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 ◮ don't wanna fly if you're still on the ground (clay)

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MessageSujet: ◮ don't wanna fly if you're still on the ground (clay)   ◮ don't wanna fly if you're still on the ground (clay) Icon_minitimeSam 26 Mai - 21:52

Plic, ploc. Mes yeux s’ouvrent lentement et mon regard se fixe sur la minuscule fenêtre de ma chambre. Des gouttes de pluie s’amoncelaient sur cette dernière. Un faible soupir s’échappa de mes lèvres tandis que je quittai la faible tiédeur de mon lit. Le vent semblait souffler fort et comme à l’habitude, le froid passait à travers les fins murs de bois. Une fois sur mes pieds, je me rendis dans la cuisine et fut surprise de ne pas y trouver mon père. D’habitude, nous nous croisons chaque matin pour manger avant de partir travailler. Rapidement, je fis le tour de la maison – ce qui ne prit même pas une minute – avant de comprendre que mon père était déjà parti au travail. Cela signifiait une chose : j’étais en retard. Tout en enfilant de nouveaux vêtements, je ne pus m’empêcher d’en vouloir à mon père. Je n’étais peut-être plus une gamine, mais il aurait quand même bien pu me réveiller … D’un autre côté, sans doute n’y avait-il pas pensé, ce qui était plus semblable. Mon père ne s’était jamais vraiment remis de la mort de ma mère. Cette dernière avait passé les dernières années de sa vie allongée dans son lit, se levant le moins possible. Avec mon père, nous avions assisté, impuissants, à son déclin. Jour après jour. Mois après mois. Année après année. Après ce jour terrible où elle rendit son dernier souffle, mon père se renferma quelque peu sur lui-même. Encore aujourd’hui, il lui arrivait de rester dans sa chambre allongé sur le lit qu’il partageait avec ma défunte mère sans bouger. Il fermait les yeux, les ouvrait de temps en temps pour ensuite les refermer. Néanmoins, les fois où il agissait de cette façon étaient assez espacées. Quand j’ouvris la porte d’entrée et mis un pied dehors, je constatai, non sans joie, que la pluie avait cessé, laissant derrière elle un vent frais et un sol boueux. La porte fermée, je m’éloignai petit à petit en direction de la pharmacie. Ce travail à la pharmacie, j’y tenais beaucoup. Mon maigre salaire ajouté à celui de mon père nous permettait de quoi avoir à manger chaque soir. Nous nous estimions très heureux. Durant mon enfance, j’avais dû m’inscrire plusieurs fois pour obtenir des tesseraes. Tant et si bien qu’à chaque Moisson, mon nom avait plus de chance d’être tiré au sort que celui d’un fils de directeur de scierie par exemple. Mais la chance avait été de mon côté : jamais je ne fus choisir comme tribut. Mais voir ces jeunes enfants, adolescents choisis pour aller se battre jusqu’à la mort me faisait froid dans le dos. J’en avais connus quelques-uns… Aucun n’est jamais revenu. La dure loi des Hunger Games : un seul vainqueur. La matinée à la pharmacie se passa dans un calme assez inhabituel. Généralement, bon nombre de personnes venaient ici pour avoir un remède contre la toux, le mal de gorge, …Des remèdes contre les maladies, les infections qu’on pouvait attraper dans les scieries. Pour moi, c’était la routine, mon quotidien. Oh, c’était loin de m’ennuyer, bien au contraire. J’aimai aider ses gens à aller mieux. A ma pause, je sortis prendre l’air. Le vent fit voler quelques mèches de mes cheveux. Mon regard se posa au loin, sur l’une des quelques maisons situées près de l’hôtel de ville. De la fumée sortait de la cheminée et je supposai que Clay devait être chez lui. Je me mordis la lèvre inférieure en pensant à lui. Clay … Je ne l’avais plus vu depuis une semaine, voir plus. Ne plus le voir me manquait. Il me manquait. Cela en était trop. A quoi bon me lamenter ? Autant aller le voir. J’avais la nette impression que c’était à moi à aller toquer à sa porte et non l’inverse. Quelque chose en moi me disait que Clay n’en trouverait pas le courage, l’idée. Mes bottes s’enfonçaient dans la boue, provoquant un bruit qui m’exaspérait au plus haut point. Sur le chemin, je ne croisai que quelques personnes. Dans leurs mains, du pain. Elles revenaient sans aucun doute de la boulangerie. L’odeur me parvint même aux narines, me donnant faim. Ignorant cette faim, je m’arrêtai devant la porte de la maison de Clay qui faisait également office de lieu de travail. Prenant mon courage à deux mains, je toquai à la porte plusieurs fois. « Clay ? C’est Callie… »
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Clay L. Kennedy-Fawkes
DISTRICT 7
Clay L. Kennedy-Fawkes
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MessageSujet: Re: ◮ don't wanna fly if you're still on the ground (clay)   ◮ don't wanna fly if you're still on the ground (clay) Icon_minitimeMer 6 Juin - 18:39



