ne savais pas si j’en étais capable de ce foutu effort. J’étais lessivée et je n’aspirais qu’à une chose, laisser mes muscles se décontracter et me laisser choir au sol. « Tu baisses ta garde jeune fille. » Je maugréai contre la femme qui m’entraînait. Je ne connaissais même pas son prénom et rien de sa vie. Mais elle m’aidait et c’était le principal. « C’est bon, tu peux relâcher. » C’est avec un immense soupir que je sentis enfin l’herbe sous mon corps meurtri. Si la nuit n’était pas prête à tomber, je me serais déjà laissée emporter dans les bras de Morphée sans opposer aucune résistance. Cependant, il fallait que je rentre. Peut-être que mes parents se trouveraient à la maison lorsque j’arriverais ? C’est avec ce fol espoir que je me redressai et commençai à courir vers la maison malgré mon épuisement. « Merci beaucoup ! » Criais-je par-dessus mon épaule. Cette femme - qui m’avait dit les choses à faire lorsqu’elle m’avait aperçue seule en train de m’entraîner – m’avait-elle entendue ? Je n’en savais rien et je ne comptais pas me retourner pour le savoir. J’avançai en petites foulées dans les ruelles du District, laissant mon cerveau se mettre en stand-by. Du moment qu’il arrivait à contrôler mes jambes, ça m’allait très bien. Pour ma part, je profitai de l’arrivée du vent de soirée pour me rafraîchir et offrir à ma peau échauffée une nouvelle renaissance. L’élément lui fit un bien fou et je pus, de surcroît, amener mes poumons à se remplir à nouveau sans qu’ils aient besoin de me brûler la gorge au passage à cause de l’effort accompli. C’est fou comme les gens, dans les Districts des carrières, s’inquiétaient de savoir si l’on était bien entraîné ou pas quitte à nous provoquer des pertes de conscience. Gagner aux Hunger Games leur permettait, à eux, d’avoir encore plus de reconnaissance du Capitole ce qui n’était pas négligeable. Parfois, je trouvais cela totalement débile. Nous ne sommes que des pions pour le Gouvernement qui nous fait avancer sur l’échiquier comme il le sent. Je levais rapidement les yeux au ciel pour chasser ces pensées et quelques gouttes me ramenèrent alors rapidement à la réalité. Si je ne me dépêchais pas, j’étais bonne pour une belle saucée. Mais la pluie semblait n’en faire qu’à sa tête et bientôt, je me retrouvais trempée de la tête au pied. J’accélérai le pas, faisant encore plus souffrir mes pauvres muscles. La maison se profilait bientôt dans mon champ de vision. Trois mètres. Je pouvais apercevoir les fleurs accrochées au-dessus de la porte. Deux mètres. Les rideaux aux fenêtres. Un mètre. La couleur du paillasson. Arrivée ! J’entrais en trombe dans ma demeure, me précipitant à l’étage et laissant tomber mes vêtements pour me laisser aller sous l’eau de la douche. Son jet brûlant me couvrit vite la peau d’un joli rouge tandis que la salle de bain se remplissait d’une buée. Un sauna maison ? Venez chez les Emerson !
Biens des minutes plus tard, je me retrouvais en sous-vêtements dans ma chambre, prête à me glisser sous mes draps douillets. Mais avant ça, je fis un détour par mon miroir et ne pus que sourire devant mon corps qui redevenait lisse. Au revoir les vilaines entailles et autre joyeusetés de ce genre laissées par le vil Pacificateur. Cela faisait d’ailleurs pas mal de temps que je ne l’avais pas vu rôder dans le coin. « Salut poupée » Quand on parle du loup … Je reconnu sa voix sans même avoir à me retourner. Je fixais mon regard sur lui à travers le miroir. Ses yeux d’un bleu électrisant me happèrent et mon corps se sentit secoué par un léger frisson. Je déglutis rapidement puis lui fit enfin face. Je ne m’inquiétai pas de ma tenue. A quoi bon ? « Drake … » Avançais-je d’une voix neutre en approchant doucement de sa personne. « Que me vaut la joie de te voir chez moi ? » Je croisai les bras sur ma poitrine et notai mentalement d’interdire à ma mère d’aérer ma chambre avant de partir travailler.
Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Dim 1 Déc - 16:04
Drake M. Lewis a écrit:
I'm friend with a monster Kalixte & Drake
Une poupée, voilà ce que Kalixte était. Et puis Drake était un peu le frère d'une petite fille qui sectionnait la tête de chacune des Barbies de sa sœur. Sauf qu'ici, il ne lui coupait pas la tête, mais marquait son corps doux et gracieux de vilaines blessures, comme des entailles plus ou moins profondes ou encore comme des énormes bleus. Pourquoi il faisait ça ? Personne ne le saurait. La plupart des personnes méchantes comme lui, avaient eus une enfance difficile ou un fait marquant. Lui, le seul fait marquant de son enfance fut celui de ne pas avoir reçu un cadeau de plus à son anniversaire que l'année précédente. Rien de bien traumatisant. M'enfin, la jeune brune reconnut tout de suite sa voix, et un frisson lui parcourut l'échine, elle déglutit silencieusement et retourna son corps habillé de simples sous-vêtements vers lui.
« Elle s'approcha de moi, presque nue. J'avouerais que mon esprit de mâle ne pouvait qu'être satisfait d'avoir une fille aussi jolie si près de moi. Kalixte demanda ensuite ce qui lui valait ce « plaisir ». Je ris cyniquement. Je fis un pas en avant, de sorte que nos deux corps se frôlent. Bon, avant de l'emmener chez moi, j'allais être gentil. Elle croirait presque que j'avais changé, et que je m'étais fais une bonne opinion d'elle et que donc je ne la torturais plus et que ce soir, je voulais juste « tirer un coup ». Pour cela, je commençai par poser mes mains sur ses hanches, il fallait que je vois si les blessures que je lui avais infligé étaient toujours là. Je les fis donc descendre sur les hauts de ses cuisses, puis sur ses fesses pour remonter sur son dos, tout cela toujours en plongeant mon regard dans le sien, ensuite mes doigts vinrent toucher son ventre , en remontant sur ses côtes j'effleurai ses épaules. Je finis par la partie que je préférais chez elle … sa poitrine, mais cette fois-ci je ne regardais plus ses yeux, mais bel et bien cette fameuse partie. Je caressai la zone qui n'était pas caché par son soutien gorge puis en posant une main près des agrafes, je lui dis :
- Je peux ? en marquant une pause qui ne lui laissait pas le temps de répondre. Merci.
