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 VI,2. Voyage dans le train (04)

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Egidius Eideard
DISTRICT 4
Egidius Eideard
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△ à Panem depuis le : 30/07/2015
△ humeur : Moqueuse mes enfants, pourquoi changer les habitudes d'un vieux routard ?
△ âge du personnage : 45 années à fouler le sol de ce ravissant lieu de villégiature qui porte le doux nom de Panem.
△ occupation : Vainqueur à pleins temps depuis quelques décennies déjà, il a donc aussi déjà endossé le rôle de mentor mais s'occupe aussi en écrivant quelques romans.


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VI,2. Voyage dans le train (04)   Vide
MessageSujet: VI,2. Voyage dans le train (04)    VI,2. Voyage dans le train (04)   Icon_minitimeVen 1 Juil - 16:25

Voyage dans le train × ft La fine équipe du 4
Le temps ne se perdait pas lorsque l'on avait affaire à la machine des Jeux. Une fois l'équipe à bord le train s'était rapidement ébranlé pour finalement prendre la direction du Capitole à toute allure, mais même à cette vitesse il leur faudrait presque une vingtaine d'heures, une éternité qui méritait d'être exploitée... Egidius n'avait guère attendu pour prendre congé de leur enthousiaste hôtesse qui semblait décidée à se réjouir de ces festivités qui se présentaient sous un air radieux pour le District 4, un avis on ne peut moins étonnant pour la donzelle qui s'extasiait tout aussi bien sur les délicats équipements du train pour mieux jeter au visage les frivolités du Capitole qu'ils allaient bientôt connaître.

Bref notre mentor avait vite disparu de toute cette effusion inutile pour échouer en queue du train qui avait tendance à être beaucoup plus confortable et apaisé que la salle de restauration. Notre homme s'installa donc sur un canapé contre lequel il apposa sa canne avant de lever et poser ses jambes sur le fauteuil pour se tourner ainsi vers le paysage qui défilait en s'éloignant irrémédiablement. Il ne manquait plus qu'un livre pour que le tableau soit parfait mais à présent qu'il était installé il ne se voyait pas faire cet effort de recherche. À la place notre homme ouvrit la veste de son costume pour y dégoter une cigarette et un briquet dans la poche intérieure et ainsi se relancer dans son activité fétiche du moment: le grillage de mégot.

Il n'avait créé que quelque bouffée de fumée lorsque la porte de la pièce s'ouvrit à nouveau, détournant l'attention d'Egidius dans son dos pour apercevoir la silhouette de Dahlia apparaître. Il n'était pas le seul à chercher un peu de tranquillité et c'est avec son éternel sourire amusé qu'il accueillit la miss avant de s'en retourner à son observation de paysage.

▬ " Cette robe est d'un étonnant bon goût ma chère. " Même s'il s'agissait d'une réplique amusée, ils devaient bien avouer que leur nouvelle styliste faisait des efforts de simplicité, rien qui n'entamerait probablement l'éternel sens critique de Dahlia mais Egidius lui était capable d'apprécier le geste. Et très franchement la simplicité allait bien à la miss qu'il laissa tranquille par la suite car sa présence ne le dérangeait guère alors il n'avait pas de raison de la chasser en lui offrant une perturbation qu'elle avait dû fuir.

Ils avaient donc laissé leurs tributs dans les mains enthousiastes de leur hôtesse. De quoi leur donner un parfait avant-goût de ce qui les attendait, Egidius ne pleurerait pas sur leur sort. De plus c'était aussi une manière de tester leur motivation, ils allaient d'abord devoir prendre l'initiative de la recherche s'ils voulaient leur parler, ce genre de test donnait déjà des résultats exploitables pour la suite.

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Siwan Joráh
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Siwan Joráh
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MessageSujet: Re: VI,2. Voyage dans le train (04)    VI,2. Voyage dans le train (04)   Icon_minitimeMar 5 Juil - 17:28


Voyage dans le train






You know her since she was a girl. Now watch her become a woman.


