| Sujet: Echo || You're little princess Sam 8 Oct - 14:12 | |
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Echo Bloody Mary ❝ WHO AM I LIVING FOR? ❞ Je suis la jeune Lady Mary, mais ma maman a voulu m'appeler Echo, certains me connaissent sous le surnom de Bloody. J'ai 13 ans, et je vis au Capitole avec ma mère et son mari. Je ne suis qu'une enfant mais ne vous y trompez pas, j'aime jouer avec les adultes, les faire crier, les voir pleurer et je joue avec mon physique de petite princesse, innocente, mes cheveux blonds bouclés, mon regard bleu glacial et ma petite bouche rose, pour m'attirer les faveurs des grandes personnes et pouvoir leur faire du mal ensuite. J'aime le Capitole et le Président Snow. Je rêve du jour où je pourrai porter une arme et apprendre à tuer!
about games and relative.
(merci de répondre aux questions en suivant les indications de lignes. certaines questions sont seulement pour certains personnages, merci de supprimer celle(s) qui ne correspondraient pas au vôtre.)
➺ TA MORT TU LA VOIS COMMENT ? La mort est un jeu dangereux. Elle entraîne les hommes vers d’étranges destinées, loin de l’espoir, loin de la logique ou de l’amusement. Il ne faut pas craindre la mort, parce que personne ne peut y échapper. Parce qu’elle est injustice et cruelle. Comme moi, en réalité. J’aime joué avec les autres, leurs espérances et leurs envies. La mort est sadique, elle fait penser à une immortalité, elle vient, elle repart, elle se guérit. Mais en réalité, elle ne fait que jouer. Elle n’a pas l’intention d’oublier qui que ce soit dans ce monde. Elle viendra pour nous tous, un jour ou l’autre. Faut-il alors rester apeuré dans un coin, en espérant que la mort viendra le plus tard possible. Il faut l’oublier, faire avec. La mort je l’oublie, je ne l’imagine même pas. J’ai compris que je ne pouvais rien faire contre elle, alors autant ne rien faire du tout. Je ne pense pas à la mort. Je préfère de loin vivre.
➺ POUR QUI/QUOI POURRAIS-TU MOURIR ? Je ne pourrais mourir pour personne ni pour rien. Je préfère l’idée que les autres mourront pour mon bon plaisir, pour que je puisse vivre de la manière que je juge le mieux. De mon point de vue, la mort n’a pas d’importance, la mort des habitants des districts encore moins que le reste. Je mourrais, un jour, à cause du temps. Car c’est le temps qui m’empêche d’être complètement heureuse. Je ne suis qu’une enfant, pourtant, j’ai bien conscience que le temps est mon ennemi. Déjà, chaque année, je grandis de cinq centimètres, mon corps se forme un peu plus, je m’embellis. Je m’embellis pour trouver un amant, faire un enfant, et enfin me décrépir. Après cela je n’aurai plus qu’à mourir. Je mourrais lorsque je perdrais ma beauté, pour mon bonheur. Pour moi, uniquement pour moi.
➺ QUEL PETIT PLUS T'AIDE DANS LA VIE (OU JEUX) ? Dans la vie, les grandes personnes ont tendance à ne voir que l’enfant en moi. Il me regarde et pensent sans doute : elle ne peut pas comprendre, elle est trop jeune. Une enfant du Capitole n’a de devoir que d’être jolie et de se taire. D’être bête sans doute. Eux appellent ça l’innocence. Moi j’appelle cela la bêtise. Dans la vie, je me considère comme étant plus intelligente que la majorité des gens qui m’entourent. Je ne me laisse pas facilement berner par de belles paroles. J’ai assez d’orgueil pour dire que je dois être une des enfants les plus persuasives de ce monde. Je peux faire faire n’importe quoi à n’importe qui. Je peux convaincre n’importe qui de n’importe quoi. Parce que l’éloquence est un don que je tiens de ma mère. Les artistes manipulent les mots, les pensés des vivants, ils les comprennent, et de ce fait, peuvent faire d’eux leurs choses.