Alors d'une seule fois, je détachai les attaches de ce qui soutenait ses seins. Une partie de mon avant-bras soutenait le sous-vêtement, ma main sur un de ses « nénés » et de l'autre main, je lui retirai les bretelles de ses bras. En faisant en sorte que le vêtement ne tombe pas, je glissai mes doigts sous ses armatures et ramenais enfin vers moi ce qu'elle portait un peu plus tôt. Je fis voler le soutien-gorge dans la pièce et j'exerçai une légère pression sur ses épaules pour lui faire comprendre de ne pas bouger. Je partis fermer la porte à clé en demandant :
- J'espère que tes parents ne sont pas là, de toute façon, ils ne rentreront pas.
Ensuite, en devenant un peu plus violent, je la pris contre moi, ses jambes autour de mes hanches et avec vitesse, je la plaquai au mur. En espérant qu'elle ait mal. Mes mains sur ses fesses, je la soulevai un peu, de sorte que ses épaules soient un peu au dessus de mes yeux. Je regardai ensuite sa poitrine en disant :
- Les marques sont presque parties chérie.
Ensuite, j'embrassais son cou, lui mordait, je faisais pareil sur ses seins. Ensuite, je la posai violemment sur le lit et recommençais. Quand je relevai la tête, on voyait autour du mamelon, quelques marques de dents. Je ne l'avais pas encore mordu jusqu'au sang. Ensuite, plus doux, je me redressai, assis sur ses cuisses, admirant son corps, je lui dis :
- Pour répondre à ta question : écoutes, j'ai passé une journée de merde, alors ton plaisir on s'en fout. Par contre, je suis venu pour m'occuper du mien. Tu en a eu un avant goût, là, dis-je en sautant du lit. Alors maintenant, tu te rhabilles, je t'emmène chez moi, puis quand elle fut debout, je m'approchais d'elle en disant : T'as plutôt intérêt à me faire du bien, si tu vois ce que je veux dire, sinon, ça n'ira pas très bien pour toi. Les marques qui ont disparues, feront places à des nouvelles. » Quel connard il était. Et elle, elle était obligé de l'écouté, de le suivre, et de lui « faire du bien » si elle voulait garder son corps un peu respectable. Bien sûr, il ne fallait pas qu'elle s'attende à retrouver son corps intact, on parlait de Drake Lewis là !
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Dim 1 Déc - 17:14
Dralixte ❥ La véritable indépendance consiste à dépendre de qui on veut.
Je le regardai sans trop savoir quoi faire. C’était la première fois que je le voyais chez moi, dans ma chambre, dans mon lieu secret. Je jetai un coup d’œil à la guitare posée contre le mur à côté. Est-ce que je pourrais l’assommer avec ? Même si ça me faisait mal au cœur de devoir casser mon instrument préféré, je ne voulais pas retomber dans ses bras. Je veux exister aux yeux de mes parents mais quitte à souffrir ? Je n’en sais rien. Quoi que je sois prête à tout et si les Jeux me choisissent, je pourrais toujours mourir heureuse. Si ça se trouve, leur mort serait plus agréable que celle que m’infligera Drake. Son corps frôlant le mien me tira de mes réflexions. Je sentis ma respiration s’accélérer. Pourquoi ? Je n’avais pas d’envies particulières avec lui, si ? Non, il était un vil Pacificateur et un sacré bourreau en plus. Ça ne pouvait pas être possible et pourtant … Ses mains se posèrent sur mes hanches et je me mordis légèrement la lèvre, savourant ses caresses. J’étais clouée au sol, ne pouvant rien faire pour bouger. Cet homme avait un don d’hypnotisation qui ne laissait aucun répit à la liberté que l’on aurait voulu s’octroyer. Je sentis ses doigts effleurer ma peau et je fermais brièvement les yeux sachant qu’il se délecterait de ce spectacle. J’étais devenue sa poupée, sa marionnette et ce besoin de domination ne pouvait que le rendre encore plus enclin à son masochisme. Je me tordis légèrement lorsqu’il effleura mon ventre, zone assez sensible de mon corps. Mais il ne s’arrêta pas là et, bientôt, je dus m’appuyer contre lui histoire de rester debout. Il ne m’avait jamais caressé de la sorte, n’avait jamais pris la peine de faire ce genre de gestes et pour une gamine comme moi, tout ceci était nouveau. « Je peux ? Merci. » Je ne pris même pas la peine de lui répondre. Déjà parce que je ne le pouvais pas – ma voix semblait s’être perdue en chemin – et qu’il ne m’en laissa pas le choix. Lorsque je me suis retrouvée à moitié nue devant lui, je sentis mes joues se colorer de rouge. J’avais chaud. Bien trop chaud pour garder mes pensées intactes. Je ressentais chaque pression, chaque geste et j’entendais le sang battre à mes oreilles. Je ne bougeai pas lorsqu’il s’éloigna de moi mais j’avais l’impression que la pièce se mettait à tourner ou que je me trouvais sur un navire. Je n’entendis pas ses paroles, je n’étais plus rien qu’une chose que je ne connaissais pas encore ; le désir. Mais le bestial se remontra vite sous son pire jour et me retrouvai plaquée au mur. L’air de mes poumons fut expulsé et je ne pus retenir un gémissement de douleur. Je sentais encore ce plaquage brut résonner dans tous mes os. « Les marques sont presque parties chérie. » Et il commença à s’acharner sur mon corps. Drake était de retour et je n’y pouvais rien. Je lui offris mon cou sans rien dire d’autre. Je devais reprendre le dessus avant de me faire bouffer. Mais il me jeta déjà sur le lit et recommençai ses morsures. J’en éprouvai un certain plaisir car, parfois, la douleur et le désir vont de pair. Ce n’était pas aussi blessant que les coups de fouet et les brûlures de cigarettes qu’il m’infligeait autrefois. Mais son regard fou me montrait bien qu’il n’en avait pas terminé. Je sentais déjà des picotements à l’endroit où il s’était acharné. Je pris une grande inspiration alors qu’il me déballait son programme. J’allais sacrément douiller. Je serais les draps entre mes poings pour ne pas laisser la peur me submerger. Quelques instants plus tard, j’étais debout devant lui. « Et si tu m’habillais à ta convenance ? » Lui demandais-je d’une voix rauque en m’approchant de lui. Je collai mon frêle corps au sien, musclé avant de glisser un doigt sur son cou et de lui faire tracer le contour de sa mâchoire. « Peut-être que je pourrais être tienne ce soir, qu’en dis-tu ? » Je devais m’échapper de ses griffes avant de dépérir sous ses coups. J’avais répondu à toutes ses questions et, avant qu’il ne prenne le temps de me répliquer, je me suis haussée sur la pointe des pieds pour souder mes lèvres aux siennes et partir dans un baiser passionné. Je frottai ma peau contre ses habits et laissai échapper quelques gémissements entièrement feints, quoi que … Petit à petit, je le fis reculer contre le mur et descendis mes mains sur son corps. J’embrasse son torse à travers son tee-shirt immaculé avant de descendre petit à petit. Ma main finit alors par saisir ce que je cherchais ; ma guitare. D’un seul coup, je m’empare d’elle à deux mains et me mets à frapper Drake de toutes mes forces. « Dégage abruti ! »
Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Dim 1 Déc - 18:15
I'm friend with a monster Kalixte & Drake
« Elle se laissait faire, semblant absorbée par chacun de mes gestes. Je voyais dans son regard, tout l'excitation qu'elle éprouvait. Elle fermait les yeux de temps en temps. Me laissant toucher, embrasser, mordre son corps nu. Elle était réellement magnifique, et c'était bien la seule qualité que je lui reconnaissais. C'était ma poupée préférée, de toutes les filles que j'avais côtoyé, elle était la plus belle, sûrement la plus intelligente aussi. Je n'avais pas eu l'occasion de testes ses capacités mentales. À quoi bon ? Je n'étais là que pour satisfaire mes fantasmes. Elle ne put retenir un gémissement de douleur, ce qui ne fit qu'accroitre mon appétit sexuel. J'étais un véritable sadique.