Arrachée à ton nid trop brutalement, t'es perdue dans ce long wagon. En fait, il est pas si vaste que ça, mais il t'effraie. Tu sais même pas où poser tes prunelles céruléennes. Y en a partout, pour tout, à l'excès. Ça en devient presque maladif, voire vomitif. La richesse tu l'as jamais connue, mais ça t'a jamais attiré plus que ça. Alors, t'en ris. Un ricanement cynique qui déroge pas à ton charme carnassier habituel.

— Bordel qui a fait la déco ici, c'est dégeu ! tu glousses, en t'avançant jusqu'au centre du wagon restaurant. De là, tu tournes sur toi-même, histoire d'analyser les moindres recoins, car pour toi, la guerre commence ici. Et plus t'assimileras d'éléments, plus t'auras tes chances. Alors, tu tournes sur toi, comme une gamine stupide. Une princesse dans sa coquette robe vermeil, qui s'arrête juste au-dessus de tes genoux, et qui virevolte dans les airs au moindre de tes mouvements. T'es jolie. Ouais c'est vrai, t'es plutôt jolie. Tes cheveux ambrés coupés au carré, à la garçonne ; tes grands yeux fous, capables de sortir de leur orbite pour trucider quelqu'un simplement par l'impact de ta rétine électrifiée ; tout ça, ça te démarque des autres. T'as peut-être une chance de survivre alors, finalement. Tu veux pas vraiment te vanter, mais c'est vrai que t'as un petit truc en plus, qui fait que c'est toi. Toi, Siwan, et rien d'autre.

Les deux mentors ont déjà disparus, s'évadant déjà de leur tâche dans le dédale de wagons. T'arques un sourcil, mais en réalité ça t'étonne qu'à moitié. T'as déjà entendu quelques rumeurs sur la véritable utilité des vainqueurs, leur aide potentielle, fussent-ils suffisamment émoustillés pour ça. Sinon, laisser crever ses tributs dans l'indifférence la plus morbide, c'est ça leur stratégie, à tous. Et encore, tu crois que le Quatre détient la palme.
Et au final, t'es seule, tu tournes en rond. Plus loin Quinn et l'hôtesse se tiennent là, debouts, sinon assis, tantôt qu'ils soient toujours là. Tu les regardes même pas, tu les vois même pas en fait. Mais putain tu t'en balances. T'es là, dans ta mignonne robe incarnate. T'annonces déjà la couleur, celle du sang.
Tu te gausse bien, de n'avoir pas d'alliés dans l'arène, tu te fiches foutrement de ton cotribut pitoyable, qui doit déjà convoiter ce moment où il s'attablera pour pouvoir dévorer la chair des autres tributs ; oui, ceux qui sortent de nul part, ce que le sort a désignés, ceux qui crèveront dès que le gong retentira. Quinn sait que t'es pas une carrière, la preuve t'es une usurpatrice. Et puis, tu te doutes bien que ses plans, c'était lui et sa dinde de carrière dans l'arène. Pas toi. Coquette histoire romanesque à l'eau de rose, que tu penses. Et puis après ? T'es légitime toi aussi, et si tu désires crever dans cette arène, et bien tu le feras.

