Hope Carter

❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞

about games and relative.

➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ?

Ma mort. J’y pense rarement. Il faut profiter de la vie. Pourtant je me suis toujours dit que j’aurai trois façon de mourir. La première est simple. Mourir vieille seule ou entourée de mes proches. Une mort simple quoi. La deuxième c’est celle que je déteste le plus. J’imagine qu’il y a une

révolution, j’en fais partie. Prêt a trahir le capitole. Pourtant on ne veux pas que ça m’arrive alors je me fait assassiner parles pacificateurs comme mes parents. Sans pour autant ne pas combattre. Oui je me combattrais jusqu'à ce que mort s’ensuive. Finalement, la dernière me plait énormément. Si jamais, la révolution ne marche pas et que les pacificateurs ne m’ont pas encore trouvé, je prends la meilleure option : le suicide. Je me voie dans un lac en train de me laisser couler au fond en fermant les yeux au cœur de la nuit, sourire aux lèvres. Je serais maître de ma propre mort.

➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ?

Pour mon frère Ray. Je pourrai mourir pour lui. Je l’aime tellement, je l’adore. C’est le seul souvenir qui reste de ma famille. Je ne veux pas qu’il souffre, pas encore. Il est si jeune, enfin dans ma tête. Il a dix-sept-ans. Je sais que parfois je peux être surprotectrice mais après ce que j’ai vécu, ce que nous avons vécu, je ne peux m’empêcher de le faire.

➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ?

Un petit plus qui pourrait m’aider dans la vie. Hmm je dirais l’argent. Nah sérieusement ça serait mon habilité à me camoufler. Enfant, c’était un jeu entre mon frère et moi. Mon père nous l’avais montrer. Ils nous à montrer comment agencer tel et telle couleur et j’ai tout mémorisé. Un jour je le sais ce jeu m’aidera. Vive les couleurs !!

➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ?

minimum cinq lignes. (résidents des districts)

➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ?

minimum cinq lignes. (résidents du capitole)

➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ?

(en gros, êtes-vous pour une rébellion ou contre.) Ma première réaction serait comment on fait pour se joindre dans l’armée ? Ouii je suis pour une rébellion. C’est évident que ça serait l’occasion revé pour venger mes parents et ma jeunesse gâchée. Je n’aurai aucun regret à tuer quelqu’un qui travaille pour Snow, pourtant je ferais mon possible pour protéger les citoyens. Ce ne sont pas eux qui on détruit ma famille. Ils sont stupides c’est vrai et parfois je me met a leur envier leur stupidité parce qu’il ne voit pas le monde comme moi je le vois. Il le voit beau parfait et ne sont même pas capable de faire la différence entre le bien et le mal. blockquote>

tell us your story.

[size=11]

Il était une fois…

Ça c'est moi, au milieu. À côté de moi se tient mon frère Ray. Aujourd'hui il a dix-sept ans. Oui je sais il était mignon. Il l'est toujours d'ailleurs, selon certaines filles. En haut à droite c'est mon père, Charles Carter. C'est fou à quel point je lui ressemble. On a les mêmes yeux, le même sourire, la même posture. Il me manque horriblement. À sa gauche c'est ma mère, Alexie Jackson. Elle était si belle et ses cheveux si doux. Ils se sont rencontrés lors d’un photoshoot et ce fut le coup de foudre immédiat. Cinq ans plus tard, j’étais née. Ma mère était une photographe et mon père un styliste lors des Hunger Games. Ces costumes étaient flamboyants, année après année. Tellement que bientôt toute la haute royauté du capitole lui demandait des vêtements. Je m'en souviens le soir, assise sur ses genoux, je le regardais dessiner ses créations et je lui posais mille-et-une question. C'est comme ça que ma passion et née. Petit à petit, en m'inspirant de ses créations, je dessinais des robes et d'autres habits. Quand j’ai eu sept ans, mon petit frère est né. Tout tournait autour de lui. J’avoue j’ai été un peu jalouse de lui, mais rapidement je me le suis approprié. C’était MON petit frère, à moi et a personne d’autre. Si vous touchiez un seul de ses cheveux vous auriez affaire à moi. J'ai vécu une enfance différente des autres. Mes parents m'ont inculqués des valeurs plutôt que de me donner de joujou inutiles. Je les en remercie voyant ce que sont devenus la plupart des filles que j'ai côtoyées enfant. Je les remercie encore pour ça

Quand tout à coup…

J’avais quatorze ans quand l’incident est arrivé. Je devais partir pour le weekend avec mes parents pour une espèce de réunion spéciale dans une région très populaire du capitole. Malheureusement la veille, Ray est tombé malade, gravement malade. J’aurais pu partir avec mes parents et laisser mon petit frère entre les mains de ma grand-mère, mais je ne voulais pas. Je devais veiller sur Ray, c’était mon rôle. Le lendemain ils sont partis tôt et ils ne sont jamais revenus.

Ce dimanche-là, vers cinq heures, ma grand-mère, accompagnée d’une cohorte de Pacificateurs, sonna à ma porte. Un seul regard, me suffit pour comprendre que je venais de perdre mes êtres les plus chers et que rien ni personne ne pourrait les remplacer à jamais.

Cinq jours plus tard, l’enterrement eu lieu. Ce fut une très grande cérémonie. Le Capitole venait de perdre deux stars en une journée, moi je venais de perdre mes parents. Selon les Pacificateur, ils sont morts d’un accident de la route. Ils roulaient trop vite et un camion de marchandise leur a foncé dessus. Une vidéo prouvait leur dire. Moi je n’y croyais pas. Mes parents ne roulaient jamais vite, ils étaient prévenants sur la route. Mais que valais la parole d’une gamine de 14 ans contre celle des pacificateurs ?