La jeune Kalixte rentra dans mon jeu. Elle me demanda de l'habiller à sa convenance et que je fasse d'elle mon objet de désir ce soir. Elle se frottait à moi, comme un chat. Elle était presque nue, seulement vêtue d'une petite culotte, noire. Ce contraste entre sa peau blanche et la noirceur de son sous-vêtement lui allait à merveille. Je ne pouvais plus rompre le contact entre elle et moi, son corps était si beau, si parfait, que je ne pouvais m'empêcher de l'embrasser, de la mordre, de la toucher. À un moment, je mis un genou à terre, embrassai son ventre, j'avais ressenti qu'elle s'était crispé il y a quelques instants quand j'avais caressé cette zone, je remontai, et embrassai chacun de ses seins dans des gestes doux qu'elle ne me connaissait pas et qui étaient totalement joués. Quand elle se mit sur la pointe des pieds, c'était pour m'embrasser, je ne m'attendais pas à ça. Mais j'y répondis quand même, en laissant mes mains au niveau de sa poitrine. Je devais être un fétichiste à ce niveau là... Je ne savais pourquoi, mais elle gémissait. Je caressai son dos et ses fesses et jouais avec l'élastique de son sous-vêtement, le faisant glisser de haut en bas. Quand elle embrassait mon buste, je répondis enfin :
- Si c'est moi qui t'habille, tu seras entièrement nue, comme un ver, dévêtue de cette petite culotte noire qui cache tes merveilleuses fesses, vois-tu ? Puis après une pause : Tu es déjà mienne, toi, ici dans cette chambre de petite fille. Et toi, que dirais-tu que je t'emmène ailleurs ? Champagne, fraises, chantilly, chocolat, lit de deux mètres sur deux, une baignoire, une douche, de l'épaisse moquette ça serait mieux …
Alors, sans que je m'y attende, je reçu un coup de guitare, qui m'assomma un peu, accompagné d'une insulte hurlée. Puis un deuxième coup, moins bien cadré celui-ci. Alors avant que Kalixte ne me donne le coup de grâce qui me ferait tomber à terre, je saisis ses poignets. À présent elle était les deux bras en l'air, les mains tenant fermement la guitare.
Qu'est ce que tu fais là ? T'essaies de te me tuer ? T'essaies de t'échapper ? Désolé ma belle ça marche pas comme ça. Tu retentes une seule fois quelque chose comme ça, et je te promets que les marques que tu as la dernière fois ne seront rien, dis-je d'un ton menaçant qui me paraissait étonnamment convaincant.
D'un geste ferme, je fis redescendre ses mains, puis je pris la guitare et toujours en tenant une de ses mains, je posai l'instrument un peu amoché par terre. Ensuite, me redressant en souriant, je la fis asseoir sur le lit et je me dirigeai vers l'armoire pour l'habiller.
- Putain mais dis moi, t'as pas un truc un peu sexy là dedans ? On dirait l'armoire de ma grand-mère ! dis-je après avoir un peu fouillé.
Ensuite, j'en ressortis un soutien-gorge noir en disant :
- Bon, ça fera l'affaire, touche à rien, c'est moi qui t'habille.
Puis je lui balançais sur le lit, une short et un gilet. Alors en revenant vers elle, je la mis debout et lui fis enfiler sa jupe. Elle était ma poupée, mon jouet. Ensuite, sans lui mettre son soutien-gorge, je lui mis son gilet.
- C'est mieux sans quelque chose qui cache ta poitrine n'est-ce-pas ? dis-je avant de partir d'un grand rire.
Je lui enlevai sa veste, et lui mit son sous-vêtement. Elle était prête. Ça caillait dehors. Alors, je jetais la veste dans l'armoire, ça s'était pour la guitare.
- Écoutes, je te le redis une dernière fois, tu retentes rien comme le coup de la guitare, je l'ai encore en travers de la gorge tu vois. Par contre, le truc avant la guitare, ça tu le fais quand tu veux, et puis, je te propose un truc, soyons des jouets mutuels. Tu joues avec moi, je joue avec toi. On s'éclate, on se fait l'amour, ça s'arrête là.
Je me dirigeai ensuite vers la porte en lui balançant des ballerines qui étaient près de la sortie. Et je l'attendis.
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Dim 1 Déc - 21:38
Dralixte ❥ La véritable indépendance consiste à dépendre de qui on veut.