Tu t'approches du bar. T'as déjà bu de l'alcool, plusieurs fois même. C'est ça de vivre avec un cousin alcoolique, un foutu cousin qui ne s'aperçoit même pas qu'une bouteille de whisky a disparu de sa collection. Évasion fugace, passant pour le moins inaperçu. Et t'avais vraiment aimé boire, boire jusqu'à n'en plus suivre les ondoiements de chacun de tes membres, boire à en oublier ta vie merdique, que t'as délaissée un instant dans cette mer indomptable qui te possède encore. Oui tu sens qu'elle te manque déjà. Et ça va faire mal, à l'intérieur, dans ton petit cœur de cendres calcinantes et fumant encore. Combien de chances t'as, de tomber sur une arène bâtie autour d'une mer envoûtante et iodée, bordée de poissons d'or, de coquillages phosphorescents, ou d'hydres aquatiques ? Tu te demandes vraiment combien de chances t'as. Tu pourrais le demander à quelqu'un. Quelqu'un qui connaît les jeux et qui sait à quoi s'attendre. Quinn, lui il doit savoir. Malheureusement pour toi, t'as vraiment pas envie d'affronter son visage, son regard assassin. T'as vraiment pas envie de te livrer à un duel maintenant, tu préfères converser tes forces, histoire de bien proprement le désosser dans quelques jours. Tu peux attendre.
Alors, il te reste les vainqueurs. Tu parles, deux vieux gagnants qui n'aspirent qu'à finir leur existence peinards. Au lieu, ils ont l'honneur de découvrir deux nouveaux visages éphémères chaque année.
Mais voilà, tu peux pas rester là. Tu joues avec une bouteille d'alcool, tu la fais tourner du bout de tes doigts agacés. Et puis après, quoi ? Rien ? Tu devrais te contenter de rester là en attendant que se dévoile la capitale sous tes yeux nue ? Tu reposes la bouteille dans un fracas. Et tu te décides à bouger d'ici. De cet endroit pesant, de cette ambiance pesante. Tu quittes le wagon pour t'offrir à un autre. C'est un couloir. Long. Sombre. Glacial.
Au fond, une porte, que tu t'empresses de presser, histoire de découvrir ce qui s'y cache.
Devant toi. L'arrière du train. Des fenêtres d'un bout à l'autre, où s'efface peu à peu ta terre natale. Et puis, les deux vainqueurs. L'un affalé sur les fauteuils divins. L'autre debout, te fais dos.

— Bon c'est quoi qu'on fait ? tu craches, dédaigneuse à souhait, et tu te délectes de ton sourire mauvais.


©️ Great Thief
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Quinn H. Liddell
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MessageSujet: Re: VI,2. Voyage dans le train (04)    VI,2. Voyage dans le train (04)   Icon_minitimeMer 6 Juil - 21:32


79th Hunger Games
“Voyage dans le train ”


Le train était parti depuis longtemps, et si j'avais cru qu'on attaquerait directement une stratégie pour l'arène, je m'étais fourré le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Très vite, je m'étais retrouvé seul, comme un idiot, dans le salon principal du train. Les mentors s'étaient évaporés je ne savais où. Normal, ils avaient le temps de vivre eux. Je les enviais. Je clignai des yeux alors que Siwan ne tenait pas vraiment en place. C'était quoi son problème à elle ? Décidément, je ne pouvais pas me la blairer celle-là. Cette usurpatrice... A l'heure actuelle, ma compagne carrière devait se ronger les sangs dans le centre d'entraînement. Maudite pêcheuse. Oui, je savais qu'elle était pêcheuse, parce que je l'avais déjà croisée au grand port de la côte, et qu'elle empestait bien la morue pas fraîche. Dieu merci, je n'avais jamais mis les pieds dans un banc de poissons, j'étais donc épargné par l'odeur. Enfin bref, je ne devais pas m'occuper de Siwan. Elle pouvait faire ce qu'elle voulait, j'avais d'autres chats à fouetter. Mais malheureusement, rester seul avec l'hôtesse relevait du calvaire. Comme si c'était une épreuve ultime à passer pour devenir un véritable tribut chevronné. Siwan avait réussi à échapper au filet, mais moi j'étais prisonnier des doigts manucurées de l'hôtesse.

Elle me racontait sa vie. Comment elle avait fait pour devenir hôtesse de notre district. Elle m'avouait même qu'elle aurait préféré un district plus haut, logique. Je ne disais rien. Je fixais un point sur la table basse. Elle faisait de grands gestes pour me raconter la vie au Capitole, et de tous les délices dont j'aurais le privilège durant la préparation aux jeux. Mais elle ne m'apprenait rien. Ne comprenait-elle pas qu'elle parlait à un carrière, probablement le meilleur de sa génération depuis très longtemps ? Je poussai un soupir, levant les yeux au ciel. Elle ne releva même pas mon exagération, et elle reprit le cours de son histoire que j'avais déjà oublié au bout de deux secondes. Quel supplice. Je commençais même à vouloir préférer passer une heure dans la même pièce seul avec Siwan qu'une minute de plus dans ce salon avec l'hôtesse. Ouais, j'avais vraiment touché le fond.