➺ AS-TU DES PROCHES QUI ONT PARTICIPÉ AUX JEUX ? Il y avait cette enfant qui avait mon âge. Elle était née le même jour que moi. Fille de la sœur de ma chère maternelle, elle était de ce fait ma cousine. Je ne l’ai vue qu’une seule fois, alors que nous étions partie la rencontrer avec ma mère. J’avais sept ans. Elle m’a parue si semblable à moi-même que je l’ai aimée sans plus tarder. Elle avait tout ce que je pouvais désirer : elle était muette, docile, et gentille. Admirablement serviable. Une enfant condamnée à la mort jeune. Mais étant diamétralement opposée à mes humeurs et à mes envies, je l’ai adopté comme étant une amie. Je lui envoyais des lettres, de la nourriture et des photographies de ma mère. Je la faisais rêver. Puis l’année dernière, elle fut envoyée aux jeux. Elle est mort la première. Je crois que cela ne m’a même pas surprise.
➺ APPRÉCIES-TU LE VISIONNAGE DES JEUX ? C’est une bonne excuse pour nous retrouver tout ensemble et fêter l’événement. Ma mère est le photographe officiel des jeux. Elle immortalise chaque blessure, chaque mort. Chaque visage déchiqueté. Et j’adore cela. Je regarde ses photos durant des heures, sans être capable de détourner le regard. J’aime regarder ces innocents, pleurant, hurlant à la mort de les prendre. C’est si beau le désespoir. La cruauté de l’être. C’est si beau la mort. Je ne peux m’y soustraire, je suis comme hypnotisée par ces visages. Je suis comme un papillon, face à une lumière aveuglante. Je suis une enfant attirée par ce mal, profond qu’est la solitude. J’aime la souffrance, surtout chez les autres. Avouons-le, très cher, rien n’est jouissif que de voir les autres s’entretuer comme des rats.
➺ COIN A ANNONCÉ LORS DES DERNIERS JEUX PAR MESSAGE PIRATE QUE LE TREIZE EXISTAIT TOUJOURS. TU ESSAIES DE TE JOINDRE À EUX OU AU CONTRAIRE, TU FAIS TOUT POUR STOPPER CETTE RÉVOLTE ? Je ne peux pas faire grand chose contre cette révolte, bien qu’elle soit abjecte à mes yeux. Je ne désire ni plus ni moins que de la voir disparaître. Je ne crains pas les rebelles, je crains que la colère que notre Président. Ou plutôt, si je la crains, c’est par pure peur qu’elle soit un jour tournée vers moi. Cependant, j’aime à voir Snow tout faire pour les écraser. Ce ne sont que des insectes qui périront sous les coups d’un géant. Le Capitol mérite de vivre et d’être prospère. Le monde tel qu’il est est si beau que je rêve de le voir intact lorsque enfin j’aurai l’âge de me battre moi aussi contre les rebelles et nos ennemis.