Rentrer dans son jeu, c’est tout ce que je devais faire. Être câline, désirable à la limite de l’insupportable pour ses nerfs d’acier. Me frotter à lui, toujours plus, toujours plus fort. En plus, je n’étais pas contre tout cela car pour une fois, cela me permettait d’avoir le dessus sur ce Pacificateur imbu de sa personne. Ses caresses, ses baisers. Tout en lui me faisait perdre la tête. Est-ce que ça donnerait la même chose si je m’abandonnai à sa virilité ? Son baiser sur mon ventre me fit aspirer une grande goulée d’air. Mes jambes se dérobèrent légèrement et je dû me raccrocher à ses épaules pour ne pas tomber. Jouer la comédie était si dur quand le corps s’en mêlait … Je sentais mon souffle devenir saccadé à cause de ses caresses si habiles. Pour la première fois, je n’avais pas envie d’attendre pour passer à la casserole mais ma dignité était néanmoins en jeu. Et je savais qu’il ne serait pas capable de se montrer assez romantique pour ma première fois. Qu’il serait la brute qu’il a toujours été. C’est d’ailleurs pour ces différentes raisons que je me suis resaisie et que je l’ai tapé à coup de guitare. Voir son bois en piteux état me fit mal au cœur mais je voulais l’arrêter. Qu’il arrête de faire du mal. De me faire du mal. J’étais à deux doigts de le faire perdre conscience lorsqu’il me saisit les poignets. Sa force incroyable me fit faire la grimace. Demain, je serais bonne pour de jolis bleus. Ses paroles me firent froid dans le dos et je baissai la tête, mes bras seulement maintenus en l’air par sa poigne. Tout ce qui se passa après ne me fit aucun effet. J’avais raté ma tentative. J’étais une lâche. On meurt tous un jour et vu l’absence de mes parents et ma vie assez stupide, je m’en fichais d’en finir aujourd’hui ou dans les temps à venir. « Putain mais dis moi, t'as pas un truc un peu sexy là dedans ? On dirait l'armoire de ma grand-mère ! » Je le regardai, mes yeux lançant des éclairs. « Si t’es pas content, va sonner à la maison d’à côté. J’suis pas une pute, je viens pas du Capitole et je ne peux me permettre d’excentricités. Contrairement à toi, je dois m’entraîner pour survivre aux prochains Jeux. Alors les habits, c’est le cadet de mes soucis. » Je le toisai encore plus, serrant mes mains l’une contre l’autre. J’avais beau être à moitié nue, ce n’est pas pour autant que je devais baisser les bras. Je le vis s’approcher et mon ventre se noua. Il m’habilla consciencieusement, s’amusant à mes dépens. Un éclair de chagrin passa dans mes prunelles vertes tandis que la veste se retrouva dans mon armoire. Mini-jupe et soutien-gorge. Il était vraiment sérieux ? « … On s'éclate, on se fait l'amour, ça s'arrête là. » Seule la fin de sa phrase me parvint aux oreilles. Il pouvait dire ce qu’il voulait, je ne ferais rien avec lui-même si je dois en souffrir par la suite. De plus, j’avais une autre idée en tête pour lui échapper. Il me balança mes chaussures et je les enfilai docilement, un petit sourire en coin. « Je suis prête » Lui dis-je en lui emboitant le pas. Alors qu’il déverrouillai la porte et sortait dans le couloir, je m’empressai de courir jusqu’à ma fenêtre laissée ouverte et de me jeter sur l’arbre. Dieu semblait être avec moi puisque je réussis à agripper une branche et à retomber légèrement sur le sol. Cela faisait longtemps que je n’avais pas fugué de la sorte mais l’on ne perdait pas facilement ses vieilles habitudes. Je me mis alors à courir dans la rue, croisant les doigts pour avoir assez d’avance sur lui le temps qu’il atteigne la porte d’entrée.
Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Dim 1 Déc - 22:38
I'm friend with a monster Kalixte & Drake
La poupée avait décidé de se rebeller. À ses risques et périls. Le coup de la guitare fut mauvais. Le Pacificateur l'arrêta d'un seul geste, d'une poignée de main, ferme. Il l'avait méchamment menacé. Un frisson secoua d'ailleurs la jeune fille qui ne devrait pas être traité comme ça par ce connard. Elle était faite pour la vie d'une princesse, celle à qui on cède tout, celle qu'on aime à sa juste valeur. Pas comme une poupée qu'on jette dès qu'elle est brisée. Cette poupée là, on la gardait, on la soignait, on réparait son cœur cassé.
« Mauvaise idée la guitare. Très mauvaise. Qu'est-ce-qu'elle croyait ? M'assommer avec son instrument de musique qui devait lui couter cher ? Elle, avec son un mètre soixante-cinq et ses petits bras frêles que je pourrais briser si je le souhaitais. Quelle stupide innocence.
Bref, quand je fouillai son armoire, je sentais son regard meurtrier dans mon dos. Elle avait une fois de plus décidé de mordre. Avec des paroles cette fois. Je ne pouvais que rire. Qu'est-ce-qu'elle espérait cette fois ? Me faire peur ? Que je parte en courant, parce que je tiens à mes bijoux de famille ? Ce n'était pas une fille comme elle, à moitié nue dans sa chambre qui allait me faire perdre mes moyens.
- Hey, on se calme petite Carrière ! Tu crois que tu vas mourir ?
À cette idée, mon cœur se pinça et mon ventre se tordit un peu. Alors mon esprit me cria : « Mais qu'est-ce-que tu fous là ? ARRÊTES ! ARRÊTES DE RESSENTIR ÇA ! TOUT DE SUITE ! » J'entendais une voix, la voix de la raison je dirais, qui me vociférai ces paroles en boucle. Elle avait raison cette pensée, c'était quoi ce délire, ce pincement au cœur, ce nœud à l'estomac ? C'était pas pour moi. Je suis un connard. Pas une espèce de ces chochottes ambulantes qui pleure quand la mère de Bambi meurt. Je fus déstabilisé pendant quelques instants, ce qui du se lire sur mon visage. Je repris contenance après l'avoir habillé et quand elle se dit prête. Je me retournai pour lui dire quelque chose, quand je la vis sauter par la fenêtre.
- Merde ! Fais chier ! criai-je dans la maison.
Elle essayait encore de s'enfuir. Sans réfléchir au chemin le plus rapide, je descendis les escaliers en sautant une marche sur deux. Et quand je pus enfin ouvrir la porte, je ne la voyais pas. En sortant sur la rue, je la voyais courir à quelques mètres de moi. Mes jambes n'eurent pas besoin d'être commandés, elles s'élancèrent directement à la poursuite de la brune. Au bout de quelques minutes, je la frôlai, naturellement d'ailleurs, mes jambes me le permettaient. Quand je pus enfin poser ma main sur son épaule, je m'arrêtai brusquement et la stoppai avec moi. Je la plaquai ensuite contre un mur, la main posée sur son cou, sans faire aucune pression.
- Alors qu'est-ce-que tu croyais encore ? Tu crois que tes petites jambes vont te porter au bout du monde ? Tu croyais m'échapper en sautant dans cet arbre ?
Cette fois ci, je la pris et la posai sur mon épaule, une main autour de ses jambes pour qu'elle ne tombe pas et pour ne pas qu'elle s'agite. Elle pourrait frapper mon dos autant qu'elle voudrait si ça lui chantait, mais à moins qu'elle n'ait un couteau, rien ne m'arrêterait.
Arrivés chez moi, je la posai plus ou moins délicatement sur le canapé. J'enlevai mes baskets et me rappelai avoir laissé ma veste sur l'arbre dans lequel s'était jeté Kalixte. J'irai la récupérer quand je ramènerai la jeune fille chez elle. Je pris le paquet de cigarettes posée sur la table basse, en pris une et l'allumait du briquet que je conservai dans ma poche, je tendis ensuite le paquet à la jeune fille en face de moi. Je déposai quelques instants mon bâton de nicotine dans le cendrier et retirai mon t-shirt sans rien lui dire. Ensuite, je lui tendis ma main et l'emmenai vers la cuisine.