Je n'en pouvais plus, alors je craquai. Je me levai doucement du canapé en observant l'hôtesse, lui prétextant que j'avais besoin de me reposer après cette journée éprouvante. Elle était surprise, mais elle ne chercha pas plus loin, et elle partit se préparer un petit cocktail avec l'olive bien distinctive. Je soupirai et disparus du salon, direction ma chambre. Sauf que je passai devant. Je m'enfonçai dans le train, jusqu'à atteindre la queue, où je retrouvais Siwan avec les mentors. Ils s'étaient donc réfugiés ici. La chance. Je clignai des yeux, derrière Siwan qui avait l'air d'une parfaite inconsciente au milieu des deux fauves que représentaient les vainqueurs. Je croisai les bras, exaspéré par les paroles de Siwan, et je la poussai de l'épaule pour qu'elle s'ôte de mon chemin. Elle était envahissante, cette peste. Je fixai tour à tour Egidius et Dahlia qui semblaient ailleurs, comme déconnectés de la réalité. Mais leurs deux tributs leur faisaient face. Bientôt, il fallait revenir les pieds sur terre, et nous prendre en main. Je ne sortis aucun son, ne préférant pas brusquer les choses avec eux. Siwan avait déjà mis les pieds dans le plat, hors de question de faire plus d'éclaboussures. Le temps, finalement, je l'avais. Et j'apprendrais à toujours l'avoir pour faire les choses bien.

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Dahlia Lindström
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Dahlia Lindström
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MessageSujet: Re: VI,2. Voyage dans le train (04)    VI,2. Voyage dans le train (04)   Icon_minitimeSam 16 Juil - 14:49


Deux volontaires, deux nouveaux tributs. J’avais hâte de les voir échouer dans tout ce qu’ils entreprenaient, mais pas vraiment de les rencontrer. Ces gamins avaient la fâcheuse tendance de se croire invincibles, et pourtant, j’en avais vu passé quelques-uns qui n’avaient pas fait long feu. Et que dire d’Egidius qui avait attendu de longues années avant d’avoir une tribut à la hauteur. Alors je me dirigeai vers la queue du train, lieu bien plus agréable puisqu’un inconnu des deux gamins. On y voyait des paysages insoupçonnés, bien que moins impressionnants que les lignes du Capitole. Ce cher Capitole. Ce serait bien étrange d’y retourner pour les premiers jeux depuis deux années de grands événements. Mais la politique, je m’en fichais, tant que je pouvais profiter de la capitale et de ses délices. De toute façon, cette Augsuta Cranelow ne décevait pas pour l’instant. De nouveaux Hunger Games, c’était bien la meilleure idée depuis le début de tous ces changements.

Quand je vis une silhouette déjà installée, je ne fus pas surprise du tout. Je n’étais peut-être pas le meilleur mentor que le district quatre avait connu, mais Egidius n’était pas non plus le premier à accourir pour sympathiser avec les tributs. Et, soyons honnêtes, un peu de calme ne faisait pas de mal avant la folie du Capitole. « Cette robe est d’un étonnant bon goût ma chère. » Ça me crevait de l’avouer, mais il avait raison. Pour une fois, je n’étais pas affublée d’une tenue ridiculement excentrique même si, pour moi, c’était toujours trop. « Si c’est possible pour le Capitole. Pourquoi veulent-ils toujours me refiler des robes comme ça ? » Hors de question de lui donner raison à 100%. J’avais une réputation à garder tout de même. Et au fond, j’étais sûre que ça le faisait bien rire alors tout le monde y gagnait. Pourtant, je n’aspirais pas à faire durer la discussion. Nous étions là pour échapper aux tributs et leurs questions d’un intérêt des plus questionnable, pas pour parler d’eux. Mais pouvions-nous vraiment ? « Tu penses qu’ils vont bientôt nous trouver ? » J’espère que la réponse était un simple non. Mais vu les enfants dont nous avions hérités, il y avait fort à parier que notre tranquillité serait de courte durée.