tell us your story. “ Le soleil se lève, illuminant le ciel de ses rayons rougeâtres. Le sang a encore coulé cette nuit. ” Elle hurle à la mort, alors que les contractions la tordent et détruisent son corps, lui donnant l'impression que la fin est proche. Elle a imaginé cet instant des centaine de fois. Elle a écrit des pages entières décrivant très précisément cette libération douloureuse. Cette séparation avec l'être qui avait grandi en elle durant les huit dernier mois. Un être qu'elle imaginé parfait. Elle l'avait dessiné, des dizaines de fois. Elle l'imaginait, blonde, les yeux bleus, le regard francs, la peau blanche. Elle la voyait comme une statue de marbre, une beauté parfaite, rêveuse, utopique. Ces beautés que l'on ne rencontre qu'une seule fois dans sa vie. Elle imaginait sa fille comme la plus belle des femmes qu'elle n'eut jamais vu dans le Capitole. Pourtant on pouvait dire que la beauté était un mot d'ordre dans cette société de l'apparence. Elle était un poète fait de beauté, utilisant la beauté pour exprimer du beau, pour montrer le beau. Elle voulait du sublime à présent, ne pouvant plus seulement se contenter des peaux lissés, des visages refait. Elle voulait du singulier, de l'inédit. Elle voulait découvrir un nouveau regard, un nouveau visage. Il lui semblait qu'ici, tout le monde se ressemblait. Le canon de beauté était le même pour tous. Elle avait écrit un journal sur la question, qui se trouvait entreposer dans son atelier. Cette femme était une artiste officielle, travaillant pour le Capitole. Il faisait chaud, malgré la saison automnale qui s'était installé sur le pays depuis bientôt une semaine. Elle transpirait, rendait son dernier souffle à la vie qu'elle donnait. Elle poussa, hurlant à tout venant de la laisser en paix, qu'elle sentait bien que le moment était venue, et qu'elle devait faire tout cela seule. Dans la salle d'attente, à côté, son mari écouté ses hurlements en riant. Il regardait le visage déconfit de l'infirmière à ses côtés et lui sourit : “ Cette femme est une grande tragédienne. Savez-vous très chère, que c'est une artiste ! ” S'exclama-t-il avec une pointe de moquerie, d'irone. Il aimait cette femme. Pourtant, la fille qui sortait de son sexe n'était pas sa fille. Il avait fini par l'accepter. Jamais il ne saura qui est le père de l'enfant. Soudainement, le calme se fit, et il s'inquiéta. Cela ne dura qu'un court instant. Un cri strident enflamma son oreille et il entra dans la chambre en courant. L'enfant était née. Sa mère la regarda avec douceur, le cris de cette créature minuscule résonnait dans sa tête et lui donnait l'envie de chanter. Elle la regardait, et son visage, fatigué, s'illumina d'une joie infini. Elle était belle. “ Echo. Chéri, vois-tu, notre fille est née ! Notre Echo. ” Elle s'endormit d'un coup. Elle avait crée sa plus belle oeuvre.
“ Le rêve est un processus de destruction. Il enflamme les hommes et les enferment dans l'illusion d'une autre vie, une vie qui n'existe que dans leurs esprits torturés. Vivez. ” “ Tourne-toi Echo. Voila, comme ça. Enlève ta bretelle. Bien. Non ne sourit pas. Bien. Comme ça. Ne Bouge pas. ” Elle faisait face à l'objective, habillé d'une robe noire en dentelle, laissant transparaitre la blancheur de sa beau. Ses boucles blondes s’étalaient sur son dos, en de doux miroitements dorés. Son regard bleu fixait sa mère d'un air dédaigneux, hautain, et vulgaire. Son visage était lisse, comme les poupées de collection qui étaient éparpillés partout dans l'atelier où elles se trouvaient. Et au murs, des milliers de photo d'Echo étaient étendus, affichés, en noir et blanc, ou en couleurs. L'artiste avait trouvé sa muse. Et entre les divers photos de sa fille se trouvaient des visages d'enfants torturés, les larmes aux yeux, ou alors des photos de dormeurs, trop calme, trop détendus. Elle avait photographiait les jeux, les rendant immortels, pendant presque quinze ans. Et aujourd'hui encore, elle était appelée pour rendre ces enfants éternels. Pour garder des souvenirs de ces activités cruelles. Elle adorait cela. Elle trouvait que la beauté était dans la mort. Et sa