« WHAT ARE YOU DOING HERE ? I’M NOT… HI ! »


Les rayons du soleil, bien que voilé par les nuages gris, traversaient la couche de verre protégeant la chambre du climat extérieur. La position de ces rayons laissait supposer que la matinée était déjà bien avancée. Combien de temps avait-il dormi ? Sans doute trop longtemps. Ayant travaillé tard le soir au tri des différentes baies trouvées dans les bois, le jeune médecin s’était finalement écroulé sur son lit pour ne plus en bouger. Encore vêtu de ses vêtements de la veille, il fut sorti de ses rêveries par la lumière du jour et le bruit de la pluie qui résonnait déjà contre le toit de la maison. « Un nouveau jour au District 7, avec son climat tropical, ses superbes palmiers et ses buissons en fleurs, un véritable paradis ! », se disait-il déjà, toujours allongé sur la couverture. Ce ne fut que quelques secondes plus tard qu’il décida de se tirer du lit afin d’aller prendre une douche, constatant à retardement qu’il était toujours entièrement habillé. Laissant un soupir s’échapper de ses lèvres, son attitude changea du tout au tout lorsqu’il sentit l’eau presque tiède glisser sur son corps, balayant la masse de travail de la veille.

Une fois qu’il fut propre comme un sous neuf, Clay s’éclipsa de la salle de bain. Il n’abusait pas des bonnes choses. Si Julian n’était pas ressorti vivant de l’arène, lui et sa famille auraient tout perdus. Ainsi, Il n’aurait pu bénéficier d’une maison au village des vainqueurs (même si foncièrement ce n’était pas la sienne, mais celle de son frère), d’une douche ayant de l’eau chaude à disposition ou encore de bons mets. Non pas qu’étant jeune il ait été très malheureux, mais la famille Kennedy-Fawkes s’était toujours serré les coudes, même lorsqu’ils ne disposaient pas de nourriture suffisante pour tout le monde. Passant par la cuisine, le jeune homme se servit un café dans le but de se réveiller un peu plus. En tant que médecin il n’avait pas droit à l’erreur, un patient pouvait débarquer à tout moment comme il pouvait avoir besoin de partir en vitesse de chez lui pour se rendre à la scierie, si un accident avait lieu, ou dans une maison voisine. Tout pouvait arriver dans le District 7. Il avait vu des choses moches, des choses horribles, avec sa mère à l’époque, mais jamais il n’avait cessé de vouloir aider les gens. Le monde était capable de bien des horreurs, mais ô grand jamais il ne laisserait tomber les habitants du District, peu importait ce qu’il pouvait bien lui arriver, il se battrait toujours pour revenir et prendre soin d’eux, comme il l’avait promis à sa mère en « reprenant » le flambeau. Non pas que sa mère était spécialisée et officialisée en tant que médecin, mais elle n’avait jamais abandonné un malade ou un blessé. Qu’importait le danger.