Et ce fut le cas. La jeune fille fut la première à débarquer pour nous lancer un magnifique « Bon c'est quoi qu'on fait ? ». Je me retournai dans la seconde pour découvrir un visage tout aussi agréable que son ton. J’aurais presque préféré tomber sur des petits incapables. Enfin, c’était peut-être son cas. Ce ne serait pas la première fois qu’un volontaire ne soit pas à la hauteur de son image. Et que dire du deuxième tribut qui se pointa peu après en bousculant la première pour se faire une place. Il se pensait peut-être plus important. Ils m’agaçaient déjà mais je savais que ce n’était que pour quelques jours. Et j’allais bien en profiter pour leur faire comprendre que nous n’allions pas vivre sous leurs lois par ici. « Rien. » dis-je avec un visage inexpressif. « Il n’y a rien à faire avant d’arriver au Capitole, alors profitez du voyage. » Ce n’était pas faux, même si j’exagérais la chose. A quoi bon leur donner des conseils avant qu’ils réalisent l’ampleur des jeux dans la capitale. Et puis, s’ils étaient si intelligents qu’ils souhaitaient paraître, nous n’avions pas besoin de leur énoncer les évidences. « Je vous conseille la salle de restauration, ça ne vous fera pas de mal. » Mensonge. C’était bien connu que de nombreux tributs arrivaient malades au Capitole après quelques folies dans le train. Mais, vu leur poids, faire quelques abus ne serait qu’un mal pour un bien. Ils n’avaient aucune ressource, et compter sur une alliance honnête avec les autres Carrières était bien trop risqué. Puis, avouons-le, je ne souhaitais pas les avoir dans les pattes encore longtemps pendant ce long voyage.
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Egidius Eideard
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Egidius Eideard
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MessageSujet: Re: VI,2. Voyage dans le train (04)    VI,2. Voyage dans le train (04)   Icon_minitimeDim 17 Juil - 10:44

Voyage dans le train × ft La fine équipe du 4
Il n'était pas resté seul bien longtemps, mais à choisir de toutes les compagnies à bord de ce train il tombait là sur celle qu'il pouvait accepter sans sourciller à cet instant. Il profita de l'arrivée de Miss Lindström pour distiller son avis sur sa tenue qui était loin d'être désagréable malgré les soins d'une Capitolienne.

▬ " Si c’est possible pour le Capitole. Pourquoi veulent-ils toujours me refiler des robes comme ça ? " Amour des élites et éternelle insatisfaite, il n'en attendait pas moi de Dalhia et accueilli ces mots avec un léger sourire amusé. Il ne lui répondit pas, n'ayant guère de théorie à soumettre sur cette question, enfin si il en avait mais rien qui ne convenait à cet instant de calme avant la folie. " Tu penses qu’ils vont bientôt nous trouver ? " Egidius s'arracha à la contemplation des volutes de fumée et croisa ses pieds sur le canapé en glissant son regard amusé vers la demoiselle.

▬ " L'inverse serait agréable, mais un peu plus décevant. " Les jeunes âmes qui ne cherchaient pas et/ou ne réussissaient pas à filer dans les jupes de leurs mentors quelques instants après l'annonciation de leur fin imminente était soit trop peu débrouillard soit bien trop imbu de confiance en soi, dans les deux cas ce n'était jamais bon pour leur jeune minois. Mais ils n'eurent pas longtemps pour se poser la question car la porte ne tarda pas à rentrer de nouveau en action mais cette fois Egidius ne daigna pas se tourner pour voir qui était le nouvel invité. Il y avait plusieurs possibilité mais fut vite fixé.

▬ " Bon c'est quoi qu'on fait ? "Dans un premier temps l'idéal serait de prendre quelques cours d'élocution pour ne pas jouer à la paysanne sortie de son champ... Mais notre mentor garda cette réflexion, préférant amplement s'ériger en spectateur de la réaction de Dalhia vers laquelle il glissa son regard.