- Tu veux boire ou manger quelque chose ? Ne me répond pas du poison.
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Lun 2 Déc - 16:08
Dralixte ❥ La véritable indépendance consiste à dépendre de qui on veut.
Courir était la seule échappatoire possible. Courir pour ma survie. Courir pour lui échapper. Des larmes s’échappèrent de mes yeux et devenaient alors mes principales rivales. Il m’avait abattue en me faisant miroiter des choses qu’il ne faisait que mimer. Sa douceur, ses caresses. C’était faux, comme toujours. Si j’avais été seule, j’aurais laissé exploser ma rage et ma tristesse en hurlant sous le ciel d’un noir d’encre à présent. Mais je ne pouvais rien faire. Minuit approchait et la plupart des gens du District devaient dormir. Les réveiller ne me causerait qu’un énième problème de plus. Je serais alors les poings, me contentant d’accélérer ma foulée. Je devais lui échapper. Coûte que coûte. Même s’il n’était pas en service, il pourrait très bien appeler d’autres amis à lui pour m’arrêter et ça serait alors ma fête. Mon instinct de survie s’était mis en branle et je devais tout faire pour le conserver dans un coin de mon crâne. Ne pas ralentir l’allure. Jamais. L’air glacé de la nuit me picorait la peau. Mon ventre semblait transpercé de milliers d’aiguilles et mon visage se trouvait comme prisonnier d’une glace éternelle. Souvent, ma mère me racontait une vieille histoire datant de l’ère avant la guerre. Cette histoire où une méchante Reine fit congeler tout un pays et y instaura un hiver éternel. Hé bien là, en courant, j’avais l’impression d’être prisonnière de sa magie. Et d’être prisonnière de quelqu’un l’autre lorsque sa main se posa sur mon épaule. Un sanglot m’échappa tandis qu’il me stoppai net et me plaqua contre un mur, sans corps dangereusement proche du mien. J’écoutai sa phrase sans le quitter des yeux, maquillant mon désespoir en une rage folle. Un léger sourire se peigna sur mes lèvres et je lui caressai le visage du bout du doigt. « Et moi qui pensait que cette course folle réveillerait ton appétit de chasseur et que tu me ferais follement l’amour au milieu de la rue … » Mais j’avais à peine fini ma phrase que ce rustre me prit sur son épaule et me promena dans le District comme un vulgaire sac de patates. Avait-il entendu mes mots ou sa rage obscurcissait-elle tous ses sens ? Quoi qu’il en soit, je ne comptais pas me laisser transporter de la sorte. Nan sérieusement, j’ai l’air d’une patate ambulante ? Je tapais donc des poings et tentais de le mordre dans le cou. Après tout, ce n’était qu’un simple retour à l’envoyeur vu ce qu’il m’avait fait subir dans ma chambre. « T’es un vrai connard Drake. Tu te crois surpuissant parce que t’es Pacificateur ? » Je m’en foutais qu’on m’entende. Je voulais le blesser verbalement comme il le faisait physiquement avec moi. « T’es qu’un lâche ! Tu te sers de ton statut pour coucher avec pleins de filles mais sans lui, tu serais qu’un pauvre gars du District Un. » Je continuais encore plus sur ma lancée, me tenant maintenant tranquille. « T’as même été assez minable pour te voir les portes du Capitole fermées au nez ! » Un sourire éclaira mon visage même s’il ne pouvait pas le voir. Il ne me répondrait pas en dehors mais je suis sûre d’avoir fait mouche. Le Capitole est tellement important pour lui de toute façon. Je réfléchissais à d’autres remarques acerbes mais sa maison se profila à l’horizon. Certes je ne pouvais pas la voir vu la position dans laquelle je me trouvais mais je l’ai senti à son pas mais aussi en regardant les alentour. Après tout, j’étais déjà venue dans sa demeure.
Le canapé. Je m’y laissai enfoncer en détaillant Drake des yeux. Sa mâchoire carrée, sa légère cicatrice à la joue. D’ailleurs, je serais bien curieuse de savoir d’où lui venait cette dernière. Il m’arracha de mes rêveries en me proposant une cigarette que je refusais en faisant tourner ma tête de droite à gauche. « Désolée, je préfère garder mes poumons intacts si je dois courir dans les Jeux. » Lui assénais-je en le défiant du regard. Mais je ne restai pas longtemps de marbre lorsque son torse fut mis à découvert devant mes yeux. Je ne pouvais cacher le désir que j’avais de voir un corps si bien sculpté. C’est sans aucune réticence que je pris sa main et me mit à rire cyniquement en entendant sa proposition. « Dommage, c’est précisément du poison que j’aurais voulu. Comme ça, tu aurais dû te trouver une autre poupée pour assouvir tes pulsions. Enfin … Tu seras bien obligé de me tuer puisque jamais tu n’auras mon corps. » J’accompagnai mes paroles d’une délicate caresse de mon index sur la ligne de ses pectoraux. Je ressentais à nouveau la chaleur monter dans mon ventre. Dieu qu’il pouvait être sexy et désirable.
Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Ven 6 Déc - 21:17
I'm friend with a monster Kalixte & Drake
« Elle ne pouvait pas m'échapper. Pas comme ça. Pas aussi facilement. Ses jambes lui permettaient de vite courir et elle avait une longueur d'avance sur moi. Mais malheureusement pour elle, mes jambes étaient plus musclées et je courais plus vite. Alors je l'ai plaqué au mur et ses épaules ont heurtées la montagne de briques. Un sanglot lui avait échappé quand ma main avait touché son épaule, ce qui me fait esquisser un sourire. Elle tenta vainement de prendre une mine hautaine, un ton empreint de colère et elle caressait les traits de mon visage du bout du doigt. Mais ça ne marchait pas comme ça.
- Arrêtes de faire ta rebelle, tu veux ? Tout le monde sait que ça te rend affreusement sexy mais que ça va pas avec ton personnage, t'es trop gentille voilà tout, dis-je en caressant sa peau. »
Ensuite, il l'a prit vulgairement sur son épaule, et se dirigea vers chez lui. Pendant le trajet, la jeune brune essaya de se défaire de son étreinte, tant bien que mal, en le frappant et en le mordant dans le cou. Il ne pouvait que rire. Voyant qu'elle ne pouvait rien contre ses muscles, elle décida de changer de technique. Elle opta donc pour la parole. Elle rappela soigneusement au Pacificateur qu'il n'était rien sans ce statut et qu'il s'était fait lamentablement fait fermées les portes du Capitole au nez.