Malheureusement pour Clay, les temps étaient durs, il commençait lentement à manquer de provisions en provenance direct du Capitole, enfin plutôt… Indirect. S’il haïssait le Capitole, il se rendait tout de même à l’évidence : obtenir quelques médicaments de façon illégale, on ne pouvait pas cracher dessus. Attrapant le balai pour faire un peu de ménage, il balaya le plus gros de la poussière et aseptisa une bonne partie du salon. C’était toujours là qu’il installait les blessés en général. Du moins, ceux qui arrivaient jusqu’ici. Au 7, pas de place pour les chichis, il arrivait qu’on opère et que l’on soigne directement sur la table à manger désinfectée. Le jeune homme ne reculait devant rien, et c’était un mélange entre le caractère de sa mère et la détermination de son père, même si au fond, c’était son jumeau qui avait plus de traits de caractère du père que lui. Ils avaient tous deux choisis une voie différente. Ils se ressemblaient à l’identique mais leur différence résidait en leur façon de penser, parfois, tout comme leur caractère. Bien qu’au fil des ans, Clay se soit considérablement durci.

Fini le ménage, bonjour l’attente ! L’après-midi seulement, il devait entamer sa ronde des malades et des maisons du District, ce matin était donc du temps libre ou une simple présence en cas de besoin. S’il avait su que Callie viendrait lui rendre visite, sans doute s’y serait-il mieux préparé. La recevoir, ce n’était pas comme l’on pouvait recevoir un patient, un blessé, non c’était… Plus compliqué. Compliqué parce que cela faisait bien longtemps qu’il se voilait la face à propos d’elle. Que son cœur faisait des bons dans sa poitrine chaque fois qu’il l’apercevait. Pourtant ils étaient supposés être meilleurs amis, mais qu’avait-il fait depuis son retour de son escapade avec Julian ? Rien. Il n’avait… Rien dit, n’était pas passé à la pharmacie. Rien. Par peur ? C’était inconcevable, lui qui assistait à des horreurs avait peur d’affronter sa meilleure amie ? Foutaises ! Pourtant, si au fond émanait de lui une certaine angoisse à l’idée de lui faire face, juste parce qu’il… N’était pas vraiment doué pour s’avouer des sentiments dont il n’avait pas l’habitude. Lorsqu’on sonna à la porte, Clay sursauta, mais était persuadé qu’il s’agissait là d’un potentiel patient, jusqu’à ce que la voix qu’il reconnaitrait entre milles ne se mette à résonner derrière la porte. Une sorte de nervosité s’empara instantanément du jeune homme, qui, pendant un laps de temps de 30 secondes, se demanda quoi faire. Finalement il ouvrit la porte, l’air surpris.

« Callie ? Tu… Euh… Il y’a un problème ? ». Oui, il s’inquiétait du coup, avant de finalement se gifler mentalement. « Entre, je t’en prie. ». Les bonnes manières…

Une fois que la jeune femme fut à l’intérieur, le médecin referma la porte et se retourna pour la voir, un peu anxieux mais surtout silencieux. Enfin… Silencieux jusqu’à ce qu’il ne se réveille.
« Je suis désolé de ne pas t’avoir donné de nouvelles plus tôt, j’ai été… Très occupé. Comment vas-tu ? ». Il se gifla encore, c’était quoi ce ton maniéré tout d’un coup ? Ils avaient partagés tant de choses, pourquoi lui parler comme si c’était un premier rencard ? Il était mal doué… Vraiment, qu’allait-elle bien pouvoir penser ? Il soupira, se trouvant minable. Définitivement minable.

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MessageSujet: Re: ◮ don't wanna fly if you're still on the ground (clay)   ◮ don't wanna fly if you're still on the ground (clay) Icon_minitimeSam 14 Juil - 20:53



Dès l’instant où les mots sortirent de mes lèvres, je les regrettai. A quoi bon venir le voir ? Si ça compte, il n’était même pas lui … Je ne venais que très rarement dans le village des vainqueurs comme on le nommait. Les maisons n’avaient strictement rien avoir avec celles des autres habitants. Y vivre était mille fois meilleur. Beaucoup d’habitants du district s’étaient, au moins une fois dans leur vie, s’imaginer vivre comme un vainqueur. Ca revenait à vivre dans le luxe. Mais à quel prix ? Le prix d’avoir eu un membre de sa famille moissonné qui ait gagné les jeux en tuant de jeunes enfants. Le prix pour vivre correctement en dehors du Capitole. Si Clay avait fini dans l’une de ses maisons, c’était grâce à son frère, Julian. Avec Jen Walden, ils étaient les deux seuls gagnants de tout le district 7. Deux gagnants pour 75 éditions de jeux. Tant et si bien que la plupart des maisons construites dans « ce village » n’étaient pas habitées. La plupart d’entre elles prenaient la poussière, se délabrer. Tandis que nous devions nous laver à l’aide d’une simple bassine remplie d’eau – qui, au passage, n’était pas toujours à la bonne température – les vainqueurs bénéficiaient d’une salle de bain avec douche. Un vrai petit bonheur si vous voulez mon avis.