▬ " Rien. Il n’y a rien à faire avant d’arriver au Capitole, alors profitez du voyage. Je vous conseille la salle de restauration, ça ne vous fera pas de mal. " C'était presque léger, un poils décevant mais quand même amusant. Il jaugea brièvement les deux créatures, car maintenant ils étaient deux à être arrivés jusque là. La gamine qui jouait à l'effronté alors qu'elle avait relativement mal vécu ses adieux et l'ado trop fier pour être sincère, une belle brochette prête à se tirer dans les pattes.

▬ " Et pendant que vous explorez le panel des mets délicats, apprenez à vous regarder avec autre chose que du mépris, contrairement à ce que vous croyez les guéguerres fratricides n'ont pas la quotte. " Tourné vers les paysages qui défilaient, Egidius tira à nouveau sur sa cigarette avant de laisser échapper un peu de fumée. Si ces gamins voulaient en effet bosser sur quelque chose, c'était là leur priorité la plus flagrante, il était si idiot de croire que l'on pouvait survivre seul dans ces festivités sanglantes. On jouait seul mais il fallait avoir la carte des alliés en mains pour pouvoir l'abattre en cas de besoin. Et accessoirement ce genre de travail ne nécessitait ni la présence de Dalhia, ni la sienne c'était donc parfait.
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MessageSujet: Re: VI,2. Voyage dans le train (04)    VI,2. Voyage dans le train (04)   Icon_minitimeJeu 21 Juil - 11:21


Voyage dans le train






You know her since she was a girl. Now watch her become a woman.


T'as été poussée dans un accul, tu t'y es pris les pattes comme un minuscule poisson de rivière bercé au creux d'un filet de pêche amateur. T'as été bernée. T'as mordu à l'hameçon, cet hameçon doué d'une chair tendre douce et sucrée qui ronge tes papilles. Les ronge d'envie.
T'es comme un papillon éprise d'un cocon trop étroit. Trop frêle trop grêle trop désillusionnée. Esseulée par le vice qui te mord à la peau tout le temps. Partout. N'importe où. Impudique suintant provoquant comme un stipendié bon marché qui rôde et s'accapare son territoire sur les grands boulevards où Snow se gaussait bien de son peuple et d'une partie d'échec quelques années passées.
Ouais t'es claustrée là dans ce train, dans ce wagon, dans ce dragon qui crache son feu, qui calcine, qui terrasse la furie des dieux, des cieux, qui provoque de sa chaleur assassine. Tu pourrais pleurer, t'apitoyer sur ton sort. C'est vrai, on pleure. On chiale, on miaule. Pour de faibles blessures à même la peau éreintée, on pleure parce qu'on s'use parce qu'on s'abuse. Parce qu'on se berce de douces illusions enfantines dans un monde sans comptines.
Ton regard de feu dragonnier ne faiblit pas quand Quinn parvient jusque ton corps trop étroit, ton corps amusé, ton corps abusé, et te bouscule sur son passage sans même te voir. Non ton regard s'éteint pas quand tes oreilles aux aguets suintent de leurs bouffonneries crachées.