« La première remarque n'eut aucun effet. La seconde non plus. La troisième en revanche, fut comme un couteau qu'on enfonçait délicatement dans ma poitrine. En effet, les portes du Capitole m'étaient à présent closes, mais je ne supportais pas qu'une gamine de dix-sept ans se permette de me dire ça, à moi. Surtout à moi.
- Ta gueule Kalixte, dis-je entre mes dents.
Ma stupide remarque lui faisait gagner un point. Elle croyait à présent que ses stupides allusions avaient un quelconque effet sur moi. Non ce n'était pas le fait, qu'elle le dise, mais le fait que ça soit dit tout court. Si elle le savait alors tout le District Un le savait aussi. Heureusement pour l'honneur que je possédais encore, le costume du Pacificateur était aussi composé d'un casque qui avait la faculté de masquer un visage de l'extérieur. Voir sans être vu, en quelque sorte. »
La maison de Drake approchait. Kalixte la connaissait. Comme toutes les autres femmes qui étaient passées par ici. Bref, la jeune fille se fit déposer dans le canapé qu'elle connaissait aussi apparemment. Une question lui tortillait les lèvres, celle de sa cicatrice. Elle n'usa d'abord pas de la parole pour refuser le paquet de cigarette que lui tendait le jeune homme. Puis elle lui dit préféré avoir des poumons cleans pour survivre dans l'arène. Il haussa d'abord les épaules puis rigola sachant qu'il y échapperait, comme chaque année. Il retira ensuite son t-shirt ce qui ne laissa pas la jeune fille indifférente, il le vit.
« - Arrêtes chérie, tu crois que je vois pas ce qui se passe dans ton corps quand tu touches ça, dis-je en prenant sa main et la faisant parcourir son mon corps après qu'elle est caressé la ligne de mes pectoraux. Ou quand moi, je fais ça, dis-je en passant mes mains sur ses hanches.
Elle tentait d'être insensible, malheureusement elle ne pouvait pas. Je l'emmenai par la main dans la cuisine et la fit asseoir sur un tabouret. Je pris ensuite un briquet et allumai le bâton de nicotine que mes lèvres retenaient. Je tirai un moment dessus en regardant la jeune demoiselle installée dans ma cuisine.
-Alors qu'est-ce-qu'on fait maintenant poupée ? dis-je d'une voix à laquelle elle ne pourrait pas résister. »
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Sam 7 Déc - 0:19
Dralixte ❥ La véritable indépendance consiste à dépendre de qui on veut.
J’étais sienne sans vraiment le vouloir. Il jouait avec moi et j’aimais ça. J’étais la souris et lui, le chat. C’était bon de s’amuser de la sorte, de souffrir. Car c’est bien le bon mot pour définir notre relation. Une souffrance qui s’acharne et finira par en tuer un. Seul le plus fort vaincra comme les Hunger Games. C’était les mêmes règles mais là, il fallait agir avec de bons sous entendus. En fait, c’est assez agréable comme partie. On mesure la capacité de l’autre à résister à diverses choses. Je m’étais assise sur le tabouret de la cuisine, savourant la vue qui s’offrait à mes yeux. Il était un bel Apollon et l’avantage au fait qu’il soit pacificateur était tout simplement qu’il portait un uniforme lors de son travail. Comme cela, les femmes seules du District ne pouvaient pas baver dessus. Mais elles venaient chez lui le soir. Combien de différentes chaque semaine ? Ne serais-je qu’une passade comme elles ? Je voulais qu’il ne voit que moi. J’avais besoin de lui pour gravir les échelons. Il ne pouvait que m’aider alors je devais coopérer malgré le fait que ce soit extrêmement dur et compliqué. Voilà pourquoi je m’étais approchée pour le caresser. Une part de moi le voulait car mon cœur se trouvait être faible et l’autre partie ne voulait juste qu’une union arrangée. Je me mordis la lèvre pour qu’il voit mon excitation lorsqu’il fit passer ma main sur sa peau où tous les muscles se trouvaient tendus. Sa peau si douce, son corps si bien sculpté semblait m’appeler et je sentis de la chaleur remonter de mon bas ventre jusqu’à mes joues. Son mouvement sur mes hanches me fit fermer les yeux et, sans crier gare, je m’emparai de sa bouche. Un baiser pressé, avide, passionné. Sa dernière phrase m’avait complètement faite perdre l’esprit et je sentais déjà mes jambes se liquéfier. « On fait ce que tu sais mieux faire que personne. Apprends-moi … » Je terminai ma phrase dans un souffle tandis que je pressai mon corps contre le sien, frottant subtilement mes hanches contre son bas-ventre. Je voulais être sienne. Mais n’allez pas croire que je suis sa poupée de service. Oh que non, je gardais toujours l’esprit clair même si mon corps ne voulait pas la même chose. Je lâchai son corps pour dégrafer mon soutien gorge et me retrouvai à moitié nue devant lui. « Je suis à toi. Je suis ta poupée non ? Alors contrôle-moi, guide-moi. » Je l’entrainai avec moi contre le bar de sa cuisine où je m’étais appuyée quelques temps auparavant et avait pu repérer une bouteille de vin presque terminée. Je ne sais pas trop quel était mon plan à ce moment là mais je devais continuer à lui détourner les idées. Mes mains sondaient chaque partie de son torse et ma langue s’insinuait doucement entre ses lèvres. Je tendais mon corps vers le sien et n’aspirait qu’à remettre mes jambes autour de sa taille. Je fis donc mine de m’asseoir sur le comptoir et l’entourait de mes membres. J’enfoui mon visage dans son cou et lui mordillai férocement la peau. Je sentais les larmes commencer à poindre sous mes paupières. Tremblante, je me reculai légèrement, encadrai son visage de mes mains et l’embrassai à pleine bouche. « Je suis désolée Drake, j’aimerais tellement t’aimer … » Et la bouteille percuta son front. Je ne sais pas comment il se sentit mais je me devais de battre en retraite. Prestement, je me dégageai de son étreinte pour courir me réfugier dans la salle de bain de l’étage. Je claquai la porte avant de la verrouiller et d’enfiler un peignoir qui se trouvait là. Effondrée par mon geste, je me laissai choir au sol pour laisser couler mon désespoir. J’étais devenue un monstre.
Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Sam 7 Déc - 11:15
I'm friend with a monster Kalixte & Drake
La jeune brune avait une idée derrière la tête. Et pourtant elle s'abandonnait aux bras de Drake. Ce qui ne lui déplaisait pas. Elle l'embrassait, le mordait et ne faisait qu'accroître leur désir mutuel. Elle faisait tout pour lui détourner ses idées. Dégrafer son soutien-gorge fut une bonne idée. Elle se frottait contre lui, à moitié nue.