Lorsque l'on perd un proche, on passe par plusieurs sentiments : le déni, le refus, la peur, la culpabilité, la dépression et...

Au début c'était difficile, j'ai dû quitter la maison de mon enfance pour vivre chez ma grand-mère. Elle me disait que c'était mieux ainsi. Le plus dur c'était le retour à l'école. On me regardait avec des yeux tristes, les profs compatissaient avec moi, on me bombardait sans cesse des questions, on me conseillait de voir le psychologue. Chacun de ces gestes, chacun de ces mots attisaient ma colère. Non, ils ne pouvaient pas comprendre, ils ne savaient pas ce que c'étaient de perdre du jour au lendemain ses parents, de passer des nuits blanches à essayer de consoler son petit frère en vainc, à se réveiller en sursaut pendant la nuit pour se rendre compte que ses parents étaient définitivement morts. Non aucun d'eux ne pouvaient comprendre. Mais petit à petit la blessure se refermait. Je ne dis pas que j'oubliais carrément que mes parents existaient, mais je continuais à vivre, parce qu'il le fallait pour mon frère.

Pendant sept ans, je me suis engouffrée dans ma passion : le style. Je confectionnais des vêtements et des costumes pour l'école. On disait que j'avais hérité de son talent. Non je n'étais pas une adolescente antipathique, au contraire, je bavardais, j'avais de très bons amis, j'avais une vie quoi. Mais on n'oublie jamais, on accumule. Après mon lycée, j'ai commencé mais études en stylismes. Ce fut quatre longues années de cours, de travail et de stage, mais le résultat à la fin était merveilleux.

Deux semaines avant la remise de mon diplôme, je naviguais tranquillement sur le net. Comme d’habitude, pour clore ma soirée, je regardai la vidéo de l’accident de voiture de mes parents. Au cours des années, c’était devenu une habitude.

Spoiler:

Pourtant à chaque fois que je regardais cette vidéo, j’avais l’impression que quelque chose clochait, que quelque chose m’échappait et ce soir-là je compris. En zoomant vers la page je me suis aperçu d’une chose, une chose dont je ne m’étais jamais douter, une chose dont j’aurais du m’apercevoir plus tôt. Dans le camion se trouvait un Pacificateur, et il avait délibérément foncé sur la voiture de mes parents! C’était un meurtre, un assassinat. Pas un accident! Je me dirigeai rapidement vers la cuisine. Ma grand-mère y lisait un journal.

-Grand-mère, s.v.p. dis moi la vérité. Est-ce que papa et maman ont été assassinés par le Capitole ? Lui demandais-je en la regardant droit dans les yeux.

-Mais voyons qui est-ce qui t’a mis cette idée dans la tête. Ton père avait peut-être une langue bien pendu, par contre ce n’est pas une raison pour que le Capitole l’est tué. Il était trop populaire pour ça, il en est de même pour ta mère!! Me dit-elle

Elle avait prononcé cette phrase avec sévérité mais ses yeux disaient autre chose. Son regard apeuré me disait, tais-toi, si je prononce ne serait-ce qu’une fois cette phrase, je risque de te perdre ou tu risque de me perdre je n’y peux rien désolé. Ce seul regard confirmait mes doutes.

…Et l’acceptation

-… Et Hope Carter.

La salle retentissait d’applaudissement. Pendant que je m’avançais vers le directeur et le président (et oui le président était là) plusieurs spectateurs se mirent à chuchoter. Bien entendu il se demandait si c’était bien LA Hope Carter. Je pris mon diplôme, remerciai le directeur et me retournai vers le président. Il me prit la main et me fit un horrible sourire.

-Et bien c’est la deuxième fois que nous nous rencontrons Miss Carter. Vous êtes très jolie Votre père aurait été très fier de vous, très fier. J’acquiesçais et il reprit son discours. Évidemment, la mort de votre père fut une grande perte pour le Capitole. C’était un grand homme à la langue bien pendu, mais les costumes qu’il confectionnait pour moi étaient toujours parfaits, à la bonne taille et confortable. Et puis il ne faut pas oublier ces costumes qu’il fabriquait avaient toujours une touche de je-ne-sais-quoi. J’espère que vous serez à la hauteur.

-Bien sûr Monsieur le Président. Mais je crois que nous sommes en train de retarder la cérémonie.

- Oh je n’avais pas remarqué. Encore une fois félicitations et puisse que le sort vous êtes favorable, me lança-t-il.

Mes yeux plongèrent dans son regard glacial pendant que je lui serais à nouveau sa main. Je lisais dans son regard un ordre. Il savait que je connaissais la vérité, aucun doute, et je devais garder mes opinions pour moi sinon il allait s’en prendre à moi ou à Ray. Il le pouvait, il me l’avait déjà démontré avec mes parents. Oui j’allais me taire, du moins devant lui…

Tu viens d'être validé, mais il reste encore plusieurs endroits où tu devras passer pour que nous puissions mettre à jour quelques informations.Voici donc les liens que nous te demandons de visiter à présent.

Pour commencer, pour les vainqueurs et les membres ayant des proches morts aux jeux, n'oubliez pas de les recenser ici. Si tu fais partie des potentiels tributs, va inscrire ton personnage dans les registres ici. Il faudra ensuite que tu recenses le métier de ton personnage ici.
Tu peux ensuite recenser le district de ton personnage ici. Pour cela, tu auras besoin de créer ta fiche de liens ici et ton journal de bord ici.
N'oublie pas de vérifier que ton avatar est bien réservé dans le bottin ici, des oublis peuvent parfois être faits. Tu pourras aussi créer un scénario ici.
Il ne te reste plus qu'à passer de bons moments sur mockingjay