— Il n'y a rien à faire avant d'arriver au Capitole, alors profitez du voyage. Je vous conseille la salle de restauration, ça ne vous fera pas de mal. son indifférence te transperce, te bouscule, mais ne réveille rien. Aucune animosité à t'en crever les papilles, aucune rage à t'en faire sortir l'artillerie. L'armure du diable reste plongée dans sa torpeur, veillant, mécène, protecteur. Et ton dédain refoule ses fantasmes trop souvent étouffés. Tu vas te décomposer. Tu vas t'enraciner dans ce putain de train. Tes doigts se jouent de toi, tes doigts s'animent pour toi. Tes doigts cherchent un toit. Un réconfort sinon un ermitage égaré dans un dédale de mirages. T'as perdu ton sang froid, et tes cartilages faiblissent dans l'ambiance la plus béotienne. La plus capricieuse. La vie menteuse. Tes doigts divaguent le long d'une armoire, caressent un tiroir, dans une curiosité passagère. Tu replonges dans ton monde de rêverie. Ton monde des merveilles à toi. Un monde des merveilles bien singulier, sans lapin blanc ni thé ni cartes ni chapelier fou. Juste toi, allongée comme une carcasse brûlant sous un soleil âpre et plombant, sur un parterre de roses fanées, des roses rouges vermeil, rouge sang comme ta robe, qui enivrent tes sens les plus enfouis de leur effluves exagérées et grotesques, à en gerber. Vraiment. Ton univers à toi ne comporte que peu de personnages. Que deux en fait. Certes il y a toi, toi folle dans ce monde de fous, et puis l'autre en face, faucheuse sans visage sans nom, qui te met en joue, imperturbable inlassable dans sa tâche, de son fusil blindé de solides balles d'argent. Parce que t'es pas une créature ordinaire, il t'en faut plus pour t'abattre, beaucoup plus. Il te faut ce truc singulier qui fait la différence, qui fonde le mystère d'un tout.

— Et pendant que vous explorez le panel de mets délicats, apprenez à vous regarder avec autre chose que du mépris, contrairement à ce que vous croyez les guéguerres fratricides n'ont pas la côte. que renchérit l'autre vainqueur. Ils se foutent vraiment de toi. Aller manger. Aller mourir. C'est la même, autant qu'ils portent leurs courages et qu'ils te sifflent directement « basta va crever ailleurs que dans mes pattes ».
Mais tu ricanes.
Tu glousses.
Mais à tes yeux ça n'en vaut même pas la peine. T'observes Quinn une seconde, alors que tes doigts articulés jouent toujours à caresser les meubles, ouvrir les tiroirs, fouiller ce qu'on t'offre.

— J'avoue qu'on est peut-être partis sur un mauvais pied. que tu dis cynique. Tu t'avances vers le carrière. Ton index s'offre à un ballet de coups flanqués sur sa poitrine remuante, calme. Tu restes imprenable, impénétrable, armure ou forteresse médiévale. Hein Quinn ? tu virevoltes une fois encore dans le wagon chargé d'artifices. T'es détachée, t'es ailleurs, t'émerges à peine de ton univers enchanteur. Mais on fera le nécessaire devant les caméras. mais ça sonne faux. Et tu te fais accroire toi-même. Tu te trompes. Tu t'oublie en tant qu'humain. Tu te présumes trop. Ouais. T'oublies que vous êtes que des bêtes dans une arène. Des hydres de plus plongés dans un enfer où l'instabilité est doyenne ; où on se perd dans ses promesses, où on se disperse. Enfin, pourvu qu'on arrive indemnes au Capitole parce qu'avec des conseils de merde comme ça on risque de crever même avant d'entrer dans l'arène. une étincelle s'annonce et repart plongée dans une odyssée trop prévisible. Une odyssée trop risible, quand un nouveau rire nerveux franchit tes lèvres. T'avais déjà embrassé la folie et elle te renvoie son baiser pour de bon. Tendre baiser au goût ferreux du sang qui s'immisce en torrent dans ta bouche à force de trop te mordre les lèvres ; tendre baiser brûlant comme un poison, tendre à foison. Tu glousses, t'attaques, parce que tu veux faire quoi ? Tu te la joue gosse mestro mais t'as aucune arme pour lutter, aucun foutu pouvoir pour faire taire la bête qui s'engage en face de toi, pour repêcher la situation qui s'émiette. Alors tu préfères en rire qu'en chialer, parce que t'as plus une seule larme à offrir au ciel et au divin, parce que des larmes t'en as déjà trop laisser filer entre tes doigts crispés qui couvraient ton visage terni par les épreuves d'adultes qu'on a infligé à un enfant depuis son plus jeune âge. Des larmes t'en as assez partagées. Partout. Pour tout. Pour tous. Et merde ! Vous êtes des vainqueurs ! t'enrages à présent. Vous avez déjà participé ! Vous savez ce que vous avez fait ! et tes poings cognent contre un tiroir, puis viennent s'égarer dans tes cheveux d'or, plus calmes. Tu restes de glace devant une bande d'abrutis.