« Qu'est-ce-qu'elle était belle ! Une réelle poupée était dans mes bras. Elle se laissait aller au plaisir de la chair avec moi. Elle me demandait de la contrôler, parce que elle était ma poupée à présent. Je fondai littéralement. Ce que je ne devais pas faire. Je caressais doucement son dos, l'embrassais dans le cou, passais mes mains sur ses cuisses. Quand elle s'assit sur le comptoir, je m'allongeai sur elle et l'embrassais encore, ses lèvres douces et sucrées sur les miennes. Elle me dit ensuite, après m'avoir embrassé, qu'elle aimerait m'aimer. Cette demande me perturba, mais pas autant que la bouteille qui vint s'éclater sur ma boîte crânienne. Je ne l'entendis que gravir rapidement et brutalement les marches des escaliers. Je perdis conscience quelques minutes. Je n'arrivai pas à penser, j'entendais seulement les battements de mon cœur à mes oreilles. Quelques minutes plus tard, un liquide chaud vint chatouiller mon visage. Ça coulait contre de mon front jusqu'au maxillaire. J'étais misérablement allongé par terre. Qu'est-ce-qui s'était passé ? J'essayai de me redresser sur mes avants-bras. Je regardai la pièce autour de moi. Des débris de verre jonchaient le sol, le liquide que contenait la bouteille avait la même couleur que ce qui s'échappait de ma blessure sur le front. Je me redressai sur mes deux jambes, en m'appuyant sur le comptoir. Tant bien que mal, je grimpais les escaliers, à quatre pattes. Plusieurs minutes plus tard, j'arrivai enfin vers la salle de bain. Je toquai faiblement à la porte.
- Kalixte, ouvres cette putain de porte, je saigne là, dis-je en passant les doigts sur mon front et en découvrant du sang.
J'espérai comme un con qu'elle fasse preuve d'un peu de compassion. Mais pourquoi ? Je profitai d'elle et je la blessai constamment. Et pourtant je voudrais que sa part de gentillesse reprenne le dessus. Le sang arrivait à présent sur mon torse. Voyant que la porte ne s'ouvrait toujours pas. J'essayai de tambouriner la porte en haussant le ton :
- KALIXTE PUTAIN ! OUVRES ! J'AI MAL ! »
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Sam 7 Déc - 14:35
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La salle de bain était sûrement la seule pièce accueillante de la maison. Elle se trouvait être chaleureuse avec ses couleurs chocolat et le peignoir de Drake était aussi doux qu’une peluche de mon enfance. De plus, j’étais entourée de son odeur sans avoir à souffrir de quelconques coups. Néanmoins, les larmes affluaient sous mes paupières sans que je ne puisse les tarir. Mon corps était secoué de spasmes et ce fut bientôt le carrelage froid qui accueilli mon être. Sa froideur m’aida à me reprendre et me donna un énorme coup de fouet. Tremblante, je me suis relevée avant de me regarder dans le miroir suspendu au dessus de l’évier. Mes yeux se trouvaient déjà être gonflés et rougis. Un soupir s’échappa de ma bouche et je me passai rapidement de l’eau sur le visage mais cela n’enleva pas mon mal-être. Je ne sais même pas dans quel état se trouvait le Pacificateur lorsque je l’avais laissé. Une bouteille de verre pouvait faire pas mal de dégâts. Et s’il était mort ? A cette pensée, un sanglot m’échappa et je dus me raccrocher à la jolie faïence pour ne pas tomber. Mes phalanges devinrent blanches tellement je forçai dessus pour me maintenir debout. Mes paupières, elles, se forçaient à rester closes comme si elles pouvaient effacer toute l’horreur de la situation. « Kalixte, ouvres cette putain de porte, je saigne là » Ses paroles me firent sursauter et je cachai mes sanglots d’une main sur ma bouche. J’étais terrifiée, j’avais peur. Je n’arrivai plus à faire face à tout ça. Les sentiments et la terreur se mêlaient si bien ensemble que ça revenait à me rendre folle. Je me laissai à nouveau choir au sol, posant les mains sur mes oreilles pour ne pas l’entendre. J’entendis alors le sang battre à mes tempes comme un compte à rebours mal ordonné. Annonçait-il le début de la fin ? Ça faisait comme des bruits de tambours désormais. Rythmés et forts. Seulement, en décollant mes paumes, je découvris bien vite qu’il s’agissait de l’homme qui se trouvait de l’autre côté de la porte. « KALIXTE PUTAIN ! OUVRES ! J'AI MAL ! » Hésitante, je me suis levée pour venir me coller au bois de l’objet qui me séparait de lui. J’entendais son souffle et pouvais percevoir sa douleur. Le posai l’extrémité de mon membre contre le battant et mes doigts vinrent griffer la texture. « Pardonne-moi Drake. J’ai peur. Tu es un monstre. » Avouais-je, la voix entrecoupée de larmes contenues et d’extinctions de souffle. Mais, pour autant, je me suis reculée pour courir au meuble et prendre une serviette que je m’empressai de mouiller sous le robinet. Je me sentais coupable. Ma force de caractère m’avait subitement abandonnée lorsque je l’avais cru décédé. « Ne me saute pas dessus, s’il te plaît. » Lui demandai-je tandis que je déverrouillai la porte et l’ouvrais pour découvrir les dégâts. De l’eau salée se remit à couler de mes yeux tandis que je me jetais dans ses bras. Mon visage fut coloré de son sang mais je m’en fichais. « Pardon Drake. » Je me haussais sur la pointe pour l’embrasser avant de passer le linge humide sur sa plaie.
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Sam 7 Déc - 15:35
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Drake ne s'attendait pas à ça. Recevoir une bouteille de vin sur la tête était bien la dernière chose à laquelle il avait pensé. Il savait pourtant qu'elle ne se laisserait pas faire, mais à ce point, certainement pas. La bouteille avait explosé quand elle avait rencontré la solidité de sa tête. Le vin s'était répandu partout au sol comme les débris de verre. D'ailleurs quand il s'était relevé, il semblait au Pacificateur qu'un minuscule morceau se soit introduit dans son épiderme. Mais il était tellement concentré sur la douleur qu'il éprouvait sur le haut de son front, qu'une de plus de changeait rien. Monter les marches des escaliers fut laborieux. Il avait à présent bien mal au bras. Son front le torturait de plus en plus. Il sentait son cœur battre à ses tempes. Il fut bien content d'arriver à la salle de bain. D'ailleurs quand il y fut, il se hissa sur ses jambes et appuya une main contre le mur, il baissai la tête en parlant. Son souffle était coupé. Toute sa splendeur, sa fierté avaient disparues. Les larmes débordaient de ses yeux tant la blessure le faisait souffrir. Jamais il n'aurait cru qu'une femme puisse lui faire autant de mal. Physiquement parlant. Mentalement, il n'avait pas les idées assez claires pour éprouver quoique ce soit de méchant envers elle, il voyait presque le monde … beau.