Peut-être n’aurai-je pas dû quitter la pharmacie. N’importe qui pouvait arriver d’un coup et demander à ce qu’on lui donne un quelconque remède. Et si ma collègue n’était pas apte à le servir ? Si elle se trompait dans le dosage à prescrire ? La vérité s’imposa rapidement. J’étais en train de chercher toutes les raisons valables pour rebrousser chemin. Depuis quand n’étais-je plus qu’une poule mouillée ? Depuis quand avais-je peur de faire telle ou telle chose ? Mon courage semblait s’être évaporé je ne sais où. Pourtant, du courage, j’en avais toujours eu à revendre. Petite, je n’avais jamais eu peur de grimper aux arbres. La première fois que j’avais fait une telle chose, j’avoue que le stress s’était quelque peu emparé de moi, mais il avait très vite disparu. Au fil des jours qui avaient suivi, j’étais montée de plus en plus haut. Une fois que j’étais assez haute, je me permettais un instant de répit. Je savourais cette sensation de liberté. Car oui, c’était bien de la liberté que je ressentais dans ces moments là. Qui aurait l’idée de chercher une jeune femme dans les arbres ? Qui aurait l’idée saugrenue d’essayer de la rejoindre tout là haut ? Je doutais qu’un pacificateur puisse savoir monter aussi haut que moi. La force, il l’avait, j’en étais sure. Mais l’agilité certainement pas.

La porte finit par s’ouvrir après quelques secondes et Clay apparut. Ses traits si familiers à mes yeux me rassurèrent. Il n’avait pas l’air fatigué, sans doute avait-il passé une bonne nuit. La surprise se lisait sur son visage. Je fronçai légèrement les sourcils. S’il y avait un problème ? Sur le moment, j’en vins à me demander si je ne pouvais plus venir le voir sans lui amener une mauvaise nouvelle, un malade ou que je me sois blessée quelque part. J’étais certaine de ne pas avoir un teint blafard ni les yeux rougis. « Non, je vais bien, y’a pas de problème à signaler Clay. répondis-je d’une voix monotone. Il finit par m’inviter à entrer et je ne me le fis par dire deux fois. L’odeur des médicaments et surtout, des désinfectants arriva à mon nez. Clay avait fait le ménage, j’en mettrai ma main à couper. Il se devait de le faire de toute manière. Un malade pouvait arriver à n’importe quel moment. Croisant mes bras, je m’appuyai contre l’un des murs du salon. Le silence qui s’était installé me semblait interminable. Jusqu’à ce que Clay s’excuse. Très occupé. Je voulais bien le croire. Il y avait quelque chose d’étrange dans sa manière de parler, mais quoi ? Je n’arrivai pas à mettre le doigt dessus. Anxieux peut-être. « Oh, ne t’inquiète pas. Je peux comprendre, tu sais. Tu es médecin après tout. Tu sauves des vies. Léger sourire de ma part. Lequel de nous deux avait l’air le plus mal à l’aise en cet instant ? Un étranger répondrait certainement que nous étions à égalité. « Ca peut aller. Mon père passe ses journées à la scierie et je me demande toujours quand est – ce qu’il devra venir te consulter. » Je me mordis la lèvre inférieure. Je mourrai d’envie d’ajouter qu’il m’avait manqué mais je n’en fis rien. « Et toi ? Qu’as-tu de beau à me raconter depuis ta… ta sortie avec ton frère ? » terminai-je d’un ton plus sec que je ne l’aurai voulu.
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