HRP.

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Quinn H. Liddell
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△ à Panem depuis le : 26/05/2016
△ humeur : d'outre-tombe
△ âge du personnage : dix-huit ans
△ occupation : tribut (79th)


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VI,2. Voyage dans le train (04)   Vide
MessageSujet: Re: VI,2. Voyage dans le train (04)    VI,2. Voyage dans le train (04)   Icon_minitimeMer 3 Aoû - 16:10


79th Hunger Games
“Voyage dans le train ”


Comment diable voulaient-ils qu'on s'apprécie, Siwan et moi ? Tout n'était que mépris entre nous. Je ne ressentais rien d'autre que de la haine, de la honte et du dédain pour cette fille. Elle avait volé la place de ma partenaire carrière. Si c'était cette dernière qui s'était portée volontaire à temps, nous aurions fait assurément un super duo très apprécié du Capitole. Enfin, en théorie. Le genre de duo qui plaisait au public et dont Egidius et Dahlia avaient dû voir des dizaines, voire des centaines de voir. Je pouvais comprendre leur lassitude concernant chaque édition des hunger games. Chaque année, c'était la même rengaine. Ils devaient voir leurs tributs mourir, ou tenter de survivre. C'était cruel, pour eux. Mais n'était-ce pas pour cela qu'ils étaient des vainqueurs ? Pour avoir la force encore d'être debout malgré les aléas de la vie et de la mort ? Je les admirais, sans pour autant leur vouer un culte, car ils restaient tous deux des humains. Personne n'était parfait. Dahlia était bien trop dédaigneuse avec ses tributs, du moins elle laissait transparaître beaucoup de froideur et d'arrogance à notre égard, tandis qu'Egidius était plus distant, plus calme, mais aussi beaucoup plus je m'en foutiste, en fait. Ils ne nous regardaient pas en face, parce qu'ils savaient que cette année aussi, ils pourraient rentrer les mains vides. En avaient-ils réellement cure ? Je les dévisageais sans réellement chercher à les énerver. Ce n'était pas mon but dans les jeux, de me mettre les mentors à dos. Mais je voulais comprendre leur psychologie, leur façon de vivre les jeux sous cet angle. Je n'y parviendrais jamais, je pensais, hormis devenir un vainqueur comme eux. Mais ça, c'était encore tout autre chose.

Alors comment pouvais-je apprécier Siwan alors que l'objectif, c'était de gagner seul ? Elle était invivable, cette gamine. Elle parlait mal, se fringuait mal, j'étais même persuadé qu'elle se curait le nez en public en y plongeant son doigt jusqu'à la deuxième phalange. Le dégoût, le mépris pour une fille que je n'avais même pas cherché à connaître. Je haussai les épaules. Pour tous les petits mots mielleux de Siwan à mon égard, je levais les yeux au ciel. Cette fille était un sketch vivant. Elle ne comprenait pas la réalité de la situation. Elle allait mourir dans une semaine, de mes mains ou non. Parce que je ne lui ferais pas de cadeau dans l'arène, juré. Je fronçai les sourcils et me décalai pour juger Siwan, faisant abstraction quelques secondes des mentors dépaysés. « Tu rêves. Tu es dans le déni parce que tu vas bientôt crever. » Je finis par lui tourner le dos, en même temps que de tourner le dos aux mentors, m'apprêtant à repartir dans ma chambre pour avoir un peu la paix que je n'avais pas trouvé depuis la moisson. J'allais vraiment partir, mais Siwan remit de nouveau son grain de sel, offusquant publiquement les mentors dans la cabine. Elle cherchait à leur arracher les poils du nez ou quoi ? Et en plus, elle se laissait aller à des excès de colère... Elle devait apprendre à se contrôler, celle-là. « Laisse-les. Excuse-toi aussi, à moins qu'on ne t'ait pas appris la politesse aussi. » Non définitivement, je n'allais pas réussir à la blairer.

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