Kalixte s'en voulait. Elle était devenue comme le Pacificateur. Un horrible individu qui frappe pour s'en sortir. D'ailleurs, elle profita de l'eau de la salle de bain pour se nettoyer le visage comme si la culpabilité allait s'échapper dans les canalisations. Elle avait aussi bénéficié du peignoir de Drake qui cachait sa peau nue et qui lui tombait au niveau des mollets. Elle prit ensuite une serviette qu'elle imbiba d'eau et ouvrit la porte en suppliant le jeune blessé derrière de ne pas lui sauter à la gorge. Il ne le ferai. Il n'en avait pas envie et pas la force.
« Elle arriva sur moi comme une bombe et je perdis l'équilibre. Alors ma tête vint heurter le sol dur ce qui m'arracha un gémissement de douleur. Je fermais les yeux ce qui évacua quelques larmes de plus. Elle s'excusa, m'embrassa et passa la serviette sur ma blessure. Je n'en pouvais plus de pleurer. Il devait rester des morceaux de verre car lorsque elle tamponna la blessure, je sentais quelque chose qui s'enfonçait un peu plus à chaque coup.
- Arrête, il doit rester du verre dans la plaie, dis-je d'une voix calme, les gouttes salées glissant ses mes joues. J'ai mal, putain.
Je n'éprouvai toujours pas de colère envers elle. Le choc m'avait complètement retourné les idées. Je rouvris les yeux même si ma vue était toujours brouillée par les perles de douleur, alors je lui pris la main et lui fit comprendre d'arrêter d'essayer de soigner ça. Ensuite, je l'allongea sur moi, aussi bien que je pus en caressant ses cheveux.
- Je sais plus ce que je fais, murmurai-je. Je t'en veux pas.
Ensuite, je la hissai un peu plus vers moi de sorte sur sa tête soit au niveau de la mienne, et je l'embrassai avec autant de fougue dont j'étais capable. C'était dur. Je me sentais faible.
- Dis, t'as mon peignoir, dis-je amusé mais d'une vois rauque. »
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Dim 8 Déc - 0:04
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Je ne savais plus quoi faire ni que dire. J’étais là, à regarder le sang couler sans que mon cerveau ne me donne d’ordre. Tout ce que je savais faire, c’était lui faire encore plus mal en compressant la blessure comme je le pouvais. Le tissu se teintait de rouge au fur et à mesure qu’il absorbait le liquide qui remplissait son corps et le faisait vivre. Et s’il n’en avait plus assez pour continuer à respirer sur cette Terre. Non, je ne voulais pas qu’il meurt entre mes mains. Je préférais plutôt continuer à souffrir que de le laisser rejoindre le Paradis. « Bon sang, éponge ! » J’étais tellement dans ma folie de le soigner que je n’entendis pas ses premières paroles. Je continuai à panser sa plaie, désespérée. Ma vue était floue, je ne savais plus ce que je faisais jusqu’à ce qu’il m’arrête et me fasse m’allonger sur lui. La position n’était pas très confortable mais je me sentais bien là. Comme si j’étais en sécurité. Et, un instant, je le pensais réellement. Je n’avais plus peur de Drake. J’étais sa poupée oui. Mais sa poupée de porcelaine. Ses lèvres se soudèrent aux miennes et je lui rendis alors son baiser avec passion. Sa fougue légère m’arracha un sourire et même un rire lorsqu’il remarqua que j’avais son peignoir. « Ça te gêne que je le porte ? » Lui dis-je en enlevant la ceinture ce qui fait qu’il avait une vue imprenable sur le haut de mon corps. Je caressai son torse du bout du doigt, rongée par la culpabilité. « Il faut quand même que je te nettoie ça, viens. » Je me levais péniblement avant de lui prendre la main afin qu’il se lève. Je ne savais pas si j’allais avoir la force de le traîner jusqu’à la salle de bain mais je ne pouvais pas risquer de voir sa plaie infectée. Il semblerai bien que les rôles se soient inversés. J’étais en pleine possession de mes moyens et lui si faible … Je le vis s’asseoir sur ses toilettes pour qu’il soit à bonne hauteur. « Maintenant, ne bouge pas. Ça va piquer et j’en suis navrée. » J’approchai une pince à épiler de son front pour retirer les morceaux de verre. Ma main ne tremblait pas mais, dans ma tête c’était le chaos le plus profond. Je me devais de résister et de ne pas me blottir dans ses bras une nouvelle fois. Mon torse nu devait déjà lui être un bon supplice surtout lorsque je me penchais sur sa tête.
Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +] Dim 8 Déc - 12:49
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« Ça piquait. Le sang coulait à flots, je sentais cette substance poisseuse fuir ma plaie. Je fermai les yeux, contractant ma mâchoire comme si la douleur allait partir. Kalixte s'affolait au dessus de moi, la culpabilité la rongeant. Elle continuait à tenter d'arrêter le sang, jusqu'à ce que l'allonge sur mon torse nu où il y avait un peu de sang. Elle riait quand je lui demandais pour mon peignoir.
- Non, mais t'es la seule qui a ce droit, dis-je avant qu'elle ne détache la ceinture.
Je commençais à rire, en passant un doigt délicat sur son buste, en caressant son dos de mon autre main. Elle voulait quand même nettoyer ça, alors elle me tendit sa main, que j'attrapais. Pour lui éviter de trop forcer je m'aidais du mur et réussis à atteindre les toilettes. J'étais mou, comme un ver sans colonne vertébrale. J'avais presque du mal à tenir assis sur la lunette des toilettes.
- Je préférais rester allongé là bas...
J'étais toujours plus faible et fermais les yeux. Elle s'excusa encore car cette fois ça aller piquer. C'était peu dire. Je geignais de douleur. Je voulais lui dire d'arrêter. Quand je rouvris les yeux, j'avais une vue plongeante sur son buste complètement nu. Je tentai de faire de l'humour :
- Finalement, tu devrais plus souvent m'éclater une bouteille contre le crâne si ça me permet d'avoir cette vue !
Je m'empêchais de passer une main sur son corps, pour ne pas la déconcentrer, je m'empêchais aussi de retenir sa main et de la blottir contre moi. Quand elle eut enfin finit de retirer les morceaux de verre et qu'elle eut mis une compresse retenue par un peu de sparadrap, je la fis asseoir sur mes genoux en embrassant son épaule.
- J'ai besoin d'une douche, puis après une pause : Tu la prends avec moi ? d'un ton innocent.
Mon comportement avait radicalement changé, le Pacificateur qui torture s'était pour un moment écoulé avec le sang. J'avais l'air d'un agneau maintenant. »
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Sujet: Re: Kidnappeur à temps partiel, c'est le mot ! (ft. Kalixte) [tortures et +]
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