fille, aussi parfaite soit-elle, représentait parfaitement cette mort. Elle était blafarde, dure, indifférente, égoïste. Elle aimait les armes. Depuis qu'elle était enfant, elle arrachait les yeux de ses poupées car cela les rendaient plus jolies. Elle leur arrachait la tête, et déchirait leurs robes. Elle adorait joué avec les morceaux de cires qu'elle glissait sur les flammes des bougies qui parcouraient la maison. Echo était étrange, mais intelligente. Sa santé était trop fragile sous les dires de sa mère pour qu'elle puisse quitter le Capitole. Elle était autorisé à s'y promener comme bon lui semblait dés l'âge de sept ans. Mais la plupart du temps, Echo restait chez elle, dans les multiples livres qui lui appartenaient. Elle n'aimait pas les enfants. Elle aimait les adultes, les armes, la violence. Echo adorait le président Snow. Elle ne l'avait pas rencontré souvent, mais elle avait été charmée à chacune de leurs discussion. Elle se sentait différente des autres. Plus mûre peut-être. Plus attirée par la mort. Et surtout, par le sang. Elle ne comprenait pas le sentiment de culpabilité, ou d'amour. Elle ne se sentait lié à personne. Elle n'aimait qu'elle et sa beauté divine. Un jour, elle se blessa, en lisant un livre qui lui échappa des mains, elle se coupa. Le sang perlant de son doigt l'attira. Elle porta sa plaie à sa bouche, instinctivement. Et elle sentie son corps entier se tendre sous le plaisir soudain qu'elle ressenti au gout du sang sur sa langue.“ Je marche dans la brume, comme une ombre. Les odeurs, les bruits, les murmures, tout cela m'attirent, inexorablement. J'ai soif. ” “ Mère, je désire un chat. ” Dit-elle le jour de son douzième anniversaire, alors qu'elle se trouva attablé en présence de ses parents, de juge, d'amis du Capitole. Ils devaient être une centaine, et encore une fois elle avait été couverte de cadeaux. Seulement, elle était déçue. Elle n'avait pas eut son chat. “ Ma chérie, sois raisonnable.” répondit sa mère avec un sourire de courtoisie. Elle lui parlait comme à une enfant, et Echo ne supportait pas lorsque sa mère faisait cela. Elle leva le regard, fière et vexée de l'attitude de sa maternelle. Elle se redressa et la regarda fixement. “ J'ai dis : je désire un chat. ” Elle découpa chaque syllabe. Le silence se fit autour d'elles. Et soudainement un juge dans l'assemblée se leva et salua la démarche d'Echo. Avec un sourire, il sortie. Rien, ni personne ne bougea durant dix minutes. La mère d'Echo la regardait, fière de sa fille. Enfin elle était devenue une femme. L'homme revint, après une heure d'absence. Il tenait un carton rose et noir dans les bras et le déposa devant Echo. “ Joyeux anniversaire, Lady Mary.” Elle sourit, le remercia et ouvrit la boite. Elle y découvrit un chaton noir aux yeux jaunes. Elle sourit, se leva, le prit dans ses bras et lui donna un nom : Alice. Durant un an, Echo a parcouru le Capitole avec son chaton dans les bras, qui a grandit, tout comme la jeune fille s'est embelli. A présent, elle met un linge entre ses cuisses une fois par mois. Elle se promène toujours avec son chat, dans les bras, ou qui la suit, partout. Elle a été autorisé à parcourir parfois les districts, mais sous le couvert de son majordome, ou de son garde-du-corps : Louis. Dans deux jours, la jeune fille fêtera ses treize ans. Cependant, une chose est bien étrange avec cette petite fille. Parfois lorsque la lune est passe, un petit cris aigüe se fait entendre à travers la porte de sa chambre, et le lendemain, son chat est retrouvé couché sur le sol. Des gouttes de sang perlent sur le lit, et la demoiselle est plus heureuse. Cependant c'est un secret. Un secret très bien gardé.
reality is here.
Bonjour, tu es qui ? Lizzy's. D'où tu viens ? De Vénus **. C'est quoi ton petit pseudo ? Lizzy's HAHA ~ Et t'as quel âge ? 18 ans. Le livre, tu l'as lu ? Toujours pas :P Le forum, à la hauteur de tes attentes ? Evidemment sinon je ne serai pas re-là XD
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Dernière édition par Echo B. Mary le Ven 28 Oct - 16:33, édité 12 fois |
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